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La création d’entreprises dans le secteur des hautes technologies. Le point de vue du créateur Ausonics SA Founder & CEO 1980 Cardicorp SA Founder, Chairman & CEO 1985 Bioracs SA, Founder, Chairman & CEO 1995 Bioring SA Founder Chairman & CEO 2000
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La création d’entreprises dans le secteur des hautes technologies Le point de vue du créateur Ausonics SA Founder & CEO 1980 Cardicorp SA Founder, Chairman & CEO 1985 Bioracs SA, Founder, Chairman & CEO 1995 Bioring SA Founder Chairman & CEO 2000 Leman Cardiovascular SA Founder Chairman 2005 Cerebel SA Founder Chairman 2005
Les produits Le marché La société Le financement Quelques règles fondamentales concernant :
Un marché existe-t-il pour mes produits ? Oui : Le projet est réalisable Non : Le projet sera difficilement réalisable et les fonds requis seront beaucoup plus importants. Puis-je créer une famille de produits ? Oui : le projet est plus facile à financer. Non : très difficile à financer voire impossible. Les produits
Etre membre du « club » Evaluer précisément la taille du marché. Appliquer les règles d’accès au marché (adéquation aux réglementations). Le Marché
Le fondateur doit s’identifier complètement à SA société. Le fondateur doit être capable de trouver seul le premier tour de financement. Le fondateur doit être capable de transformer une idée en un produit commercialisable. La Société
Le capital initial Le premier tour Le second tour Le troisième tour La sortie Le Financement
Le Capital initial • Le capital initial est apporté par le fondateur : les futurs actionnaires sont sécurisés. • Le capital de démarrage ne doit jamais être un crédit bancaire. Le crédit ne sert pas à financer le capital.
Examen de passage obligatoire pour le créateur d’entreprise. Il est formé d’un cercle restreint de « business angels ». Sélectionner les « business angels » en fonction de vos besoins. Contrôler les « business angels ». Le premier tour
La société a déjà réalisé les prototypes. La société a besoin de liquidités pour réaliser son projet à l’échelle internationale. Elle s’ouvre aux « venture capitalists » Connaître l’âge du fond pour éviter de perdre du temps. Ne pas envoyer de BP sans présentation personnelle. Le second tour
Finalisation du projet. Attention à la dilution. Essayer de recevoir des capitaux du « venture capitalist » avec lequel vous êtes liés. Vous connaissez les coûts mais vous vendez ce que cela va rapporter. Le troisième tour
Vente à une grande société. Mise en bourse au second marché. La Sortie
En tant que fondateur, gardez toujours le contrôle comme Chairman et CEO. Les « business angels » se transforment souvent en « business devils ». Un premier échec est souvent très positif ! Poursuivez votre route en gardant toujours en vue le but final, mais soyez à l’écoute ! Les réussites sont rares…. et vous devrez beaucoup travailler ! Rappelez vous !
Le monde change: Paris- New-York 5 jours en bateau 5 heures en avion Les frontières et le temps disparaissent ! Skype - 75 millions abonnés - 250’000 nouveaux abonnés/jour - Que va-t-il advenir du monde traditionnel des telecoms ? Prix des lecteurs de DVD : 2000 : 100 2005 : 15 L’innovation : La clé de la survie !
L’entrepreneur a une vision globale ! L’entrepreneur recherche l’excellence dans l’éducation. L’entrepreneur est mobile, ouvert, et il pense stratégie globale ! L’entrepreneur apporte de la valeur ajoutée par l’innovation! L’entrepreneur doit être « sexy » ! Innover, c’est anticiper !
Développement des concepts du futur. Perception des symptômes du changement. Leadership du changement. Industrialisation et stratégie. Les 4 éléments du succès de l’innovation !
Investissements VC en Biotech + Medtech : US$ 6 bil. Combinés /5 ans Investissements VC en Biotech et Medtech : 28% inv. Totaux Nombre de contrats conclus : 589 en 2004, 608 en 2005 Déclin des investissements en Biotech : 7% 2004 ; 4,15 bil. 2005 : 3,86 bil. Contrats 2004 : 340 2005 357 Augmentation en Medtech : 25% 2004 : 1,71 bil. 2005 : 2,11 bil. Contrats conclu en Medtech 2004 : 249 2005 : 251 Source : PriceWaterHouseCoopers, Thomson Venture Economics, National Venture Capital Information Quelques chiffres
Le capital-risqueur doit s’appuyer sur l’innovation très en amont
Les « due diligences » tentent de mettre à jour les dangers masqués du « deal flow »
La macroéconomie dicte l’appétit des investisseurs pour les différentes classes d’actifs, la demande pour la technologie ainsi que les » valorisations » et les « exits » liés aux périodes d’exubérance
Le cycle boursier permet les « exits » les plus riches, mais attention au crash qui suit !
Le cycle de vie et de mort de l’entreprise impose une gestion qui balance entre injection de capital et restrictions budgétaires
Pris dans la tempête de tous ces cycles,l’équilibre est précaire
Le capital-risqueur doit lever un nouveau fonds tous les 5 ans. Les « vieux » fonds sont investis. Il faut de nouveaux sponsors. Sinon on reste à sec.
Le capital-risqueur idéal a une formation pluridisciplinaire : technique, industrielle, financière, commerciale, juridique et internationale : qui dit mieux ?