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La chute de la Nouvelle-France. La raison qu’on parle anglais aujourd’hui !. La guerre de Sept Ans.
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La chute de la Nouvelle-France La raison qu’onparleanglaisaujourd’hui!
La guerre de Sept Ans Les conflits qui opposent les Français et les Britanniques atteignent un sommet durant la guerre de Sept Ans. En 1758, la guerre prennent de l’ampleur lorsque les Britanniques s’emparent (take over) de Louisbourg avec 200 navires et bombardent la forteresse a coups de canon.
Batailles La prise de la vallée de l’Ohio Dans les années 1750 la vallee de l’Ohio est très importante pour la France. Plusieurs forts français sont construits pour faire la traite de fourrures. En 1758 le lieutenant-colonel John Bradstreet s’empare (take over) du fort Frontenac qui appartient aux Français. Quelques mois plus tard, le fort Duquesne tombe aux mains des Britanniques. Les Britanniques peuvent maintenant naviguer librement jusqu’au cœur de la Nouvelle-France.
Prise de Québec Au printemps 1759, le général britannique James Wolfe dirige une campagne pour s’emparer de Québec. Il quitte la Grande-Bretagne avec une force de 49 navires et 9000 soldats. Au mois du juin, sur le fleuve de Saint-Laurent, le General Wolfe doit alors décider du lieu de l’attaque. Les falaises sont très escarpées et Québec trône au sommet. L’endroit est très difficile a attaquer. Le général considère diverses possibilités.
L’attaque de la cote de Beauport A la fin du juillet 1759, Wolfe envoie une force de 4000 soldats attaquer la cote de Beauport, ou la rive descend en pente plus douce. Le commandant français Louis-Joseph de Montcalm, qui s’attendait a cette attaque, met en place une importante force de 10,000 soldats et miliciens canadiens. Les Français tirent et repoussent l’attaque faisant quelque 440 mots parmi les soldats britanniques.
La feinte (trick) de Beauport Le général Wolfe dispose ne partie de ses navires de façon a faire croire aux français qu’il veut de nouveau attaquer la cote de Beauport. Le commandant Montcalm, convaincu qu’une deuxième attaque se prépare, envoie d’autres troupes sur la cote de Beauport.
Le débarquement a l’anse au Foulon A l’origine, le général Wolfe a l’intention d’attaquer la cote de Beauport, mais ils se ravise et décide d’attaquer Québec par l’ouest. C’est un plan beaucoup plus risque puisque ses troupes vont devoir gravir (to scale/climb) une falaise (cliff) a l’anse au Foulon. Il demande s’il peut envoyer ses troupes durant la nuit. S’il réussit, il atteindra le terrain élève juste a cote de Québec. Dans la nuit du 12 au 13 septembre, le général Wolfe envoie une petite troupe s’emparer (to take over) du poste de garde au bas du sentier (path). Des soldats britanniques qui parlent français prétendent apporter un message d’un général français posté en amont (uphill). Les gardes les laissent entrer dans le poste, ou les attaquants les éliminent rapidement. Peu après, James Wolfe arrive avec 5000 au sommet (peak/top) sur les plaines d’Abraham, a l’ouest de Québec.
Les plaines d’Abraham Le matin du 13 septembre 1759, Wolfe se tient devant son armée sur les plaines d’Abraham. Il ne peut pas attaquer Québec, qui est protège par de hauts murs de pierre. Mais, les meilleurs troupes de Montcalm sont sur la cote de Beauport (a la suite de la feinte (trick) de Wolfe).