E N D
3. Définition « physiopathologique » (1)
7. Définition clinique ( 2 )
9. Signes cliniques - Marbrures ( genoux, extrémités )
- Extrémités froides et cyanosées (mains, pieds,oreilles).
11. L’exploration hémodynamique est justifiée dans 2 circonstances ( toujours en milieu spécialisé de Réanimation )
12. Cathéter central et/ou Sonde de Swan-Ganz :
POD < 3 mmHg
- Pressions de remplissage : PAPm = 15 mmHg
PCP = 10 mmHg
- Débit cardiaque (thermodilution) :
13. On déduit de ces grandeurs - l'index cardiaque : Iq= DC/S 2,5-3,5 l.min-1.m-2
- le volume d ’éjection systolique = Iq/F 35-50 ml.m-2
14. CaO2 = (Hb x SaO2 x 1,34) + (0,03 x PO2)
CvO2 = (Hb x SvO2 x1,34) + (0,03 x PvO2)
ml/100 ml g/100 ml Torr
GRANDEURS METABOLIQUES
15. DaVO2 =
DaVO2 =
17. ETIOLOGIE DES CHOCS 1 - Hypovolémie :
a - vraie pertes liquidiennes - hémorragies
18. Choc par hypovolémie vraie Hémorragies externes :
lésions artérielles, veineuses, cutanés, musculaires
19. Choc par hypovolémie vraie
20. - de l'intensité de l'hypovolémie : > 50 % décès
21. ETIOLOGIE DES CHOCS 1 - Hypovolémie :
a - vraie pertes liquidiennes - hémorragies
b - relative par vasoplégie ( choc distributif ) :
22. Choc anaphylactique • Collapsus succédant à l’administration du médicament.
• Associé à des signes d’allergie :
érythème, prurit
Œdème de Quincke (dyspnée inspiratoire)
bronchospasme (dyspnée expiratoire)
• Choc « chaud »,vasoplégique
24. ETIOLOGIE DES CHOCS 1 - Hypovolémie :
a - vraie pertes liquidiennes - hémorragies
b - relative par vasoplégie ( choc distributif ) :
25.
26. ETIOLOGIE DES CHOCS 1 - Hypovolémie :
a- vraie
b- relative par vasoplégie :
2 - Septique
27. Choc septique - Le diagnostic est clinique :
28. Choc septique - démarche diagnostique -
29. Le choc septique peut s'accompagner d'une défaillance multiviscérale - Atteinte cérébrale fonctionnelle : encéphalopathie.
- Insuffisance respiratoire aiguë : oedème lésionnel.
- Insuffisance rénale aiguë : fonctionnelle ou organique.
- Atteinte hépatique : ictère à bilirubine mixte.
- Atteinte digestive : ulcérations de stress et cholécystite alithiasique.
- Troubles de l'hémostase : thrombopénie ou CIVD.
30. L’atteinte respiratoire aiguë du choc septique 3 - opacités radiologiques alvéolaires bilatérales,
± épanchement pleural.
31. L’atteinte rénale aiguë du choc septique
32. GAZ DU SANG (fémorale, radiale) : pH < 7,40
IONOGRAMME SANGUIN : indosés anioniques
IA = (Na+ + K+) - (Cl- + HCO3-) L’acidose métabolique du choc septique
33. - Ictère à bilirubine mixte ( conjuguée et libre ).
- Cytolyse : élévation isolée des transaminases :
- Rarement insuffisance hépato-cellulaire. L’atteinte hépatique du choc septique
34. Thrombopénie isolée ( plaquettes < 100000/mm3 )
Thrombopénie associée à une CIVD :
Diminution de la protéine C activée
Diminution du fibrinogène ( < 2g/l )
Baisse du TP et du facteur V ( < 50 % )
D-dimères positifs Les anomalies de la coagulation au cours du choc septique
35. - augmentation de l'index cardiaque : > 3,5 l.min-1.m2
- résistances systémiques basses : < 1500 d.s-1.cm-5.m2
- pressions de remplissage basses : PcP < 10 mmHg
Les anomalies hémodynamiques au cours du choc septique
36. Choc septique Principes de traitement
37. Les catécholamines comme traitement symptomatique des états de choc
38. Choc septique Principes de traitement
39. ETIOLOGIE DES CHOCS 1 - Hypovolémie :
a- vraie
b- relative par vasoplégie :
2 - Septique
3 - Cardiogénique
40. Choc cardiogénique Diagnostic - Marbrures, le plus souvent aux genoux.
- Extrémités froides, cyanosées.
- HypoTA avec différentielle pincée.
- Tachycardie, polypnée, oligoanurie.
41. Index cardiaque < 2,5 l.min-1.m2
Pression capillaire pulmonaire > 18 mmHg
Résistances artérielles systémiques > 2000 d.s-1.cm-5.m2
Les caractéristiques hémodynamiques du choc cardiogénique
42. Infarctus du myocarde étendu ou compliqué
2) Troubles du rythme ou de la conduction
Principales étiologies du choc cardiogénique
43. Choc cardiogénique Principes de traitement
45. - Choc vagal, plus fréquent si IDM postérieur
- Troubles du rythme, auriculaires et ventriculaires, BAV
- Complications mécaniques :
• IM aiguë par rupture de cordage
• rupture du septum interventriculaire, de la paroi libre
Infarctus du myocarde compliqué de choc compliquécompliqué
46. Bradycardie sur bloc auriculo-ventriculaire :
Troubles du rythme compliqués de choc
47. - Choc avec IVD aiguë,
- Hypoxie et hypocapnie,
- ECG comparatif,
- Radio de thorax peu altérée. Embolie pulmonaire compliquée de choc
48. ANGIOGRAPHIE PULMONAIRE et TDM THORACIQUE SPIRALE
Apprécie l'étendue de l'obstruction > 70%
Embolie pulmonaire compliquée de choc
49. Le plus souvent par hémopéricarde post-traumatique, post-opératoire ou secondaire aux anticoagulants.
Signes aigus d'IVD + Pouls paradoxal.
L’échographie fait le diagnostic. Choc par tamponade aiguë
50. Aiguës bénéficiant d'un geste chirurgical.
1/ Rupture de cordage mitral
==> OAP avec souffle systolique
2/ Endocardite aiguë
3/ Valve artificielle : thrombose ou incontinence 4/ Insuffisance valvulaire post-traumatique
Importance de l'échographie
51. CHOC CARDIOGÉNIQUE Infarctus du coeur droit Le plus souvent associé à un IDM inférieur (thrombose coronaire droite)
Signes d’IVD aiguës associés
sus-décalage ST en V3R, V4R et VE
Pressions de remplissage droites > gauches
52. Les catécholamines comme traitement symptomatique des états de choc