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Mise en œuvre d’un SIH reconnu HIMSS 6. JIQHS - 26 Novembre 2013. Le GH Paris Saint Joseph. Hôpital privé à but non lucratif (ESPIC : Etablissement de Santé Privé d’Intérêt Collectif) du 14 ème arrondissement, Activité MCO (Médecine, Chirurgie, Obstétrique)
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Mise en œuvre d’un SIHreconnu HIMSS 6 JIQHS - 26 Novembre 2013
Le GH Paris Saint Joseph • Hôpital privé à but non lucratif (ESPIC : Etablissement de Santé Privé d’Intérêt Collectif) du 14ème arrondissement, • Activité MCO (Médecine, Chirurgie, Obstétrique) • 25 spécialités médicales et chirurgicales • 613 lits et places • 1900 ETP (dont 275 médecins, 110 internes et 170 externes) • 50.000 hospitalisations • 20.000 interventions chirurgicales • 36.000 passages aux urgences • 3.200 accouchements • 150.000 consultations
Informatisation de la production de soins La mise en œuvre du SIH a commencé par l’informatisation des plateaux techniques : • Imagerie • RIS • PACS consultable par tous • Laboratoire • Serveur de résultats en temps réel • Mais aussi : • Anapath • Blocs • Urgences… Le projet le plus récent : • Prescriptions connectées • Médicaments • Laboratoire • Imagerie • Dossier de soins • Pancarte, • Transmissions • Plan de soins • … • Dossier de spécialités : • Kinésithérapeutes • Diététiciens
Les objectifs du projet • Sécurisation du circuit du médicament • Disponibilitéde l'information médicale en temps réel pour tous les professionnels concernés • Sécurisationde la prise en charge (protocoles, arbres décisionnels, bonnes pratiques, juste prescription...) • Mise en œuvre généralisée sur l'ensemble de l'hôpital, en moins de 18 mois • Satisfaction des utilisateurs
Les risques Un tel projet est exposé à de nombreux risques : • Résistance au changement • Solution inadaptée aux besoins ou aux attentes • Effet tunnel du projet • Fiabilitéet confiance dans le système • Projet considéré comme un projet « Informatique » Mais le principal risque d’un tel projet est de ne pas mesurer ou de sous-estimer les risques
Des prérequis indispensables Avant d’envisager un tel projet, il est indispensable de maîtriser : • L’identité des patients (identito vigilance, aucune double saisie) • La disponibilité et la fiabilité des composants techniques (PRA, Procédures dégradées…) • La confidentialité des données (Politique de sécurité, gestion des droits…) Il s’agit des prérequis du programme national « Hôpital Numérique »
Les facteurs clés de succès • Légitimité • Arbitrage • Promotion • Mise à disposition des moyens Direction Générale Equipe projet • Experts métiers (DSI, médecin, infirmière, pharmacien) • Reconnus par tous • Expertise • Support réactif • Outil flexible • Travail en partenariat • Poste de travail • Réseau / Wifi • Performance et sécurité de l’infrastructure DSI Editeur • Un planning partagé et accepté • Un processus de déploiement éprouvé • Une équipe d’assistance 24/7 au démarrage
Résultats Le projet est un vrai succès : • 460 lits couverts (reste HDJ et réanimation) • + de 1.000 professionnels formés / 5.000 heures de formation • 132 chariots mobiles • 8.000 heures d'assistance • Un déploiement généralisé en moins de 18 mois
Conclusion • Résultats cliniques Amélioration de la qualité des soins et de la sécurité des patients • Résultats humains Le système (DxCare de la société Medasys) est accepté par tous, les médecins sont désormais demandeurs d'évolutions. • Résultats informatiques reconnus le GH Paris Saint Joseph a été récompensé du niveau 6 HIMSS
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Nouvelles vigilances L’informatisation du processus de soins amène de nouveaux risques : • Perte de vigilance humaine et excès de confiance dans le système • Trop d'alerte tue l'alerte • Il faut conserver la maîtrise du système, de son paramétrage et de son utilisation • Support et assistance doivent être prévus et opérationnel • Disponibilité du système : procédures dégradées, gestion des droits d'accès, confidentialité des données... • Bug, mises à jour : logicio-vigilance ?