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La 2 guerre mondiale (Histoire) Par Alexandre Maltais.
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La 2 guerre mondiale (Histoire) Par Alexandre Maltais • Durant la guerre de 1939-1945, seules les républiques latino-américaines et cinq pays neutres européens (l'Espagne, le Portugal, la Suède, la Suisse et la Turquie) sont épargnés. Pour la première fois, l'aviation permet de bombarder le territoire de l'ennemi sur des centaines de kilomètres carrés; pour la première fois aussi le nombre de victimes civiles est supérieur à celui des soldats.Dès 1939, le régime hitlérien donne au conflit le caractère d'une guerre raciale, mettant en place un régime dont le but est l'asservissement des peuples slaves et l'anéantissement des Juifs et des Tziganes.
2e Guerre Mondiale (Histoire Suite) • Dès le début des hostilités, en septembre 1939, le CICR envoie des délégués dans les principaux pays belligérants : Allemagne, France, Pologne et Royaume-Uni. Mais le développement fulgurant des opérations militaires empêche le délégué parti pour Varsovie d'entrer en Pologne. Tous les délégués ont essentiellement pour mission de visiter les camps de prisonniers de guerre.A partir de l'été 1940, vu le développement des hostilités et la capture de millions de prisonniers de guerre, le CICR renforce ses délégations, notamment en Allemagne, où il aura finalement une trentaine de délégués - nombre tout à fait insuffisant, mais l'Allemagne refuse l'envoi de personnel supplémentaire. Le CICR ouvre progressivement des délégations dans pratiquement tous les pays belligérants, à l'exception de l'URSS qui refuse de laisser entrer des délégués de l'institution sur son territoire.
2e Guerre Mondiale (Histoire Suite) • En ce qui concerne le Japon et les pays qu'il occupe, le CICR obtient l'autorisation d'envoyer des délégués à Tokyo, Shanghai et Hong Kong ; en revanche, les autorités nippones refusent l'accréditation de délégués aux Philippines, aux Indes néerlandaises et à Bornéo (aujourd'hui l'Indonésie), à Singapour et en Thaïlande où, privés de statut officiel, les délégués suisses recrutés sur place par le CICR ne peuvent agir qu'à titre personnel, dans des conditions extrêmement précaires : sans liaison avec Genève, confrontés à toutes les formes de brimades et d'entraves, ils ne peuvent exercer que des actions très limitées, et cela, au prix des plus grands risques. A Bornéo, le docteur Mattheus Visher et son épouse, sont même accusés d'espionnage, parce qu'ils s'efforcent de faire parvenir des secours aux prisonniers de guerre. Après un simulacre de procès, ils sont condamnés à mort par un tribunal de la marine japonaise, et décapités.A la fin de la guerre, le CICR est représenté par 179 délégués répartis dans 76 délégations permanentes et assistés par des centaines d'employés recrutés sur place. En outre, pour des négociations particulièrement délicates ou importantes, le CICR a envoyé, de septembre 1939 à juin 1947, 194 missions spéciales.
Prisonier de guerre • La rapidité foudroyante des grandes offensives militaires, entraîne la capture d'énormes masses de prisonniers de guerre : plus de 600 000 Polonais en septembre 1939 ; près de 2 millions d'hommes (Hollandais, Belges, Anglais et Français) durant la campagne de 1940, et près de 5 millions de Soviétiques, sur le front de l'Est, à partir de l'été 1941 ; enfin, en mai 1945, la totalité de l'armée allemande tombe aux mains des Alliés après la capitulation de l'Allemagne et, finalement, en septembre 1945, c'est toute l'armée japonaise qui se retrouve en captivité.Ces prisonniers de guerre sont disséminés dans le monde entier, les principaux camps constituant de véritables villes regroupant des dizaines de milliers de prisonniers.
Prisonier de guerre (Suite) • Dès le début des hostilités, les délégués du CICR visitent les prisonniers de guerre ; les premières visites ont lieu du 23 au 26 septembre 1939 : un délégué du CICR se rend dans trois camps de prisonniers de guerre polonais en Allemagne • Durant tout le conflit les délégués du CICR visitent systématiquement les camps de prisonniers de guerre ; ils s'efforcent ainsi notamment de contrôler le sort qui leur est réservé et d'améliorer leurs conditions de détention. • Les délégués constatent bientôt que les puissances de l'Axe ne sont pas en mesure d'assurer l'entretien des millions de prisonniers alliés tombés entre leurs mains. Or, la pénurie qui sévit sur le marché européen ne permet pas de trouver les denrées nécessaires à leur ravitaillement. Le CICR entreprend donc des négociations pour obtenir à cet effet l'autorisation de se procurer des marchandises hors d'Europe.Le 29 août 1940, le gouvernement britannique consent à l'envoi de secours collectifs aux prisonniers de guerre, à condition que l'utilisation de ces secours soit soumise à un contrôle rigoureux pour garantir qu'ils ne profitent pas à l'effort de guerre des puissances de l'Axe ; chaque envoi de secours devra faire l'objet d'une autorisation particulière et nécessitera de nouvelles négociations de la part du CICR.
Les échecs du CIRC • L'URSS n'était pas partie à la Convention de 1929 relative au traitement des prisonniers de guerre. Au début du conflit, le 27 septembre 1939, le CICR décide donc d'entreprendre des négociations avec ce pays et lui propose d'envoyer un délégué à Moscou, mais l'URSS refuse. Le CICR répète son offre le 26 octobre 1939, sans résultat. Il intervient ensuite auprès des ambassadeurs d'URSS à Paris, à Berlin et à Stockholm, en vain. Le 22 juin 1941, les armées allemandes envahissent l'Union soviétique. Le CICR demande aux belligérants d'appliquer les principes de la Convention relative au traitement des prisonniers de guerre ; ils déclarent accepter mais, à l'exception d'une liste de 300 prisonniers de guerre soviétiques aux mains de l'Allemagne envoyée au CICR en août 1941, le CICR ne reçoit aucune liste d'autres captifs soviétiques ni de prisonniers de guerre allemands en URSS • . Cependant le CICR entend des récits de plus en plus inquiétants sur le sort des prisonniers soviétiques en Allemagne ils manquent de l'essentiel et meurent en masse. Les Alliés n'acceptent d'envoyer de secours à ces prisonniers qu'à condition que les distributions fassent l'objet d'un contrôle. Cependant, l'Allemagne interdit toute visite des délégués à ces prisonniers aussi longtemps que le CICR n'a pas accès aux prisonniers de guerre allemands en URSS. La situation est donc bloquée. Durant toute la guerre, le CICR poursuivra en vain ses démarches pour que l'URSS accepte de recevoir l'un des ses délégués. Ainsi, à aucun moment de la Seconde Guerre mondiale le CICR ne sera autorisé à visiter les prisonniers de guerre allemands en URSS, pas plus que les prisonniers de guerre soviétiques en Allemagne. • #
Les echecs du CIRC(Suite) • En Extrême-Orient, après l'attaque de Pearl Harbour le 7 décembre 1941, l'armée japonaise parvient à conquérir près de la moitié de l'Asie, et elle capture des dizaines de milliers de prisonniers de guerre. Mais le Japon n'est pas partie à la Convention de Genève relative au traitement des prisonniers de guerre. Le CICR demande pourtant aux belligérants d'appliquer les principes de la Convention. Toutefois, malgré une déclaration d'intention positive du gouvernement japonais, les autorités nipponnes dresseront des obstacles souvent insurmontables devant les tentatives d'action du CICR. Les listes de prisonniers qu'elles transmettent au CICR sont incomplètes et parviennent avec plusieurs mois de retard ; l'accès à une grande partie des camps de prisonniers est interdit aux délégués ; la durée des visites autorisées est limitée, et les délégués du CICR n'ont pas le droit de s'entretenir librement avec les détenus ; enfin le CICR n'est pas autorisé à envoyer des secours en quantité suffisante aux prisonniers. Ainsi, dans le conflit d'Extrême-Orient, le CICR n'aura pu atteindre que des résultats fragmentaires et dérisoires en regard des besoins des prisonniers et des efforts déployés par ses délégués pour leur apporter protection et assistance.
Bilan des morts • Pendant la Seconde Guerre mondiale, environ 50 millions d’hommes ont été tués. Contrairement à la Première Guerre mondiale, ce sont les populations civiles qui ont été les plus touchées. L’URSS et l’Allemagne, avec respectivement 20 et 5,5 millions de morts, ont perdu l’une 12% de sa population, l’autre 7%, la Pologne, avec plus de 5 millions de morts, presque le cinquième ! Le Royaume-Uni compte 390 000 morts et la France 535 000.
Arme de la 2e Guerre Mondiale • La Bombe Atomique a été la plus forte arme a être utilisé a la fin de la 2e guerre mondiale mais elle a été testé contre les chinoix sa a coûté plus de 38 000 morts et 60 000 blessés sur le coup.
Cette arme a été utilisé par plus de 1 000 000 de personne c ’est l ’arme la plus utilisé dans le monde parce que c ’est 1 arme qu ’il coûte pas trop cher au marché noir Ak-47
ShootGun • Le ShootGun ou douze est 1 arme assez puissante au corps a corps qu ’elle élimine une personne de 1 seul coup (chaque fois que le tireur tire sa lance 2 balle qui explose en fragment)
Panzer • Ce tank est le plus puissant a être utulisé durant la deuxieme guerre mondiale son arme est tout a fait redoutable de sa coque blindé c ’est le tank des allemends
Grenade • La grenade a été 1 des plus petits accessoire le plus utilisé par les soldats malheureusement malheur a c ’eux qu ’il l ’utilise mal
Anti Air Craft Cannon • Ce canon géant sert a détruire toute sorte d ’avion ennemie très très puissante seule les infanteries peuvent détruire c ’est grand canon peu de tank peuvent
FIN!! • Présenter par Alexandre Maltais • Idée par Alexandre Maltais • Structure par Alexandre Maltais