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VESPA VELUTINA NIGRITHORAX

GROUPEMENT DE DEFENSE SANITAIRE APICOLE De La NIEVRE. SYNDICAT D’APICULTURE NIVERNAIS MORVAN. VESPA VELUTINA NIGRITHORAX. HISTORIQUE.

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VESPA VELUTINA NIGRITHORAX

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Presentation Transcript


  1. GROUPEMENT DE DEFENSE SANITAIRE APICOLE De La NIEVRE SYNDICAT D’APICULTURE NIVERNAIS MORVAN VESPA VELUTINA NIGRITHORAX

  2. HISTORIQUE

  3. Dans une grande partie du sud-est asiatique : nord de l’Inde, Bouthan, Thaïlande, Laos, Vietnam, sud-est de la Chine, Corée du Sud, archipel indonésien…

  4. Et dans la NIEVRE ? Les premiers individus DORNES NEVERS GARCHIZY MOUX EN MORVAN VARENNES VAUZELLES LA CHARITE sur LOIRE

  5. BIOLOGIE ET DESCRIPTION

  6. CLASSE INSECTE ORDRE HYMENOPTERE VESPA VESPA MEGASCOLIA GENRE VELUTINA CRABRO MACULATA ESPECE FLAVIFRONS NIGRITHORAX SOUS-ESPECE Scolie à front jaune

  7. Facilement distinguable du frelon européen, vespa crabro • par sa taille. • par sa couleur caractéristique. L’adulte mesure environ 30 mm de long ; Son thorax est brun foncé ; Segments abdominaux bordés d’une fine bande jaune ; Seul le 4ème segment porte une large bande jaune orangé ; Bout des pattes jaune.

  8. Vespa velutina Vespa crabro

  9. Frelon asiatique

  10. Frelon européen

  11. Vespavelutina

  12. européen

  13. Velutina en vol stationnaire

  14. Vespa crabro

  15. HABITAT ET DESCRIPTIF DU NID • - En majorité dans la frondaison des arbres (40 % des nids) ; • Abris aérés, hangars, granges (30 % de nids) ; • Dans des murs creux, haies, arbres creux… • Son implantation se fait autour du réseau hydrographique ; • Nid en forme de sphère légèrement plus haute que large ; • Un nid moyen mesure 60 à 90 cm de hauteur et 40 à 70 cm de diamètre ; • Une seule entrée située à mi-hauteur ; • - Composé en général de 6 à 7 étages de couvain appelés gâteaux ou strates ; • On a compté jusqu’à 17 000 cellules par nid ; • - La population à l’intérieur varie de 1200 à 1800 individus.

  16. CYCLE DE VIE

  17. L’activité des fondatrices dépend de la température. • Pour qu’il y ait fondation d’une colonie il faut de la nourriture en quantité suffisante. • Les conditions climatiques sont déterminantes. • Il n’y a pas de colonie pérenne. • Une fondatrice n’ est à l’origine que d’une seule colonie par an. • L’année suivante se sont ses descendantes qui deviennent fondatrices. • Une reine = une nouvelle colonie. • On ne connaît pas de prédateur de l’insecte. • L’envol des mâles sexués et des femelles reproductrices a lieu en fin d’été voire début d’automne.

  18. REGIME ALIMENTAIRE

  19. Le frelon n’est en aucun cas un fléau réservé aux apiculteurs et touche bel et bien l’écosystème, y compris le frelon européen.

  20. La part protéinée du régime alimentaire est composée : - à 80 % d’abeilles en zones urbaine, - de 45 à 50 % en zone rurale.

  21. COMPORTEMENT ET RISQUE POUR L’HOMME

  22. Il est peu agressif envers l’homme lorsqu’il est solitaire. • Il n’en est pas de même à l’approche du nid (4 à 5 m). • L’attaque est très rapide, précise, collective et virulente. • quelques cas d’accidents de piqûres multiples laissent à penser que le frelon asiatique pourrait poser des problèmes de sécurité (arboriculteurs, élagueurs, milieu urbain). • les colonies à moins de 8 m sont un réel danger (ballon d’enfants, tondeuse…). • dans les zones fortement colonisées, il est impossible pour certaines professions de dresser leurs étals sur les marchés (poissonniers, bouchers).

  23. La prédation envers les abeilles domestiques est plus importante que pour le frelon européen • Dans le temps (juillet à décembre) • En intensité (toute la journée) Le frelon reste en vol stationnaire aux abords de la ruche, le plus souvent face à l’entrée, et attrape les butineuses qui rentrent chargées de pollen ou de nectar.

  24. Sur place, il décapite sa proie, lui enlève pattes et ailes pour ne garder que le thorax qu’il transporte ensuite au nid. • En début d’hivernage, il entre dans la ruche. Une ruche peut être détruite en une à deux semaines.

  25. L’incidence sur le rucher est de plusieurs ordres : • prélèvement d’abeilles intensif  affaiblit la colonie • - interrompt l’alimentation en pollen, mortalité des larves, arrêt de la ponte, vieillissement de la colonie qui risque de ne pas passer la période d’hivernage • un développement des maladies suite à la mortalité des larves. • Une échelle de risque a été élaborée : • 2 frelons par ruche  une perturbation  l’activité se maintient. • 3 à 5 frelons  une perturbation forte  production nulle, affaiblissement de la colonie. • Plus de 5 frelons  la ruche est condamnée.

  26. Notre abeille domestique n’a aucune défense efficace à ce jour. Elle n’arrive à tuer que quelques individus par piqure en une journée.

  27. IMPACT SUR LA BIODIVERSITE

  28. en zone rurale, le bol alimentaire est constitué en moyenne à 55% d’autres insectes (hyménoptères, autres insectes, vertébrés) qui ont un rôle dans la pollinisation et la chaîne animale. • le frelon pratique un sur-butinage des fleurs, qui produisent alors des fruits non calibrés, donc non commercialisables. • Des arboriculteurs disent avoir du mal à trouver des ruches pour la pollinisation de leurs vergers. • Plus tard dans la saison, il y a une dégradation des fruits par prélèvement de la pulpe en particulier sur les fruits rouges.

  29. CONCLUSION

  30. La communication et la coordination entre les départements sont essentielles pour une luttecollective qui pourra alors devenir efficace. L’organisation et la collaboration entre les services de l’Etat, les structures techniques, syndicales et sanitaires apicoles et agricoles, et les associations environnementales, etc… sont un enjeu majeur de cette réussite La lutte contre Vespa velutina ne doit pas être considérée uniquement comme un problème d’apiculteurs. C’est un geste citoyen, écologique qui concerne tout le monde.

  31. PLAN DE LUTTE CONTRE VESPA VELUTINA

  32. LES MAIRIES LES GDSA LE SANM 21, 58, 71, 89 RELAIS TERRAIN DRAAF Conseil DREAL DDPP SRFD ADAB COORDONNE MUTUALISE SRPV PREFECTURE ONF CHASSEURS APICULTEURS AUTRES PARTENAIRES PLAN DE LUTTE • a) REPOSE SUR : • ADAB • LES GDSA • LES MAIRIES • LA PREFECTURE CONSEIL REGIONAL

  33. GDSA58 SANM - Centralise, vérifie les données, - Transmet - Organise PREFECTURE FICHE SIGNALEMENT DE NIDS MAIRIE Si danger pour la population ordonne DESTRUCTION Avant la fin de l’automne Recensement Référent secteur CNRS INPN-MNHN Propriétaire Tableau interactif PIEGEAGE Société de désinsectisation SDIS Service Département d’incendie et de Secours • Peut être consulté par : • Préfecture • ADAB • etc DESTRUCTION Perches ALERTE GDSA58Tél : 06 13 87 78 85 - 06 12 53 75 53gdsa58@sfr.fr SANM Tél : 06 70 04 56 74 – 03 86 58 25 10 sanm.api@laposte.fr

  34. PROTOCOLE DE PIEGEAGE • PERIODES DE PIEGEAGE : • Mi février à fin mai, • et fin août à fin novembre pour les particuliers • Pas de trêve pour les apiculteurs dans leurs ruchers.

  35. L’APPAT : Le plus efficace reste un mélange de vin blanc, bière, sirop de cassis ou framboise. On peut y ajouter un peu de picon (apéritif). Le mélange bière et vin blanc est un répulsif pour les abeilles. Renouveler l’appât tous les 15 jours sans nettoyer le piège afin de conserver les phéromones déposées par les frelons précédemment piégés. Cela rend le piège plus attractif pour le frelon et répulsif pour les autres insectes.

  36. EMPLACEMENTS PRIVILEGIES Arbres fruitiers, haies fleuries, vignes, points d’eau, tas de bois, poissonneries, parcs, jardins, ruchers… Les pièges sont positionnés entre 1 m et 1,50 m du sol. De préférence au soleil.

  37. TYPES DE PIEGEAGE  Pour un piégeage de masse : A partir des emplacements où des nids ont été cartographiés ou détruits l’année précédente, poser 1 piège à proximité de l’emplacement initial du nid et 2 pièges à l’hectare (100 m / 100 m), puis en s’éloignant et en suivant les ruisseaux et emplacements privilégiés. Pour les apiculteurs : Toute l’année dans les ruchers. Pour les municipalités : Aux abords des parcs, jardins, espaces verts. Pour les particuliers : Poser 1 à 2 pièges dans le jardin en respectant les périodes de piégeage.

  38. MERCI DE VOTRE ATTENTION A suivre….! D’autres réunions et d’autres consignes suivront prochainement… Surtout retenez GDSA: gdsa58@sfr.fr Tél: 06 13 87 78 85 Tél: 06 12 53 75 53 SANM: sanm.api@laposte.net Tél: 03 86 58 25 10

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