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Symposium international sur la stratégie du faire faire. Dakar, 2-4 décembre 2004. Plan de l’intervention. Repères contextuels a) Complexité institutionnelle de la Belgique b) Diversité des contextes d’émergence c) Créativité du secteur associatif d) Cycle de vie des organisations
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Symposium international sur la stratégie du faire faire Dakar, 2-4 décembre 2004
Plan de l’intervention • Repères contextuelsa) Complexité institutionnelle de la Belgique b) Diversité des contextes d’émergence c) Créativité du secteur associatif d) Cycle de vie des organisations • Modélisation à partir d’expériences a) Reconnaissance / labellisation de dispositifs existants b) Passerelle éducation formelle c) Associatif comme acteur de l’élaboration des politiques - Conférence interministérielle - Plan bruxellois pour l’alphabétisation (2002-2004) - Cahier de revendications L&E 2004
Repères contextuels a) Complexité institutionnelle de la Belgique b) Diversité des contextes d’émergence c) Créativité du secteur associatif d) Cycle de vie des organisations
a) Complexité institutionnelle de la Belgique Les différents niveaux de pouvoirs et de compétences compétences - Fédéral - Communautaire : Communauté française Communauté néerlandophone Communauté germanophone - Régional Région flamande Région wallonne Région bruxelloise Enseignement, culture, éducation permanente Formation professionnelle, insertion socio-professionnelle • Les associations peuvent avoir différentes reconnaissances : • Education permanente C.F. • Insertion socio-professionnelle Région bruxelloise • Double reconnaissance C.F + Région bruxelloise
b) Diversité des contextes d’émergence Chaque association naît et se développe …. • …en réponse à un problème inscrit • temporellement • géographiquement • et développe ainsi une mission spécifique, • relevant de différents pouvoirs publics
c) Créativité du secteur associatif Palettes très diversifiées en termes de …. • modes d’organisation • pratiques , de modalités de réponses aux problèmes • relation / collaboration / partenariat avec les Pouvoirs publics • reconnaissance par les pouvoirs publics • • ne pas rendre compte d’une « réalité belge » • repérer quelques expériences • axées sur les interactions entre monde associatif et pouvoirs publics • relevant de l’alphabétisation ou de la formation de base des adultes • en région bruxelloise • modéliser
Embryon • A l’origine de la création des associations, • existence d’un segment de l’éducation non couvert • Exemple : alphabétisation Etat ne reconnaissait pas le problème au nom de la scolarité obligatoire • Exemple : formation continuée Obstacle à l’entrée en études supérieures pour des travailleurs qui • souhaitent se former • ne détiennent pas les titres requis • ne sont pas disponibles en journée Mission de service public
Embryon Associations s’emparent de ces segments non couverts pcq • réactivitéface aux • problématiques émergentes • nouveaux publics (flux migratoires) • proximité avec le public • créativité pédagogique • originalité des réponses Parallèlement, elles interpellent les pouvoirs publics quant à leur rôle Tout ce qui relève de l’éducation doit relever de l’Etat afin de garantir le droit d’accès à un service de QUALITE pour TOUSet une répartition équitable autour des centres de besoins
adolescence • grand nombre de bénévoles • peu de moyens solidarité entre associations • militantisme Fleur de l’âge / maturité • reconnaissance par les PP subsides • personnel salarié (+bénévoles) • « professionnalisation » du secteur (cadre législatif)
Expériences et modélisation • Reconnaissance / labellisation de dispositifs existants • Passerelle éducation formelle • Associatif comme acteur de l’élaboration des politiques • Conférence interministérielle • Plan bruxellois pour l’alphabétisation (2002-2004) • Cahier de revendications L&E 2004 • Graduat en alpha
a) Labellisation de dispositifs existants Public cible spécifique Objectifs spécifiques dispositifs FB FQ - Souci de visibiliser les segments non / trop couverts - Permettre la transparence Décret COCOF sur l’ISP 27/4/95 - Agrément des OISP • Subventionnement - Conventions de partenariat avec les OISP + • - Standardisation, moule • - Modalités parfois inadéquates (public) • Expertise de l’OISP non prise en compte • - Cadre contraignant (accès aux financements) Labellisation < Convention de partenariat < Cahier des charges < Programme de référence - Sous-traitance
b) Passerelle entre secteur non formel et formel • Exigence de validation / certification de la formation Perspective : E.P., université « ouverte » • Objectifs : • Niveau reconnu pour l’emploi dans le secteur • Poursuite d’études à un niveau supérieur • Négociation avec l’Enseignement de Promotion sociale « Cours du soir » : • 1985-1986 : programme de formation élaboré par • des travailleurs • des universitaires • soumis à l’Inspecteur de la Promotion sociale • négociation avec le Directeur de l’Ecole de Promotion sociale (intégration du programme) • organisée depuis 1988 avec certification
- certification, promotion des apprenants • - prise en charge financière des formateurs • reconnaissance de l’expertise de l’opérateur : • - formateurs =professionnels du secteur • recrutement et encadrement des formateurs • - orientations pédagogiques • - titres académiques requis • référentiel figé : adaptations nécessaires à l’évolution des publics et du métier : ajout d’ateliers « techniques » • modèle scolaire : • horaire • cours théoriques • évaluation - + partenariat • Double partenariat : • Enseignement de Promotion sociale : référentiel théorique et formateurs • Education permanente, service Formation des cadres socio-culturels : ateliers techniques spécialisés
c) Monde associatif, acteur de l’élaboration des politiques 8 sept 2001: interpellation des pouvoirs publics par L&E Problématique de l’illettrisme à Bruxelles • Évolution insuffisante de l’offre de formation 2000 apprenants en 1990 4000 en 2OOO • Cahier de revendications de L&E c.f. • Opération cartes postales • Enquête sur les ressources informatiques en alphabétisation L&E bxl
Réponse enthousiaste des pouvoirs publics Région bruxelloise Communauté française • Plan bruxellois pour l’alphabétisation • moyens humains • moyens financiers • - Ouverture de nouvelles classes Enseignement de Promotion sociale • - Alphabétisation dans la fonction publique à Bruxelles (ERAP) • - Développement d’une politique intégrée : • - Etat des lieux permanent • création d’un service spécialisé au Ministère • création d’une conférence interministérielle • Renforcement des budgets alloués en E.P. F.S.E Projet de développement des NTIC en alphabétisation
Conférence interministérielle Fédéral Communauté française Régions • Emploi et égalité des chances • Education permanente • Enseignement fondamental • Enseignement de Promotion sociale et à distance • Égalité des chances wallonne Bruxelles-Capitale • Emploi, reconversion professionnelle et recyclage • Cohabitation des communautés • Emploi, formation • Affaires sociales Outils Missions structurelles confiées à L&E • Comité de pilotage • Groupes de travail L&E c.f. L&E en Wallonie L&E bxl recensement et analyse des besoins, interlocuteurs des pouvoirs publics et relais vers la base, développement de structures et centres de ressources de l’expertise du monde associatif pour la conception et l’opérationnalisation de programmes d’alphabétisation de la représentativité, le rôle pionnier, l’animation de réseau, la consultance, la veille et la sensibilisation de l’opinion publique et des pouvoirs publics reconnaissance
Plan bruxellois d’alphabétisation 2002-2004 Moyens alloués Situation 2000 – 2001 : 144 bénévoles (25 ETP) 181 travailleurs rémunérés (13O ETP) Formation « sur le tas » et/ou en parallèle avec l’exercice professionnel • Plan bruxellois pour l’alphabétisation • moyens humains : • 90 postes sur 3 ans dont 30 de niveau sup. • moyens financiers : • frais de fonctionnement et personnel d’encadrement
Stratégie de développement PBA 2002-2004 • Développement de l’offre • couverture complète de BXL en 6 locales • diversification de l’offre • priorité à l’alphabétisationet élargissement versFB • FLE • Processus de qualification et de certification du personnel • volonté d’ouvrir un maximum de poste (2/3) à des personnes peu qualifiées • aménagement du temps de travail pour reprise de formation • Renforcement de la qualité pédagogique • développement formation de formateurs • développement du Centre de Documentation • création de classes d’application • 1 conseiller pédagogique par locale • diffusion de « malles pédagogiques » • création d’un comité scientifique • (chercheurs, conseillers pédagogiques, acteurs de terrain) • Accessibilité aux NTIC • 1 ordinateur par classe • 1 classe informatique et 1 animateur spécialisé par locale • 1 centre de ressources • initiation de tous les intervenants • initiation des apprenants Création d’un pôle « Recherche et développement » analyse des causes et contextes créant l’analphabétisme
Livre Blanc Pour qui Pourquoi • Tous les niveaux de pouvoirs, dans le cadre de leurs compétences spécifiques : • international : UNESCO et francophonie • européen (programmation 2007-2O13) • fédéral • communautaire • régional • communal Cadre des élections régionales et européennes de juin 2004 Problématique de l’alphabétisation et du FLE pour les primo-arrivants, enjeu du débat politique Comment • Groupes de travail thématiques • - à l’initiative du pôle Recherche et Développement de L&E bxl • pointer les « bonnes pratiques » • repérer les obstacles et potentialités: