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Schmitt Mathieu. TEST D’EVITEMENT PASSIF Paramétrage en un essai d’un apprentissage pour une évaluation rapide des capacités mnésiantes de molécules. INTRODUCTION. principe de la boîte à deux compartiments pour évitement passif environnement idéal pour les réflexes conditionnés
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Schmitt Mathieu TEST D’EVITEMENT PASSIF Paramétrage en un essai d’un apprentissage pour une évaluation rapide des capacités mnésiantes de molécules
INTRODUCTION principe de la boîte à deux compartiments pour évitement passif • environnement idéal pour les réflexes conditionnés • ratphotophobe : doit apprendre à refreiner son envie naturelle de passer du compartiment lumineux vers le compartiment sombre afin de s’y réfugier conditionnement instrumental de peur → punition positive • diminution de la probabilité de fréquence d’apparition du comportement suite à l’ajout d’un stimulus aversif mémoire émotionnelle • voie thalamo-cortico-amygdalienne • avec le système limbique dont l’hippocampe problématique posée • paramétrage du test pour l’étude de molécules • potentiellement promnésiantes • potentiellement amnésiantes
Materiels et methodes Boîte de conditionnement
Materiels et methodes Sujets envisagés Sujets utilisés Rats Sprague-Dawley Mâles Jeune adulte Rats Long evans Mâles Jeune adulte
Protocole expérimental Phase d’acquisition Choc électrique 30 sec 30 sec Temps de latence
Protocole expérimental Phase de rétention 24h après la phase d’acquisition 30 sec Temps de latence
Variable dépendante: Temps de latence du passage du rat dans la boite sombre dans la phase de rétention Variables indépendantes envisagés: - Intensité du choc : 0,3 ;0,6 ;0,9 mA - Nombre de choc : 1, 2 et 3 Variables indépendantes effectués: - Intensité du choc : 0,3mA et 0,6mA - Nombre de choc : 1 et 2
Résultats Echantillons : 8 rats statistiques descriptives Dépassement du seuil maximum > 300 secondes • Temps de latence des phases de rétention supérieures aux phases d’acquisition • Erreurs types supérieures dans les phases • de rétention: plus grande fluctuation des sujets ANOVA analyse de la variance = comparaisons multiples des moyennes
Vérification de l’homogénéité de nos groupes Latences des phases d’acquisition ANOVA : La probabilité qu’on accepte la mauvaise hypothèse est fixée à 0,05 (5%) Différence significative entre les moyennes Accepte l’hypothèse p-valeur < 0,05 Rejette l’homogénéité Devrait être vérifié en principe : Indépendance Loi gaussienne (distribution normale) Mêmes variances (test de Barlett) P-valeur > 0,05 Nous avions proposé… Test de Fischer (ANOVA): comparaison des moyennes Vérifier que les effets ont bien été neutralisés. 1 • Différents jours Vérifier l’effet jour. • Différentes heures Vérifier l’effet heure. • Boite 1 et la boite 2 Vérifier l’effet boite. Entre les moyennes des groupes : Accepte l’homogénéité des groupes Les facteurs externes sont supposés être neutralisés Nous avions proposé… Test de Tuckey (ANOVA): comparaisons multiples des moyennes. Vérifier l’homogénéité des groupes Entre les moyennes des temps de latences d’acquisition Test de Tuckey (ANOVA) : comparaisons multiples des moyennes. Vérifier l’homogénéité des poids des groupes : Entre les poids moyens de chaque groupe 2 Nous aurions pu proposer aussi…
Analyse de la variance et variables indépendantes Latences des phases de rétention • On fixe l’erreur à 0,05 (5%) Nous avions proposé… Devrait être vérifié en principe : Indépendance Loi gaussienne (distribution normale) Mêmes variances (test de Barlett) Test de Student : comparaison d’une moyenne calculée à une moyenne théorique : Test la significativité entre nos résultats de chaque groupe (paramètre) en fonction d’une moyenne fixée. On avait fixé Molécules promnésiantes à 2 minutes 30 (150s) Molécules amnésiantes à 5 minutes (300s) Si plusieurs paramétrages acceptés, choisir celui qui a le plus faible écart type Notre approche ne permet pas de déterminer quelle est la variable indépendante qui fait varier les résultats. Difficulté d’établir facilement un nouveau paramétrage. 3 P valeur < 0,05 4 Différence significative entre les moyennes Néanmoins… Nombre de chocs n’influence pas la variable intensité du choc Le changement d’intensité de choc fait varier le temps de latence. Néanmoins, on dépasse le seuil maximum des 300 secondes pour 0,6mA.
Discussion • EXPLOITE : • variation des temps de latence uniquement en fonction de l’intensité du choc • écart type identique entre les différents paramétrages : • stabilité et reproductibilité du test • → molécules promnésiantes : 1 choc – 0,3 mA : latence courte (écart type faible) • → molécules amnésiantes : 1 choc – 0,6 mA : latence longue • → molécules à effet mnésique inconnu : paramétrage avec des intensités de choc • intermédiaires pour obtenir des temps de latence intermédiaires • EFFECTUE : • résultats inexploitables : pas d’apprentissage pour plus de ½ des rats • conditions expérimentales non optimales : • Bruits parasites perturbateurs • Changement régulier du manipulateur • Rats non naïfs • ENVISAGE : • protocole trop long à effectué • nombre de chocs pas pertinent • choix du rat judicieux • idée d’une troisième valeur d’intensité de choc PROTOCOLE LE PLUS PERTINENT Nombre de chocs adapté Intensité des chocs adaptée • possibilité de tests complémentaires : • manipulations en duplicata • labyrinthe radiaire à 8 branches: mémoire spatiale de travail • piscine de Morris : mémoire spatiale de référence
CONCLUSION intérêts du test : • conditionnement rapide : en un seul essai • variable dépendante facile à déterminer • latence d’entrée dans le compartiment sombre • variables indépendantes faciles à contrôler • nombre de chocs administrés • intensité des chocs • détermination du caractère mnésique de molécules pharmacologiques perspectives d’utilisation : • impact des médicaments sur les processus mnésiques (modèle d’apprentissage simple) • développement de médicaments visant à restaurer un fonctionnement normal de la mémoire (maladie d’Alzheimer) défi actuel de la neuropharmacologie