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FIG 2007. Les parcours scientifiques . Les enjeux technologiques Quelles énergies pour l'avenir ? Les enjeux géopolitiques L'énergie, bras de levier de la puissance ? Les enjeux économiques Des politiques publiques de l'énergie sont elles possibles ?
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Les parcours scientifiques • Les enjeux technologiques Quelles énergies pour l'avenir ? • Les enjeux géopolitiques L'énergie, bras de levier de la puissance ? • Les enjeux économiques Des politiques publiques de l'énergie sont elles possibles ? • Les enjeux environnementaux Les énergies responsables du réchauffement climatique ? • Les enjeux de société Quelles énergies pour la Cité demain ? • Les enjeux du développement L'accès à l'énergie : fatalité ou inégalité entretenue?
Liens géographie / énergie • B.Merenne Schoumaker : Geo de l’énergie – Belin • 1. L'énergie : une ressource naturelle • 2. L'énergie : une ressource produite • 3. Consommations et productions : de grands contrastes spatiaux • 4. Flux, échanges et marchés • 5. Géopolitique et géostratégie • 6. Énergie et environnement • 7. Énergie et mondialisation • 8. Énergie et étalement urbain • 9. Énergie et développement durable • 10. Énergie et citoyenneté
Liens énergie / enseignement HG • M.Hagnerelle, M.Mellina • En Hist-géo : pas de référence explicite à l’énergie dans les programmes mais plusieurs entrées indirectes. En 5e 4e : étude de régions minières, en 3e : facteur de puissance ou faiblesse, en 2nde: l’eau source d’énergie, les villes , les littoraux aménagés, les risques, en 1ère : les flux et les politiques d’énergie européennes, en Tale : les flux mondialisés, les aires de puissance et surtout la Russie. • A l’avenir : refonte des programmes de collège et lycée pro autour de la notion de développement durable : il devrait y avoir un thème spécifique pour l’énergie avec la possibilité de réactualiser les thèmes plus facilement
Le problème des (res)sources • P.Rebacewicz, cartographe du Monde diplomatique • Quelles réserves ? • En fait, les réserves de gisements pétroliers se subdivisent en trois catégories : - les réserves prouvées : ce sont les quantités d'hydrocarbures récupérables à partir des ressources prouvés aux conditions économiques et techniques du moment. Les études géologiques estiment leur présence avec une probabilité d'existence supérieure à 85-95 % - les réserves probables : ce sont les quantités d'hydrocarbures susceptibles d'être produites à partir des réservoirs prouvés ou probables aux conditions économiques et techniques d'un futur proche (récupérables par de nouvelles méthodes connues mais non opérationnelles).- les réserves possibles : ce sont les quantités d'hydrocarbures récupérables à partir des réservoirs prouvés, probables et possibles aux conditions économiques et techniques dans un futur non déterminé. Leur présence est estimée par une probabilité entre 5 et 10%.Enfin, les réserves espérées sont définies en pondérant les différentes catégories des réserves par des probabilités.
La différence d’estimation entre « politique » et « technique »
La soif d’énergie des pays émergents • Roland Pourtier paris 1 = Afrique • Ne pas oublier que le massif central est passé d’un niveau de consommation d’énergie comparable à celui de l’afrique à son niveau actuel en moins de 50 ans • 1990-2005 : 80% de la croissance de conso d’énergie = demande venant des pays émergents • Demain les pays du S consommeront l’énergie qu’ils produisent : future pénurie et dépendance pour les pays du N ? • La masse : énergie = usage domestique ( le foyer) = énergie musculaire : la feme = bête de somme
Isabelle Rousseau – mexico = Amérique • Originalité = disparités Nord/sud. EUA : 60% de son pétrole est importé et 50% de ses importations viennent d’Amérique (28% du moyen orient) = dépendance vis-à-vis de ses voisins : Canada, Mexique, Vénézuela • Nécessité d’une intégration régionale pour le marché du pétrole :projet bolivarien (Chavez) = avoir un marché latino américain ou le pétrole serait la monnaie d’échange et donc instrument de diplomatie + réinstauer le contrôle de l’Etat sur les hydrocarbures • Alain Vanneph (Versailles) Besoin d’énergie = besoin social pour sortir de l’énergie musculaire dominante. Ex : au Brésil, travail servile dans les champs de canne en échange d’un lopin de terre pour culture vivrière. Mais croissance de l’éthanol = croissance de la surface de canne au détriment de ces petits exploitants = exode rural : les boas frias
Pierre Gentelle = Chine • Les chinois ne voient pas la politique de l’énergie de façon régionale mais mondiale. La chine est importatrice et le sera de + en +. Leur modèle = les EUA : ils veulent devenir une puissance mondiale à égalité avec les EUA • Ils établissent alors des négociations avec tous les pays du monde : ils signent des relations favorables à la chine en faisant croire qu’il s’agit d’accords équitables (ex nucléaire français) • Mais du coup la chine se trouve le + souvent en concurrence avec les EUA pour les mêmes ressources pétrolières = ne peut déboucher que sur le conflit • Le prix a payer de ce développement = la pollution + mort des mineurs (14 000 par an) • Progression de l’automobile : les vélos à Shanghai ? Non, maintenant ils sont à Paris !!
Développement durable et réchauffement climatique : 2 nouveaux paramètres • Développement durable = mondialisation à visage humain (comme une « guerre propre ») • Yvette Veyret : quelles certitudes sur le réchauffement climatique ? • Source = le GIEC = experts et non chercheurs (synthétisent leurs travaux) • Catastrophisme , sert des intérêts économiques = secteur de l’énergie.
J.P Vigneaud, géoclimatologue • Le climat n’est qu’un éternel changement • Part d’incertitude liée à ce qui n’est pas modélisable • H.Wanner, physicien, Suisse • Facteurs de changement du climat : changement d’orbites, activité solaire, activité volcanique = on devrait assister à un refroidissement du climat. Or seule variable importante depuis 100 ans = CO2 • S. Jousseaume, météorologue • + 1° en moyenne en France sur 1 siècle • Modélisation avec facteurs anthropiques indispensable pour expliquer la hausse des 50 dernières années • La réalité des observations conforte les prévisions d’il y a 15 ans • Mais fortes variabilités à l’échelle régionale