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Les réalisations du CCSD (Hal, Tel,..). (centre pour la communication scientifique directe). Franck Laloë , Daniel Charnay, Marco Picco Laurent Capelli, Hélène Jamet, Sonia Hamdi, .. CCSD (centre de calcul de l’IN 2 P 3 , Villeurbanne)
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Les réalisations du CCSD (Hal, Tel,..) (centre pour la communication scientifique directe) Franck Laloë , Daniel Charnay, Marco Picco Laurent Capelli, Hélène Jamet, Sonia Hamdi, .. CCSD (centre de calcul de l’IN2P3, Villeurbanne) Collaboration INRIA: Jean-Pierre Verjus, Bruno Marmol, et al. • Premier contact, consultation, dépôt, alertes automatiques • Fonctionnalités plus avancées: tampons, collections, environnements, etc.. • Les acteurs dans Hal et leurs rôles; les sorties: listes de publications, rapports (contractualisation), lien avec CRAC, etc.. IPF, Bordeaux, 24 nov. 05
Missions du CCSD (2000) • mettre le CNRS et la France en pointe dans l’utilisation des nouvelles méthodes de communication scientifique • s’appuyer sur l’expérience de la base ArXiv en physique et mathématiques, en coopération avec nos collègues américains • faire diffuser ces techniques nouvelles au sein d’un plus grand nombre de disciplines ; associer autant que possible les autres EPST et les universités au mouvement • assurer la conservation des documents et la stabilité des adresses http à long terme • collecter au passage des informations administratives pour simplifier le travail des chercheurs, des laboratoires, et des établisssements; vues institutionnelles • (rendre le monde de la recherche plus indépendant des éditeurs commerciaux de journaux scientifiques)
Un schéma mondial L E C T E U R S A U T E U R S Journaux Vues personnalisées Epijournaux Services à valeur ajoutée Base commune de documents, mondiale, gratuite, permanente (UNESCO?) (le niveau du bas est gratuit, pas nécessairement celuidu haut)
Le communiqué de l’Académie des Sciences ……… Les principes auxquels ce système doit obéir sont clairs. Nous recommandons de: • Favoriser un accès libre à tous les résultats scientifiques financés par des fonds publics (à l'exception évidente près des cas où la confidentialité s'impose: sujets sensibles, prise de brevets, etc.). • Il est important d’aider les disciplines autres que les mathématiques et la physique qui souhaitent accéder à ce second niveau de communication. Ceci demande des adaptations des outils pour tenir compte des habitudes spécifiques des communautés scientifiques. • La création de réservoirs de connaissances de ce type implique un devoir de conservation à long ou très long terme. Leur gestion, leur sauvegarde, leur migration technologique ou logicielle doivent donc être confiées à un petit nombre de centres spécialisés, un par pays par exemple. Il est essentiel d'éviter la dispersion; en particulier, il n'est pas souhaitable que chaque établissement développe indépendamment son propre système de communication scientifique directe.
Vers un outil national Le CNRS et l’INRIA se sont déjà associés dans une convention cadre pour l’utilisation de Hal Annonce au SMSI de Tunis (novembre 2005): Extension à l’INRA et l’INSERM en cours Association avec la CPU Hal permet la mise en place d’environnements institutionnels ou les établissements peuvent faire déposer et retrouver leur production propre et en assurer la visibilité
Principes de base • Autoarchivage des documents scientifiques par les chercheurs ou les membres de leurs laboratoires (secrétariats, etc..) • Consultation gratuite et quasi instantanée depuis le monde entier • Lien avec ArXiv pour les disciplines concernées • Recherches; alertes automatiques • Extractions automatiques multiples
Principes de base (suite) • Caractère interdisciplinaire (engagement des départements SPM, PNC et SHS du CNRS); accord avec l’INRIA, bientôt INSERM et INRA? • Inscription dans Hal, dépôt; importance de l’association auteur-labo-établissement; reproduction de l’information d’une première page d’article scientifique; labos en listes fixes (pour remplir le rôle administratif) • Importance de la notion de base unique (pour le très long terme) mais d’accès multiples configurables grâce à dans des environnements très paramètrables (y compris les métadonnées) • Importance de la notion de « cœur commun non négociable d’informations (métadonnées) » pour assurer la pérennité et l’homogénéité de la base et de son contenu
Les versions, les types de dépôt, les dépôts différés • Les versions des documents, la règle de non-retrait • Trois types de dépôt: • texte intégral (fichiers) • texte intégral (lien ArXiv) • notice bibliographique sans texte intégral (visible uniquement en exportation de listes de publications) • Pas de lien http externe pour texte intégral, sauf garanti • Dépôt du DOI • Le dépôt différé (enfer, purgatoire et paradis) • Soumission automatique à des journaux traditionnels et/ou ArXiv • Création d’adresses http simples; reférencement dans Google
Un lien étroit avec ArXiv ArXiv est une base de plus de 300.000 articles en physique; 4000 dépôts par mois. La soumission automatique depuis Hal vers ArXiv est possible lors du dépôt (aide technique du CCSD au passage!) Un outil spécifique a été construit pour faciliter l’importation dans de textes intégraux déposés dans ArXiv tout en les enrichissant en métadonnées (références de publication, etc.).
Demo http://ccsd.cnrs.fr http://hal.ccsd.cnrs.fr http://tel.ccsd.cnrs.fr
Différentes extractions de Hal • Vue générique (e.g. par discipline); recherches, etc. • Extractions automatiques: • http://hal.ccsd.cnrs.fr/aut/aspect • http://hal.ccsd.cnrs.fr/lab/lptens • http://hal.ccsd.cnrs.fr/UJF • http://hal.ccsd.cnrs.fr/CNRS • http://hal.ccsd.cnrs.fr/CDF • « Collections » validées par des « tampons » • http://hal.ccsd.cnrs.fr/LKB • Environnements de dépôt et de consultation
« Tampons » • Les tampons permettent à leurs propriétaires de marquer certains documents, indépendamment de leur présence dans Hal générique, et d’en faire des extractions automatiques et personnalisées • Ils ont la valeur intellectuelle que leur propriétaire leur confère • Leur nombre est illimité • Ils permettent des validations par un individu, par un laboratoire, par une institution, par un journal (épijournal), etc. • La validation se fait version par version; un document peut recevoir plusieurs tampons (pour apparaître dans plusieurs collections) • Notion de « collection », de « présentoir électronique » de laboratoire, de réseau, de « page perso » d’un chercheur, etc.
Environnements de dépôt et de consultation CONSULTATION DEPÔT Interface générique Interface générique Interface Tematice Interface Tematice Base générale HAL (cœur commun de métadonnées) Interface Democrite Interface Democrite Interface INRIA Correspondance des métadonnées Cœur commun « non négociable » Interface INRIA
Les listes de publications, les notices • Nécessité de pouvoir insérer des notices bibliographiques seules sans texte intégral • Titres des journaux en listes fixes • On peut enrichir ultérieurement les métadonnées d’un texte déjà déposé • On peut importer des textes intégraux d’ArXiv sous formes de notices dans Hal, qui apparaitront comme des textes intégraux (un outil spécifique pour le faire) • Extractions de listes de publication paramétrables (personnelles, par équipes, par laboratoires, etc..) sous formats multiples; rapports de contractualisation • Export vers les fiches de rapport de CRAC
Les différents acteurs • Le lecteur, sans aucune action sur la base, non identifié. Alertes automatiques sur critères variés • Le déposant. Il bénéficie de son espace propre, ses documents, les outils pour les modifier, leurs statistiques, etc.. Mise à jour automatique de la page perso. • Le tamponneur (aucune action sur le contenu de la base) • Le « responsable des publis d’un laboratoire » (bibliothécaire, documentaliste, administrateur, etc..); il peut modifier/enrichir les métadonnées, et on garde trace de ses interventions; droits limités à un laboratoire défini. • Le « super-lecteur » (DG du CNRS, directeur scientifique, membre du Comité National, etc..); droits éventuellement limités; aucune action sur le contenu de la base. • Les rôles de gestion de la base, d’aide aux utilisateurs, de contrôle des documents entrants (CCSD)
Exemples • Hal générique • INRI-HAL • Tematice (fonctionnement incluant des métadonnées cachées) • Democrite @ Hal • HAL-SHS (mise à jour automatique des pages web des chercheurs) • HAL-TEL, interface spécialisée pour les thèses • etc..
L’API-HAL Certains établissements désirent déposer dans Hal leurs articles scientifiques, mais également posséder une base de documents propres de natures plus variées (documents administratifs, sujets d’examen, rapports internes, bulletin local, etc.) Le dépôt dans Hal ne demande pas nécessairement de passer par un des environnements Hal: rôle de l’API Mais le cœur commun des métadonnées doit être respecté Pour en savoir plus, consultez le Manu-Hal sur le site du CCSD: http://ccsd.cnrs.frhttp://hal.ccsd.cnrs.fr (cliquer dans le bandeau)
Projets • Congrès (notion de session, de sous-congrès, etc.) • Epijournaux • Augmenter la portée, européaniser, mondialiser • Construction de ETOL (prototype) • Référencement inverse