440 likes | 635 Views
Plan de la prsentation. Les grands joueurs de la diffusion de la culture savanteQui sont ces grands joueurs ?La diffusion des connaissances : les formatsLes rgles d'acquisition selon les supports des documentsL'alternative : les archives ouvertesEn conclusion. 1. Les grands joueurs de la diff
E N D
1. Un accès en transition La concentration de la commercialisation de l’accès à la culture savante
2. Plan de la présentation Les grands joueurs de la diffusion de la culture savante
Qui sont ces grands joueurs ?
La diffusion des connaissances : les formats
Les règles d’acquisition selon les supports des documents
L’alternative : les archives ouvertes
En conclusion
3. 1. Les grands joueurs de la diffusion de la culture savante
4. Les grands joueurs L’ensemble de la culture savante connaît depuis quelques années un mouvement de concentration tant au niveau de la création que de la distribution;
Les petits propriétaires des lieux culturels de production comme ceux de distribution (associations, corporations (Barreau par exemple), des entreprises familiales; des propriétaires mécènes, etc.) limitant leurs parts de profit sont disparus;
Avec la concentration des entreprises, les publications savantes connaissent un grand chambardement;
Cette concentration est due au rachat d’entreprises par des consortiums qui se sont mis à grandir très rapidement.
5. Qui sont ces grands joueurs?
6. Dans le monde de l’édition Le regroupement d’éditeurs, la concentration des distributeurs, le rachat des distributeurs étrangers par des entreprises locales et la concentration de librairies, sous certaines bannières, parsèment l’histoire de la publication au Québec;
Si de grands groupes comme Fides et, auparavant, Beauchemin ont été très importants, jamais ils n’ont contrôlé le monde de la publication comme maintenant.
Le groupe Quebecor contrôle un grand secteur de l’édition populaire : de l’entreprise de fabrication du papier à la vente en librairie.
Quebecor est un exemple de concentration dite verticale : de la matière première à la distribution.
7. Quebecor Media
8. Quebecor Media (suite)
9. Les maisons d’édition de Quebecor Éditions Trécarré
Éditions Logiques
Éditions Quebecor
Éditions CEC (Scolaire)
Éditions Libre Expression
Éditions Internationales Alain Stanké
Éditions Publistar
Éditions de l'Homme
Groupe Ville-Marie Littérature
Utilis
Les Presses Libres
l'Hexagone
VLB éditeur
Typo
ADP
Le jour
10. Transcontinental Cette entreprise est le principal concurrent de Quebecor Media.
Elle oeuvre dans le domaine de l’édition, comme son concurrent. Par contre, elle n’a pas le même poids au Québec. Transcontinental est surtout présent au Canada.
Par contre, c’est une entreprise très importante au niveau des journaux A-1, ces hebdomadaires gratuits que nous recevons à nos portes chaque semaine.
Pour le secteur des publications savantes, c’est leur partenariat avec Cedrom-SNI qui nous importe le plus.
Transcontinental et Cedrom-SNI produisent une base de données dont nous avons accès à partir du portail de la bibliothèque : EUREKA.
11. 2. La diffusion des connaissances : les formats
12. Les formats de la documentation Le livre tel que nous le connaissons est l’enfant de l’imprimé.
Un demi-millénaire ou presque d’imprimé, c’est ce qui ornent les bibliothèques de conservation, s’ajoute à cela les manuscrits, les rouleaux, etc.
Les livres, pièces rares jusqu’à la moitié du XIXe siècle, période du début des collections populaires et le début des oeuvres romanesques.
L’histoire s’écrit enfin, les évènements sont décrits, les personnages prennent de l’ampleur, l’homme définit son avenir, décrit son passé et commente ses actions. La sphère publique de discussion, d’échange et de synthèse n’est plus uniquement orale. Elle prend la forme de connaissance, de savoir.
Il est maintenant possible d’interpréter le monde; la possibilité de le changer prend aussi son sens dans les différentes réformes et révolutions qui partagent les mêmes temps historiques que l’imprimerie.
13. Du livre à la revue savante S’il est clair que la forme livre existait depuis longtemps, la présence des revues savantes est plus problématique.
La première revue savante identifiée est le Journal des Savants, publiée en France sous la monarchie, en 1665.
D’autres périodiques verront le jour en Angleterre, aux États-Unis, etc. Ceci au courant des XVIIe et XVIIIe siècles.
14. Les revues savantes au Québec Omniprésence du clergé : toutes les publications des XVIIIe et XIXe siècles en sont teintées.
Sauf quelques « égarements » rapidement condamnés par le clergé. C’est le cas de l’Annuaire de l’Institut canadien de Montréal en 1868 qui sera frappé par l’INDEX en 1870 par Rome. Un des rares cas « officiels », les éditeurs mettent en pratique une « censure volontaire » avant publication.
Le discours de Louis-Antoine Dessaulles n’a un contenu que très formel au sujet de la tolérance. Mais l’Institut canadien renferme des livres à l’Index et regroupe en son sein des catholiques mais aussi des protestants…
La censure est présente de manière absolue dans les bibliothèques de collèges, connue sous l’appellation « ENFER ». Les livres qui y étaient confinés ne circulaient que peu, les lecteurs étant choisis.
15. Le déploiement des revues savantes Grosso modo, si on exclut les revues liées à des congrégations religieuses ou étant les porte-parole des saintes Écritures…
C’est dans un premier temps dans le développement des professions que les premières revues savantes verront le jour. En médecine avec le déploiement de la profession à partir de 1830 environ
Les professions d’avocat et de notaire joindront ce mouvement une ou deux décennies après les médecins
Mais au niveau des sciences et des techniques, il faut attendre l’entre-deux-guerres pour que des publications puissent voir le jour.
16. Une révolution qui précède la Révolution tranquille Cette révolution est celle d’une guerre permanente qui couvre le Québec du début du XXe siècle jusqu’aux années 1955-60
C’est l’opposition que l’on voit se développer entre les idées d’un Québec et d’un Canada modernes versus l’emprise du clergé dans le système scolaire du Québec
C’est la démission des modernistes, par émigration, par assimilation en fait, par la mise de côté d’idéaux modernes…
Le Québec se modernise dans un discours conservateur. On construit des usines, souvent le résultat des deux Guerres mondiales auxquelles nous avons participé.
17. Influence canadienne et mise en place du Rapport Parent Dès la Première Guerre mondiale, le Canada met en place une structure de recherche scientifique. Le Conseil national de recherche scientifique (CNRC) est mis en place en 1916; mais c’est seulement dans les années cinquante que les publications émanent des recherches en cours.
Au Canada anglais, comme au Québec, des écoles techniques et des premiers départements de sciences utiliseront les publications britanniques et ensuite américaines comme ressources.
En sciences humaines, on verra apparaître des revues scientifiques à partir des années 20 et 30.
Les classiques de l’enseignement supérieur seront européens surtout : son legs dans chacun des collèges classiques : La Revue des Deux Mondes…
Dans le rapport Parent, les dés sont jetés pour les Instituts : les bibliothèques seront créées sur le modèle des collèges américains, malheureusement pas au niveau de la profession de bibliothécaire.
18. Date de parution des principaux périodiques savants : En Droit :
Revue du Droit (1922-1939)
La Revue du Barreau (1941-)
Thémis (1951-)
Histoire :
Revue d’histoire de l’Amérique française (1947-)
Médecine
Près de 60 titres de périodiques entre 1918-1980.
Union médicale du Canada (1872-1995)
L’Indépendance médicale (1920-1932)
En Philosophie
Laval théologique et philosophique (1945-)
19. Et aujourd’hui Près de 125 périodiques savants universitaires, en gestion, sciences humaines, sciences politiques, sociologie, travail social, etc.
Des revues supportées par les maisons d’édition universitaires (PUM;PUL;UQ; Polytechnique) ou des départements.
Des revues auxquelles les institutions participent financièrement.
Des revues de vulgarisation en philosophie (Philo & Cie); en sciences (Québec Sciences); en psychologie, etc.
VOICI UN PORTRAIT DES PUBLICATIONS SAVANTES PAR GRAND SECTEUR.
20. Production d’articles scientifiques : Québec et Canada
21. Publications d’articles de périodique : Québec et Canada
22. 3. Les règles d’acquisition selon les supports des documents
23. Loi 51 Les bibliothèques de cégeps La loi 51 est une loi québécoise qui oblige les bibliothèques municipales et scolaires à se procurer les livres dans les librairies agréées (Loi sur le développement des entreprises québécoises dans le domaine du livre, (L.R.Q., c. D-8.1))
Une exclusion à cette loi, les universités.
Cette loi édicte les conditions d’achat de nos livres :
Achat dans trois libraires agréées de notre région
Nous ne pouvons pas acheter des livres en vente à moins que l’économie dépasse 60 % du prix de vente régulier
Interdiction d’acheter nos livres d’un diffuseur – éditeur sauf pour les manuels scolaires (les éditeurs scolaires peuvent vendre directement à une bibliothèque)
Il est important de retenir que cette loi vise à soutenir l’industrie du livre et de la distribution.
24. LivreCommercialisation du livre Déjà nous sommes fixés pour ce qui a trait au prix du livre : une bibliothèque de cégep doit payer le montant de vente fixé par l’éditeur;
Il doit, mais il y a une tolérance à ce sujet, se procurer l’ensemble de ses commandes dans des librairies agréées.
Des tolérances : les régions où les librairies n’ont pas la capacité de s’entendre avec les fournisseurs de langue anglaise; les livres d’art, surtout les livres accompagnant les expositions difficiles à se procurer (on achète à l’occasion directement au musée ou à la galerie qui édite le catalogue d’exposition)
25. PériodiqueL’achat des périodiques MAOB et Loi 51 Contrairement au livre, aucune limitation ne touche l’achat des périodiques dans la loi 51.
Par contre l’application du B du MAOB a un effet « problématique » à propos de l’accès aux périodiques pour les années à venir.
Le MAOB pour mobilier, appareillage et outillage, bibliothèque, regroupe les normes de financement pour les bibliothèques pour ce qui est des dépenses d’investissement.
Ce montant est fixé à 44 $ par étudiant temps complet;
« Détermination d'une durée de vie utile pour les volumes : 12,5 ans (renouvellement des collections 8 % annuellement). »
26. MAOBLes règles de base Le MAOB permet l’acquisition de :
« 3.3.1 Collection écrite
La collection écrite comprend les livres, périodiques (abonnements) et les index de périodiques.
3.3.2 Collection audiovisuelle
La collection audiovisuelle comprend les microfilms, microfiches, documents sonores, vidéos, diapositives et disques optiques compacts. »
« Calcul d'une allocation pour la collection audiovisuelle : 20 % de l'allocation déterminée pour la collection écrite. »
« Imputation au fonds d'investissements de l'allocation calculée pour les collections écrite et audiovisuelle : 50 %. »
Environ 50 % du 44 $ est alloué.
27. MAOBLes collections orphelines ou des règles à revoir Une problématique existe dans la gestion du MAOB : c’est que les biens achetés doivent être des biens mobiliers, ce que sont les livres, les DVD, etc.
Le défi est que les banques de données, les films à accès à distance (Streaming) ne sont pas des biens mobiliers, donc ne sont pas inclus dans le financement du MAOB.
Les cégeps sont obligés de financer à partir d’un autre budget ces « investissements » dans le savoir. C’est dans le budget de fonctionnement des cégeps que ces sommes sont puisées.
Le marché se dirige vers des produits immatériels, voilà une problématique qui nous touche et qui sera le plus grand enjeu des années à venir.
28. Changement dans l’acquisition du livre Première chose à clarifier : au Québec, nous ne pouvons pas pour le moment acheter de livres numériques à partir de la plate-forme L’entrepôt du livre numérique
Pourquoi ? La raison est simple, les licences pour les bibliothèques d’enseignement collégial ne sont pas encore en négociation.
Depuis la fin novembre, la Grande bibliothèque à Montréal, l’Institut canadien de Québec et quelques autres bibliothèques municipales
Pour les bibliothèques scolaires (Primaire et secondaire), le coup d’envoi est à la veille de se faire.
D’ici un an, l’ensemble des bibliothèques publiques et les bibliothèques scolaires pourront acheter des livres numériques du Québec.
Alors, pour le cégep?
29. LIVREL’achat de livres électroniques La négociation avec le seul fournisseur québécois devrait être entamée dès cet hiver
La négociation permettra de respecter la loi 51, de se doter d’un équivalent en droit de prêt que nous avons déjà : un exemplaire un prêt à la fois et d’obtenir une copie du document en format PDF, au cas ou un titre ne serait plus disponible en format numérique
Les livres numériques sont disponibles auprès de grands fournisseurs nord-américains comme EBSCO (NetLibrary) et Pro-Quest ( Ebrary). Ces derniers ont peu de titres en langue française.
En français nous avons Cairn (éditeurs européens) et bientôt le Québec avec L’entrepôt du livre numérique.
30. AudiovisuelProblématique d’acquisition Chaque année le mode d’acquisition du matériel audiovisuel se modifie.
Des fournisseurs apparaissent, d’autres disparaissent.
Au niveau du cinéma américain, 2 compagnies se partagent la gestion du droit d’auteur : ACF et CRITERION
Au niveau des émissions de télévision « fiction » : soit les deux premiers, ou d’autres fournisseur comme IMAVISION.COM
Au niveau des documentaires que Docu-D et autres chaînes spécialisées diffusent, nous devons nous déguiser en détective…
Pour ce qui est des extraits de nouvelles : 100 $ et plus pour 3 à 5 minutes
31. AudiovisuelPropositions des fournisseurs La tendance forte est de proposer le tout par Internet : c’est la solution que prend actuellement la GRICS avec les documentaires de Télé-Québec
Qu’est-ce que cela implique : un coût de « location » et aucune propriété sur le documentaire ou le film
Un coût de location non négociable; la charge financière est décrétée par le fournisseur; si la bibliothèque l’accepte, elle peut utiliser le contenu, sinon, elle doit ignorer cette ressource
Et Télé-Québec, pour reprendre notre exemple, a un seul canal pour diffuser ses documentaires
Nous n’avons pas de solution alternative à très court terme.
32. Périodiques :Changement dans l’acquisition Il y a un peu moins d’une année, nous avons transformé l’approche de la bibliothèque concernant l’acquisition des périodiques en sciences sociales;
Nous avons transféré quelques abonnements de l’imprimé au numérique;
Nous sommes passés de 250 périodiques imprimés à plus de 400 titres, dans un premier temps, en abandonnant l’imprimé.
Par la suite, nous avons compilé les titres de périodiques en langue française disponible en OpenAcces (nous reviendrons sur cela plus tard)
Ainsi, quelques 850 périodiques sont maintenant disponibles en accès à partir d’un ordinateur, soit d’un poste au Cégep ou de la maison spar simple authentification.
33. L’alternative : les archives ouvertes
34. Archives ouvertesLa diffusion de la connaissance : l’auto-archivage L’OpenAcces se traduit par archives ouvertes ou accès ouvert. Bien que le mot archives nous semble un peu bizarre, il signifie ici les résultats ou les traces de la recherche conservés et en libre accès;
Deux objectifs : l’auto-archivage et des revues alternatives
L’auto-archivage : « en premier lieu, les savants ont besoin d'outils et d'assistance pour déposer leurs articles de revues à comité de lecture dans des archives électroniques ouvertes, une pratique communément appelée auto-archivage. Lorsque ces archives sont conformes aux standards définis par l'Open Archives Initiative, des moteurs de recherche et autres outils peuvent traiter des archives distinctes comme un seul et unique fonds d'archive. L'utilisateur n'a alors plus besoin de savoir quelle archive existe, ni où elle est localisée, pour accéder à son contenu et l'utiliser. »
http://web.archive.org/web/20070830174801/http://pages.globetrotter.net/charro/ephe/no_3/budapest.htm
35. Archives ouvertesDes revues alternatives Revues Alternatives : en second lieu, les savants ont besoin de moyens pour lancer une nouvelle génération de revues alternatives engagées dans le libre accès et pour aider les revues existantes qui choisissent d'opérer la transition vers l'accès libre. Puisque les articles de revues devraient être diffusés aussi largement que possible, ces nouveaux périodiques n'invoqueront plus le droit d'auteur pour restreindre l'accès et l'utilisation du matériel qu'ils publient. Puisque le prix constitue un obstacle à l'accès, ces nouvelles revues ne factureront pas l'abonnement ou l'accès, et se tourneront vers d'autres méthodes pour couvrir leurs frais. Il existe, pour cette fin, de nombreuses sources de financement alternatives, parmi lesquelles les institutions et les gouvernements qui financent la recherche, les universités et laboratoires qui emploient les chercheurs, les dotations allouées par discipline ou par institution, les amis de la cause du libre accès, les profits générés par la vente d'enrichissements apportés aux textes de base, les fonds libérés par la transformation ou la disparition des périodiques facturant un abonnement traditionnel ou un prix d'accès, voire les contributions des chercheurs eux-mêmes. Nul besoin de favoriser une solution plutôt qu'une autre pour toutes les disciplines et toutes les nations, ni d'arrêter de chercher de nouvelles alternatives originales.
36. Les archives ouvertesEn graphique
Source :
37. Archives ouvertesEn « réel » Auto-Archives depuis 2003 :
Au Québec (liste partielle)
38. Archives ouvertes Les universités canadiennes University of Alberta
University of British Columbia
Brock University
University of Calgary
Canada Institute for Scientific and Technical Information
Carleton University
Dalhousie University
University of Guelph
International Development Research Centre
University of Lethbridge
University of Manitoba
McMaster University
Memorial University of Newfoundland
Mount Saint Vincent University
University of New Brunswick
University of Ottawa
University of Prince Edward Island
Queen's University
University of Regina
Ryerson University
University of Saskatchewan ( ETDs / eCommons@USASK )
Simon Fraser University
University of Toronto
University of Victoria
University of Waterloo
University of Western Ontario
University of Windsor
University of Winnipeg
York University
39. Archives ouvertesDes répertoires Moteur de recherche :
DOAJ (7408 revues) (international)
ISIDORE (1 393 746 ressources) (Sciences humaines France)
Dépôts d’archives ouvertes
BioMedCentral (233 revues)
PLoS
FreeMedicalJournals
40. Archives ouvertesDes répertoires de répertoires OpenDOAR, Worldwide Directory of Open Access Repositories : + de 2 000 dépôts
Au Canada : Liste des dépôts institutionnels proposée par ABRC/CARL
Dans un autre ordre d’idées :
Un site britannique en voie de disparition :
INTUTE Ne sera plus disponible à l’été 2012.
41. En conclusion
42. L’impact du numérique Implique un changement important à la bibliothèque
La bibliothèque est un endroit de :
Acquisition - Accès - Archivage (conservation)
L’environnement numérique implique une tout autre approche :
Connexion – Contenu – Évaluation
La fusion des deux possibilités implique
Évaluation - Acquisition - Accès - Contenu – Connexion - Archivage –– Collaboration
Deux modèles économiques distincts qui, même fusionnés, obligent à une vigilance extrême.
43. Les implications à court terme Conservation des collections imprimées;
Si les collections imprimées sont remplacées par le numérique : s’assurer que nous sommes propriétaire du format numérique (modèle d’acquisition et non de location);
Proposer des espaces différents, mieux définis pour les besoins de la clientèle globale d’un cégep;
Que ces espaces soient pensés pour l’ensemble de la clientèle;
Que le financement assure le maintien de la qualité des ressources documentaires;
Il faut se souvenir que si les archives ouvertes peuvent répondre à une certaine demande, celles-ci ne sont pas gratuites. Il faut participer aussi au financement de ces ressources.
44.
BOOK