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Délégation pour la Planification. La coordination des politiques économiques en Europe. Un rapport d’évaluation qui examine trois questions : Quel est le degré de consensus sur la coordination des politiques économiques ?
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Délégation pour la Planification La coordination des politiques économiques en Europe Un rapport d’évaluation qui examine trois questions : Quel est le degré de consensus sur la coordination des politiques économiques ? La coordination des politiques économiques en Europe fonctionne-t-elle bien ? Pourquoi cette situation est-elle très préoccupante ?
II. La coordination des politiques économiques fonctionne-t-elle bien ? A - L’absence de coordination des politiques budgétaires conjoncturelles
B - Des politiques budgétaires très divergentes dans leur dimension structurelle Prélèvements obligatoires (% du PIB) Pour les prélèvements obligatoires,l’écart de l’ordre de 1,8 point en 2000 tangente désormais les 5 points.
B - Des politiques budgétaires très divergentes dans leur dimension structurelle Dépenses publiques totales, hors intérêts (% du PIB) Pour les dépenses publiques, l’écart est encore plus élevé, de l’ordre de 7 points de PIB, et est grandissant.
B - Des politiques budgétaires très divergentes dans leur dimension structurelle La concurrence fiscale
B - Des politiques budgétaires très divergentesdans leur dimension structurelle La concurrence fiscale L’imposition des sociétés
C - Le partage de la valeur ajoutée,des politiques antagonistes dominées par la désinflation compétitive Les coûts salariaux unitaires
III. Pourquoi cette situation est-elle préoccupante ? Les coûts de l’antagonisme Les déséquilibres s’accroissent en Europe
III. Pourquoi cette situation est-elle préoccupante ? Les coûts de l’antagonisme Une incoordination qui engendre une langueur économique aux effets durables Les politiques divergentes coûtent en croissance PIB par tête en Europe (en % de celui des États-Unis)
III. Pourquoi cette situation est-elle préoccupante ? • Des tendances qui heurtent les ambitions structurelles de l’Europe. « Au XXIe siècle, les pays qui gagneront ne seront pas ceux qui font la course sur les bas salaires mais sur les hautes qualifications ». Gordon Brown. « Devenir l’économie de la connaissance la plus compétitive et la plus dynamique du monde, capable d’une croissance économique durable accompagnée d’une amélioration quantitative et qualitative de l’emploi et d’une plus grande cohésion sociale, dans les respect de l’environnement ». Ambition de la Stratégie de Lisbonne.