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La Gazette littéraire Rédigée par les élèves du Collège du Mont des Princes, Seyssel. Numéro spécial consacré au Prix Littéraire des collégiens de Haute-Savoie , édition 2011 / 2012.
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La Gazette littéraire Rédigée par les élèves du Collège du Mont des Princes, Seyssel Numéro spécial consacré au Prix Littéraire des collégiens de Haute-Savoie, édition 2011 / 2012
J'ai beaucoup aimé ce livre, d'une part pour toutes les émotions que ressentent les personnages du livre, mais aussi par son côté comique, faisant souvent des clins d'oeil à des films ou à des séries connus. Lucie D.
A comme Alice, la petite soeur de Maxime, elle a 9 ans et demi et elle non plus ne voulait pas aller en Corse avec ses parents alors elle est allée en colonie avec sa meilleure amie. C comme Corse, c'est là où les parents de Maxime et Alice partent pour leurs vacances, où ils vont faire une grande randonnée. E comme Etienne, c'est un des infirmiers de l'hôpital Bicêtre qui s'est occupé de la grand-mère de Maxime. G comme GR-20, les parents sont partis sur cet itinéraire pour faire leur randonnée. H comme Hector, le prénom du chat bizarre de la grand-mère de Maxime. K comme Kremlin, c'est le quartier où la grand-mère de Maxime habite, c'est là où il va passer ses vacances et il va se passer des choses bizarres. L comme Lisette, le prénom de la grand-mère déjantée de Maxime. M comme Maxime, le personnage principal de l'histoire, il a 17 ans et il ne voulait pas aller en vacances en Corse avec ses parents alors il est resté chez sa grand-mère. O comme Ordinateur, Maxime a un ordinateur dans sa chambre chez sa grand-mère et il va passer la plupart de ses vacances dessus. P comme Pika, c'est le pseudo d'une fille avec laquelle Maxime parle tout le temps sur internet sur un réseau social. S comme SpaceBook, c'est le site où Maxime passe tout son temps et c'est le site où il a rencontré "Pika". V comme Vacances, le livre parle de vacances et surtout de celles de Maxime.Ava B.
Acomme Alabama car c'est une ville où Martin Luther King va souvent pour défendre les Noirs face à la ségrégation qu'ils subissent. I comme I Have a Dream (Je fais un rêve), tiré du discours de Martin Luther King, il disait qu' il espérait que un jour, en Alabama, les petits garçons et filles noirs et blancs pourraient enfin tous se prendre par la main comme frères et sœurs. Alexis D. Jcomme Je suis Un Homme car c'est le titre du livre mais ce slogan était aussi écrit sur les pancartes qui pendaient au cou des éboueurs grévistes fatigués d'être traités comme des chiens. K comme Kennedy car il était président des États Unis d'Amérique jusqu'au jour où il se fait assassiné le 22 Octobre 1963, à Dallas. L comme Liberté d'expression que les Noirs n' ont pas dans ce pays. M comme Martin Luther King car dans ce livre, c'est un personnage qui est pasteur et qui représente et défend les Noirs pour arrêter la ségrégation. N comme Noirs car les Noirs subissent le racisme depuis très longtemps mais grâce à Martin Luther King, ceci va s'arrêter. R comme Racisme car dans ce livre, les Noirs sont pris pour des humains différents des blancs. Ils doivent prendre un bus pour noirs, autre que celui des blancs, se font taper par les Blancs.. S comme Ségrégation car dans ce livre les Noirs veulent que cela s' arrête de façon rapide avec l'aide de Martin Luther King.
Acomme Amour :Mis à part le côté dur du récit, il y a eu quand même de l'amour entre Mike, personnage principal du roman, et Kate. De l'amour dans ce monde injuste où ils vivaient, entourés tous les deux par des parents très racistes ! Mais ils ont vécu une histoire d'amour passionnée, et ne faisaient pas attention au mépris qu'on leur a témoigné.Bcomme Blanc :Dans ce livre, certaines personnes blanches se croient supérieures, plus belles et plus fortes que les noirs, sous prétexte de leur couleur de peau justement. Et pour les autres personnes blanches et non-racistes, ils leur arrivent le même sort que les noirs parce qu'ils les soutiennent, au lieu de les haïr comme le font les autres.Mcomme Martin Luther King :Héros du roman, il s'est battu jour après jour pour défendre les noirs, les pauvres, pour faire part de ses idées, pour vouloir la liberté, l'égalité... Il s'est défendu et a défendu ses amis tout au long de sa vie, jusqu'au 4 avril 1968, le jour de son assassinat.Ncomme Noir :Parce qu'ils ont une autre couleur de peau, une autre "texture" de cheveux, etc, ils reçoivent des insultes, sont privés de droits et sont menacés par les racistes qu'ils croisent sur leur chemin.Avant, être noir, c'était dur ! Mais personne n'a baissé les bras et les noirs se sont battus chaque jour pour être libres.M. Clarisse Le billet vert correspond au livre préféré, le billet rose est utilisé quand le livre est en deuxième position et le billet jaune correspond au troisième livre.
Dans le livre «Je suis un homme, Martin Luther KING» Mike a grandi dans une famille qui détestait les noirs. Mais dès que Martin Luther King commence à faire ses discours, Mike se voit peu à peu changer et on peut le constater avec cet extrait : «A quinze ans j’ai participé à ma première bastonnade. Un noir avait bu dans une fontaine réservée aux blanc. On l’a poursuivi dans les rues, et on l’a rattrapé et on l’a tabassé jusqu'à ce qu’il perde connaissance». Ici on voit bien que dans son enfance (adolescence) il les frappait. Mais dès qu’il avoue cela à son père en disant : «Bon débarras» et qu’il vomit ensuite sur ses chaussures, on voit qu’il n’aimait tout de même pas leur faire trop de mal . Car il finira par épouser une noire et il pleure au moment où Martin Luther King est enterré, comme dans cet extrait : «Moi qui l’avais haï, je pleurais comme si je venais de perdre un membre de ma famille». On voit ici que son caractère a changé au cours de l’histoire. G. Stefan
B comme Burril. Burril est l'homme le plus sage du village à mes yeux. Il est aussi très robuste et aime beaucoup la montagne. Ccomme Contrebandier. Les contrebandiers sont cupides et insensibles, ils devraient tous être punis pour ce qu'ils font mais malheureusement il y a encore des contrebandiers sur terre, surtout en Afrique. E comme Ensemble. La planète d'où vient Nash fait partie de l'Ensemble. Mais aussi, Nash a appris à vivre en communauté avec les gens de Toy, sa nouvelle planète. G comme Gayandi. J'aimerais beaucoup entendre le son de cet instrument. I comme Ignorance. Sur Toy, il n'y a que les vogueurs qui connaissent vraiment la vérité. Les autres, par contre, ne savent pas, ils accordent toute leur confiance aux vogueurs et attendent patiemment leur majorité pour vraiment tout savoir. Je trouve cela très complexe. L comme Le bout du monde. Ce titre est très représentatif car, selon moi, Nash s'est écrasé sur la planète qui est côté de sa planète natale, mais il se sent tellement loin de chez lui, même s'il est juste à côté... M comme Montagne. La montagne est omniprésente dans ce livre, le paysage est magnifique sur une montagne. Mais elle peut aussi être très dangereuse et très instable. N comme Nash. Nash est le personnage principal. P comme Pensiane. Cette fleur est l'un des nombreux secrets de Tavarnia. C'est aussi un symbole d'amour envers ceux qui meurent. V comme Vogueur. Sur Toy, l'on devient vogueur à 18 ans, à sa majorité. On peut entrer dans le pays profond, ce qui vous donne un certain pouvoir, mais en en sortant on peut sombrer dans la folie et la démence si on réfléchit trop aux paroles données lors du voyage. C'est très dangereux. Coralie G. C'est l'histoire de Nash, il vit dans une ville sur une planète qui n'est plus respirable, sauf dans des bulles où se trouvent les villes, tout est sous contrôle... Sauf que parfois Nash avec quelques amis troublent cette vie monotone. Il va être expédié au camp des Explos, mais la navette s'écrase sur une planète sous-développée. Il va vivre une aventure extraordinaire... Avis de lecteurs : nous avons adoré ce livre car il mélange science-fiction et aventure, les ingrédients d'un bon livre !!! C. Thomas et L. Matthieu
Si c'était un végétal, ce serait une plante carnivore car au début du livre, Nash se renferme sur lui-même dès que quelque chose vient bouleverser son quotidien, alors qu'il rêve d'aventures . Si c'était un paysage, ce serait le pays profond qu'on ne découvre qu'à la fin du livre et qui regorge de mystères. Si c'était un sentiment, ce serait la peur, la peur de l'autre et de l'inconnu que Nash représente très bien au début du livre. Si c'était une couleur, ce serait le vert, la verdure magnifique du monde de Toy que Nash prend grand plaisir à découvrir. Si c'était un animal, ce serait un chat, méfiant au départ, puis qui, petit à petit, s'adoucit, car Nash a suivi le même parcours. Dans ce livre , j'ai beaucoup aimé le fait que le narrateur soit à la fois un personnage intérieur et extérieur à l'histoire, puisqu'on ne découvre qu'à la fin que c'est Mullowill qui raconte l'histoire . J'ai aussi beaucoup aimé les passages du "Bateau Ivre" d'Arthur Rimbaud, qui rajoutent un côté énigmatique à l'intrigue . Finalement, j'ai beaucoup aimé ce livre , même si certains passages de l'histoire m'ont paru un peu ... "faciles". B. Mathis SI L'AVENTURE NE VOUS FAIT PAS PEUR, DEFIEZ NASH ET LISEZ “LE BOUT DU MONDE” ! • Si c'était un animal, ce serait un chien de chasse, car ces animaux sont aventureux. • Si c'était un lieu, ce serait le “Futuroscope”, car le monde dans lequel vit Nash est futuriste. • Si c'était une matière, ce serait le métal, car il est beaucoup utilisé sur Ouranos. • Si c'était un jeu de société, ce seraient les échecs, car Nash ne devait surtout pas se faire piéger par l'ennemi. T. Caroline
Nous avons trouvé ce livre de Christophe Léon touchant et bouleversant. L'émotion qui se dégage de ce roman nous a poussé à réfléchir sur le sort de notre planète. En effet, les personnages sont attachants et nous aident à rentrer dans l'histoire. Nous l'avons aussi trouvé très triste et très sombre. Nous avons particulièrement apprécié la première histoire qui nous a fait monter les larmes aux yeux tant elle est profonde et bien écrite. Bref, ce livre nous a réellement plu ! J. Elisa L. Florie
« Le coeur est plus fort que la richesse »car Lilly veut retrouver sa famille à tout prix même si pour cela, elle sait qu'il lui faudrait abandonner son confort habituel. Si c'était une matière, ce serait la pierre, car ce livre parle du mur de Berlin. Si c'était un animal, ce serait une fourmi car une fourmi n'abandonne jamais (comme Lilly), même si tout est détruit, elle reconstruira. Si c'était un sentiment, ce serait l'espoir car Lilly a toujours su qu'elle arriverait un jour au but qu'elle s'était fixé, rejoindre sa famille de l'autre côté du mur. Si c'était un paysage, ce serait une plaine car il n'y a rien qui barre la route. Si c'était un moyen de transport, ce serait la mongolfière, car elle passe sans faire de bruit, discrètement (comme Lilly, également). J'ai beaucoup aimé ce livre car les personnages sont attachés à ceux qu'ils aiment, ils expriment leurs sentiments, ce qui permet de mieux comprendre l'histoire. Je trouve dommage d'avoir rappelé dans le résumé que le mur de Berlin tomberait le 9 novembre 1989 car à cause de cela on sait que, forcément, Lilly pourra retrouver sa famille. C'est une histoire touchante car elle est tirée d'une histoire vraie réadaptée par l'auteur. Camille C. Lilly est têtue : elle ne lâche jamais rien. Elle est intelligente parce qu'elle a réussi à franchir le mur d'Ouest en Est et elle est triste car elle a perdu ses parents. J'ai aimé ce livre car on peut se faire une idée sur la vie des familles séparées par le mur. J'ai aussi aimé ce retournement de situation au début, l'histoire est assez triste tandis qu'à la fin, tout le monde trouve son bonheur. B. Bartimée Ce roman est une formidable histoire qui parle d'une jeune fille qui se retrouve orpheline, et qui rencontre sa tante Léna à l'enterrement de sa mère. Depuis l'enterrement, Lily décide d'aller vivre chez sa tante Léna, une femme très attachante. Le seul problème, c'est que Léna vit de l'autre coté du mur de Berlin. C'est un périlleux voyage qui attend Lily... Cette histoire est très émouvante, et en même temps magnifique car elle se bat pour son bonheur jusqu'à la fin. Mais cette histoire est un peu longue au milieu. Sinon elle est très plaisante. Ophélie G. Alexandra P.
Ce roman nous a touché car il est très émouvant, même si certains chapitres nous ont semblé ennuyeux. Globalement, nous avons trouvé ce livre attachant et très agréable à la lecture. De plus, ce livre est formidablement bien écrit. Il nous est arrivé de ne plus pouvoir le lâcher et de rester dans notre coin à le lire. L. Sarah C. Cécile « Après la bataille, les retrouvailles. » Lilly s’est battue pour rejoindre sa tante dans l’Allemagne de l’Est, de l’autre côté du mur. Portrait chinois du mur de Berlin: Si c’était une matière, ce serait le béton parce que c’est une matière très dure et le mur était très dur à franchir. Si c’était un animal, ce serait un chien parce que le mur était gardé par des chiens de garde féroces. Si c’était un sentiment, ce serait la tristesse parce que le mur empêchait les gens de voir leur famille : il les rendait tristes. Si c’était une couleur, ce serait le gris parce que c’était la couleur du mur et cela rappelle la tristesse. Si c’était un moyen de transport, ce serait un char d’assaut parce que c’était un engin presque indestructible, comme le mur. J’ai beaucoup aimé ce livre car il y avait une bonne intrigue. On se demandait si Lilly allait réussir à franchir le mur pour rejoindre Léna. L’histoire était triste mais bien construite. Grâce à ce livre, j’ai appris plus de choses sur le mur qui séparait l’Allemagne et sa difficulté à le franchir. Je n’imaginais pas la vie aussi dure. Galanne CL L'héroïne est Lilly. Au début du livre elle est capricieuse et coléreuse : elle claque les portes, elle fait des réflexions méchantes, qu'elle ne pense pas vraiment, sur un ton méchant. Elle pleure facilement, elle s'énerve vite, elle cherche les conflits, elle n'arrive pas à se faire des amis. Progressivement dans l'histoire, elle retrouve sa famille (sa tante) et devient plus mûre, elle apprend à connaître sa cousine qui la détestait. Elle devient ouverte aux autres, elle se sent mieux et parle plus. Elle comprend qu'il n'y a pas qu'elle qui souffre et qu'il n'y a pas qu'elle qui a souffert. C. Lou-Eve
BASSY le 15 décembre 2011 Chère Anne Charlotte VOORHOEVE, Par la présente lettre, je voudrais vous faire part de mes idées et impressions au sujet de votre livre « Mes deux Allemagne ». «Mes deux Allemagne » est un roman plein de surprises, sensible et passionnant, car l’écriture est très claire, fluide et facile à lire. Ce livre pour jeunes rappelle la chute du Mur de Berlin entre l’Allemagne de l’Ouest et l’Allemagne de l’Est : «la RFA et la RDA». Cette séparation a marqué des générations à jamais. Des familles entières ont été déchirées. Elle a entraîné des dispersions douloureuses et parfois irrémédiables par ce mur de la honte, comme nous le voyons dans l'extrait suivant : «Tu délires ! S’est-elle affolée. Personne ne cherche à aller en RDA [...]. Certains préfèrent courir le risque de se faire descendre plutôt que rester sur place ! (p.145)». La situation de la jeune narratrice, Lilly Engehart, vivant à l’Ouest, est déjà bien difficile à cause de la mort de sa maman Rita, décédée d’un cancer, qui lui fait ressentir un vide considérable. Le roman insiste sur le côté émotionnel : «L’odeur qui flottait dans l’appartement m’a prise à la gorge[...] mais à la longue, il m’était devenu de plus en plus difficile de rester dans cet endroit qui me rappelait une existence à jamais révolue ! (p81)». La volonté irrémédiable de Lilly, sa force de caractère, ses déconvenues en arrivant dans sa famille traduisent une émotion intense : «L’appartement, la vente, le sac à main de maman ! (p. 128)», «Alertés par nos cris, Jan et Marc, les deux colocataires de Pascal que je connaissais déjà par ouï-dire sont intervenus (p.158)». Le passé douloureux qu’elle va découvrir petit à petit, son histoire si difficile nous fait encore plus ressentir le drame vécu par ces millions de familles allemandes coupées pendant toutes ces années «Il n’y avait rien à répondre à cela. J’étais ici et Léna, là-bas aussi inaccessible qu’auparavant (p.116)», «Maman s’est enfuie de RDA quand elle avait 19 ans». Dans votre roman, il y a la découverte réciproque de la tante Lena qui vient de l’Est, voir sa nièce Lilly pour l’enterrement de Rita. La séparation des deux personnages lors du départ de Lena est très difficile à accepter. Ce sont des scènes facilement imaginables. Après de telles épreuves, la jeune fille Lilly semble appliquée, attachante, elle qui poursuit son rêve de se reconstruire grâce à Pascal, le compagnon de sa mère, et à sa tutrice Mme Gubler. Quant à Meggi, elle l’entoure beaucoup par son écoute généreuse qui lui permet de se confier. Toute cette aventure donne à Lilly l’espoir, l’envie de vivre et de se battre. Ce récit se déroule comme un long retour en arrière, il est porteur d’un message d’espoir dans le changement et de courage. Ce livre est très émouvant et écrit avec une grande sensibilité. Très cordialement, Louis C.
Jérémy est gentil, il n'aime rien faire et en cours il est sage comme une image. Le père de Jérémy est courageux,fort et gentil. Il se bat contre sa maladie même , il perd ses cheveux par poignées et à la fin il gagne son combat. La mère de Jérémy est gentille, elle pense souvent à son enfance qui l'a tellement marquée. " la vie n'est pas toujours rose" Si Jérémy était un sentiment, ce serait l'amour parce qu'il est fou amoureux de Métilde Si le père de Jérémy était une qualité, ce serait le courage parce qu'il se bat contre sa maladie Si le père de Jérémy était un moyen de transport, ce serait un avion parce qu'il voyage à travers son petit carnet noir Si Jérémy était un végétal, ce serait un arbre parce que le noyer ne pousse pas depuis sa naissance et quand le petit bébé de sa soeur naît, l'arbre se met enfin à pousser Si Elisabeth était une qualité, ce serait l'intelligence parce qu'elle est brillante et elle a fait de longues études. Camille F Ce livre a été écrit par Orianne Charpentier, un auteur fantastique. Ce livre m'a beaucoup plu car il parle des problèmes d'un jeune de notre âge appelé Jérémy. Il parle de problèmes réels qu'il traverse avec ses proches. Il représente aussi un combat, un combat contre le cancer. C. Timothé Nous avons adoré Mauvaise Graine car il est facile à comprendre et à lire. L'histoire nous a plu car Jérémy a, à peu près le même âge que nous. Ce roman parle du mal-être des adolescents. L'histoire nous a également touché car son père se bat contre son cancer. Grâce à cet évènement Jérémy a finalement grandi. Un grand merci à Orianne Charpentier qui est venue rencontrer notre classe. Nous avons adoré cette rencontre ! Myriam B. Kilyann G. Ambre H.
Bonjour chers lecteurs. Aujourd’hui nous allons vous parler du roman d’Ahmed Kalouaz intitulé «Je préfère qu’ils me croient mort». Kounandi est un jeune africain pratiquant le football dans sa cité. Jusqu’au jour où un agent le repère. C’est la chance de sa vie ! Il va pouvoir partir en France pour devenir un grand footballeur et envoyer de l’argent à sa famille. Le jeune garçon voit déjà les foules qui l’acclament, la fierté de ses proches et la gloire éternelle. Mais ses rêves s’écroulent vite. Arrivé en France, Kounandi se retrouve rapidement rejeté, sans un sou. Loin de baisser les bras, il va essayer par tous les moyens de se faire recruter. Le livre est particulièrement émouvant et bouleversant car il nous raconte l'histoire qui est arrivée à un jeune africain. A travers Kounandi, nous avons pu nous rendre compte de tout ce que le football peut enlever à un jeune au lieu de lui apporter des valeurs telles que la solidarité et la tolérance. Cette histoire nous a ouvert les yeux sur un aspect sombre du monde du foot, où quelques élus partent avec l’espoir de devenir célèbres, pour finir dans la rue. L’aspect attachant de ce roman est sa forme triste qui vous donne la larme à l’œil. Par contre, ce qui est révoltant, c'est l’hypocrisie des recruteurs. Ils mettent dans la tête des parents des rêves de gloire. Ces derniers laisseront partir leur fils en finançant son voyage. Au final le recruteur ne soutiendra jamais l'enfant qui échoue. C’est à ce moment là que le titre prend tout son sens. Le jeune Kounandi a honte de revenir vers sa famille pour leur dire que tout l’argent investi par ses parents n’a servi à rien. Quentin R. Charly D
A comme Ahmed Kalouaz , car c'est l'auteur de ce roman passionnant. C comme Clandestin, car Kounandi est un clandestin quand il arrive en France. E comme Europe, car plein de jeunes vont en Europe pour être footballeurs professionnels. Mais ils finissent tous comme Kounandi. F comme Football, car il adore le foot. C'est sa passion. Il part en France pour faire " carrière " dans le Foot. I comme Italien, car c'est celui qui emmène Kounandi en France. C'est un menteur, un escroc. Il abandonne les jeunes qu'il emmène en France. Il demande trop d'argent. C'est un lâche. K comme Kounandi, car c'est le héros du roman. Il passe par plein d'étapes pour essayer enfin arriver dans un club , mais cela ne marche pas. N comme Nom, car il doit changer de nom pour paraître français aux yeux des autres. P comme Palace, car c'est là que le héros va dormir à la suite de son arrivée en France. V comme Vitesse, car il ne va pas assez vite. C'est ce qu'on le lui reproche le plus souvent. V comme Vert, car le héros rêve de jouer sur une pelouse bien verte. Marine D. Kounandi est excité à l'idée d'aller en France pour pouvoir jouer au football, gagner de l'argent et pouvoir en envoyer à ses parents mais arrivé en France kounandi voit son rêve partir... Il devient triste car il est rejeté par tout le monde et il n'a pas de sous pour se payer quoi que ce soit. Mais Kounandi ne perd pas espoir. Il va jouer dans des stades pas très connus, mais au moins plus il joue et plus il regagne de l'espoir. Kounandi garde sa fierté tout au long de l'histoire et il préfère que l'on croit qu'il soit mort plutôt que l'on sache ce qu'il fait réellement. H. Alexandre
Inscrits au Prix Littéraire des Collégiens de Haute-Savoie, les élèves de 4A, de 4E et ceux du Club Lecture 3e du collège du Mont des Princes à Seyssel ont rencontré Patrice Favaro pour son livre Mahout. Mardi matin, à la fois intimidés et enthousiastes, les élèves ont rencontré Patrice Favaro. Au préalable ils ont lu l'ouvrage puis ont travaillé sur différents sujets, tous en lien avec l'Inde : être une femme, l'alimentation, les castes, le travail des enfants, se déplacer... Ce fut un moment d'immersion dans un monde bien éloigné de leur quotidien. Les élèves ont ensuite réalisé des affiches. Patrice Favaro a aussi préparé sa venue pour expliquer comment il écrit. Il a découvert l'Inde il y a 20 ans, dans le cadre d'un projet humanitaire. Ce voyage a été difficile, son contact avec le pays a été rude. Mais de retour en France, c'est la nostalgie. Depuis, ses voyages sont réguliers. L'Inde : pays de liens, pays d'émotions, pays de contrastes. Lors de ces voyages, il photographie, il note, toujours curieux et soucieux de comprendre pourquoi telle chose se passe ainsi. De cette réalité, il crée des personnages puis prête sa voix à ceux qui n'en ont pas. Une écriture sincère, qui ne triche pas, pour un roman de reportage. Et son roman Mahout permet alors de comprendre la condition des éléphants, celle des mahouts (le métier le plus dangereux au monde) et les relations de violence qui existent entre l'homme et l'animal. Cette rencontre autour du livre a été formidable et riche, un moment marquant qui emmène les élèves vers la réflexion, un temps d'ouverture sur le monde, sur l'autre !
A comme Ashoka : qui était le maître de Sid, il a été comme un père pour lui. Il l’a connu quand Sid est arrivé au « Rejuvenation Camp », Ashoka a un cœur énorme, il dresse les éléphants avec passion et amour. A comme amitié : «Amitié», car au début du roman Sid a eu un véritable ami : Lakshmana. qui l’a aidé et a été un soutien pour lui au camp d’Ashraf (Ashraf est un homme sans pitié ). C comme courageux : car Sid est courageux. Il a vécu des événements durs, comme au camp d’Ashraf quand Vigai a essayé de le violer. D comme disparition : car Rajendra a disparu. Sid l’a volé ou lui a rendu sa liberté, puis ils sont allés à la rivière Kaveri. E comme espérance : les éléphants espèrent retrouver leur liberté et les mahouts espèrent gagner plus d’argent. Les mahouts et les éléphants espèrent avoir une meilleure vie. E comme éléphant : Les éléphants sont, pour certains, privés de leur liberté et sont placés dans des camps. Ils font partie des choses les plus importantes de l’histoire. I comme Inde : l’Inde est le pays où se déroule l’histoire. Dans ce pays, ce qui ressort de l’histoire est qu’il y a une distinction sociale entre les personnes les plus pauvres d’un côté et de l’autre les plus riches. Quand on est né dans une de ces castes, on y reste pour toujours. L comme liberté : les éléphants ont perdu leur liberté quand ils se sont fait capturer. Ils sont considérés comme des objets. M comme Mahout : les mahouts sont ceux qui s’occupent des éléphants et les dressent. Certains se servent de l’ankus et qui blessent les éléphants avec, et d’autres (comme Ashoka) utilisent l’amour, la patience ainsi que la passion. M comme maltraitance : Il y a beaucoup de maltraitance dans ce livre envers les éléphants et aussi envers les apprentis (par exemple Sid et Lakshmana ont passé plusieurs nuits dehors, dans le froid, pour surveiller les animaux). M comme muet : Sid est muet au départ depuis un événement l’ayant marqué : depuis qu’un jour, lui et sa sœur ont croisé un homme saoûl, qui lui a dit des mots dégoûtants et a mis une main sur elle, puis elle a sorti une courte serpe, lui a fait une marque sur la joue, mais l’homme en reculant est tombé du pont, on ne sait pas s'il est mort, car son corps a disparu. Il reparle lorsqu'il se trouve au camp « Rejuvenation Camp ». P comme Priya : Elle a joué un rôle important pour le destin de Sid après le camp « Rejuvenation Camp » , puis après de nombreuses années , elle l’a retrouvé. T comme Trishur : C’est grâce à lui si Sid et Lakshmana ont pu partir du camp d’Ashraf. Après avoir tué Rajkumar, Trishur (un éléphant) se fait tuer par un véhicule. Lakshmana et Sid prennent donc la décision de partir. V comme Voyage : Au cours du récit, Sid va dans des endroits différents , il fait comme des voyages : il est tout d’abord au terrible camp d’Ashraf, puis il va au « Rejuvenation Camp » dirigé par le professeur Paresh (père de Priya) où il passe un bon séjour et où il apprend beaucoup, puis il devient l’élève d’Ashoka , après la mort de celui-ci, il part vers une rivière sacrée, puis enfin il va travailler avec Priya, avec les éléphants. DS Mélanie
Les productions des élèves de Troisième qui participaient au Club Lecture Et encore de nombreux travaux... Merci aux élèves et à leurs professeurs pour toutes les productions, toutes ne peuvent être présentées sur le diaporama. Merci aux organisateurs et aux financeurs qui oeuvrent pour ce Prix Littéraire depuis de nombreuses années. Les votes de tous les élèves : une participation haute en couleur !