270 likes | 377 Views
IDENTIFICATION DES ANIMAUX DE BOUCHERIE. Bovins et Porcins. INTRODUCTION. Traçabilité mise en place depuis longtemps mais révélée aux consommateurs après les crises alimentaires. Outil indispensable de la sécurité alimentaire Prévenir les risques. DEFINITION ET BUT.
E N D
IDENTIFICATION DES ANIMAUX DE BOUCHERIE Bovins et Porcins
INTRODUCTION • Traçabilité mise en place depuis longtemps mais révélée aux consommateurs après les crises alimentaires. • Outil indispensable de la sécurité alimentaire • Prévenir les risques
DEFINITION ET BUT • Norme ISO 8402: « Aptitude à retrouver l’historique, l’utilisation ou la localisation d’une entité au moyen d’identifications enregistrées ». • Permet de suivre un produit, de son origine à sa consommation ou sa destruction, d’amont en aval.
DEFINITION ET BUT • 3 principaux objectifs: • Outil de gestion des risques • Manière de repérer l’origine des matières premières et les procédés de fabrication • Permettre de suivre les lots vendus. Elle crédibilise l’information vis à vis des consommateurs.
CHEZ L’ELEVEUR • Depuis 1988: • 2 marques auriculaires avec un code pays à 2 lettres + 12 chiffres au maximum (Avant: 1 seule boucle) • 1 passeport: même numéro = numéro de première identification européenne • Fiche individuelle: filiation génétique; utilisé pour les performance de l’animal (reproduction)
CHEZ L’ELEVEUR • A partir de septembre 2004: simplification • Toutes les informations sont regroupées sous forme du numéro de première identification européenne. • 2 caractères + 12 chiffres • Numéro utilisé pour échanges entre pays
A L’ABATTOIR • A l’arrivée: Vérification du passeport et des boucles. Si un des éléments absent: refus de l’animal. • Numéro d’identification est adjoint un numéro de tuerie, propre au fonctionnement interne de l’abattoir (ordre d’abattage par exemple). • Numéro d’identification n’est plus visible mais peut être retrouvé par informatique à partir du numéro de tuerie.
DANS LA GRANDE DISTRIBUTION • Étiquette collée sur chaque produit. • Reprend le numéro d’identification de telle sorte que chaque produit ait sa carte d’identité propre.
5 étapes> Naissance > Transport > Abattage > Découpe> Achat NAISSANCE : Dès son premier mois de naissance, le porcelet est tatoué à l'oreille. On lui attribue le N° de l'élevage complété par le N° de semaine de sa naissance. Grâce au numéro d'élevage, le consommateur peut déterminer la base de son alimentation, sa race et son lieu d'élevage.
TRANSPORTS : Des conditions de transport optimales pour une meilleure qualité de la viande. Le N° de l'éleveur est à nouveau inscrit sur le flanc de l'animal avant son départ à l'abattoir. Les porcs ayant subi un incident d'élevage sont identifiés de la même façon.
ABATTAGE : Des informations sur la qualité de la viande. Une étiquette avec un code barre est apposée sur chaque carcasse de l'animal. Ce code barre permet de retrouver toutes les informations relatives à l'élevage et aux caractéristiques de la carcasse.
Cependant, la codification du numéro de tuerie a une structure très variable d’un abattoir à l’autre. Ce numéro de tuerie peut être : - Hebdomadaire : essentiellement utilisé par les entreprises qui abattent moins de 10 000 porcs par semaine. Dans la plupart des cas, on repart à zéro le lundi, - Journalier, il n’y a aucun moyen de le distinguer du numéro de tuerie hebdomadaire, - Journalier précédé d’un code jour qui peut-être un chiffre ou une lettre.
MENTIONS OBLIGATOIRES • Un numéro ou code de référence assurant le lien entre le produit et l’animal ou le groupe d’animaux dont il est issu. • Le pays d’abattage et le numéro d’agrément de l’abattoir. • Le pays de découpage et le numéro d’agrément de l’atelier de découpe.
CONCLUSION • Boucle électronique, • Aujourd’hui: codes barres difficiles à lire car problèmes de saleté, • Chez les porcs: le marquage à l’encre pose également des problèmes hématomes préjudiciables à la qualité de la carcasse.