230 likes | 240 Views
La tentation est grande de traiter l’information comme de la data qu’on peut mettre dans plusieurs tuyaux et de considérer le journaliste comme un homme orchestre qui peut retranscrire l’information en texte, son, vidéo, flux RSS pour tous les canaux simultanément ? Et ceci alors que l’information, dans un monde complexe et en mouvement rapide, est au cœur de toutes nos décisions, de nos actions, et qu’elle attise les convoitises de ceux qui peuvent avoir intérêts à manipuler l’opinion où influencer le comportement des masses : politiques, industriels, publicitaires… Comment augmenter la valeur perçue de l’information pour que l‘écosystème de l’information soit pleinement viable pour toutes les parties prenantes les médias, les journalistes, les lecteurs et les annonceurs ? Le danger vient non moins de la presse gratuite d'information qui attire les lecteurs qui n'ont jamais été tentés par le payant, que par le Web. En effet, l 'information émanant du Web est gratuite, claire, immédiate, efficace, mise en images et en vidéo, on demand. Elle se diffuse à chaque seconde, en même temps que l'évènement qui la fait, en même temps que l ‘événement qui se déroule. Et c’est sans compter sans les autres médias…la TV et la radio… Jusqu’alors la presse faisait particulièrement autorité face à d’autres grands médias comme la télévision ou la radio. Mais les gens ont accès à de plus en plus de sources ultra ciblées, que ce soient des médias presse, la télé…là ou ils veulent, quand ils veulent. De plus, tout le monde aujourd’hui peut devenir producteur de contenu, Journaliste amateur ou spectateur ou simple commentateur et diffuser via les plateformes de blogging ou micro-blogging. Il faut se rendre à l’évidence : l’information n’est plus maîtrisable et maîtrisée. Nous assistons à la montée d’un besoin grandissant de filtrage, de hiérarchisation et de simplification de l’information. Il va falloir s’organiser. Alors que le web devient un grand lieu de conversation : sous les articles, entre les gens dans les réseaux sociaux, dans google… Et que les contenus ne sont plus solidaires des supports médias : on tape une requête et on tombe par hasard sur le site d’un titre de presse, ou sur un extrait d’un article d’un titre de presse sur un autre site. Il est vital que les titres de presse deviennent des marques médias fortes avec une charte éditoriale claire, un contrat de lecture approprié, un style et des valeurs propres et uniques. De plus, ils doivent servir mieux encore des communautés choisies afin de redevenir « leur journal » en adoptant un posture intra communautaire (type «la voix du nord ou psychologies) ou inter communautaire (type package le monde new york times). Ainsi, une dernière question évidente: comment communiquer une information ?
E N D
Valeur De L information Dans la Presse Ecrite Part 2 PARTIE 2 NOUVEAUX SYSTEMES D’ORGANISATION DE L’INFORMATION Photo:svegi.k
PLAN PARTIE 2 Section 1- Réorganiser les médias pour leur faire passer le cap du digital Section 2- Valoriser les contenus a travers la marque média, le rich média, en fonction des supports ou du contexte d’utilisation Section 3- Réorganiser les comités de rédaction pour leur permettre de s’adapter aux nouvelles conditions de collecte, de traitement et de diffusion de l’information. PLAN PARTIE 2 Section 1- Réorganiser les médias pour leur faire passer le cap du digital Section 2- Valoriser les contenus a travers la marque média, le rich média, en fonction des supports ou du contexte d’utilisation Section 3- Réorganiser les comités de rédaction pour leur permettre de s’adapter aux nouvelles conditions de collecte, de traitement et de diffusion de l’information.
Section 1 Réorganiser les médias pour leur faire passer le cap du digital 1-1 Comment les medias peuvent se réorganiser a l’heure du participatif : du contrat de lecture au contrat d’écriture. 1-2 Reorganiser les organes de presse pour leur permettre de s’adapter aux nouvelles conditions de collecte, de traitement et de diffusion de l’information. 1-3 Organisation générale des espaces offrant de l’information journalistique sur l’Internet. 1-4 Quelle est la politique de blogs des médias en ligne généralistes ? Photo: Netrace Section 1 Réorganiser les médias pour leur faire passer le cap du digital 1-1 Comment les medias peuvent se réorganiser a l’heure du participatif : du contrat de lecture au contrat d’écriture. 1-2 Reorganiser les organes de presse pour leur permettre de s’adapter aux nouvelles conditions de collecte, de traitement et de diffusion de l’information. 1-3 Organisation générale des espaces offrant de l’information journalistique sur l’Internet. 1-4 Quelle est la politique de blogs des médias en ligne généralistes ? Photo: Netrace
Photo: Netrace 1-1 Comment les medias peuvent se réorganiser a l’heure du participatif : du contrat de lecture au contrat d’écriture. Jean Maxence Granier, directeur et fondateur de Think Out. Photo: Netrace 1-1 Comment les medias peuvent se réorganiser a l’heure du participatif : du contrat de lecture au contrat d’écriture. Jean Maxence Granier, directeur et fondateur de Think Out.
Deux paradigmes de communication distincts La mise à disposition d’informations sous forme mass-médiatique s’inscrit dans le paradigme de l’échange économique direct (vendeur/acheteur) et indirect (support/annonceur/consommateur). Ce dispositif s’inscrit clairement dans l’espace public. Ce dispositif distingue d’une part des entreprises et des institutions spécialisées dans la production d’informations et d’autre part des publics intéressés par ces mêmes informations. La conversation comme échange informel d’informations s’inscrit au contraire dans le paradigme du troc, de l’échange réciproque dans lequel chacun espère trouver en l’autre de l’information utile. Elle relève plutôt a priori de l’espace privé ou non public. Le paradigme conversationnel renvoie plutôt à une forme d’économie informelle même si certaines conversations sont tarifées, comme celles que l’on peut avoir avec son psy ou son avocat. Les nouvelles formes numériques de l’offre média traditionnelle et des conversations en ligne font désormais s’interpénétrer étroitement ces deux logiques et brouillent les lignes. Comment dès lors donner de la valeur à ces nouvelles conversations numériques qui s’articulent avec des contenus médiatiques traditionnels ? 1-1 Comment les medias peuvent se réorganiser a l’heure du participatif : du contrat de lecture au contrat d’écriture. Deux paradigmes de communication distincts La mise à disposition d’informations sous forme mass-médiatique s’inscrit dans le paradigme de l’échange économique direct (vendeur/acheteur) et indirect (support/annonceur/consommateur). Ce dispositif s’inscrit clairement dans l’espace public. Ce dispositif distingue d’une part des entreprises et des institutions spécialisées dans la production d’informations et d’autre part des publics intéressés par ces mêmes informations. La conversation comme échange informel d’informations s’inscrit au contraire dans le paradigme du troc, de l’échange réciproque dans lequel chacun espère trouver en l’autre de l’information utile. Elle relève plutôt a priori de l’espace privé ou non public. Le paradigme conversationnel renvoie plutôt à une forme d’économie informelle même si certaines conversations sont tarifées, comme celles que l’on peut avoir avec son psy ou son avocat. Les nouvelles formes numériques de l’offre média traditionnelle et des conversations en ligne font désormais s’interpénétrer étroitement ces deux logiques et brouillent les lignes. Comment dès lors donner de la valeur à ces nouvelles conversations numériques qui s’articulent avec des contenus médiatiques traditionnels ? 1-1 Comment les medias peuvent se réorganiser a l’heure du participatif : du contrat de lecture au contrat d’écriture.
<ul><li>Une complexification du modèle d’échange d’informations </li></ul><ul><li>Aujourd’hui, une vaste injonction globale, sur le mode du «il faut participer », pose à la fois la question de la valeur même de ce nouveau type de contenu et celle des distinctions à opérer au sein de cette nouvelle dimension participative </li></ul><ul><li>- Entre échanges au sein des publics (échanges horizontaux) et échanges entre les médias et leurs publics (échanges verticaux) </li></ul><ul><li>- Entre bénéfices pour ceux qui entrent en conversation et bénéfices pour les publics « passifs » de ces conversations numériques qui jouissent d’une diffusion massive et deviennent potentiellement publiques </li></ul>1-1 Comment les medias peuvent se réorganiser a l’heure du participatif : du contrat de lecture au contrat d’écriture. <ul><li>Une complexification du modèle d’échange d’informations </li></ul><ul><li>Aujourd’hui, une vaste injonction globale, sur le mode du «il faut participer », pose à la fois la question de la valeur même de ce nouveau type de contenu et celle des distinctions à opérer au sein de cette nouvelle dimension participative </li></ul><ul><li>- Entre échanges au sein des publics (échanges horizontaux) et échanges entre les médias et leurs publics (échanges verticaux) </li></ul><ul><li>- Entre bénéfices pour ceux qui entrent en conversation et bénéfices pour les publics « passifs » de ces conversations numériques qui jouissent d’une diffusion massive et deviennent potentiellement publiques </li></ul>1-1 Comment les medias peuvent se réorganiser a l’heure du participatif : du contrat de lecture au contrat d’écriture.
<ul><li>Un reploiement da la question de la valeur de l’information </li></ul><ul><li>Ces nouveaux espaces conversationnels (réseaux sociaux, communauté, espaces d’échange de toute nature) sont valorisables sous forme d’audience pour les annonceurs au même titre que les médias traditionnels, même si la logique du troc et de l’espace privé suscite des résistances fortes dans ce domaine (cf. Facebook) </li></ul><ul><li>Pour les utilisateurs eux-mêmes, la valeur de ces espaces est à la fois liée aux relations qu’ils rendent possibles (lien, reconnaissance, appartenance, mise en contact) et au contenu de ces relations (partage d’informations, etc.) </li></ul><ul><li>De fait, ces nouveaux espaces produisent de nouveaux contenus (UGC) que l’on peut valoriser par diverses opérations : indexation, vérification, sélection, synthèse, etc. </li></ul><ul><li>Émerge donc un nouveau savoir-faire médiatique qui consiste à motiver, organiser et valoriser la parole produite par les publics participatifs et les communautés associées aux médias. </li></ul>1-1 Comment les medias peuvent se réorganiser a l’heure du participatif : du contrat de lecture au contrat d’écriture. <ul><li>Un reploiement da la question de la valeur de l’information </li></ul><ul><li>Ces nouveaux espaces conversationnels (réseaux sociaux, communauté, espaces d’échange de toute nature) sont valorisables sous forme d’audience pour les annonceurs au même titre que les médias traditionnels, même si la logique du troc et de l’espace privé suscite des résistances fortes dans ce domaine (cf. Facebook) </li></ul><ul><li>Pour les utilisateurs eux-mêmes, la valeur de ces espaces est à la fois liée aux relations qu’ils rendent possibles (lien, reconnaissance, appartenance, mise en contact) et au contenu de ces relations (partage d’informations, etc.) </li></ul><ul><li>De fait, ces nouveaux espaces produisent de nouveaux contenus (UGC) que l’on peut valoriser par diverses opérations : indexation, vérification, sélection, synthèse, etc. </li></ul><ul><li>Émerge donc un nouveau savoir-faire médiatique qui consiste à motiver, organiser et valoriser la parole produite par les publics participatifs et les communautés associées aux médias. </li></ul>1-1 Comment les medias peuvent se réorganiser a l’heure du participatif : du contrat de lecture au contrat d’écriture.
<ul><li>Un reploiement de la question de la valeur de l’information </li></ul><ul><li>Ces nouveaux espaces conversationnels (réseaux sociaux, communauté, espaces d’échange de toute nature) sont valorisables sous forme d’audience pour les annonceurs au même titre que les médias traditionnels, même si la logique du troc et de l’espace privé suscite des résistances fortes dans ce domaine (cf. Facebook) </li></ul><ul><li>Pour les utilisateurs eux-mêmes, la valeur de ces espaces est à la fois liée aux relations qu’ils rendent possibles (lien, reconnaissance, appartenance, mise en contact) et au contenu de ces relations (partage d’informations, etc.) </li></ul><ul><li>De fait, ces nouveaux espaces produisent de nouveaux contenus (UGC) que l’on peut valoriser par diverses opérations : indexation, vérification, sélection, synthèse, etc. </li></ul><ul><li>Émerge donc un nouveau savoir-faire médiatique qui consiste à motiver, organiser et valoriser la parole produite par les publics participatifs et les communautés associées aux médias. </li></ul>1-1 Comment les medias peuvent se réorganiser a l’heure du participatif : du contrat de lecture au contrat d’écriture. <ul><li>Un reploiement de la question de la valeur de l’information </li></ul><ul><li>Ces nouveaux espaces conversationnels (réseaux sociaux, communauté, espaces d’échange de toute nature) sont valorisables sous forme d’audience pour les annonceurs au même titre que les médias traditionnels, même si la logique du troc et de l’espace privé suscite des résistances fortes dans ce domaine (cf. Facebook) </li></ul><ul><li>Pour les utilisateurs eux-mêmes, la valeur de ces espaces est à la fois liée aux relations qu’ils rendent possibles (lien, reconnaissance, appartenance, mise en contact) et au contenu de ces relations (partage d’informations, etc.) </li></ul><ul><li>De fait, ces nouveaux espaces produisent de nouveaux contenus (UGC) que l’on peut valoriser par diverses opérations : indexation, vérification, sélection, synthèse, etc. </li></ul><ul><li>Émerge donc un nouveau savoir-faire médiatique qui consiste à motiver, organiser et valoriser la parole produite par les publics participatifs et les communautés associées aux médias. </li></ul>1-1 Comment les medias peuvent se réorganiser a l’heure du participatif : du contrat de lecture au contrat d’écriture.
1-2 Une réorganisation en fonction de la provenance de l’information : journalistes, internautes ou prestataires externes Julien Jacob, Directeur général Cnet Networks France. 1-2 Une réorganisation en fonction de la provenance de l’information : journalistes, internautes ou prestataires externes Julien Jacob, Directeur général Cnet Networks France.
. Y aurait-il une pyramide de Maslow de la consommation d’information? 1-2 Une réorganisation en fonction de la provenance de l’information : journalistes, internautes ou prestataires externes .
. Une nouvelle segmentation de l’offre? 1-2 Une réorganisation en fonction de la provenance de l’information : journalistes, internautes ou prestataires externes .
. Et demain? 1-2 Une réorganisation en fonction de la provenance de l’information : journalistes, internautes ou prestataires externes
. Remise en question de la chaine de valeur 1-2 Une réorganisation en fonction de la provenance de l’information : journalistes, internautes ou prestataires externes .
. Des motivations différentes envers l’information (1) 1-2 Une réorganisation en fonction de la provenance de l’information : journalistes, internautes ou prestataires externes .
. Des motivations différentes envers l’information (2) 1-2 Une réorganisation en fonction de la provenance de l’information : journalistes, internautes ou prestataires externes
. L’offre dans l’information 1-2 Une réorganisation en fonction de la provenance de l’information : journalistes, internautes ou prestataires externes
. Que faire? 1-2 Une réorganisation en fonction de la provenance de l’information : journalistes, internautes ou prestataires externes .
. 1-3 Organisation générale des espaces offrant de l’information journalistique sur l’Internet. Franck Rebilliard, professeur Université Lyon .
. <ul><li>Nous avons identifié une multitude d’espaces offrant de l’information journalistique sur l’Internet. </li></ul><ul><li>Nous pouvons les ranger en sept catégories : </li></ul><ul><li>Versions Internet de médias existants (presse en ligne) </li></ul><ul><li>-Versions Internet d’agences de presse (agences de presse en ligne) </li></ul><ul><li>-Publications exclusivement Internet (webzines) </li></ul><ul><li>Publications – individuelles – exclusivement Internet (blogs) </li></ul><ul><li>-Composantes informationnelles de plateformes multiservices (portails) </li></ul><ul><li>-Regroupements automatisés d’informations d’actualités (agrégateurs) </li></ul><ul><li>-Services documentaires d’archives journalistiques (bases d’archives) </li></ul>1-3 Organisation générale des espaces offrant de l’information journalistique sur l’Internet.
. Des lieux de diffusion multiples : les versions Internet de médias existants ( presse en ligne ) Regroupés sous l’appellation presse en ligne parce qu’il s’agissait au départ très majoritairement d’extensions de journaux imprimés (ex : www.lemonde.fr), alors qu’ils peuvent également être des compléments de chaînes de télévision (ex : www.tf1.fr) ou de stations de radio (ex : www.radio-france.com), ces sites web proposent des contenus très proches de leurs médias d’origine et selon un mode de diffusion « vertical » somme toute très classique. 1-3 Organisation générale des espaces offrant de l’information journalistique sur l’Internet.
. Des lieux de diffusion multiples : les versions Internet d’agences de presse ( agences de presse en ligne ) Pouvant être considérée comme une sous-catégorie de la précédente, puisqu’elle abrite aussi des déclinaisons numériques d’un organe d’informations déjà existant (en l’occurrence, l’agence de presse), elle s’en distingue cependant sur deux points. Avec l’Internet, les agences de presse ont d’une part la possibilité de s’adresser directement aux consommateurs finaux de l’information (cette possibilité de « sauter » un échelon dans la filière journalistique n’a toutefois pas été complètement exploitée) et ont d’autre part tendance à fournir un contenu beaucoup plus thématisé, suivant en cela une évolution déjà antérieure vers la spécialisation de l’information (ex : l’information économique et financière comme spécialité de www.reuters.fr). 1-3 Organisation générale des espaces offrant de l’information journalistique sur l’Internet.
. Des lieux de diffusion multiples : les publications exclusivement Internet ( webzines ) Espaces d’information spécifiques à l’Internet, c’est-à-dire sans équivalent sur d’autres supports, ces webzines ont un temps été considérés comme une opportunité de refondation pour l’information journalistique. Depuis, une césure semble s’être opérée. D’un côté les web-fanzines , aux contenus très marqués par l’information d’opinion et adoptant l’autopublication comme une posture idéologique, voient leur modèle fondé sur le bénévolat connaître de nombreux signes d’essoufflement (ex : www.uzine.net). D’un autre côté les web-magazines , reprenant en grande partie les recettes de la presse traditionnelle et cherchant une « niche » éditoriale, doivent souvent leur salut au soutien d’entreprises ou d’institutions (ex : pour l’information spécialisée dans le multimédia, www.lejournaldunet.com comme site-vitrine du Benchmark Group, ou www.internetactu.net financé par le CNRS). 1-3 Organisation générale des espaces offrant de l’information journalistique sur l’Internet.
. Des lieux de diffusion multiples : les Publications – individuelles – exclusivement Internet ( blogs ) Remplaçant les sites personnels avec les atouts supplémentaires d’être plus commodes d’un point de vue technique et d’offrir une présentation chronologique des contenus, les blogs ont connu un rapport à l’actualité assez automatique. Passée une première période de vif engouement, dont la principale source semble avoir été le mythe d’une production égalitarisée de l’information avec l’autopublication, les blogs consacrés à l’actualité semblent souffrir d’une moindre vitalité (phénomène assez comparable à celui qu’ont connu les web-fanzines ). Les procédés facilitant une publication distribuée (fils RSS, podcasting ) peuvent contribuer à pallier les difficultés de renouvellement de l’information au sein de chaque blog en fédérant l’information à un niveau collectif ( blogosphère ). 1-3 Organisation générale des espaces offrant de l’information journalistique sur l’Internet.