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Conditions frontières. Répartition de l’énergie à la surface. Flux de chaleur sensible versus flux de chaleur latente : méthode de Bowen. Les flux de chaleur sensible et flux de chaleur latente à la surface sont déterminées par les mesures de l ’énergie radiative nette à la surface.
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Conditions frontières Répartition de l’énergie à la surface
Flux de chaleur sensible versus flux de chaleur latente : méthode de Bowen Les flux de chaleur sensible et flux de chaleur latente à la surface sont déterminées par les mesures de l ’énergie radiative nette à la surface. Cette énergie est l ’énergie disponible, qui vas être «dissipée» vers l'atmosphère en forme de flux convectif de chaleur sensible, de chaleur latente et, vers le sol, en forme de flux moléculaire de chaleur.
Méthode de Bowen On définit le rapport de Bowen par:
Méthode de Bowen Si on mesure les flux de droite et on connaît
Flux de chaleur sensible versus flux de chaleur latente : océans Oke, Boundary Layer Climates Océan Q* QE QH AdvQ Atlantique 9.4 8.2 1.0 0.3 0.12 Indien 9.7 8.8 0.8 0.1 0.09 Pacifique 9.8 8.9 1.0 0 0.11 Moyenne 9.4 8.5 1.0 0 0.11 Moyenne annuel des components des flux énergétiques sur les océans (MJm-2/jour).
Méthode de Priestley - Taylor Dans cette méthode on applique la théorie K : les flux sont substitués par les gradients. Si l ’air est saturé, de l ’équation Clausius Clapeyron et de la définition d ’humidité spécifique
Méthode de Priestley - Taylor Limitations: Les équations ont été obtenues en supposant que l ’air est en équilibreavec la surface d’eau(ou végétation mouillée)
Méthode de Priestley - Taylor améliorée Dans le cas où il y a de l ’advection, l ’air à la hauteur z n ’est pas saturée ce qui augmente le taux d ’évaporation
Méthode de Priestley - Taylor améliorée Dans le cas où il y a de l ’advection, l ’air à la hauteur z n ’est pas saturée ce qui augmente le taux d ’évaporation Advection : sous-saturation de l’air
Méthode de Priestley - Taylor améliorée Le coefficient tient compte des situations de sous saturation Dans le cas des surfaces bien irriguées : Dans le cas des régions plus arides :
Méthode de Priestley - Taylor amélioré D ’autres auteurs préfèrent additionner une correction A aux deux flux de chaleur
Méthode combinée ou de Penman – Monteith Dans le cas où l’air et la surface ne sont pas nécessairement saturés Humidité relative de la surface ou de la végétation Humidité relative de l ’air proche de la surface Flux de vapeur d ’eau
Flux de chaleur sensible versus flux de chaleur latente : bilan d’énergie à la surface d’un lac séché. Oke, Boundary Layer Climates El Mirage, Californie (35 N) Desert. 10-11 juin 1950.
Répartition de l’énergie: forêt Oke, Boundary Layer Climates(pp. 149) Haney, C.B (49 N) , 10 Juillet 1970 Forêt de sapins. Déficit en vapeur Thetford, Angleterre (52 N) , 7 Juillet 1971 Forêt de pins. Facteurs contrôlant QE 1) Disponibilité en énergie 2) Disponibilité en eau 3) Gradient de la pression de vapeur à la surface 4) Turbulence, ra 5) Activité végétale, rc
Répartition de l’énergie: forêt Oke, Boundary Layer Climates(pp. 150) Haney, C.B (49 N) , 10 Juillet 1970 Forêt de sapins. Déficit en vapeur 1) Disponibilité en énergie 2) Disponibilité en eau 3) Gradient de la pression de vapeur à la surface 4) Turbulence, ra 5) Activité végétale, rc Variation diurne de a) résistance de la canopée; b) résistance Aérodynamique. (Gay and Stewart, 1974 & McNaughton and Black, 1973)
Repartition de l’énergie : le facteur biologique Oke, Boundary Layer Climates(pp. 135) Rothamsted, Angleterre (52 N) , 23 Juillet 1963 Champ d ’orge.
vent PRF Tair HR% Patm Déterminisme de la transpiration : sources de variabilité Transpiration = Conductance Coeff. physiques Moteur Surface foliaire Environnement :
Port foliaire Surface foliaire Réflectance Résistance cuticulaire Stomates - densité, ouverture Déterminisme de la transpiration : sources de variabilité Environnement contrôlé Génotype : Déficit hydrique Réponses à court terme Adaptations à moyen terme
Bowen, Priestley - TayloretPenman - Monteith Conditions d’aplicabilité : 1) Stationnarité :le vent et le rayonnement quasi-stationnaires 2) Flux constants avec la hauteur Limitations de la méthode: dépend du temps L ’évapotranspiration est une fonction complexe de l ’age, du type et de la température des plantes, ainsi que de la disponibilité en eau
Méthode de Penman - Monteith Limitations : 1) La hauteur de la voûte végétale 2) La densité du couvert végétal 3) Hauteur de déplacement 4) Longueur de rugosité 5) Réflectivité des plantes 7) Le type de végétation 8) La région occupée par les racines 9) Profondeur des réserves hydriques 10) Conductance des sols 11) Humidité du sol 12) Résistance des stomates
Conditions frontières Flux thermique vers le sol
Régime thermique du sol Facteurs influençant le régime thermique du sol Échanges énergétiques avec l’atmosphère : principalement les échanges radiatifs à la surface. Les flux radiatifs et turbulents déterminent la quantité d’énergie emmagasinée ou libérée par le système sol végétation La conduction est le mécanisme principal de transport de chaleur dans le sol
Conduction de chaleur dans le sol En régime permanent la loi de Fourier s’applique
Conduction de chaleur dans le sol 1) loi de Fourier 2) loi de conservation d’énergie pas de sources/puits de chaleur dans le sol présence de sources/puits de chaleur dans le sol
Capacité calorifique par unité de volume des sols Capacité calorifique par unité de volume : quantité de chaleur nécessaire pour élever la température de 1 K un mètre cubique de sol C= fsCs + fwCw+ faCa de Vries (1975) Conductivité thermique kg= fsks + fwkw+ faka f: fraction volumétrique s: solide ; w: eau; a:air
Conductivité thermique Surface Sable sec 0,31,92,2 800 1260 1480 Neige vieille neuve 1,00,1 20902090
Flux vers le sol Le flux est fonction du gradient de température entre la surface (Tg) et le sol. Si le flux n’est pas mesuré il faut le paramétrer: Paramétrage dans les modèles de circulation générale Modèle de sol à plusieurs couches Méthode «force restore»
Flux vers le sol : modèles de circulation générale Partition énergétique de l’énergie reçue: Le flux de chaleur vers le sol est proportionnel à la quantité d’énergie radiative nette à la surface Pourcentage du flux de chaleur sensible: Le flux de chaleur vers le sol est une fraction du flux de chaleur sensible
Flux vers le sol : modèles de circulation générale Pourcentage du flux de chaleur sensible: Le flux de chaleur vers le sol est une fraction du flux de chaleur sensible Le flux de chaleur est toujours dans la même direction que le flux de chaleur sensible. Est-ce que ceci est toujours vrai?
Sol à plusieurs couches : flux vers le sol et variation de température 1 D 3 D
Solution de l’équation de transfert de chaleur Conditions frontières Surface : En profondeur : Solution
Solution de l’équation de transfert de chaleur Profondeur d’atténuation d
Solution de l’équation de transfert de chaleur Physique du sol : A. Mermoud T.R. Oke, Boundary Layer Climates
Méthode «force restore» Approximation: le sol est constitué de deux couches IR= Q*IR VIS=- Q*S VIS-IR= Q* TG G=-QG H= QH TM E= QE
Méthode «force restore» Paramétrage, Blackadar, 1976 TG VIS-IR= Q*s TM G=-QG H= QH E= QE
Méthode «force restore» Paramétrage, Blackadar, 1976
Flux de chaleur sensible versus flux de chaleur latente Oke, Boundary Layer Climates Température à la surface, à 0.2 m de profondeur et dans l ’atmosphère à un distance de la surface de 1.2 m. Agassiz, B.C. (49 N), sol nu et humide Bilan d ’énergie (MJm-2/jour) Termes dérivés Q* 18.0 = QE/QE 0.17 rapport de Bowen QH 2.3 QE/Q* 0.75 QE 13.4 QG 2.3
Température dans en environnement désertique Oke, Boundary Layer Climates Sahara Central Desert.