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La Route des Pharaons avec l’ARIE….JOIE Louxor à Abou-Simbel. Au Clic. Port d’attache des bateaux de croisière du Nil sur la corniche de Louxor. Embarquement pour 5 jours de croisière sur le Nil.
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La Route des Pharaons avec l’ARIE….JOIE Louxor à Abou-Simbel Au Clic
Port d’attache des bateaux de croisière du Nil sur la corniche de Louxor
Plusieurs heures d’attente pour passer l’écluse d’Esna où les bateaux passent 2 par 2
Pendant l’attente du passage de l’écluse, le souk est sur l’eau et les marchandises sont jetées sur le pont pour appréciation et paiement
Temple d’Edfou , bâti en -237 sous la dynastie des Ptolémées. Il était dédié au dieu Faucon Horus
Sur ce mur d’enceinte d’Edfou, sont décrits les récits des guerres d’Horus contre Seth, le dieu perturbateur
Le Temple de Kôm – Ombo bâti vers -180 sous la dynastie des Ptolémées, dédié à Haroéris, le dieu bienfaisant à tête d’épervier et à Sobek
A leur mort les crocodiles sacrés entretenus dans le temple étaient embaumés et momifiés
Porte sur la route du Barrage d’Assouan Achevé en 1970 sous le Président Nasser, le barrage régule les crues du Nil et fournit l’électricité à toute l’Egypte
Cet obélisque inachevé, taillé dans le granit rose d’Assouan, d’une longueur de 42 m fut commandé vers – 1450 par Thoutmôsis III. D’un poids estimé de 1 200 t, il était destiné au temple de Karnak
La mosquée El Tabia, flanquée de ces 2 minarets, encadrant le dôme central de la salle des prières
Elevé en 1957 à la mémoire de l’Aga Khan par son épouse, ce mausolée domine le Nil à Assouan. Chaque jour, La Bégum venait déposer une rose rouge sur la tombe de son mari qu’elle a rejoint en l’an 2000. Dans son roman « Mort sur le Nil », Agatha Christie, écrivait en 1937 , « le fleuve offrait un aspect sauvage. Des deux côtés des masses rocheuses dénudées descendaient jusqu’au bord de l’eau. Panorama mélancolique, presque sinistre. »
Sur l’île de Philaé, submergée en 1970 par les eaux du barrage d’Assouan, le Temple d’Isis a été remonté sur l’île d’Aguilkia en 1974
Le Temple d’Isis à Philaé, édifié au IV° s. avant le présent, est un des sanctuaires majeurs de la déesse en Egypte
L’Empereur romain Justinien, fermera en 550 ce lieu de culte voué à la déesse Hathor, ensuite assimilée à Isis, la déesse protectrice et salvatrice de la mythologie égyptienne
Représentation d’Isis dont la tête est coiffée d’un diadème, surmonté d’une paire de cornes de vache, enserrant un disque solaire, comme l’était Hathor, déesse de l’amour et de la musique. A côté le dieu Horus, à tête de faucon
Sur les murs de Philaé les graffitis des soldats de Bonaparte en l’An VII , 1798
Mis en chantier sur l’île de Philaé, sous le règne de l’empereur romain Trajan vers l’an 100, ce kiosque aux 14 colonnes, servait de reposoir à la barque sacrée d’Isis
Vue du ciel de la reconstitution du Temple de Ramsès II à Abou Simbel, sauvé par l’UNESCO suite à la montée des eaux du lac Nasser et reconstruit à partir de 1967, pierre par pierre, sur une colline factice au bord du lac
Vers – 1250, Ramsès II fait construire un temple pour son culte et celui des dieux égyptiens Amon, Rê et Ptah
Deux représentations monumentales de Ramsès II sur les 4 qui ornent la façade de grès du temple
Au lever du soleil, les rayons éclairent les statues du fond du sanctuaire
Fresques de Ramsès II sur son char lors de la bataille de Qadesh vers - 1274, contre l’empire Hittite (Sud Syrie) et une autre en train de maîtriser ses ennemis
Petit temple d’Abou Simbel dédié au culte de Néfertari, épouse favorite de Ramsès II « la plus belle de toutes »
Musique : Il Divo Solo otra vez