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Sourires du Monde. Jean-Louis Saporito. Amérique Centrale. « En voyant un tatouage, les patrons pensent qu’on est de la pire espèce. » Ada Maritza Orozco. Amérique Centrale.
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Sourires du Monde Jean-Louis Saporito
Amérique Centrale • « En voyant un tatouage, les patrons pensent qu’on est de la pire espèce. »Ada Maritza Orozco
Amérique Centrale • « Ses amis et les jeunes avec qui elle traîne se moquent d’elle. Elle a un peu honte d’être indienne. » Carmen Paulina Tzic Rivas
Amérique Centrale • « Mes voisins parlent de nous comme d’une famille heureuse parce que je souris tout le temps. » Maria Teresa Gonzàles
Amérique du Nord • « J’ai toujours envoyé mes enfants à l’école. Je me lève tôt le matin pour les accompagner. » Dora Lewis
Amérique du Nord • « Mon fils, c’est la seule chose qui ait de la valeur à mes yeux dans ma vie. » Pauline Donald
Amérique du Nord • « Dès qu’on a eu un pouvoir politique, on est devenus une force avec laquelle il a fallu compter. » Tony Velazquez
Asie • « Pour moi-même, je n’ai pas d’espoir mais pour les enfants, je ne voudrais pas qu’ils aient une vie comme leur père ou leur mère. » Pim
Asie • « Les riches ont plus de chance. A chacun son destin, mais je trouve que ce n’est pas juste. » Phornthip Khongjinthet
Moyen-Orient • « Je vois mes années de guerre meilleures qu’aujourd ’hui. Personne n’avait faim, on s’habillait bien. » Khodr Rifaï
Moyen-Orient • « Celui qui ne vit pas dans la pauvreté ne peut pas sentir vraiment ce qu’on vit. » Soraya Saliba
Afrique • « Je ne peux pas oublier la personne qui m’a soutenu. Je partais avec elle à l’abattoir et nous ramassions du fumier que nous vendions. » Ablassé Yanogo
Afrique • « Ma petite-fille veut devenir « maîtresse ». Elle peut aller loin, faire mieux qu’un garçon… » Célestine
Afrique • « On est quatre-vingt-quatre élèves dans ma classe. On se cotise pour acheter un cahier pour sept élèves. » Sylvie
Europe • « Il m’appelle Petit Ange. Je l’appelle Mimi. Nous allons nous marier. » Ghislaine
Europe • J’ai vu une dame âgée, elle sortait tout le temps sans manteau, moi ça m’a fait mal. J’avais froid pour elle. » Joëlle Merlin
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