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CIDDIST. de Basse-Bretagne. VHC en 2014: que dire au patient VIH?. COREVIH2014. Luc de Saint-Martin. VHC: RR VIH:*10, VHB:*0,1. Hépatite aigue: 3%. VHC: 3%. Hépatite chronique: 80%. Vascularite PCT Thrombopénie. Cytolyse. Cirrhose: 10%. CHC: 3%. IHC: 4%/an. Décès: 10%.
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CIDDIST de Basse-Bretagne VHCen 2014: que dire au patient VIH? COREVIH2014 Luc de Saint-Martin
VHC: RR VIH:*10, VHB:*0,1 Hépatite aigue: 3% VHC: 3% Hépatite chronique: 80% Vascularite PCT Thrombopénie Cytolyse Cirrhose: 10% CHC: 3% IHC: 4%/an Décès: 10%
80% HCV lié IVUD A HIV Aborigène: 3.6% canadien 8% HIV 75% liés à IDU donc 90% de co-infection Femme aborigène: RR 20! Mais pas seulement chez les IDU: 25.1 chez les aborigènes vs 16% Sexe transmission: 1/190000 rapports sexuels Sauf MSM Lésion génitale: anal sex, IST CV (co-infection) VHC Aigue: VIH- 0.166 100 personnes/an VIH+ 0.537 100 personnes/an RR: 3.2
HIV+ évolus plus vite: RR Cirrhose: 2.49 (1.81-3.42) si non traité 1.72 (1.06-2.80) si HAART Evolution : 6 fois plus rapide Décompensation et déces: RR 6 CHC: 1.32/1000 patients-an HIV+VHC vs 0.2 HIV seul Maladie du foie: 14% des déces chez le VIH 2eme place Dynamique: 1.5% en 1995 à 17% en 2005 80% VHC IL28B: accélère et baisse de 20 à 30% le réponse Cirrhose: 15% de perte d’efficacité des tt Type sous-type1 Polymorphisme Q80K
IL28B Q80K …
Recos: coinfectés <500cd4: HAART >500 haart si tt VHC non faisable MSM: transa/6mois, seroVHC/an En cout efficacité: ok si incidence<1.25/100 personnes-année au dessus: transa/3mois 2026 canada conséquences VHC IVUD 210 millions$ canadien/an
« Le coût des médicaments anti-hépatite C fait débat » La Croix C’est ce que titre La Croix, qui observe sur une page qu’« une conférence internationale, qui démarre ce matin à Londres, sera l’occasion de débattre du coût des nouveaux médicaments contre l’hépatite C ». Le journal rappelle qu’« en France, un traitement de 12 semaines assurant la guérison dans plus de 90% des cas est remboursé à hauteur de 56.000 €. Au nom du réalisme budgétaire, certains médecins estiment qu’il faut traiter uniquement les patients les plus sévèrement atteints. D’autres affirment que traiter tout le monde permettrait d’éradiquer la maladie ».La Croix interroge Victor de Ledinghen, professeur d’hépatologie au CHU de Bordeaux, qui remarque que « c’est un débat d’une importance fondamentale. Pour la première fois dans l’histoire, nous avons la possibilité d’éradiquer une maladie chronique mortelle. A condition bien sûr de s’en donner les moyens ». De son côté, le Pr Yazdan Yazdanpanah, chef du service des maladies infectieuses et tropicales de l’hôpital Bichat à Paris, déclare qu’« un médecin ne doit jamais se laisser guider par le seul critère économique. Mais il est impossible de faire totalement abstraction de cette question du prix. […] On est bien obligé d’établir des priorités et de proposer ces molécules aux patients les plus sévèrement atteints. Pour les autres, on peut se donner les moyens d’attendre et de voir si l’infection évolue avant de traiter ». Patrick Favrel, porte-parole de l’association SOS Hépatites, observe quant à lui que « ces dernières semaines, il y a eu une forte médiatisation autour de ces nouveaux traitements. Fort logiquement, beaucoup de patients demandent à y avoir accès et ne comprennent pas pourquoi on le leur refuse alors que leur guérison est en jeu ».La Croix indique qu’à l’occasion de cette conférence, « Médecins du monde va réclamer un «accès universel» à ces médicaments ». Chloé Forette, membre de l’ONG, déclare qu’« en attendant que soient développés des génériques, il faut que les laboratoires baissent leurs prix ».
CIDDIST de Basse-Bretagne VHCen 2014: que dire au patient VIH? COREVIH2014 Luc de Saint-Martin