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CARACTERISATION DES PERFORMANCES D’UN TELESCOPE SOUS-MARIN A NEUTRINOS POUR LA DETECTION DE CASCADES CONTENUES DANS LE CADRE DU PROJET ANTARESF. BernardSoutenance de thèsevendredi 8 décembre 2000Centre de Physique des Particules de Marseille
NOTRE ITINERAIRE ... • Concevoir un télescope à neutrinos de haute énergie :pourquoi,comment, qui ? • Détecter les différentes saveurs de neutrinos :pourquoi,comment, combien ? • Caractériser les performances pour la détection des e : • Construction des outils de simulation • Méthode de reconstruction • Sélection des événements • Performances d’un détecteur de 1000 PMs • Influence de différents paramètres Cadre : détection des νe de HE (>100 GeV) (cascades électromagnétiques contenues) CPPM, 8. 12. 2000
CONCEPTION D’UN TELESCOPE A NEUTRINOS • Concevoir un télescope à neutrinos de haute énergie :pourquoi,comment, qui ? • Motivations scientifiques • Intérêt des • Mécanismes de production • Flux attendus • Principe de détection • Expériences en cours / projet • Présentation d’ANTARES • Détecter les différentes saveurs de neutrinos : pourquoi,comment, combien ? • Caractériser les performances pour la détection des e CPPM, 8. 12. 2000
MOTIVATIONS SCIENTIFIQUES Nombreuses questions ouvertes en Physique des Hautes Energies et en Astrophysique : • Origine des rayons cosmiques de haute énergie ? • Fonctionnement des sources astronomiques ? • Existence de défauts topologiques ? • Nature de la matière noire ? • Oscillations des neutrinos ? • Et bien d’autres . . . il est important de : • sonder l’Univers proche et lointain à très haute énergie ( >100 GeV jusqu’à >1020 eV ), • dépasser les limites des accélérateurs terrestres CPPM, 8. 12. 2000
UNE NOUVELLE FENETRE D’OBSERVATION SUR L’UNIVERS Besoin d’observations, • MAIS ... • Protons : déviés par les champs magnétiques • (sauf > 1019 eV projet AUGER) • Neutrons :courte durée de vie • 1 EeV 10 kpc ( < notre Galaxie !) • Photons : • sensibles à l’effet GZK(limite la vision de l’Univers au-delà de ~10 TeV) • absorbés dans la matière (sources cachées) • manque de contraintes sur les mécanismes de production • limites observationnelles Neutrinos : OPPORTUNITÉ UNIQUE ! CPPM, 8. 12. 2000
p/A + p/A/ 0 + +/K+ + -/K- + ... Particule accélérée Cible -+ ++ + Photons Neutrinos muoniques e++e+ e++e+ Neutrinos électroniques PRODUCTION DE NEUTRINOS DE HAUTE ENERGIE (I) Accélération Cosmique + Cascade Hadronique • Suivant le site d’accélération et la cible, on peut distinguer plusieurs sources : • diffuses et garanties (atmosphère, plan galactique, rayonnement fossile) , • probables galactiques (SNR, binaires X) , • probables extragalactiques (AGN, GRB) , • imprévues ? CPPM, 8. 12. 2000
PRODUCTION DE NEUTRINOS DE HAUTE ENERGIE (II) Sans Accélération (désintégration/annihilation de particules très massives) • Matière noire non baryonique • pourrait être constituée de neutralinos, particule supersymétrique la plus légère • accumulation par gravité au centre de la Terre ou du Soleil et annihilation neutrinos • Défauts topologiques • reliquats possibles des transitions de phase avec brisure de symétrie aux débuts de la formation de l’Univers • exemples : monopôles magnétiques, cordes cosmiques • pourraient s’effondrer ou perdre spontanément beaucoup d’énergie neutrinos CPPM, 8. 12. 2000
e + e + + SPECTRES ATTENDUS Neutrinos atmosphériques Neutrinos galactiques E.d/dE (cm-2 s-1 sr-1) NMB Neutrinos cosmologiques AGN modèles génériques SDSS PRO AGN modèles de blazar MRLB Défauts topologiques EMPRS BHA GAL SIGL COS4 TeV PeV EeV ZeV YeV atm. prédominent Log10(E(GeV)) • Flux attendus faibles et incertains • grande surface de détection: ~ 1 km2 • Séparer les flux cosmiques du fond de atmet discriminer les modèles de cosmiques • résolution en énergie et angulaire CPPM, 8. 12. 2000
Atmosphère Détecteur non contenu Terre Eau ou Glace Cascade contenue e PRINCIPE DE DETECTION • Les neutrinos interagissent avec la matière autour ou dans le détecteur. • Le muon ou la cascade émet de la lumière par effet Čerenkov, dans l’eau ou la glace. • Une matrice 3Dde PMs mesure ce rayonnement Čerenkov. • Temps d’arrivée direction du • Amplitudes énergie du CPPM, 8. 12. 2000
EXPERIENCES EN COURS OU EN PROJET • BAÏKAL : Lac Baïkal, Sibérie, 1100 m, 1998 : NT-200 : 8 lignes, ~ 200 PMs • AMANDA : Pôle Sud, Antarctique, 2000 m, 1997 : AMANDA-B : 10 lignes, ~ 300 PMs2000 : AMANDA-II : 19 lignes, ~ 700 PMs 2008 : ICECUBE : ~ 80 lignes, ~ 5000 PMs • NESTOR : Pylos, Grèce, 3800 m, 1 tour, 168 PMs, en phase R&D • ANTARES : Toulon, France, 2400 m, 2003 : ANTARES : ~ 10 lignes, ~ 1000 PMs CPPM, 8. 12. 2000
LE PROJET ANTARES Un programme de R&D en plusieurs étapes, né en 1996 : • Évaluation des sites • Bruit de fond • Salissure • Transparence • Prototype : prouver la faisabilité technique construction, déploiement, connexion, positionnement acoustique • Simulations informatiques • Télescope de première génération : ~ 1000 PMs, ~ 0.1 km2 CPPM, 8. 12. 2000
y x R = 112 m SCHEMA DU DETECTEUR Station côtière vue de dessus Câble sous-marin électro-optique ~40km module optique hydrophone LCM, compas, inclinomètre flotteur ~60m 2400m 300m actif conteneur pour l’électronique câbles de lecture 100m boîte de jonction CPPM, 8. 12. 2000 ancre balise acoustique
DETECTION DES DIFFERENTES SAVEURS DE NEUTRINOS • Concevoir un télescope à neutrinos de haute énergie : pourquoi,comment, qui ? • Détecter les différentes saveurs de neutrinos :pourquoi,comment, combien ? • Sur le rapport entre saveurs (e / / ) • Classification des types d’événements • Processus, taux et bruits de fond pour chaque type d’événement • Caractériser les performances pour la détection des e CPPM, 8. 12. 2000
SUR LE RAPPORT ENTRE SAVEURS ( e / / ) • Le rapport des flux des différentes saveurs dépend des mécanismes de production et des oscillations de neutrinos • ex: p+p ++p +++p e++e+++p ( e / / ) = ( 1 / 2 / 0 )en tenant compte du mélange, pour des hypothèses d'oscillations vraisemblables, ( 1 / 2 / 0 ) ( 1 / 1 / 1 ) • Les modèles théoriques récents en tiennent compte • D’un côté, le mélange des saveurs diminue les contraintes sur les mécanismes de production, • d’un autre côté, les saveurs autres que sont enrichies. CPPM, 8. 12. 2000
e DETECTION DES DIFFERENTES SAVEURS : CLASSIFICATION DES TYPES D’EVENEMENTS volume de visibilité volume instrumenté CPPM, 8. 12. 2000
atm atm BRUITS DE FOND atm volume instrumenté volume de visibilité CPPM, 8. 12. 2000
Taux d'événements dans le détecteur = FluxSection efficaceTransmission dans la Terre • Pour les e l’interaction e + e- W- résonante à 6.3 PeV résonance de Glashow 1000 HERA SECTIONS EFFICACES CPPM, 8. 12. 2000
UNE CASCADE CONTENUE eN cc , N cn , N cc ( si E 200 TeV ) atm (freinage) atm (désintégration) — atm (ATM) agn (NMB) agn (SDSS) agn (PRO) dN/dlog10(E) (an-1 km-3) Log10(Evisible(GeV)) • Facteur de réjection nécessaire des atm ~ 2000 • atm dominent 10 TeV • au-delà : NMB 2600 événements / an / km3 • SDSS 4100 événements / an / km3 • PRO 240 événements / an / km3 CPPM, 8. 12. 2000
atm (freinage) — atm (ATM) agn (NMB) agn (SDSS) agn (PRO) dN/dlog10(E) (an-1 km-3) Log10(Evisible(GeV)) UNE CASCADE + UNE TRACE N cc , N cc ( si ou E 20 PeV ) • E 10 TeV : NMB 1200 événements / an / km3 • SDSS 1900 événements / an / km3 • PRO 140 événements / an / km3 CPPM, 8. 12. 2000
agn (NMB) agn (SDSS) agn (PRO) dN/dlog10(E) (an-1 km-3) Log10(Evisible(GeV)) DEUX CASCADES (“DOUBLE BANG”) N cc ( si (e ou h) et 200 TeV E 20 PeV ) atm (ATM) • NMB 70 événements / an / km3 • SDSS 300 événements / an / km3 • PRO 40 événements / an / km3 CPPM, 8. 12. 2000
CARACTERISATION DES PERFORMANCES (ANTARES - 0.1 km2) • Concevoir un télescope à neutrinos de haute énergie : pourquoi,comment, qui ? • Détecter les différentes saveurs de neutrinos : pourquoi,comment, combien ? • Caractériser les performances pour la détection des e : • Construction des outils de simulation • Méthode de reconstruction • Sélection des événements • Performances d’un détecteur de 1000 PMs • Rejet du bruit de fond • Volume effectif • Résolution spectrale • Précision angulaire • Spectres reconstruits, nombres d’événements détectés et contributions des trois saveurs • Influence de différents paramètres CPPM, 8. 12. 2000
/ théorique y / ythéorique SIMULATION D’UN EVENEMENT CONTENU • Nous avons besoin d’outils spécifiques • Pour la cinématique, nous avons choisi LEPTO • Des paramétrisations du rayonnement Čerenkov sont employées à très haute énergie, en particulier pour les cascades électromagnétiques • Pour le bruit de fond et pour une extrapolation au km3, il nous faut une simulation simplifiée CPPM, 8. 12. 2000
z [m] Densité de photons émis ( sr-1) xy [m] dif 1- cos θ APPARENCE D’UNE CASCADE CONTENUE • Une cascade = traces ~ colinéairesde faible extension spatiale émission de lumière ~ ponctuelle propagation temporelle = onde sphérique distribution des photons sur un cône • Propagation de la lumière dans l’eau : • longueur d’absorption abs 58.7 0.7 m • longueur de diffusion 249 5 m • Bruit de fond optique (40K) : • 40 kHz de coups aléatoires par PM de 10” ,réduit à 80 Hz par des coïncidences locales , importance du filtrage CPPM, 8. 12. 2000
e METHODE DE RECONSTRUCTION (I) • 3 niveaux de sélection des impulsions : • niveau 2 : amplitude > 3 photoélectrons • niveau 1 : idem + coïncidences locales • niveau 0 : tous les coups d’amplitude > 0.5 pe • Filtrage du bruit de fond optique (40K,…) : • difficulté : conserver un bon rejet du bruit de fond provenant des muons atmosphériques • pour chaque niveau de sélection, estimation du nombre moyen de 40K : NK40 • suppression des NK40 coups qui s’écartent le plus de l’hypothèse d’une onde sphérique • Estimation de la position : Onde sphérique Ajustement des temps d’arrivée 2sph CPPM, 8. 12. 2000
Estimation de la direction : Intersection d’un cône fixe et d’une onde plane Z [m] xy [m] Log10 ( Evraie ) Log10 ( Amplitudes ) METHODE DE RECONSTRUCTION (II) • Estimation de l’énergie : CPPM, 8. 12. 2000
Densité de photons émis ( sr-1) METHODE DE RECONSTRUCTION (III) • Ajustement de la direction et de l’énergie : Utilisation des paramétrisations des cascades électromagnétiques • Ajustement des amplitudes mesurées 2a • Ajustement des MOs non touchés 2p CPPM, 8. 12. 2000
CONDITIONS DES SIMULATIONS • 2 types d ’événements (simulation détaillée) : • e N cc et N cn • Géométrie : • 13 lignes 30 étages ( 60 m 12 m ) • 3 MOs par étage ( 45° sous l ’horizontale ) • Paramètres environnementaux : • l’absorption domine la diffusion • abs = 55 m ( à 466 nm ) • bruit optique continu 40 kHz • Photomultiplicateurs : • Hamamatsu 10” R7081-20 • Résolution temporelle TTS = 1.3 ns • Electronique parfaite ( à 1 ns ) • Positionnement et calibration parfaits CPPM, 8. 12. 2000
SELECTION : DECLENCHEMENT • Fenêtre de déclenchement adaptée à la taille du détecteur 5 s • Minimum de lignes et d’étages sélectionnés : 5 étages 3 lignes • Efficacité du déclenchement : • garde 93% du signal bien reconstruit • rejette 58% du signal mal reconstruit CPPM, 8. 12. 2000
PRESELECTION • Réduire fortement le bruit de fond en utilisant le 2 correspondant à l’hypothèse de sphéricité • Efficacité de la présélection : • garde 87% du signal bien reconstruit • rejette 51% du signal mal reconstruit • rejette 97% du bruit de fond CPPM, 8. 12. 2000
SELECTION : SPHERICITE • Optimisation de la coupure précédente : 2sph sphéricité de la lumière reçue • Efficacité de cette condition : • garde 85% du signal bien reconstruit • rejette 99.2% du bruit de fond CPPM, 8. 12. 2000
SELECTION : PMs NON TOUCHES • Coupure optimisée sur : 2p compatibilité entre l’hypothèse d’une cascade contenue et les MOs non touchés • Efficacité de cette condition : • garde 96% du signal bien reconstruit • rejette 97% du bruit de fond CPPM, 8. 12. 2000
SELECTION : AMPLITUDES MESUREES • Coupure optimisée sur : 2a compatibilité entre l’hypothèse d’une cascade contenue et les amplitudes mesurées • Efficacité de cette condition : • garde 64% du signal bien reconstruit • rejette 98% du signal mal reconstruit • rejette 98.9% du bruit de fond CPPM, 8. 12. 2000
SELECTION : VOLUME FIDUCIEL événements montants événements descendants • Efficacité de cette condition : • garde 56% du signal bien reconstruit • rejette 95% du signal mal reconstruit • rejette 99.99% du bruit de fond CPPM, 8. 12. 2000
REJET DU BRUIT DE FOND • Efficacité globale des coupures précédentes : • garde 24% du signal bien reconstruit • rejet du signal mal reconstruit 1.5 103 • rejet du bruit de fond 4.3 106 • Estimation du rejet du bruit de fond limitée par les statistiques simulées • Aucun événement reconstruit et accepté par l’analyse • limites à 90% de niveau de confiance par décade d’énergie ( représentées ci-après, avec les spectres reconstruits ) • Rejet efficace au moins au-delà de 10 TeV • Si l’on relâche légèrement toutes les coupures, ces limites supérieures deviennent des taux effectifs. CPPM, 8. 12. 2000
VOLUME EFFECTIF DE DETECTION • L’efficacité de détection • est quantifiée par le volume effectif • dépend de l’énergie et de l’angle zénithal • seuil : ~ 200 GeV (e N cc), ~ 1 TeV ( N cn), • volume effectif max : ~ 8 10-3 km3 (10 TeV 1 PeV) • légère diminution (-30%) au-delà du PeV • efficacité isotrope pour des ascendants, -50% pour des descendants verticalement 4 sr CPPM, 8. 12. 2000
RESOLUTION EN ENERGIE Résolution sur E : ~ 14 % indépendante de l’énergie résolution sur E pour les muons traversants : facteur 3 à basse énergie, facteur 2 à haute énergie CPPM, 8. 12. 2000
PRECISION ANGULAIRE Résolution sur (,) : ~ 1-2 entre 1 TeV et 1 PeV Plus précisément : médiane (e N cc) = 1.8 , médiane ( N cn) = 1.3 résolution sur (,)pour les muons traversants ~ 0.2 CPPM, 8. 12. 2000
SPECTRES RECONSTRUITS e N cc , N cn , N cc atm (freinage) (lim. sup. 90%CL) atm (désintégration) (lim. sup. 90%CL) — atm (ATM) agn (NMB) agn (SDSS) agn (PRO) dN/dlog10(E) ( an-1 ) Log10(Ereconstruite(GeV)) Nombres moyens d’événements par an, avec Erec 100 GeV 1 TeV 10 TeV 100 TeV 1 PeV ATM 26 11 1 0.05 10-3 NMB 30 29 19 6 0.4 SDSS 33 32 24 10 1 PRO 1 1 1 0.8 0.2 CPPM, 8. 12. 2000
EFFETS SYSTEMATIQUES DE DIFFERENTS PARAMETRES • Différentes hypothèses utilisées dans les simulations sont peut-être trop optimistes étudier les effets systématiques de ces paramètres sur les performances obtenues • Nous avons étudié l’effet des paramètres suivants en employant des valeurs pessimistes • Séparation des coups successifs(30 ns) pas de dégradation des résultats • Saturation des amplitudes (50 pe) résolution spectrale devient ~ 22 % volume effectif diminue d’environ 70 % au-dessus de quelques PeV CPPM, 8. 12. 2000
5 8 10 15 EXTRAPOLATION POUR LE km3 • Pour discriminer les modèles astrophysiques et étudier des sources ponctuelles, il faut ~ 100 lignes • Comparaison des volumes effectifs à résolution angulaire et spectrale équivalente, pour le détecteur précédent(A)et deux extrapolations : • (B) 100 lignes 60 m 28 étages 12 m • (C) 100 lignes 100 m 28 étages 20 m C B A CPPM, 8. 12. 2000
CONCLUSIONS • Nous avons caractérisé les performances d’un télescope sous-marin de 1000 PMs pour les e de haute énergie : • Adaptation des outils de simulation • Mise au point d’une méthode de reconstruction et de sélection des événements • Efficacité de détection : • seuil : ~ 200 GeV • volume effectif : ~ 8 10-3 km3(10 TeV 1 PeV) • ouverture angulaire : 4 sr • Résolution spectrale (E) : ~ 14 % • Précision angulaire (,) : ~ 2 • Rejet efficace du bruit de fond • Taux d’événements d’origine cosmique : • ~ 30 / an (modèles NMB ou SDSS) CPPM, 8. 12. 2000
EVALUATION DES SITES (I) • 1- Bruit de fond • pics( ~ 0.1-1 MHz ) : biolum. excitée 3-4 temps mort • continu ( ~ 40 kHz ) :40K + biolum. coïncidence temporelle locale (20 ns) taux < 80 Hz • 2- Salissure • dépôt d’un film bactérien + sédimentation diminutionde la transparence des MOs • à l ’horizontale 1.5 (en 8 mois) • effet faiblesi les PMs regardent vers le bas CPPM, 8. 12. 2000
dif 1- cos θ EVALUATION DES SITES (II) • 3- Transparence de l’eau • mesure avec une LED pulsée ( = 460 nm) à 24 m età 44 m • longueur d’absorption abs 58.7 0.7 m • longueur de diffusion 249 5 m • angle moyen de diffusion cos θ 0.79 0.03 CPPM, 8. 12. 2000
RESOLUTION ANGULAIRE Signification statistique FWHM FWHM (e N cc) : 2.0 FWHM ( N cn) : 1.2 Rayon du pixel (e N cc) : 1.9 Rayon du pixel ( N cn) : 1.3 CPPM, 8. 12. 2000
N cc N cn N cn e N cn e N cc N cc N cn N cn e N cn e N cc Log10(Ereconstruite(GeV)) CONTRIBUTIONS DES DIFFERENTES SAVEURS CPPM, 8. 12. 2000
Volume effectif par rapport au cas d’une électronique parfaite Log10(E(GeV)) INFLUENCE DE LA SATURATION ET DE LA SEPARATION DES IMPULSIONS • Séparation pessimiste des coups successifs pas de dégradation des résultats • Saturation pessimiste des amplitudes résolution spectrale devient 22 % volume effectif diminue d ’environ 70 % au-dessus de quelques PeV CPPM, 8. 12. 2000
PERSPECTIVES • L’astronomie neutrino est en train de naître grandes potentialités de découverte • Les premiers muons ascendants issus de atm ont été observés principe validé • La détection de e semble possible suscite des études complémentaires • reconstruction du “double-bang” • séparation des 4 topologies • détecteurs de deuxième génération ( ~ 1 km3 ) • couverture de l’ensemble de la voute céleste et coordination des différents projets internationaux. CPPM, 8. 12. 2000
RESOLUTION EN ENERGIEANOMALY (I) ? CPPM, 8. 12. 2000
RESOLUTION EN ENERGIEANOMALY (II) ? CPPM, 8. 12. 2000