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Cliquer. Johannes Vermeer. ( 1632-1675 ). Johannes VERMEER vécut si modestement que son œuvre géniale resta longtemps dans l’ombre . Cette modestie transparaît sous son immense maestria. La ruelle (1657-61). Vue de Delft (1660-61).
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Cliquer Johannes Vermeer (1632-1675)
Johannes VERMEER vécut si modestement que son œuvregéniale resta longtemps dansl’ombre. Cettemodestietransparaîtsous son immensemaestria. La ruelle (1657-61)
L’officier et la jeune fille riant (1657) D’unemanièresubtile le pinceaudégrade la lumièrejusqu’àenvelopper les personnagesdans une atmosphèrepresque palpable, capturantl’instantcommes’ils’agissaitd’unephoto.
La Maîtresse et la servante (1666-67) La lenteur du travail de Vermeer en explique la finesse
Une dame debout au virginal (1670-73) La « mise en scène» est souvent la même : mur du fond lumineux, fenêtre à gauche
La dame au collier de perles (1662-65) La peinture de Vermeerest un instantanéphotographique
Une dame écrivant une lettre à sa servante (1670-71) Aveccetteintimité, cettelumièrequiluiest si particulière
L’Art de la peinture (1665-66) Vermeer, tel un paparazzi,
Femme en bleu lisant une lettre (1662-65) Vermeer, tel un paparazzi, semble surprendre
La lettre d’amour (1669-70) Vermeer, tel un paparazzi, semble surprendre les personnages
Le Concert (1664-67) Vermeer, tel un paparazzi, semble surprendre les personnages dans leur intimité
Une femme jouant de la guitare (1669-72)
Une dame assise au virginal (1670-75) Des perspectives parfaites (avec la camera obscura ?)
Le Christ dans la maison de Marthe et Marie (1654-56) Quelques scènes religieuses à ses débuts
Le géographe (1669) Toujours cette omniprésente lumière
La jeune fille à la perle (1665-67)
La fille au chapeau rouge (1665-66)
La leçon de musique (1662-64) Merveilleuxsouci du détail
La jeune femme à l’aiguière (1662-65)
La jeune fille assoupie (1656-57) Un cadrage de cinéma !
Fin CB