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Surveillance médicale des sportifs. 1/ Les athlètes de haut niveau et les filières d’accès au haut niveau. 2/ Les pratiquants de loisir. Surveillance médicale des SHN ou Espoirs. L’organisation de cette surveillance doit être assurée
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Surveillance médicale des sportifs 1/ Les athlètes de haut niveau et les filières d’accès au haut niveau. 2/ Les pratiquants de loisir.
Surveillance médicale des SHN ou Espoirs • L’organisation de cette surveillance doit être assurée par les fédérations pour les inscrits sur la liste de haut niveau et les filières d’accès. (art. L231-6 duCode du sport). • Le décret du 6 février 2004, les arrêtés du 11 février 2004 et du 16 juin 2006 déterminent la nature et la périodicité des examens à réaliser.
Surveillance médicale des SHN ou Espoirs • Avant l’inscription sur liste : • 1 examen médical par un médecin diplômé en médecine du sport, • 1 examen urinaire, • 1 ECG de repos, • 1 échocardiographie, • 1 épreuve d’effort maximale, • 1 examen dentaire, • 1 IRM du rachis cervical pour le football américain, le plongeon de haut vol, le rugby à XIII et à XV (postes de première ligne).
Surveillance médicale des SHN ou Espoirs • Après l’inscription : • 2 fois par an : examen médical avec entretien psychologique et diététique, examen urinaire, examen psychologique si sportif mineur, • 1 fois par an : examen dentaire, ECG de repos, examen biologique (> 15 ans), bilan psychologique, • tous les 4 ans : épreuve d’effort maximale.
Surveillance médicale des SHN ou Espoirs Dispositions particulières à certains sports : • examen ophtalmologiqueannuel : sports mécaniques, aériens, disciplines alpines, sports de combat, • examen ORL annuel : sports aériens et sous-marins, • radiographie du rachis lombaire avant 15 ans puis tous les 2 ans : plongeon, gymnastique, patinage artistique, • radiographie du rachis cervical tous les 2 ans : rugby à XIII et à XV, lutte, football américain, • examen biologique (NFS et ferritine) 3 fois par an : course (athlétisme), aviron, biathlon, course d’orientation, cyclisme, natation, pentathlon moderne, roller skating, ski de fond, triathlon.
Surveillance médicale des sections sportives scolaires • Bases légales : charte du sport scolaire, circulaires du 28 avril 2000 et du 24 avril 203. • A l’admission : certificat médical de non-contre-indication réalisé par un médecin du sport et fiche médicale type (examen, ECG de repos, bandelette urinaire). • En cours d’année scolaire : • suivi mis en place par l’infirmier(ère) scolaire, jeune dirigé vers le médecin scolaire si besoin, • actions de prévention et d’éducation à la santé (nutrition, rythmes de vie et dopage).
Surveillance médicale des SHN ou Espoirs : la réalité • 2 visites obligatoires : • première visite annuelle en général effectuée par tous. • deuxième : plus aléatoire • Suivi psychologique et diététique : variable, dépendant du responsable du pôle. • Réseau de diététiciens et psychologues mis en place par la DRJS pour les pôles espoirs. • Section scolaire : suivi plutôt insignifiant.
Surveillance médicaledes pratiquants de loisir • Certificat de non contre-indication imposé pour la première prise de licence (art. L.231-2 du Code du sport). • Renouvellement du certificat pour une nouvelle licence laissé à l’appréciation des fédérations (id) . • Compétition : présentation de la licence ou, pour les non-licenciés, certificat médical datant de moins d’1 an (Code du sport,art. L.231-3).
Surveillance médicale des pratiquants de loisir • Obligation d’examen médical approfondi et spécifique pour certaines disciplines sportives en vue d’obtenir la délivrance d’une première licence sportive (arrêté du28 avril 2000) : • sports de combat pour lesquels la mise « hors de combat » est autorisée, • alpinisme de pointe, • sports utilisant des armes à feu , • sports mécaniques, • sports aériens, à l'exception de l'aéromodélisme, • sports sous-marins. • Tir : pratique codifiée par un article du Code du sport (art.L.231-4) faisant référence à un article du Code de la défense (art L.2336-3).
Surveillance médicale des pratiquants de loisir :la réalité • Certificat médical annuel : quasiment demandé par toutes les fédérations. • Certificat réalisable par tout médecin, généraliste ou du sport, …>> grosse activité en septembre et octobre ; les certificats de complaisance diminuent. • Homogénéité du contenu de la visite et de la formation des médecins ?. • Centres médico-sportifs : dédiés aux certificats de non contre-indication, en constante diminution, par baisse de la fréquentation et manque d’information malgré politique d’implantation des années 80 • Donc redéfinition des missions à prévoir • Nouvelles pratiques : • activité physique dans un but de préservation de la santé est en plein développement, • les activités sans cadre structurel.