110 likes | 361 Views
Un exemple de systèmes de cultures économes en intrants GAEC des Bergers Xavier et Jocelyn UZU. 25-10-2011 – Journées AEI. L’expérimentation CIVAM « Grandes Cultures Economes ». 55 exploitations réparties entre 4 régions : Structures impliquées :. Exemple du GAEC des Bergers.
E N D
Un exemple de systèmes de cultures économes en intrantsGAEC des Bergers Xavier et Jocelyn UZU 25-10-2011 – Journées AEI
L’expérimentation CIVAM « Grandes Cultures Economes » • 55 exploitations réparties entre 4 régions : • Structures impliquées :
Exemple du GAEC des Bergers • Situation géographique : Nord-Ouest de la Sarthe, zone bocagère alternant vallons et plateaux - Zone Vulnérable • Climat : environ 600 mm/an avec des sécheresses estivales • Type de sol : argilo-calcaire • Nombre d’UTA : 2 • Dates d’installation : 1976 et 2003 ( Installation de Jocelyn en GAEC) • SAU : 123 ha • Productions principales : • Grandes cultures = vente et autoconsommation • Volailles de Loué (4 bâtiments de 400 m²) = poulets, canards, chapons, pintades, dindes • Production secondaire : • Ovins = production d’une centaine d’agneaux, dont 80% vendus au centre commercial Leclerc de Château-du-Loir (72) et 20% vendus sur le marché de Château-Gontier (53).
Un système de culture diversifié et en évolution 4 08 décembre 2010 – Rouez en Champagne
Un système de culture diversifié (suite) 5 08 décembre 2010 – Rouez en Champagne
Système de cultures conçu dans une logique de production intégrée • Élément clef = de longues rotations : (cf. diapos précédentes) • l’alternancecultures d’hiver / cultures de printemps, combinée à la lutte mécanique, permet de réduire la pression en adventices • le décalage des dates de semis(+ précoces pour le colza, + tardifs pour le blé) permet de réduire les pressions des attaques d’insectes et des maladies • la pression fongique est réduite par l’utilisation de variétés rustiques en mélange, tout en réduisant les densités de semis • la suppression des régulateurs de croissance, l’insertion de légumineuses dans la rotation, l’apport de fumier et l’implantationsystématique de couverts végétaux hivernauxdevant les cultures de printemps contribuent à la réduction des apports d’engrais et l’amélioration de la vie et fertilité des sols. 7
Aucun fongicide appliqué sur Blé entre 2002 et 2007 • Nouvelle impasse en 2010 car conditions climatiques peu propices au dvt des maladies (hiver froid et printemps sec) 8 08 décembre 2010 – Rouez en Champagne
Blé Pois printemps Féverole hiver Colza Maïs Tour-nesol Surface (ha) 45,60 10,80 9,89 14,08 7,58 7,33 120 ha de SAU 95 ha de sup agri IFT herbicide 1,09 0,67 0,67 0,70 0,00 0,00 Moyenne 0,61 M SA 0,77 IFT hors herbicide 0,00 1,25 0,00 0,00 0,00 0,00 Moyenne 0,11 M SA 0,14 IFT de Xavier Uzu pour la campagne 2010-2011 Les références utilisées actuellement dans le réseauEcophyto en Pays de la Loire en polyculture-élevage sont les suivantes : IFT herbicides =1,10 IFT hors herbicides = 3,00 9
Fertilisation : Vu les analyses de sols, les restitutions des cultures, les apports organiques et l’association agriculture élevages, aucune fertilisation P et K minérale ! 10
En 2008, année pluvieuse, il a été fait le choix de refaire un passage de fongicide sur le Blé. Ce qui a permis d’améliorer le rendement et par conséquent d’améliorer la marge brute. • Selon les conditions climatiques, l’absence / l’impasse de traitement fongique peut pénaliser le rendement en fin de cycle. Résultats technico-économiques 11