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« déconnade » 2008. Les poésies d’aujourd’hui, Les poésies de l’amour et du plaisir, Les poésies de notre temps. La nature est belle, elle nous donne, elle nous aime !. Alors… nous devons aimer notre vie jusqu’à en mourir. Un moment de rêve.
E N D
Les poésies d’aujourd’hui, Les poésies de l’amour et du plaisir, Les poésies de notre temps.
La nature est belle, elle nous donne, elle nous aime ! Alors… nous devons aimer notre vie jusqu’à en mourir
Dans ce crépuscule de cette journée ensoleillée et naissante, Au milieu de la nature ou scintillent, chantant les premiers rayons, Les petites gouttes de rosées, diamants d’un mâtin de printemps, Voila venir, cheminant, mon image de rêve , au bout du layon.
C’est un image, une forme fluide, limpide, insaisissable, A travers cette brume, nourriture de la vie, comme étrange, C’est une ombre joyeuse, dansante, flottante comme un ange, De mon cœur, c’est elle, mais dans sa pensée, impénétrable.
Dans ce mâtin, doux réveil des petites vies cachées, Dans tous ces cris, mélangés, crie d’un destin qui a faim, Dans ce théâtre d’ombres, j’ai cru reconnaître ce que j’ai pleuré, Celle que j’ai tant aimé, celle qui part et me tend la main.
Une douce forme, voguant au gré de la brise matinale, Qui me prie : viens mon ami !lève la main et fuit en courant. C’est la larme d’amour, qui coule, symbole libidinal, Pour un cri d’amour, tendre, c’est une peur, un tremblement.
J’ai cru à ce rêve, cette pensée, image ineffaçable Je lui dis, pour que l’espace s’ouvre,« je t’aime ! », Elle savoure, souris, observe et tourne la tête. Triste, ce n’était qu’une apparition, ce n’était que du sable.
J’ai cru te voir, te toucher, j’ai cru devoir t’aimer, Ce n’était qu’une forme, que la nature voulu consentir, Mais pour tout dire de ce rêve, je n’ai rien à regretter, Car j’ai vu dans tes yeux, un désir, celui de revenir.
Je ne sais, cher rêve, si d’une vie, tu reparaitras, Je l’espère, très vite, bientôt, peut-être demain, Pourtant, ce n’était qu’un rêve, merveilleux mais cruel, Et ton souvenir, dans le temps, s’efface et disparaît.
Et… L’espace s’est ouvert … … Elle est revenue ! Texte de : Didlan Musique : Bilitis Laï poesies-en-provence@hotmail.fr
FIN. mais à suivre….