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Réussissez votre projet GMAO Vérités, contre-vérités et non-dits sur la GMAO. Conférence proposée par Jean-Pierre Vernier Ingénieur conseil, expert en maintenance. Présentée par Jacques-Hervé Bérard Directeur de We Love Industry. Malgré des réussites incontestables,
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Réussissez votre projet GMAO Vérités, contre-vérités et non-dits sur la GMAO Conférence proposée par Jean-Pierre Vernier Ingénieur conseil, expert en maintenance Présentée par Jacques-Hervé Bérard Directeur de We Love Industry
Malgré des réussites incontestables, le bilan des GMAO reste mitigé. Pourquoi ? Le bilan des GMAO est souvent décevant. Pourquoi ? • Une progression incontestable • L’apport de la GMAO est de plus en plus apprécié par les dirigeants. • Les logiciels se sont améliorés, en facilité d’utilisation comme en fonctionnalités proposées. • Les GMAO calquées sur les besoins du marché, donc des utilisateurs, sont devenues des standards de fait. • Parallèlement à l’amélioration des logiciels les règles de gestion ont évoluées.
Malgré des réussites incontestables, le bilan des GMAO reste mitigé. Pourquoi ? Le bilan des GMAO est souvent décevant. Pourquoi ? • Une progression incontestable • On distingue la nécessité du support technique et du support métier. • On fait le tri entre l’important… et le reste. • On s’adapte aux contraintes économiques.
Le bilan des GMAO est souvent décevant. Pourquoi ? Malgré des réussites incontestables, le bilan des GMAO reste mitigé. Pourquoi ? • Cependant… • Malgré la très forte progression de success stories il reste encore trop de projets en semi échecs. • Même avec des budgets très importants. Aujourd’hui, nous allons analyser ensemble les raisons les plus courantes qui conduisent à ces semi échecs. L’échec total est heureusement de plus en plus rare… Dans une prochaine conférence, nous présenterons les conditions à réunir pour garantir le succès de votre projet GMAO.
Le bilan des GMAO est souvent décevant. Pourquoi ? Malgré des réussites incontestables, le bilan des GMAO reste mitigé. Pourquoi ? • Quels sont les résultats attendus ? • Une optimisation de l’organisation des travaux • Une baisse des coûts de maintenance • Une meilleure maîtrise des budgets • Une diminution des pannes • Une mise en œuvre du préventif • Une optimisation des stocks et achats…
Malgré des réussites incontestables, le bilan des GMAO reste mitigé. Pourquoi ? • Que constate-t-on parfois au final ? • La GMAO procure plus de travail qu’avant. • Le projet est interminable (effet tunnel). • Déception et démotivation des équipes. • On ne parvient pas à démontrer les gains réellement dûs à la GMAO. • La GMAO ne concerne pas la maintenance mais seulement les financiers. • Coûts trop élevés ou budget trop faible. Quelles sont les causes de ces déceptions ?
Quelles sont les causes les plus courantesresponsables de l’échec d’un projet GMAO ? • Mauvais choix de logiciel • Cette cause d’insuccès est de plus en plus rare pour les logiciels spécialisés (avec le moins performant des logiciels on peut toujours obtenir quelques résultats). • Le logiciel est performant mais surdimensionné pour les objectifs fixés ou trop lourd. • Le logiciel a été imposé par le service informatique sur des critères essentiellement techniques qui ne prennent pas en compte les besoins réels des utilisateurs. • Sous estimation des interfaces à réaliser, à mettre au point et à maintenir.
Quelles sont les causes les plus courantesresponsables de l’échec d’un projet GMAO ? • Données inadaptées • Reprise de données polluées. • Codifications inadéquates. • Plans de préventif incomplets. • Problèmes de compétence technique pour créer les gammes, les plans de maintenance.
Quelles sont les causes les plus courantesresponsables de l’échec d’un projet GMAO ? • Architecture irréaliste • La gestion des stocks et des travaux de maintenance se fait sous 2 logiciels différents. • Il faut faire des copier/coller article par article pour préparer un OT. • Il faut imprimer des listes et les ressaisir dans un autre logiciel.
Quelles sont les causes les plus courantesresponsables de l’échec d’un projet GMAO ? • Absence de repères et d’indicateurs de performance fiables • Avant la GMAO, on n’avait pas d’indicateurs, on ne peut donc pas vraiment évaluer une amélioration. • Souvent les indicateurs ne sont pas pris en compte dans le projet ou on s’en préoccupe trop tardivement. • On s’aperçoit alors qu’ils ne sont pas disponibles pour les raisons suivantes : - Préparation insuffisante (pas de procédures, pas de consensus sur l’utilisation, incohérence des données…). - Défaut de paramétrage. - Utilisation incomplète du logiciel. - Manque de motivation des utilisateurs…
Quelles sont les causes les plus courantesresponsables de l’échec d’un projet GMAO ? • Objectifs du projet mal définis • Absence de tableaux de bord et d’indicateurs. • Absence d’organisation cible définie. • CDC insuffisant, insuffisance de préparation. • Les objectifs GMAO portent sur les moyens et pas assez sur les résultats. • On pense que tout va s’arranger en mettant à disposition un outil moderne.
Quelles sont les causes les plus courantesresponsables de l’échec d’un projet GMAO ? • Manque de motivation • Besoins des techniciens incompris. • Non dits bloquants. • Peur du flicage. • Crainte d’être jugé par les indicateurs. • Aspects humains divers et variés (@1)
Quelles sont les causes les plus courantesresponsables de l’échec d’un projet GMAO ? • Conduite du projet inadaptée • Projet délégué à un trop bas niveau. • Support de la Direction insuffisant. • Groupe de projet dépassé et impuissant. Au final, le projet reste limité ou pire, sombre dans la confusion.
Quelles sont les causes les plus courantesresponsables de l’échec d’un projet GMAO ? • Organisation cible mal définie • Pas de remise en cause des dysfonctionnement, des structures, de l’organisation. • Tout ceci se trouve amplifié par les contraintes du logiciel. • Persistance des cloisonnements, des mauvaises habitudes. • Pas de temps dégagé pour analyser les résultats, lancer des améliorations, changer l’organisation. • Il faut accepter un surcroit de travail ponctuel, ou externaliser temporairement un peu plus…
Quelles sont les causes les plus courantesresponsables de l’échec d’un projet GMAO ? • Le poids des « non-dits » • Ils se révèlent lors de la mise en œuvre de la GMAO. • Comportements occultes souvent incompatibles avec une bonne gestion. • Plusieurs causes sont possibles • Décisions inapplicables. • Mauvaises habitudes. • Incompétences inavouées. • Conservation du savoir faire. • Deux exemples types : • Le cas des réservations. (@2) • Le cas des codifications.
Quelles sont les causes les plus courantesresponsables de l’échec d’un projet GMAO ? • La relation avec l’éditeur du logiciel • Interprétations divergentes du contrat. • Interprétations divergentes du CDC. • Bugs non reconnus. • Relations humaines entre les intervenants. • Absence de PAQ.
Quelles sont les causes les plus courantesresponsables de l’échec d’un projet GMAO ? • Résultats inexploités • Pas d’analyses des comptes-rendus d’intervention. • Démotivation des équipes
Quelles sont les causes les plus courantesresponsables de l’échec d’un projet GMAO ? • Le cas des ERP • Boîtes à outils nécessitant un important paramétrage. • Nécessitent impérativement une définition de l’organisation cible par des procédures précises et détaillées. • Il faudra parfois prévoir des écrans spécifiques. • PAQ indispensable.
Réussissez votre projet GMAO Organisation Cahier des charges Achat Installation Mise en oeuvre Technique Organique Fonctionnel Achat Installation Mise en Œuvre 1 Mise en Œuvre 2 Mise en Œuvre 3 temps La conduite de projet
Réussissez votre projet GMAO • En conclusion La GMAO : • C’est un logiciel approprié. • C’est un projet d’organisation bien défini. • C’est un juste équilibre entre les aspects métiers et l’informatique. • C’est une utilisation régulière du logiciel avec des résultats exploités.
Notre prochain rendez-vous Mardi 21 avril 2009 à 11h00 Réussissez votre projet GMAO Les conditions du succès Conférence proposée par Jean-Pierre Vernier Ingénieur conseil, expert en maintenance vernierjp3@wanadoo.fr Présentée par Jacques-Hervé Bérard Directeur de We Love Industry jhb@weloveindustry.com