E N D
1. Historique des RUIS Réseau universitaire intégré de santé
Instauré en mai 2003 par ministre Philippe Couillard
Une instance de concertation et de coordination sur son territoire de desserte
2. Rôle des RUIS Faire émerger la concertation et l’intégration des 3 missions:
Soins
Enseignement
Recherche
entre les établissements universitaires d’un même RUIS.
3. Rôle des RUIS Proposer l’organisation des services de médecines universitaires de sa région
Proposer les ententes entre les établissements universitaires et les réseaux locaux intégrés de santé
4. Rôle des RUIS Convenir avec les établissements universitaires de l’offre de service régionale et supra régionale et proposer des corridors de services
Soutenir les régions affiliées dans le maintien des la compétence professionnelle
Soutenir les régions affiliées dans leur mission de service: dépannage
5. Quatre RUIS du Québec
6. Table inter-RUIS télésanté Former des co-présidents des 4 RUIS
MSSS, direction générale des services de santé et médecine universitaire groupe télésanté (2 membres), direction des affaires techniques
Représentant de Inforoute Santé Canada
Experts conseils
Plusieurs rencontres/année, travail d’échange et de concertation
7. Table inter-RUIS télésanté Développer vision concertée provinciale: MSSS-Gens de terrain
Former des comités de travail en collaboration avec équipe télésanté du ministère
Normes techniques
Permanence, perénité, $ fonctionnement
8. Mandat des RUIS et cheminement des projets de télésanté Stéphanie Froissart
Coordonnatrice télésanté – RUIS de l’Université de Montréal
9. Mandat Équipe RUIS télésanté Mettre en place une équipe dédiée à la télésanté à l’intérieur de leur RUIS respectif en collaboration avec les Agences concernées.
Préparer un plan global de développement des activités de télésanté (offre de services), y compris l’imagerie diagnostique (Projets PACS), pour supporter la mise en place des 95 RLSSS et assurer leur efficacité dans la dispensation des soins à leur clientèle.
Ce plan doit tenir compte (mais ne s’y limite pas) des orientations du MSSS en ce qui concerne les clientèles cibles des programmes prioritaires :
Santé mentale;
Lutte contre le cancer;
Soins aux aînés. Malgré tous les efforts déployés et les multiples projets dont vous avez entendus parler ces derniers jours, la télémédecine est encore peu utilisée et on ne peut dire qu'elle constitue un outil intégré à la pratique quotidienne. Un des facteurs essentiels de cet état de fait réside en l'absence de reconnaissance officielle de ce mode de pratique.
- À part quelques ententes ponctuelles, très restrictives aucun mode de rémunération n'est prévu pour ces activités,
- Flou aussi dans les problèmes de responsabilités respectives et dans l'encadrement juridique de ce nouveau mode de pratique qui imposera une nouvelle répartition des tâches .
Maître J.Pierre Ménard en a parlé abondamment au cours de sa présentation.
Pour ces raisons, un comité a été mis sur pied afin de voir les ajustements législatifs nécessaires pour reconnaître la pratique de la télémédecine, lui définir un cadre juridique et permettre la rémunération des actes de télémédecine.
Deux options possibles:
-Proposer un projet de loi cadre englobant la télésanté dans son ensemble. Cette option lourde et complexe à été rejetée.
Proposer des ajustements au cadre légal actuel entourant la pratique médicale. Le comité a retenu cette orientation plus simple et plus rapide. En effet, la télésanté n'est qu'un outil qui permet de faire les choses habituelles différemment et le cadre légal actuel, avec les ajustements nécessaires suffira sans tout bousculer à atteindre nos objectifs.
Pour des fins de rémunération, on a aussi proposé que les activités de télémédecine soient encadrées par des ententes de services inter établissements. Ces ententes permettront de définir les responsabilités respectives, le processus d'évaluation de la qualité et de gestion des plaintes.
Sur la base du rapport de ce comité, le mandat de proposer les ajustements législatifs nécessaires pour fixer le cadre juridique et permettre la pratique de la télémédecine a été confié à la direction des affaires juridiques du MSSS et de la RAMQ.
Ces travaux devraient aboutir dès cette année au dépôt d'un projet de loi.
À la suite de cette démarche, des négociations avec les parties concernées pourront être entreprises pour permettre la rémunération de la télémédecine.Malgré tous les efforts déployés et les multiples projets dont vous avez entendus parler ces derniers jours, la télémédecine est encore peu utilisée et on ne peut dire qu'elle constitue un outil intégré à la pratique quotidienne. Un des facteurs essentiels de cet état de fait réside en l'absence de reconnaissance officielle de ce mode de pratique.
- À part quelques ententes ponctuelles, très restrictives aucun mode de rémunération n'est prévu pour ces activités,
- Flou aussi dans les problèmes de responsabilités respectives et dans l'encadrement juridique de ce nouveau mode de pratique qui imposera une nouvelle répartition des tâches .
Maître J.Pierre Ménard en a parlé abondamment au cours de sa présentation.
Pour ces raisons, un comité a été mis sur pied afin de voir les ajustements législatifs nécessaires pour reconnaître la pratique de la télémédecine, lui définir un cadre juridique et permettre la rémunération des actes de télémédecine.
Deux options possibles:
-Proposer un projet de loi cadre englobant la télésanté dans son ensemble. Cette option lourde et complexe à été rejetée.
Proposer des ajustements au cadre légal actuel entourant la pratique médicale. Le comité a retenu cette orientation plus simple et plus rapide. En effet, la télésanté n'est qu'un outil qui permet de faire les choses habituelles différemment et le cadre légal actuel, avec les ajustements nécessaires suffira sans tout bousculer à atteindre nos objectifs.
Pour des fins de rémunération, on a aussi proposé que les activités de télémédecine soient encadrées par des ententes de services inter établissements. Ces ententes permettront de définir les responsabilités respectives, le processus d'évaluation de la qualité et de gestion des plaintes.
Sur la base du rapport de ce comité, le mandat de proposer les ajustements législatifs nécessaires pour fixer le cadre juridique et permettre la pratique de la télémédecine a été confié à la direction des affaires juridiques du MSSS et de la RAMQ.
Ces travaux devraient aboutir dès cette année au dépôt d'un projet de loi.
À la suite de cette démarche, des négociations avec les parties concernées pourront être entreprises pour permettre la rémunération de la télémédecine.
10. Cheminement des projets de télésanté Demande de financement au programme conjoint MSSS-Inforoute Santé du Canada
Demande de financement au MSSS
Projet auto-financé.
11. 1. Demande de financement au programme conjoint MSSS-ISC
12. 2. Demande au MSSS
13. 3. Auto-financement
14. Planification stratégique du développement de la télésanté RUIS de l’Université de Montréal
Stéphanie Froissart, M.Sc., coordonnatrice Ewa Sidorowicz, MD, coprésidente
Jean-François Talbot, ing., M.Sc.A., coprésident
15. Plan stratégique – RUIS de l’Université de Montréal Notre structure de fonctionnement
Notre méthodologie
Nos résultats:
Constats
Besoins
Vision
Projets porteurs
16. Structure de fonctionnement – RUIS UdeM
17. Méthodologie – RUIS UdeM Une démarche terrain:
Visite de nos Agences
Visite des facultés
Sondage
Des collaborations:
Inter-RUIS (régions partagées)
Intra-RUIS (autres tables sectorielles)
18. Résultats – RUIS UdeM Nos constats:
Des lacunes au niveau de l’infrastructure de télésanté:
Capacité du RTSS proche de la saturation;
Qualité de service médiocre;
Nombre de sessions simultanées limité;
Liens limités avec d’autres réseaux (RISQ, Internet…);
Procédure de réservation lourde;
Coûts des équipements de télésoins élevés;
1/3 de nos établissements non équipés;
Aucune station dans les CLSC.
Des lacunes au niveau de l’organisation de la télésanté:
Peu de soutien technique à l’utilisation;
Aucun soutien pédagogique pour la téléformation;
Peu ou pas d’archivage numérique des sessions;
Pas de financement récurrent disponible
19. Nos constats (suite):
Des lacunes au niveau de l’organisation de la télésanté:
Des activités concentrées à Montréal:
44 stations de visio dont 21 dans les CHU.
Une offre peu répertoriée;
Une demande supérieure à l’offre;
Croissance exponentielle des activités de téléformation;
L’absence de rémunération freine les initiatives;
Des besoins homogènes entre nos régions. Résultats – RUIS UdeM
20. Besoins – RUIS UM Améliorer l’infrastructure de visioconférence:
Comité technique inter-RUIS;
Équiper de façon prioritaire les CSSS sans station;
Mettre en place un système de réservation automatisé et convivial;
Archivage systématique.
Améliorer l’organisation de la télésanté:
Sécuriser le financement récurrent;
Créer des postes de soutien;
Répertorier l’offre.
Développer les activités de téléformation;
Développer les activités de télésoins à domicile.
22. Projets porteurs – RUIS UdeM Téléformation et soutien clinique:
Le céduleur provincial (projet inter-RUIS)
Une station de visioconférence au minimum par CSSS
Le campus universitaire de l’UdeM à Trois-Rivières
Des priorités cliniques:
Télésanté mentale
Télé-oncologie
Télégériatrie.
Télésoins
Télécardiologie
Télétraumatologie
Projet de la communauté Atikamekw de Manawan (ORL+gynéco)
23. Pour obtenir une copie de notre plan stratégique Adressez un courriel :
Ruis.telesante.chum@ssss.gouv.qc.ca
ou
06 CHUM RUIS télésanté/reg06/SSSS
24. Plan directeur télésanté RUIS Laval
Adopté par le comité directeur télésanté le 14 -09-2005
Adopté par Table du RUIS Laval le
28-09-2005
25. Particularités du RUIS Laval 6 régions : 01-02-03-09-11-12;
3 régions éloignées, une intermédiaire, une périphérique et une universitaire;
Regroupant 83 établissements dont 56 établissements publics;
1 729 377 de population;
Sur un territoire de 408 760 Km2;
Au total 20% des PREM non comblés dont 61% Côte Nord et 75% Iles-Gaspé
26. Particularités du RUIS Laval
27. Difficultés du processus Délais courts, lourdeur dossier PACS
Inconnus de la Loi 83
Méconnaissance des équipes régionales sur l’utilisation de télémédecine
Équipes médicales déjà surchargées
Processus fait à l’envers re:mode de financement
28. Mode de fonctionnement Co-présidence + coordonnatrice
Comité directeur télésanté-RUIS Laval
Directeurs des affaires médicales de chacune des Agences
Représentant de chacun des milieux universitaires
Coordonnateur RUIS-Laval
Coordonnatrice télésanté
Co-présidents
Évolution des travaux du comité présentée à la Table du RUIS-Laval
29. Mode de fonctionnement Processus
Formulaire d’identification de besoins, administré par les Agences à l’ensemble des établissements (mars à juin 2005)
Formulaire de préparation d’offre de services complété par les chefs de département et service ayant des « responsabilités majeures » (avril et mai 2005)
Croisement des demandes et des offres de services et analyse des données
Formulation des priorités et validation auprès du comité directeur télésanté du RUIS-UL
30. Les demandes et les offres de services
31. Répartition des demandes et des offres de services
32. Faits saillants Téléenseignement:
22 nouvelles offres de services de la part des CH universitaires;
Possibilité de donner accès au programme de formation continue de l’IRDPQ et de La Maison Michel Sarazin
Liaisons requises entre les UMF
Téléconsultation:
Forte demande en télépsychiatrie
57 demandes de services en provenance des régions dont 23 visent des liaisons intrarégionales;
Nombreuses nouvelles offres de service en téléconsultation: cardiologie, oncologie, psychiatrie, gériatrie, S Intensifs, pneumologie, réadaptation, soins palliatifs, grands brulés, traitement des plaies complexes;
Télépathologie: région 12 et 03, équipe de projet déjà mobilisée
Téléradiologie: besoin pour le PACS réaffirmé
33. Les orientations privilégiées Miser initialement sur le téléenseignement pour renforcer la synergie entre tous les différents corps professionnels et faire émerger les projets cliniques de télésanté;
Baser le développement des projets sur les réseaux naturels de collaboration déjà établis;
Favoriser une meilleure intégration des services en région puis dans les corridors de services;
Miser sur l’implantation rapide des systèmes PACS
34. Les objectifs statégiques Améliorer l’accessibilité aux services, éviter les transferts des clientèles et offrir des services surspécialisés non offerts en région;
Améliorer la qualité des soins aux patients;
Accroître la régionalisation des services de soins et d’enseignement;
Améliorer la synergie entre les professionnels;
Favoriser le recrutement et la rétention des professionnels en région;
Aider les secteurs en manque d’effectif
35. Les objectifs opérationnels Assurer le démarrage des projets prioritaires
Appuyer le développement des pratiques de téléenseignement;
Renforcer les structures de fonctionnement en télésanté au sein du RUIS-UL (coûts récurrents);
Promouvoir la pratique de la télésanté dans une approche de gestion du changement et par un processus continu d’identification des besoins;
Rehausser progressivement le parc d’équipements en télésanté dans les établissements;(73 stations actuelles, 54 % non équipés)
Collaborer avec le MSSS pour compléter, à court terme, le branchement de tous les établissements du RUIS-UL au RTSS avec des liens suffisants;
Support technique, coordonnateurs télésanté, Gestion du changement
36. Les priorités du RUIS Laval La téléradiologie (PACS) : la phase 1 est actuellement en cours
Le téléenseignement ou la téléformation
La télépsychiatrie : avec la collaboration du CHRG et l’HDSCJ
La télécardiologie adulte : avec la collaboration de l’Hôpital Laval
La téléoncologie : avec la collaboration de L’HDQ et l’Hôpital Laval et des responsables du programme de lutte au cancer dans les Agences
37. Les priorité du RUIS Laval La télépathologie : avec la collaboration de L’HDQ, l’HDL et CH région 12;
La téléréadaptation : avec la collaboration de l’IRDPQ;
La Clinique des plaies complexes : avec la collaboration de l’HDL;
Les télésoins à domicile : mise sur pied d’un sous-comité de travail pour orienter un projet en ce sens, au cours d’une étape subséquente ;
L’implantation du « Céduleur » (Gestion informatisée de la télésanté) : gouvernance du projet confié au RUIS-McGill avec la collaboration des 3 autres RUIS;
38. Échéancier de déploiement
39. Évaluation très préliminaire des coûts Projets RUIS-UL:
Coûts non récurrents: 11,4 M $
Coûts récurrents: 2,2 M $
Redondance des demandes équipements
Jusqu’à présent peu de consultations directes au niveau des équipes médicales
41. Plan de déploiement intégral www.ruisul.org
42. Télépathologie Rationnel:
Spécialité en manque d’effectif
Services cliniques avec peu de membres = collaboration régionale
Permettre la disponibilité d’un service d’extemporanée, améliorer l’accessibilité aux soins et réduire les listes d’attente en chirurgie
43. Télépathologie bénéfices Accessibilité constante à des services diagnostiques de qualité
Consultations entre pathologistes, entre chirurgiens et pathologistes
Support au CSSS du réseau sans pathologiste ou au CSSS avec peu de pathologistes
Téléformation
Discussion en équipe multidisciplinaire ¨cliniques de tumeurs¨
Recrutement et rétention de pathologistes en région
Exporter la microscopie virtuelle à d’autres spécialités
44. Télépathologie Phase I:
Évaluation en milieu contrôlé des technologies disponibles;
Choix d’une technologie;
Élaboration d’un devis d’appel d’offres;
Choix d’un fournisseur.
Phase II:
Implantation en milieu restreint du fournisseur retenu;
Déploiement à l’ensemble des établissements des régions 03 et 12 nécessitant cette technologie.
45. Phase III:
Évaluation prospective et continue du projet par l’AETMIS
Évaluation du rapport coûts-bénéfices de l’utilisation de la technologie
Remise du rapport et détermination des standards de pratique
Phase IV:
Déploiement plus large de la technologie et du support technique à tout le territoire du RUIS et de la province
Télépathologie
46. Télépathologie Système hybride
les modes statiques (numérisation et transfert d’images fixes) et dynamiques (microscope commandé à distance par le pathologiste et numérisation de l’image microscopique en temps réel) au sein d’un même système
47. Système temps réel
48. Télépathologie La microscopie virtuelle:
une lame histologique est entièrement acquise par balayage progressif avant son transfert à distance
Transfert rapide de gros fichiers d’images
49. Microscope virtuel
50. Projet spécifique:le soutien clinique multidisciplinaire RUIS de l’Université de Montréal
Jean-François Talbot, ing., M.Sc.A., coprésident
51. Besoins exprimés Manque de disponibilité de système de visioconférence adéquat pour soutien clinique multidisciplinaire
Mise en commun de protocole de soins, techniques de soins surtout infirmières
Intégration du campus hospitalier de Trois-Rivières de la Faculté de médecine
52. Lacunes identifiées Soutien aux utilisateurs
Numérisation, archivage et diffusion Web
Interactivité des séances
Processus de planification lourd
Contenu inadapté au médium
Performances inadéquates des infrastructures de visioconférences partagées
53. Objectifs Mettre en place un réseau de soutien clinique multidisciplinaire entre les établissements du RUIS de l’Université de Montréal incluant le campus de la Faculté de médecine à Trois-Rivières
54. Objectifs spécifiques Volet technologique:
Minimalement une station de visioconférence par CSSS dans une salle correctement aménagée
Équiper le campus hospitalier de Faculté de médecine à Trois-Rivières
Portail d’accès
Rehaussement du RTSS
Numérisation, archivage et accès en mode Web
55. Objectifs spécifiques Volet organisationnel:
Programmes de suivi clinique et formation coordonnés pour tout le RUIS
Formation des formateurs
Collaboration avec le CVS
Centre de coordination
Formation de répondant terrain (coordonnateur d’événement)
56. Architecture
57. Activités visées Gestion centralisée des séances de soutien clinique archivées
Planification des séances
Formation médicale continue et soutien clinique
Discussion de cas
Conférences scientifiques
Journal club
Réunion académique
Accès en temps différé aux séances archivées à partir du RTSS ou d’Internet
58. Public cible Professionnels de la santé
Patients
Tous les établissements de notre RUIS
Toutes les Agences de notre RUIS
L’Université de Montréal
59. Résultats attendus Accès facilité aux activités de soutien clinique multidisciplinaire
Augmentation du partage de l’expertise
Consolidation des lignes de service
Diminution des déplacements des professionnels de la santé pour dispenser ou assister aux séances
Intégration du campus de Trois-Rivières