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Evolution du programme de relance de la filière de riz en RDC. Les activités planifiées pour la relance de la filière de riz en RD Congo ( pour les mois de novembre 2008 à Mars 2009). à l’issue du premier atelier de Kampala comprenaient:
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Evolution du programme de relance de la filière de riz en RDC Les activités planifiées pour la relance de la filière de riz en RD Congo (pour les mois de novembre 2008 à Mars 2009)
à l’issue du premier atelier de Kampala comprenaient: • Restitution des recommandations du premier atelier de Kampala aux cadres et agents du Ministère de l’Agriculture, représentants des principaux groupements de riziculteurs et ONG impliquées à la riziculture (Novembre 2008) • Elaboration de l’état de besoins pour l’organisation d’un atelier national, avec le concours de la FAO, pour l’identification des actions à entreprendre en vue de la relance du secteur rizicole (Décembre 2008).
Organisation de l’atelier national susmentionné • (Janvier 2009) • Restitution des recommandations de l’atelier • national aux membres de différents groupes ou • structures ayant participé à cet atelier par leurs • représentants respectifs à l’atelier (Février2009) • Suivi de la restitution de l’atelier national • susmentionné et participation au deuxième atelier • de Kampala (Mars 2009).
Des activités ainsi énumérées, il n’y a que la première, c’est-à-dire, la restitution des recommandations du premier atelier de Kampala, qui a été réalisée, et bien entendu, une partie de la dernière activité qui se réalise maintenant par notre participation aux présentes assises. • Tenue à Kinshasa (au centre Bondeko) du 27 au 28 février 2009, la réunion de restitution sus évoquée a bénéficié de la participation de 71 personnes représentant : (i) le cabinet du Ministre de l’Agriculture (3), (ii) le Secrétariat Général à l’Agriculture, Pêche et Elevage par le truchement du Corps des Inspecteurs (6), (iii) la Direction des Etudes et Planification (3), (iv) la Direction des Marchés, Prix et Crédits des campagnes (5), (v) le Service National d’Aquaculture
(20), (vi) la FAO (1), (vii) le Programme National Riz (15 dont 5 encadreurs, 1 délégué de la Mission Agricole Chinoise, 3 délégués d’ONG/riziers/commerçants de riz local, 6 délégués des associations de producteurs du riz du Pool Malebo / Kinshasa), (viii) l’intérieur du pays (13 dont 5 délégués de la province du Bas-Congo, 7 du Bandundu et 1 du Kasaï Occidental), (ix) les participants au premier atelier de Kampala (5). Il convient de souligner que l’Institut National pour l’Etude et la Recherche Agronomiques / INERA a été représenté à ladite restitution par un délégué venu du Bas-Congo (Centre de l’INERA M’Vuazi),
Au cours de la première journée de la réunion (du 27 février 2009), 4 communications de restitution avaient été présentées sur l’Aquaculture, la riziculture, la commercialisation et sur la sécurité alimentaire/synthèse des travaux de la restitution respectivement par Mr Gabriel Kombozi, Faustin NseyeMara, Georges NtumbaNdumba, Thomas KembolaKejuni. Chacun de quatre orateurs a porté son intervention sur : (i) la lecture et commentaires de l’exposé fait lors du premier atelier de Kampala et (ii) la présentation des conclusions et recommandations dudit atelier de Kampala. • La deuxième journée (28 février 2009) a été consacrée aux débats sur les quatre
communications suivi des travaux en commissions et de la restitution des résultats des travaux des commissions en plénière. La commission sur la riziculture est revenue (ou a insisté) sur certains problèmes liés à : • la production et transformation : (i) l’insuffisance de semences de bonne qualité ; (ii) l’absence de crédits agricoles ; (iii) la non protection de la production locale vis-à-vis des importations commerciales et de certaines aides alimentaires ; (iv) l’insuffisance d’informations relatives à la météorologie (de la part des services de mételsat) afin de faire face aux perturbations climatiques ; (v) l’insuffisance de matériels requis pour les travaux post – récolte (batteuses, vanneuses, bâches/aires de séchage), les équipements de transformation compris.
la commercialisation : (i) le prix au producteur non rémunérateur et décourageant la production : (ii) l’absence de points de vente de riz local : (iii) un système de crédits de campagne insatisfaisant ; (iv) l’état de délabrement des voies de communications
Ce constat a amené la commission à formuler les recommandations ci-après : • Faire un état des lieux de la riziculture en R D Congo ; • Actualiser les stratégies pour le développement de la riziculture en RD Congo ; • Contribuer à l’amélioration de la qualité marchande du riz produit par une récolte au bon moment (maturité), un séchage convenable et dans les bonnes conditions (d’où la nécessité de la mise à disposition des bâches ou aires de séchage), un décorticage approprié (approvisionnement en décortiqueuses) ;
Promouvoir le système de crédits de campagnes et à la production – transformation ; • Promouvoir le développement de la riziculture irriguée, favorable dans le pays, laquelle permettrait de contourner le problème de perturbations climatiques qui s’observent sans cesse ; • Encourager le développement de la rizi - pisciculture ; • Appuyer les associations des producteurs du riz (APR) en termes d’organisation/gestion, renforcement des capacités, etc. ; • Promouvoir les coopératives chargées de l’évacuation / commercialisation du riz local.