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Comparaison des consommations finales d’énergie. En Mtep. Structure de la production électrique. En Mtep. Le renouvellement du parc nucléaire Pour le Ministère de l’Industrie. 40 ans de durée de vie 2 EPR par an mis en service à partir de 2020. Principe de la turbine à gaz à cycle combiné.
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Le renouvellement du parc nucléairePour le Ministère de l’Industrie • 40 ans de durée de vie • 2 EPR par an mis en service à partir de 2020
Les différentes options pour stocker le CO2 Source: "Pour la science", mai 2000.
Les espoirs • La technologie au service de la morale • Assistance technique aux comportements. • Le stockage de l’électricité • Permet une diffusion du véhicule électrique dans les transports, • Permet une meilleure intégration des renouvelables à production intermittente. • La séquestration du CO2. • Permet un maintien des combustibles fossiles dans les grandes installations industrielles, • Permet une production électrique en base comme en pointe à partir du charbon. • Le développement du vecteur hydrogène • Production possible par des centrales nucléaires et des renouvelables, • Impossibilité de production à partir des fossiles sauf stockage massif de CO2, • Impossibilité de réformage embarqué.
Les espaces de choix • La technologie des véhicules de transport avec 3 options principales • Véhicule électrique avec stockage de l’électricité • Véhicule hybride alimenté essentiellement par des biocarburants • Véhicule alimenté à l’hydrogène. • La production électrique • Le nucléaire. Mais difficulté à assurer les pointes sir usages massifs de l’électricité pour des usages thermiques, • Les renouvelables. Mais difficulté de gestion du système si production massive à partir de renouvelables intermittentes. • Ajustement indispensable par des fossiles en cogénération. • Pour relayer le nucléaire en pointe et en semi-base, • Pour compléter les renouvelables à production intermittente.
Valeur du carbone obtenue avec hypothèse de choc des prix sur l’énergie et partage de la rente avec d’autres besoins sociaux En Md€ Valeur du carbone 610 €/tC 239,4 Md€ 137 Md€ 144,4 Md€ 79,8 Md€ 90,5 Md€ 67,4 Md€
Le changement climatique, au-delà des a priori idéologiques • La loi, la réglementation • Les normes d’émission • La réglementation thermique dans les bâtiments • Les standards d’efficacité sur les biens grand public • L’effort de recherche publique • La dépense publique • L’engagement d’investissements publics (infrastructures de transport), • Le soutien financier à la modernisation des secteurs. • La fiscalité • L’écotaxe sur l’énergie pour internaliser les effets externes dans les prix • Les changements de comportements • La qualité des comportements individuels, une composante décisive de la citoyenneté, • Un niveau de culture plus élevé, • Une démocratie de la simultanéité. • L’intéressement du marché
Les mécanismes économiques Un principe commun • Une intervention directive de l’Etat fixe des obligations (économie d’énergie, émissions), • La réalisation d’investissements par les acteurs économiques pour réduire leurs émissions, • Une possibilité d’échange sur le marché entre acteurs ayant des capacités en excédent et ceux qui en manquent. • Les mécanismes du protocole de Kyoto • Les échanges de permis négociables entre états • Les mécanismes de projets • La mise en œuvre conjointe pour les pays en transition, • Le Mécanisme de développement propre pour les pays en développement. • La directive européenne Quota • La directive Quotas sur 6 branches industrielles • Un Plan National d’Allocation de Quotas trop laxiste. • Les certificats • Les certificats verts • Davantage rémunérer l’électricité d’origine renouvelable en fixant une part minimale aux compagnies électriques. • Les certificats blancs • Fixer par décret des obligations d’économie d’énergie aux vendeurs • Les faire rémunérer les économies d’énergie réalisées par leurs clients.
La phase actuelle • Faiblesse des plans nationaux sur le climat des pays de l’Annexe 1 • Substitution par le gaz surtout dans la production électrique • Accélération des progrès dans l’industrie • Relance faible des politiques d’efficacité énergétique dans les bâtiments, • Relance très inégale des renouvelables • Impasse sur les transports • Contournement des comportements individuels. • Des politiques publiques nécessaires au moment où les états les abandonnent • Accidents climatiques,accidents politiques • Le thème du climat devient de plus en plus conflictuel justement parce qu’il est unanimement reconnu comme important par tous
Quel climat voulons nous ? • 4e Rapport de l’IPCC en 2007 • Définir un niveau de réchauffement jugé supportable : 2°C ? • Définir une concentration des gaz à effet de serre (450, 550, 650… ppm pour le CO2) • Convenir de la trajectoire qui y conduit : • Quelle date pour le maximum d’émission ? • Quelle date pour un retour au niveau de 1990 ? • Quelle date pour une division par 2 ? • Fixer l’horizon de la seconde période d’engagement sur la route des objectifs de long terme.
Construire la crédibilité • Convenir d’un objectif de convergence des émissions à long terme, c’est-à-dire des trajectoires de développement • Avancer dans une répartition des objectifs entre pays industrialisés et les pays émergents • Définition des règles d’équité à long terme et à court terme, • Convenir d’un dispositif d’accompagnement crédible pour les pays en développement les plus pauvres • Avancer dans la définition de stratégies à moindre coût • Poser le débat sur les modes de vie dans les pays riches • La qualité des comportements individuels, une composante décisive de la citoyenneté, • Un niveau de culture plus élevé, • Une démocratie de la simultanéité : « Je fais, si tu fais, si nous faisons tous ».
Les progrès à accomplir pour engager la prochaine négociation • Engager des programmes de recherche vraiment concertés • Explorer une division par 4 pour les pays industrialisés • L’engagement indispensable des pays émergents • Comprendre comment dépasser un fonctionnement dans l’ONU au consensus à partir du niveau le plus bas • Développer les accords volontaires entre états et rémunérer les précurseurs • Développer la coopération décentralisée
Les conditions d’un traité viable • Les objectifs de stabilisation du climat à long terme • 450 ppm, 550 ppm ? • Des objectifs positionnés sur ce chemin à plusieurs échelles de temps • Un effort linéaire pour donner la visibilité et réduire les surcoûts • Des règles d’équité à long terme • La convergence des émissions entre états • Un horizon de division par 4 pour les pays industrialisés • L’engagement indispensable des pays émergents • Les bases politiques • Comment dépasser un fonctionnement au consensus ? • Le dépassement des intérêts nationaux par le respect de la règle • Les instruments • Un poids grandissant du débat économique • Un dispositif mondial ou des réponses différenciées ?
Les objectifs d’une phase intermédiaire • Apprendre les mécanismesde Kyoto : cela prendra 10 ans • Aider les pays les plus fragiles à l’adaptation • Développer des programmes sectoriels avec des financements, en parallèle au nord et au sud • La qualité de la construction, • L’électrification rurale et périurbaine avec le souci de lutter contre la pauvreté, • Développer les transports collectifs urbains, • Transport de marchandisessur longue distance. • Dégager les résultats des programmes sectoriels et en tirer des objectifs quantifiés par catégorie de pays • L’Europe, seul espace supranational structuré, c’est-à-dire avec un système d’observance assorti de sanctions
EVOLUTION DES INTENSITES ENERGETIQUES de 1860 à 2000 En tep/1000 $ US 1,4 Zone d'évolution probable dans les pays en développement Japon 1,2 Evolution des maxima Grande-Bretagne 1 Etats-Unis 0,8 Chine Allemagne 0,6 Corée France Brésil 0,4 0,2 0 1860 1880 1900 1920 1940 1960 1980 2000 2020 2040 Source B.DESSUS – J.M. Martin