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Jeanne d'Arc. Monica A Brideau & Tracy Brideau. Présenté à Mme Nadine Basque pour le cours de Science-Humaines, 8e anné. Jeanne d’Arc dit la Pucelle.
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Jeanne d'Arc Monica A Brideau & Tracy Brideau Présenté à Mme Nadine Basque pour le cours de Science-Humaines, 8e anné
Jeanne d’Arc dit la Pucelle Jeanne d’Arc était le sujet central du roi d’Angleterre, Henri VI. Il a eu le grand plaisir à faire un portrait de la Pucelle comme étant « une devineresse mensongère1 », il semble alors que c’est assez sensé de faire la lumière sur sa vie, de son enfance jusqu’à sa mort, en passant par ce qu’elle à fait.
Son enfance L’enfance de Jeanne d’Arc est une partie de sa vie essentielle pour expliquer des documents car son enfance explique pourquoi Henri VI à envoyer une lettre à l’empereur du Saint Empire romain germanique. On croit que c’est dans le petit village de Domrémy qu’est née Jeanne d’Arc. On pense que sa naissance avait eu lieu le jour de l’Épiphanie, le 6 janvier 1412. Jeanne était la fille de Jaques d’Arc et d’Isabeau Vauthon, un couple de laboureurs du village ou Jeanne est née, situé dans la vallée de la Meuse. Domrémy se trouvait aux frontières du duché de Bourgogne et du Saint Empire romain germanique (Sacrum Imperium Nationis Germanicae). Cette ville frontière est très intéressante parce qu’elle explique probablement pourquoi le roi Henri VI d’Angleterre adresse sa lettre à l’empereur Sigismond de Luxembourg. Malgré qu’elle avait la réputation d’être très forte, Jeanne d’Arc a toujours été très croyante et faisait preuve d’une grande bonté. Elle connaissait très bien ses prières « Notre Père », « Je vous salut Marie » et « Je crois en Dieux » même si elle ne savait ni lire, ni écrire. Elle aimait beaucoup aller en promenade dans les champs avec ses amies où elles allaient parfois prier. Quand elle fut assez âgée, Jeanne aidait sa mère et cultivait les champs avec ses frères. Jeanne d’Arc était reconnue parce qu’elle se confessait et communiait souvent et parce qu’elle pratiquait l’aumône aux pauvres2.
Ses « Voix » Les « voix » que Jeanne d’Arc entendit lors de son séjour à Neufchâteau furent l’élément déclencheur de sa mission. Elles étaient aussi un des moyens pris par les ennemis (Henri VI et ses juges) pour la faire monter au bûcher parce qu’ils la voyaient comme une femme superstitieuse. Vers 1425, les habitants de Domrémy durent quitter, pour la première fois, leur village à cause de l’arriver des troupes bourguignonnes. Les villageois allèrent se réfugier à Neufchâteau. Jeanne fessait partie des villageois réfugiés et c’est pendant quelle était à Neufchâteau quelle entendit les « vois » pour la première fois. Ces « voix » étaient celles de Saint-Michel-l’Archange, de Sainte-Catherine et Sainte Marguerite, selon ce qu’avait dit Henri VI dans la lettre de l’empereur Sigismond, Jeanne d’Arc aurait été témoin de leur apparition et celle de plusieurs anges. Ces « voix » lui ordonnaient de chasser les Anglais de France et de faire bénir Charles à Reims. Les « voix » lui on aussi dit que cette mission lui était confiée par Dieu, ce qu’Henri VI trouva très prétentieux de sa part, et qu’elle se devait de l’accomplir. Aussi, quand fut le moment venu « elles » lui dirent qu’il était temps de rencontrer, à Vaucouleurs, le capitaine du roi, Robert de Baudricourt. Sainte-Marguerite et Sainte-Catherine lui avait dit qu’elle serait repousser plusieurs fois par celui-ci, mais avec sa persévérance, un jour, il céderait.
La réalisation de sa mission Les combats de Jeanne d’Arc, pour son royaume, furent d’une grande aide pour celui-ci. Mais, du point de vue d’Henri VI, Jeanne devenait une vraie menace, sa popularité et ses victoires agaçaient les autorités anglaises et ecclésiastiques. Quand arriva le moment, les « voix » dirent à Jeanne qu’il était le temps de rencontrer le capitaine Baudricourt. Jeanne essaya d’avoir une conversation avec le capitaine, mais à chaque fois il renvoyait Jeanne chez elle en la traitant de folle. Le 12 février 1429, elle essaya à nouveau de le rencontrer et, avec la pression que les partisans de Jeanne d’Arc, il accepta de la rencontrer après qu’elle avait gagné une séance d’exorcisme. Lors de cette rencontre, Jeanne essaya de le convaincre de lui offrir une escorte pour aller rejoindre Charles VII à Chinon. Le Capitaine Baudricourt accepta. Jeanne et son escorte prirent 11 jours pour traverser la distance entre Vaucouleurs et Chinon. Mais Charles VII était très prudent au sujet la recevoir car sa réputation déjà salie, aurait pu en souffrir. Il accepta de la rencontrer quand même car Jeanne réussit à le reconnaître même si l était caché par ses courtisans. Jeanne avait déjà vu son portrait, alors il existe un doute sur la manifestation divine qui aurait inspiré Jeanne.
La réalisation de sa mission (suite) Pendant un entretien spécial, elle réussit à le convaincre qu’elle ne dévoilerait pas sa mission, donnée par les « voix », pendant sont procès. Charles, avant de lui donner une armée, lui fit passer un interrogatoire par des théologiens de l’université de Poitiers. C’est à ce moment qu’elle a fait ces quatre prédictions: 1- les Anglais lèveront le siège d’Orléans, 2- le roi sera sacré à Reims, 3- Paris sera reprise par Charles VII et 4- le duc d’Orléans sera libéré par les autorités anglaises. Après cet interrogatoire, Jeanne dut passer un examen de virginité, exigé par Charles. Le résultat de cet examen était positif, Jeanne était bien vierge, et c’était sûrement grâce à cela que « le vulgaire la surnomma la pucelle », comme Henri VI l’a écrit dans sa lettre. Après qu’elle a été obligée à une enquête de moralité, le roi lui donna la permission de participer aux opérations militaires. Avant de partir pour sa première mission, qui était de lever le siège d’Orléans, elle s’est équipée d’une banderole avec « Jhesus Maria » d’écrit dessus, une armure complète, une épée qui avait été trouvée dans la chapelle de Ste-Catherine-de-Fierbois, d’un écuyer3 de deux pages4 et d’un chapelain5. Que Jeanne est choisie de porter une armure dérangea beaucoup de personnes, même le roi Henri VI, qui a dit qu’elle allait à l’opposé de la mesure naturelle humaine en portant l’habit d’homme.
La réalisation de sa mission (suite) Son « entreprise » militaire à commencer par lever le siège d’Orléans, Celle-ci était défendue par Suffolk et Talbot le 8 mai 1429. Cette première victoire donna confiance aux troupes de Jeanne d’Arc, et cette victoire se répéta quand ils prirent l’emprise successive de Jargeau, de Meung, Beaugency et Patay, le 18 juin 1429. Ces victoires firent un « tabac » en France et Jeanne d’Arc devenue de plus en plus populaire. Les succès des missions continuèrent par les emprises de Troyes, d’Auxerre et de Châlon, qui a permis l’ouverture de la route de Reims. Donc, le 17 juillet 1429, à Reims, fut sacré Charles VII selon le cérémonial traditionnel par l’évêque du même endroit. Cette cérémonie était importante car elle affirmait la légitimité du roi, qui avait été doutée par sa propre mère, Isabeau de Bavière. Le 18 septembre 1429, Jeanne fut blessée à l’entrée de Saint-Honoré en assaillant de prendre possession de Paris. D’autres actions militaires ont amené l’armée de Jeanne à la prise de St-Pierre-le-Moûtier, mais ces opérations ont étés suivies par la perte devant La Charité-sur-Loire en décembre 1429. Le 24 décembre de la même année, Jeanne et sa famille ont reçu un titre de noblesse par Charles VII. Pendant l’hiver 1429-1430, Jeanne fit des arrêts à Bourges et Sully. C’est probablement a cause de cette série d’événements entre Français et Bourguignons, qui avaient été enseignés par Jeanne d’Arc, dont Henri VI parlaient de lorsqu’il disait que Jeanne était la responsable de « massacres humains » et qu’elle a obligé « à nos gens plusieurs défaites » et « apporté à nos royaumes beaucoup de dommages ».
De sa capture à son arrestation La capture de Jeanne ne l’avait pas surpris car les « voix » lui avaient dit qu’elle serait capturée. Mais sa capture à Compiègne réjouissait plus d’une personne, par exemple, le duc de Bourgogne qui se dépêcha d’annoncer la grande nouvelle aux habitants de St-Quentin, et le roi Henri VI était aussi très content de la capture de Jeanne. Ce fut une immense bonne nouvelle pour les Bourguignons et les Anglais. Le soldat qui avait capturé Jeanne était joyeux qu’il s’est pris pour un roi. Les Anglais ont fait des grands cris et des sauts, car ils ne craignaient aucun chef de guerre comme la Pucelle. Pour sa part, le roi d’Angleterre avoua son soulagement à l’empereur quand, plus tard, Jeanne lui fut confiée en disant qu’enfin « la divine clémence a mis cette femelle en nos mains et notre puissance. » Il semblerait que Jeanne a été capturée à cause de deux hommes, Flavy et l’archevêque de Reims, Régnault de Chartres. Jeanne d’Arc avait seulement peur que d’une chose dans toute son entreprise militaire, c’était que quelqu’un la trahisse, et malheureusement pour elle, elle avait été capturée à cause de ses « faux frères d’armes. » La haine que ressentait Régnault de Chartres contre Jeanne, pourrait être à cause qu’il n’a jamais essayer de négocier avec Jean de Luxembourg, le chef bourguignon qui gardait prisonnière Jeanne. Au lieu d’aider Jeanne à se faire libérer, il aurait écrit une lettre aux Rémois pour leur présenter des causes de la capture de Jeanne pour pas qu’ils ne la libèrent. Il rappela aussi que la capture de Jeanne ne changeait rien, car un jeune berger du Gévaudan venait de dévoiler qu’il en ferait autant qu’elle. En résumé, cela veut dire qu’on ne pouvait rien faire contre la capture de Jeanne, mais qu’il ne fallait pas s’inquiéter, car elle avait déjà un remplaçant. En réalité, le jeune berger du diocèse de Mende était un fol et innocent berger que les Anglais ont capturé, enfermer dans un sac et ils l’ont jeté au fond de l’eau. C’était la contribution de l’évêque de Reims.
De sa capture à son arrestation (suite) Mais qu’est-ce qui était vraiment les accès possibles pour Jeanne, une fois prisonnière du duc de Bourgogne? Malgré les évasions qu’elle essaya, Jeanne pouvait rester indéfiniment prisonnière du duc de Bourgogne, elle pouvait être vendue à Bedford après une série de négociations, ou elle pouvait être retournée à la France par traité ou rançon. Il est certain que tout le monde pensait que Charles VII allait libérer celle qui lui avait rendu son trône, mais aucune trace de documents qui démontrerait que Charles VII aurait fait quelque chose pour la sauver n’a été trouvée. Abandonner par ses alliés, Jeanne, prisonnière de Jean de Luxembourg, fut premièrement enfermée au château de Clairvoix, ensuite au château de Beaulieu en Vermandois, où elle rata une fuite. Elle fut ensuite transférée à Beauvoir où elle essaya de nouveau de s’évader en sautant d’une tour mais, cette fois, on expliqua ce geste comme une tentative de suicide. Vers la fin du mois d’octobre 1430, Jeanne d’Arc changea à nouveau de lieu de détention; elle était ensuite emprisonnée au château d’Arras, dans le duché de Bourgogne. Entre temps, l’évêque de Beauvais avait été « choisi » pour guider le procès de Jeanne en tant qu’inquisiteur. Mais un problème s’en venait pour Pierre Cauchon, il n’avait pas la permission pour rester à Rouen. Pour pouvoir y rester, il demanda au chapitre pour en avoir une, et il en reçu une en peu de temps.
De sa capture à son arrestation (suite) La livraison de Jeanne aux autorités ecclésiastiques était la dernière fois qu’elle se faisait transférer avant le début de son procès. Le roi Henri VI tenue parole à son engagement, et il le démontra dans une lettre qu’il avait écrite pour Pierre Cauchon, et voici ce qu’il lui avait écrit: « Henri, par la grâce de Dieu, roi de France et d’Angleterre octroie que toutes et quantes fois que bon semblerait au Révérend Père en Dieu, Évêque de Beauvais, icelle Jeanne lui fût baillée et délivrée réellement et de fait par ses gens et officiers qui l’ont en leur garde, pour icelle interroger et examiner et faire son procès, selon Dieu, la raison, les droits divins et les saints canons. » Environ vers la mi-décembre, Jeanne fut finalement transférée au château du Bouvreuil, à Rouen où les gens l’attendaient. Pour eux elle était: « une femme qui se fait appeler Jeanne la Pucelle, laissant l’habit et vêtures de sexe féminin, s’est contre la loi divine, comme chose abominable à Dieu, réprouvée et défendue de toute loi, vêtues, habillée et armée en estat d’habit d’homme. »
Du procès au bûcher Henri VI mit le sort de Jeanne d’Arc entre les mains de la juridiction ecclésiastique comme il l’avait dit dans sa lettre: « Nous avons aussitôt ladite femme au jugement de la sainte mère l’église. » Le grand rôle de l’Église pendant le procès de Jeanne d’Arc n’était pas là pour rien. Étant donné qu’elle avait la réputation d’avoir commis des crimes « graves et scandaleux aux préjudices de la foi orthodoxe et de la religion chrétienne », avait écrit Henri VI, l’Église devait absolument être présente pour jugé par eux-mêmes ce qui allait ce passer. En plus, il a dit que, l’évêque du diocèse où elle fut prise, fera partie des juges. À partir du 9 janvier 1431, l’évêque du diocèse de Beauvais, Pierre Cauchon, commença le procès de Jeanne d’Arc. Il avait pris la peine de s’entourer d’amis et de faire sûre que plusieurs personnes présentes était « supposément » témoins. Comme Henri VI a mentionné dans sa lettre: « Cauchon joignit le vicaire de l’inquisiteur de la perversité hérétique de France à Rouen, le dominicain Jean le Maître, dans le juré du procès car lui aussi était contre Jeanne ». L’évêque de Beauvais et le dominicain était les deux seuls membres du juré. Il y eut aussi plusieurs conseillers et assesseurs, comme par exemple Gilles de Duremort, abbé de Fécamp, conseiller du petit roi anglais, Nicolas Le Roux, abbé de Jumièges, Pierre Miget, prieur de Longueville-Giffard, pour en nommer quelques-uns. Henri VI pris la peine, lorsqu’il a écrit sa lettre, de bien préciser les plusieurs personnes qui, ont fait condamner Jeanne d’Arc. Toutes les cartes du jeu se retrouvaient contre la Pucelle Les dés étaient jetés, il ne restait plus qu’à suivre le plan déjà préparé par Pierre Cauchon et ses amis. Jeanne était désormais prévenue de ses délits contre la foi religieuse.
Du procès au bûcher (suite) Pierre Cauchon et ses complices n’avaient pas de chef d’accusation à porter contre Jeanne, mais il fallait l'accuser à tout prix. Le premier interrogatoire de Jeanne était diviser en six parties. Il y eut une pause d’une semaine quand Jean Cauchon garda conseil pendant six jours dans sa propre maison. Il y eut un deuxième interrogatoire qui avait aussi été suivi d’une étude des conclusions dans la maison de l’évêque de Beauvais qui s’est passer entre le 21 février et le 25 mars 1431. Pendant ce temps, Jeanne fut enfermée dans un château de Rouen (Bouvreuil) vers le 9 janvier 1431. Ses ennemis avaient tellement peur qu’elle s’enfuie, qu’ils ont fait bâtir une cage très solide et y enfermèrent Jeanne. Dans cette prison du château, elle était liée par les mains, le col et les pieds. Par chance, cette horrible sentence a été courte car vers le 21 février, le tribunal la mit entre les mains de trois hommes dignes de confiance: Jean Gris, Jean Berwoit et Guillaume Talbot. Ils devaient faire sure qu’elle soit fidèlement gardée prisonnière et que personne ne puisse la voir ni lui parler, alors ils jurèrent tous les trois sur la Bible. En plus des trois nobles comme gardiens, Jeanne eut cinq soldats qui la surveillaient jour et nuit.
Du procès au bûcher (suite) Du 18 mars au 25 mars, les juges du procès de la Pucelle ont fait les conclusions des interrogatoires. Le 18 mars, Pierre Cauchon convoqua pour une seconde fois ses assistants (environ une douzaine). L’évêque-juge leur lut ses propositions. Le problème était que l’interrogatoire était fini depuis seulement 24 avant. Comment avait-il pu décider en si peu de temps des propositions? Pourtant, les adjoints de Jeanne devaient se retrouver le samedi 24 mars pour lui lire leurs dépositions. Jeanne ne fit pas de commentaire appart qu’ils avaient oublié de mentionner le nom de sa mère. Le lendemain, le 25 mars, on proposa à Jeanne de laisser ses vêtements d’homme de coté pour qu’elle puisse assister à la messe de Pâques. Cette permission était un gros piège, et Jeanne le déjoua. Elle savait qu’ils voulaient qu’elle quitte son habit d’homme et qu’ils voulaient le garder. C’est à cause qu’elle refusa de quitter l’habit d’homme (car elle avait peur de se faire violer) et de ne pas être présente à la messe de Pâques que ses ennemis eurent des éléments supplémentaires pour l'accuser. Du 26 au 28 mars, D’Estivet, un de ses adjoints, avait écrit les 70 articles qui lui reprochaient d’avoir porter des vêtements d’homme, sa tentative de suicide, ses visions (que d’après lui seule la sorcellerie pouvait en être la cause), son refus d’obéissance à l’Église militante et plusieurs crimes mineurs. C’est avec ces articles que les docteurs et les maîtres de l’université de Paris, comme l’écrit Henri VI dans sa lettre, que le 14 mai 1431, les célèbre 12 articles furent déposés. Voici ce qui démontre très bien l’énorme complot qu’ils ont préparé contre Jeanne d’Arc.
Du procès au bûcher (suite) Le 24 mai, au cimetière de St-Ouen, Jeanne d’Arc renia devant le public. Pourtant, lorsqu’elle signa par une croix le papier où elle renie ses fautes, elle souriait, car elle préférait la prison de l’Église à ses gardiens anglais. Elle avait été obligée de choisir entre reprendre l’habit de la femme ou signer le papier et monter sur le bûcher. Elle fut tellement déçue et trahie lorsqu’on la ramena à son ancienne prison. Comme elle avait accepté de reprendre l’habit de femme, elle était à la portée des Anglais. Ils l’on battu, insulter, violer. Elle avait tellement peur de ce faire battre à nouveau, qu’elle reprit l’habit d’homme le 27 mai, ce qui donna le résultat tant voulut par ses ennemis. Elle venait enfin de tomber dans leur piège. Comme le mentionne Henri VI, en plus d’être « superstitieuse, devineresse, idolâtre6, invocatrice de démons7, blasphématrice8 envers Dieu, schismatique9 et fort errante en la foi de Jésus-Christ10 », elle fut déclarée hérétique11 et relapse12. Il n’y avait plus d’espoir pour Jeanne. Elle fut condamnée au bûcher le 30 mai 1431, sur la place du Vieux Marché de Rouen. Telle était sa foi en Dieu, telle était sa majesté d’âme. Voici les dernières paroles de Jeanne d’Arc : « Jésus! Jésus! Jésus! Je ne suis ni hérétique13, ni une schismatique14. Oh saints du paradis! Saint Michel! Sainte Catherine! Sainte Marguerite! Mes « Voix » furent de Dieu. Tout ce que j’ai fait fut de l’ordre de Dieu. Mes révélations étaient de Dieu. Jésus!… » Jeanne d’Arc, dit la Pucelle, venait de mourir après avoir dit ces paroles. Une jeune fille « sainte » venait d’être sacrifiée car elle était devenue un danger politique. On la craignait parce qu’elle avait combattu contre des hommes et on était jaloux de ses succès. Son corps avait été brûlé mais, semble-t-il, son cœur demeura rouge, couleur du sang. Le bourreau15 prit peur et jeta ses restes dans la Seine.
Conclusion En résumé, l’arrivée de Jeanne d’Arc a beaucoup influencé le déroulement de la guerre de Cent Ans, particulièrement vers la fin. En effet, Jeanne a permis au roi Charles VII de retrouver sa couronne et, grâce à elle, les Anglais on perdu plusieurs batailles. Elle a toujours cru en sa mission divine, elle ne l’a jamais reniée, même au moment de sa condamnation. La situation dans lequel elle dut diriger sa mission n’était pas toujours facile. Ils étaient « prudent par distance sociale et culturelle (du côté français) et opposé à cause des formes militaires et politiques de son action (du côté anglais) ». Ainsi, comme l’a écrit Henri VI dans sa lettre, Jeanne fut condamnée au bûcher car on la croyait dangereuse pour la population.
Mots compliqués 1) devineresse mensongère: prophète menteuse 2) l’aumône aux pauvres: la charité aux pauvres 3) écuyer: un cavalier 4) pages: un prêtre 5) un chapelain: un curé 6) idolâtre: adorer quelqu’un 7) invocatrice de démons: (réincarnation de démon) 8) blasphématrice: infidèle 9) schismatique: personne qui participe à une cérémonie religieuse 10) fort errante en la foi de Jésus-Christ: (qu’elle trahissait la foi de…) 11) hérétique: (traite) 12) relapse: incroyante 13) hérétique: traître 14) schismatique: insoumis 15) Le bourreau: un exécuteur
Ce que nous avons apris Nous avons appris ce qu’était vraiment l’histoire de Jeanne d’Arc et tout ce qu’elle a fait. Toutes les femmes devraient prendre exemple sur elle car c’était une femme courageuse, fonceuse et déterminer. Aucune femme ne devrait avoir peur de faire ce que les hommes font car nous sommes tous égaux et nous sommes toutes capables de ce qu’ils font.
Bibliographie Textes: http://www.geocities.com/CollegePark/Classroom/3062/jeannedarc.htm#Son%20enfance Photos: http://www.geocities.com/CollegePark/Classroom/3062/jeannedarc.htm#Son%20enfance