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BOOK PRESSE MARS- AVRIL 2014. LES THÈMES TRAITES MARQUES Accéder aux articles MARCHE-CONSO Accéder aux articles ENSEIGNES Accéder aux articles PRODUIT Accéder aux articl es SECURITE Accéder aux articles
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BOOK PRESSE MARS- AVRIL 2014 LES THÈMES TRAITES MARQUES Accéder aux articles MARCHE-CONSO Accéder aux articles ENSEIGNES Accéder aux articles PRODUIT Accéder aux articles SECURITE Accéder aux articles PUERICULTURE Accéder aux articles
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Retour à ma liste d’articles 13-MAI -2014 Où sont fabriqués les Playmobils ? Les Playmobilsfêtent cette année leurs quarante ans. Il est peut être temps de se pencher sur leur cas et d’en apprendre un peu plus sur leur histoire. Direction Malte, pour visiter leur usine de fabrication et en apprendre un peu plus sur ces jouets de légende. Publicité Playmobil est une marque allemande de la société familiale Brandstätter Group. Cette dernière fabriquait auparavant des voitures en plastiques capables d’accueillir des enfants, jusqu’à ce que le prix de leur matière première explose lors du premier choc pétrolier. Le coût de fabrication des jouets en plastique ayant augmenté, il a fallu pour l’entreprise trouver un nouveau modèle de jouet de taille réduite, adapté à la main des enfants. Les figurines Playmobil sont ainsi nées, en 1974. Depuis, elles sont fabriquées dans une usine de Malte où 192 figurines sont créées chaque minute. A ce rythme, ce sont quelques 2,7 milliards de personnages qui ont été conçus au même endroit depuis leur création. Développés en trois modèles distincts au départ (un ouvrier, un indien et un chevalier), les Playmobils ne remportent d’abord pas tous les suffrages vis-à-vis des professionnels du jouet, mais sont finalement très vite adoptés par les enfants. Les figurines sont aujourd’hui déclinées en 3 995 modèles différents. De quoi trouver son bonheur pendant encore longtemps.
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Retour à ma liste d’articles 20-MAI 2014 1/3 L'Association Canadienne du Jouet et l'Association de l'Industrie du Jouet annoncent une entente d'affiliation À compter du 1er juillet 2014, l'ACJ deviendra une filiale de l'AIJ avec un partage de membres et une seule Foire du Jouet. TORONTO, le 20 mai 2014 /CNW/ - Le Conseil d'Administration de l'Association Canadienne du Jouet (ACJ) et l'Association de l'Industrie du Jouet (AIJ), basée aux États-Unis, ont annoncé aujourd'hui l'approbation d'une relation officielle qui « renforcera la synergie entre les deux voisins nord-américains et procurera de plus grands bénéfices pour ses membres et pour l'industrie du jouet. » Ces deux associations sont des groupes commerciaux à but non lucratif ; ils comptent de nombreux membres mutuels et d'étroites coopérations de longue date sur des sujets d'intérêts partagés. À compter du 1er juillet 2014, l'ACJ deviendra une filiale de l'AIJ. Sous les termes d'une entente initiale de trois ans, les membres de l'AIJ effectuant des opérations ou des ventes au Canadaseront éligibles pour une adhésion avec l'ACJ sans aucun frais additionnel ; les membres de l'ACJ, y compris les distributeurs - seront également éligibles pour une adhésion avec l'AIJ. Un représentant de chacune des organisations fera partie du comité de direction de l'autre organisation. L'ACJ conservera son incorporation canadienne, ainsi que sa propre mission et règlements. « Cette nouvelle association renforcera les services que l'ACJ est en mesure d'offrir à ses membres et actionnaires, » a déclaré Kerry George, Présidente de l'ACJ et Directeur au Développement à la Clientèle pour le Groupe LEGO. « Nous développons ce qui était déjà une relation de travail positive afin de créer encore plus de bénéfices pour nos membres de l'industrie du jouet partout au Canada et à travers l'Amérique du Nord. » L'appui financier procuré par l'AIJ supportera les activités en faveur de l'ACJ et les programmes opérationnels tels que les relations publiques, les services éducatifs et informatifs, la gestion de réseau, et la promotion de la vente de jouets sur le marché canadien.
Retour à ma liste d’articles 20-MAI-2014 2/3 « L'AIJ et l'ACJ joindrons leurs efforts pour assister les membres de l'industrie du jouet de façons nouvelles et améliorées, » explique John Gessert, Président de l'AIJ et PDG de American Plastic Toys. « Dans des domaines importants tels que la défense et les affaires réglementaires, nous serons mieux capables de représenter les intérêts de l'industrie du jouet vis-à-vis les Gouvernements canadiens et américains. » La Foire Internationale Américaine du Jouet, ainsi que la Présentation Préliminaire d'Automne des Jouets, tenues par l'AIJ, seront également mis en valeur afin d'offrir aux compagnies et détaillants américains et canadiens de jouets des opportunités de développement d'entreprise ciblées, une plus grande efficacité et des économies de coûts. L'ACJ ne tiendra plus de salons de commerce ou de présentations de jouets sur le marché. « Il nous fait plaisir de souhaiter la bienvenue à tous les exposants et acheteurs de l'ACJ aux salons de commerce de l'AIJ, » a dit Carter Keithley, Président et PDG de l'AIJ. « C'est une merveilleuse opportunité d'accroître la renommée de la Présentation Préliminaire d'Automne et de la Foire du Jouet de New York - les évènements de l'année - sur le circuit global d'achat de jouets. La nouvelle association entre l'AIJ et l'ACJ crée de nouvelles opportunités fantastiques pour les fabricants et détaillants de jouets à travers l'Amérique du Nord et partout à travers le monde pour se rencontrer et faire des affaires. » L'entente a été approuvée par le Conseil d'Administration de l'ACJ lors de sa rencontre le 8 mai dernier et par le Conseil d'Administration de l'AIJ lors de sa rencontre le 7 mai dernier. Au sujet de l'Association Canadienne du Jouet (ACJ) Fondée en 1932, l'ACJ est une association commerciale à but non lucratif dont les membres sont les fabricants, importateurs et distributeurs de jouets, jeux, produits passe-temps et saisonniers. L'ACJ est un puissant porte-parole pour l'industrie du jouet qui génère environ 1,8 milliard de dollars au Canada et à travers le monde. Par cette association, les membres de l'ACJ joignent leurs efforts pour le bienfait de l'industrie. Pour plus d'informations, visitez www.cdntoyassn.com.
Retour à ma liste d’articles 20-MAI-2014 3/3 Au sujet de l'Association de l'Industrie du Jouet (AIJ) L'AIJ est une association commerciale à but non lucratif représentant toutes les entreprises commerciales engagées dans la création, la production et la distribution de jouets et de produits de divertissement à l'intention des jeunes de tous les âges. L'association représente 750 compagnies qui collectivement, comptent pour environ 90% des ventes intérieures de jouets. La sécurité des jouets est la principale priorité pour l'industrie du jouet. L'AIJ a une longue histoire de leadership à l'égard de la sécurité des jouets, y compris le développement de la première norme compréhensive de sécurité de jouets, il y a plus de 30 ans, et travaille avec le gouvernement, les consommateurs et l'industrie sur des programmes en cours dans le but d'assurer la sécurité dans le jeu. Pour plus d'informations, visitez www.toyassociation.org. SOURCE Canadian Toy Association
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Retour à ma liste d’articles 02-JUIN-2014 1/3 Pietro Suardi - Directeur Général France du Groupe Artsana, distributeur de la marque Chicco Dans l'univers du bébé, la marque italienne Chicco se présente comme la seule marque présente sur différents secteurs comme la puériculture, le jouet, la mode enfantine, la chaussure, l'hygiène et les soins pour bébé. Créée en 1959, la marque est implantée dans 120 pays et en France depuis 1976. En fonction du secteur d'activité, la marque est commercialisée dans l'ensemble de la distribution spécialisée (grandes enseignes de puériculture et de jouet, pharmacies...) ainsi qu'en GMS pour le jouet. ActuBaby : Etant présent sur différents secteurs de l'univers du bébé, quels sont ceux les plus porteurs pour votre marque ? Pietro Suardi : La marque est effectivement le multi-spécialiste du bébé. La catégorie la plus importante pour notre marque reste la grosse puériculture puisque c'est le secteur de recrutement avec lequel nous établissons la relation avec les jeunes parents. Aujourd'hui certains secteurs fonctionnent mieux que d'autres, cependant la performance de la marque n'est pas liée strictement au marché, c'est-à-dire au nombre de naissances, mais au fait que nous établissons une liaison de marque avec les consommateurs pour ensuite les fidéliser sur différents marchés au fur et à mesure du développement de l'enfant. Cette stratégie est spécifique à la marque du fait de notre présence sur un grand nombre de secteurs d'activité de l'univers du bébé. Malgré la crise économique, nous enregistrons ces cinq dernières années une croissance continue du chiffre d'affaires et nous restons leader sur le marché des packs nacelle, poussette et siège auto coque (Trio). Nous adoptons une stratégie spécifique en fonction du média utilisé et des différentes catégories de produits. Par exemple, nous n'utilisons pas la TV pour la mode, contrairement au jouet et à la grosse puériculture (Trio). Néanmoins, le fait d'être présent en TV pour le matériel de puériculture est un véritable moyen de recrutement pour nos autres secteurs d'activité. A travers votre propre Observatoire, composé de parents, de responsables de crèches, de sages-femmes, de pédiatres ou encore de nutritionnistes, avez-vous constaté un changement dans le comportement d'achat des futurs et jeunes parents d'aujourd'hui ? La sécurité, la praticité, l'évolutivité ou encore le confort sont des valeurs qui se confirment et qui restent les priorités des parents sur l'ensemble des produits pour bébé. En revanche, nous constatons aujourd'hui que les consommateurs demandent aux marques d'être porteuses de valeurs positives axées sur le partage, l'engagement ou la solidarité. Face à cette demande, nous avons décidé de communiquer sur notre programme Le Bonheur va de cœur en cœur que nous avons développé il y a plusieurs années, en collaboration avec la Fondation Aiutare i bambini (Aider les enfants). Ce programme a pour objectif de traiter, dans les pays pauvres et défavorisés, les cardiopathies infantiles et de former le personnel soignant local à la cardio-chirurgie. Dans le cadre de cet engagement, pour chaque achat de notre jouet phare le Cottage des animaux (boîte à formes), une partie est désormais reversée à la Fondation pour financer des opérations chirurgicales. Quels sont aujourd'hui vos objectifs et les développements envisagés ? Nous continuons à jouer notre rôle de leader sur le secteur clé qu'est le Trio à travers l'innovation dans tous les domaines : technologie, pliage, matériaux… et en segmentant cette catégorie pour créer de la valeur et séduire tout type de parents : trio design, tout terrain, classique, sportif… Notre objectif est également d'étendre cette stratégie pour les produits utilisés à l'intérieur, comme le lancement du Berceau Next 2 Me (co-sleeping). Nous continuons à déployer l'architecture de la marque en investissant de nouveaux secteurs en France, comme les couches pour bébés et prochainement les produits de soins et d'hygiène. Des secteurs sur lesquels nous sommes présents depuis plusieurs années en Italie, en Espagne, au Portugal ou encore en Grèce.
Retour à ma liste d’articles 02-JUIN-2014 2/3 Nous adoptons une stratégie spécifique en fonction du média utilisé et des différentes catégories de produits. Par exemple, nous n'utilisons pas la TV pour la mode, contrairement au jouet et à la grosse puériculture (Trio). Néanmoins, le fait d'être présent en TV pour le matériel de puériculture est un véritable moyen de recrutement pour nos autres secteurs d'activité. A travers votre propre Observatoire, composé de parents, de responsables de crèches, de sages-femmes, de pédiatres ou encore de nutritionnistes, avez-vous constaté un changement dans le comportement d'achat des futurs et jeunes parents d'aujourd'hui ? La sécurité, la praticité, l'évolutivité ou encore le confort sont des valeurs qui se confirment et qui restent les priorités des parents sur l'ensemble des produits pour bébé. En revanche, nous constatons aujourd'hui que les consommateurs demandent aux marques d'être porteuses de valeurs positives axées sur le partage, l'engagement ou la solidarité. Face à cette demande, nous avons décidé de communiquer sur notre programme Le Bonheur va de cœur en cœur que nous avons développé il y a plusieurs années, en collaboration avec la Fondation Aiutare i bambini (Aider les enfants). Ce programme a pour objectif de traiter, dans les pays pauvres et défavorisés, les cardiopathies infantiles et de former le personnel soignant local à la cardio-chirurgie. Dans le cadre de cet engagement, pour chaque achat de notre jouet phare le Cottage des animaux (boîte à formes), une partie est désormais reversée à la Fondation pour financer des opérations chirurgicales.
Retour à ma liste d’articles 02-JUIN -2014 3/3 Quels sont aujourd'hui vos objectifs et les développements envisagés ? Nous continuons à jouer notre rôle de leader sur le secteur clé qu'est le Trio à travers l'innovation dans tous les domaines : technologie, pliage, matériaux… et en segmentant cette catégorie pour créer de la valeur et séduire tout type de parents : trio design, tout terrain, classique, sportif… Notre objectif est également d'étendre cette stratégie pour les produits utilisés à l'intérieur, comme le lancement du Berceau Next 2 Me (co-sleeping). Nous continuons à déployer l'architecture de la marque en investissant de nouveaux secteurs en France, comme les couches pour bébés et prochainement les produits de soins et d'hygiène. Des secteurs sur lesquels nous sommes présents depuis plusieurs années en Italie, en Espagne, au Portugal ou encore en Grèce.
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Retour à ma liste d’articles 02-JUIN-2014 Amazon : accord avec Mattel alliant vidéo en ligne et vente de produits dérivés Le géant américain de la distribution en ligne Amazon a annoncé lundi la mise en place d'un accord de distribution innovant avec une filiale du fabricant de jouets Mattel, alliant des vidéos sur internet et les ventes de produits dérivés. Amazon a obtenu l'exclusivité aux Etats-Unis pour la série animée pour jeunes enfants "Sam le pompier", pour laquelle il compte mettre en place dès mardi un "hub" spécifique sur son site. Il sera possible d'y regarder en streaming (flux sans téléchargement) les épisodes de la série télévisée, mais aussi d'y acheter des produits qui en sont dérivés: livres, jouets, vêtements ou autres objets à l'effigie du personnage. Les premiers objets dérivés sont annoncés pour plus tard cette année. "Sam le pompier" est un dessin animé britannique pour les tout-petits sur les aventures d'un pompier hyperactif et courageux, qui avait été diffusé pour la première fois en 1987. La série a été exportée dans plus de 100 pays dont la France, où elle a été programmée par France 5 à partir de 2009. La marque appartient, comme "Thomas le petit train", à la société HIT Entertainment, rachetée par Mattel en 2012. "Amazon et HIT Entertainment créent un nouveau modèle de distribution pour une marque, alliant l'ensemble des produits d'une marque appréciée des enfants dans le monde avec une plateforme de distribution", souligne le communiqué d'Amazon. L'idée est qu'à un même endroit, le consommateur puisse d'abord découvrir les dessins animés, sur sa tablette par exemple, puis "avoir une expérience approfondie de la marque avec des livres, des jouets, et plus encore", explique Sid Mathur, un responsable de HIT Entertainment cité dans le communiqué. Amazon a beaucoup investi ces dernières années dans ses services de vidéo en streaming. Certains analystes y voient une stratégie pour créer un écosystème numérique et s'en servir comme produit d'appel pour renforcer les autres activités plus traditionnelles du groupe dans la distribution.
Retour à ma liste d’articles 06-JUIN-2014 Lego déconstruit (un peu) les stéréotypes Avec l'arrivée en grandes pompes d'une collection mettant en scène des femmes scientifiques, Lego égratigne les stéréotypes qui lui collaient à la peau. Un petit pas.
Retour à ma liste d’articles 10-JUIN-2014
Retour à ma liste d’articles 18-JUIN-2014
Retour à ma liste d’articles 19-JUIN -2014
Retour à ma liste d’articles 23-JUIN-2014 1/3 La marque Corolle (Groupe Mattel) propose sur le marché du jouet premier âge des poupées doudous pour les 0-18 mois sous sa gamme Babicorolle et des petits poupons pour les bébés à partir de 18 mois sous sa gamme Mon Premier Corolle. La marque, qui fête cette année ses 35 ans, a récemment lancé une collection de huit coffrets de naissance spécial fille afin d'être référencée chez les spécialistes de la puériculture et dans les rayons bébé des magasins de jouet. ActuBaby : Selon vous, comment se porte le marché des doudous poupées ? Comment vous positionnez-vous sur ce marché ? Mathilde Dezalys : Selon les catégories NPD, notre marque se situe dans la catégorie intitulée "autres jouets pour nourrissons" ou "peluches", c'est pourquoi il est assez difficile de disposer de chiffres précis sur ce segment que nous appelons "jouet doux", c'est-à-dire les doudous et les peluches pour les 0-18 mois. Aujourd'hui, le marché du premier âge est très fortement investi par des marques de jouets électroniques alors que celui du "jouet doux" est constitué de petits acteurs. C'est un marché sur lequel nous estimons qu'il y a une véritable opportunité de développement mais très complexe pour les fabricants car nous avons un vrai défi industriel qui est de trouver un moyen de fabriquer des produits qui restent dans une gamme de prix raisonnable, c'est pourquoi il y a de moins en moins d'acteurs. D'où l'idée de nous positionner sur le marché du cadeau de naissance pour lequel le consommateur est un peu moins regardant en termes de prix. Nous estimons que le marché du "jouet doux" représente potentiellement 100 à 150M€ en France, d'où un réel intérêt pour notre marque d'investir cette catégorie. Sur le marché du jouet premier âge 18-36 mois, nous sommes présents avec notre gamme Mon Premier Corolle, c'est-à-dire la catégorie poupée à pouponner. Sur ce marché, l'univers de concurrence n'est pas très important car il y a de nombreuses contraintes normatives pour la création de produits pour les moins de 3 ans. Nous sommes leader sur ce marché qui reste une catégorie en croissance et sur laquelle nous sommes présents depuis de nombreuses années. Aujourd'hui, nous essayons de bien différencier nos gammes 0-18 mois et 18-36 mois afin d'avoir un positionnement plus clair vis-à-vis des distributeurs et du consommateur.
Retour à ma liste d’articles 23-JUIN-2014 2/3 Quels sont vos objectifs et les développements envisagés sur le marché du jouet premier âge ? Notre principal objectif est d'utiliser le marché 0-18 mois comme un segment de recrutement en touchant les parents dés la naissance de leur enfant et en mettant en avant l'ADN de la marque, c'est-à-dire notre expertise dans l'univers de la poupée, mais aussi nos points de différenciation qui sont le look raffiné, le toucher du produit (matières utilisées…), l'odeur de vanille et le fait que tous nos produits sont, en fonction des âges, bien proportionnés pour l'enfant. Nous proposons jusqu'en juillet dans tous nos réseaux de distribution, jouet, puériculture et Internet, une opération consommateurs avec une prime différée. Le deuxième temps fort sera les fêtes de fin d'année, car nous croyons beaucoup à l'attractivité de nos coffrets pour Noël. Nous allons investir sur cette période avec notre propre catalogue qui ciblera les mamans de petites filles de 0-4 ans et qui mettra plus particulièrement en avant nos offres Babicorolle et Mon Premier Corolle, de nombreuses idées cadeaux "clé en main" et quelques produits en exclusivité, notamment un pyjama pour bébés assorti aux doudous poupées, des accessoires pour la décoration de la chambre et un tapis de change. Pour les mamans qui souhaitent créer d'autres produits, nous allons proposer sur notre site Internet des coupons de tissus de nos différentes collections. Concernant l'export, nous recentrons nos ambitions de croissance sur les Etats-Unis et le Canada avec la même stratégie qu'en France car ces marchés sont très sensibles aux marques typiquement françaises, mais avec une approche différente en termes de distribution puisque l'achat via Internet prédomine sur ces marchés. Enfin, nous compléterons notre offre 0-18 mois avec le lancement l'année prochaine d'une ligne de doudous plats.
Retour à ma liste d’articles 23-JUIN-2014 3/3 Comment votre collection de coffrets de naissance a-t-elle été accueillie par les distributeurs du monde de la puériculture ? Cette offre nous a permis de revenir chez les puériculteurs chez lesquels nous n'étions plus présents depuis plus de dix ans à cause d'une offre trop courte. L'accueil a été plutôt positif et les performances sont encourageantes, malgré un contexte actuel de consommation pas très bon. Les coffrets sont disponibles chez Aubert et nous développons actuellement le réseau des indépendants, comme New Baby et Bébé 9. Du fait de la forte présence du jouet électronique sur ce marché, les distributeurs sont un peu en attente de nouvelles offres comme la nôtre qui viennent compléter l'offre électronique. De plus, nous ciblons les petites filles ce qui est une vraie différence sur ce marché.
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Retour à ma liste d’articles 30-JUIN-2014 1/3 Pourquoi Playmobil ne veut pas jouer sur le terrain de Lego Quand Lego cartonne au cinéma, dans le jeu vidéo et les produits dérivés, Playmobil fait le choix de la prudence. Voici pourquoi. Bas du formulaire Playmobil ou Lego? Figurines ou petites briques? Tel est le dilemme des enfants adeptes des jouets physiques de construction (même si les deux cohabitent pas trop mal). Mais cette alternative dépasse le simple terrain de jeu puisque les deux groupes affichent deux stratégies bien différentes. Lorsque le danois Lego fait le pari de l'ouverture et de la diversification en investissant le terrain du cinéma, du jeu vidéo et des produits dérivés sous licence, l'allemand Playmobil reste sagement concentré sur son savoir-faire, quitte à rater des opportunités. En termes de poids, les deux groupes ne boxent d'ailleurs pas dans la même catégorie. Le chiffre d'affaires de Lego est de 3,3 milliards d'euros, quand celui du groupe Brandsätter dépasse les 600 millions d'euros. Playmobil fête ses 40 ans cette année, l'occasion de faire le point sur la politique de la maison allemande, avec Stéphane Drilhon, le directeur marketing de la filiale France.
Retour à ma liste d’articles 30-JUIN-2014 2/3 Comment se positionne le marché français dans le chiffre d'affaires de Playmobil? Nous sommes la première filiale de l'Allemagne. Notre chiffre d'affaires est proche de celui de nos voisins. Ce sont deux marchés comparables. Mais le marché allemand doit faire face à un taux de natalité négatif. La France se retrouve donc dans une dynamique favorable. Ça ne se joue plus à grand-chose. Le chiffre d'affaire en France correspond à 25% du global et l'Allemagne est au même poids. 69% des ventes se font à l'export et 90% des ventes se font en Europe. C'est un marché très centralisé sur la France, la Belgique, l'Allemagne et l'Espagne [les ventes ont atteint 552 millions d'euros en 2013]. Nous sommes la première marque de jouet pour les enfants entre 4 et 10 ans. Et il y a un phénomène important en France qui est celui de la 2ème génération. Les parents qui ont joué aux Playmobil sont d'excellents prescripteurs. Allez-vous vous ouvrir aux nouveaux mondes? Nous avons un problème de riches. Nous devons faire face à une demande supérieure à l'offre. Nous n'exploitons d'autres marchés que de manière limitée. C'est une gestion à l'allemande. Nous y allons pas à pas. L'objectif n'est pas d'inonder le marché. Nous n'en avons pas la capacité. Nous n'avons pas d'usines en Chine, et nous n'avons pas forcément la volonté de nous développer en Asie. Cela représente un risque pour notre savoir-faire. Notre trésor de guerre, ce sont les moules de nos figurines. 95% de notre production est européenne et 5% seulement dépend de la Chine, l'électronique essentiellement. Lorsque nous avons sorti l'univers du football, la feutrine du tapis de jeu provenait de Chine. Nous avons eu des problèmes. Nous ne voulons pas être prisonniers de cela. Moins nous externalisons et mieux nous nous portons. Pourquoi ne trouve-t-on pas de licence Playmobil ? Si vous avez un Playmobil Batman dans les mains, cela reste un Batman et ce ne sera pas un Spider Man ou bien un capitaine Crochet. En optant pour un tel schéma, nous enfermons l'enfant dans une seule histoire. Or nous voulons que nos jouets soient le support d'histoires différentes. Nous loupons des opportunités de chiffre d'affaires, c'est certain.
Retour à ma liste d’articles 30-JUIN-2014 3/3 • Vous vous êtes néanmoins lancé dans le monde des applications mobiles… • Nous avons lancé l'application Pirates [en août 2013 avec Gameloft]. Les retours sont bons. Nous nous sommes dits que c'était l'occasion de mettre les enfants en contact avec l'univers Playmobil. Mais nous ne voulons pas être distributeur d'applications ou de marque de jeux vidéo. Fondamentalement nous restons un vendeur de jouets. • Vous lancez également Super 4, une série animée, diffusée sur France 3 cet été… • Super 4 est inspiré du jeu Playmobil. C'est une révolution. Morgen Studios et Method Animation sont venus nous chercher. Ce n'est pas nous qui sommes à l'origine du projet. Ils ont acheté les droits. Nous ne sommes pas producteurs. Mais cela se fait en bonne intelligence. C'est un vrai partenariat et une vraie rencontre entre Aton Soumache [président de Method Animation] et Horst Brandstätter [le patron du groupe Brandstätter à l'origine des Playmobil]. La série prouve que ce sont des gens qui ont joué aux Playmobil lorsqu'ils étaient plus jeunes. Mais l'idée est de donner envie de ressortir ses figurines pour jouer. Que ce soit l'application, le dessin animé ou le FunPark [à Fresnes], l'idée n'est pas de dévier l'enfant du jeu physique. • Allons-nous avoir un film Playmobil • sur grand écran, à l'image de "La grande aventure Lego" ? • C'est en réflexion. Mais je reste convaincu que la série TV a un impact dans le temps beaucoup plus fort qu'un film. Regarder Super 4 tous les matins sur son petit écran va donner envie de jouer. • Marco Mosca
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Retour à ma liste d’articles JUIN-2014 1/3 Comment l’Impression 3D réinvente la consommation de jouets L’industrie du jouet stagne au niveau mondial à 60 milliards d’euros depuis la récente crise économique et financière due à une baisse de moral et de pouvoir d’achat des ménages. En 2013, le leader Mattel, propriétaire de marques telles que Barbie, Fisher-Price et Polly Pocket a vu ses ventes mondiales baisser de 6%. Les facteurs démographiques ne rassurent pas non plus. Le nombre d’enfants âgés de moins de 14 ans avoisine les 16% de la population totale aux Etats-Unis et au sein de l’Europe, quand le nombre d’enfants en Chine est 3 à 4 fois supérieur, atteignant 19% de la population. Pourtant, les perspectives de croissance en Chine ne sont pas meilleures car le nombre d’enfants n’a cessé de diminuer depuis les années 2000. La politique de l’enfant unique adopté dans ce pays est responsable de la chute du taux de fécondité, qui aura un impact certain sur la demande de jouet dans les années futures. La croissance actuelle du secteur du jouet en Chine s’explique par l’augmentation du pouvoir d’achat des parents avec enfants. L’impression 3D est un axe stratégique que les fabricants entendent exploiter afin de pallier les facteurs économiques et démographiques qui freinent le monde du jouet. Un grand nombre d’acteurs s’appuient aujourd’hui sur cette technologie pour réaliser le prototype d’un jouet ou d’une poupée, à l’image des ingénieurs Mattel qui utilisent une trentaine d’imprimantes 3D pour accélérer la phase de conception et réduire le coût de production. D’autres sociétés l’utilisent comme outil de personnalisation en vue de relancer l’appétit du consommateur en lui permettant de créer un jouet unique. Enfin, des sociétés de taille plus modeste, se servent de l’impression 3D pour fabriquer des produits finis tels que des figurines qui pourraient bien venir perturber un jour les leaders du secteur que sont Mattel, Hasbro et Lego.
Retour à ma liste d’articles JUIN-2014 2/3 Développement de la personnalisation de masse Le prototypage rapide, l’amélioration des techniques et qualités d’impressions 3D ou encore l’augmentation de matériaux disponibles réveillent l’engouement des fabricants qui y voient un vrai moyen de personnalisation de masse. Impliquer les consommateurs dans la phase de conception en proposant de multiples façons de personnaliser un jouet, une figurine ou poupée permet de pousser à l’achat. Je conçois donc je consomme. L’impression 3D ne remplacera pas à court ou moyen terme la fabrication traditionnelle de jouets, principalement réalisée en Asie, mais la complète en apportant une réelle valeur ajoutée au produit. Offrir à l’acheteur la possibilité d’être créateur de son propre jouet renforce l’expérience client qui est moins présente lors d’un achat dans un magasin de jouet spécialisé. Hasbro, bien connu pour son jeu de société Monopoly, a déposé la marque Allspark sous laquelle il commercialisera ses jouets imprimés en 3D. Les Transformers, qu’il fabrique sous licence, pourraient bien être les premiers disponibles à la personnalisation sur son site internet. Avec une large bibliothèque d’accessoires ou couleurs, les possibilités semblent sans fin. La start-up britannique MakieLab fait également beaucoup parler d’elle dans l’industrie avec ses poupées Makies. Les enfants dessinent leur propre poupée sur internet ou à l’aide de l’application mobile avant que les parents passent commande de la version physique. FabZat une jeune société prometteuse basée en région Aquitaine vient de boucler un premier tour de table de 450 000 euros auprès notamment de Kima Ventures, le fonds de Jérémie Berrebi et Xavier Niel. FabZat développe un module (sous forme de mini-boutique), dont le plugin est embarqué directement sur les jeux vidéo, et donne la possibilité à tous les joueurs de personnaliser et commander une figurine ou un objet virtuel depuis l’interface du jeu, en fonction des choix et scores réalisés par le joueur. C’est une production de pièce unique à la demande, en flux tendu, donc sans stock et sans perte de matières.
Retour à ma liste d’articles 01-JUIN 2014 3/3 L’impression 3D de jouets bientôt rendue possible chez soi? Les jouets achetés, qu’ils proviennent de marques telles que Lego, Playmobil ou encore Meccano, sont soumis à une stricte législation afin de protéger le consommateur. Les jouets doivent respecter un grand nombre de normes de sécurité avant d’être mis en vente. De plus, la complexité du processus de création (logiciels de modélisation 3D) et d’impression sont des barrières qui rendent l’impression 3D de jouets encore peu accessible au grand public. Il est en effet plus probable que le grand public se tourne vers des services d’impression 3D comme Sculpteo ou Shapeways à court ou moyen terme pour faire fabriquer des produits finis. Il est vrai que certaines sociétés surfent sur cette tendance et tentent de convaincre le grand public avec des applications de modélisation ludiques et simples à utiliser. Ainsi, la société Modio a créé une application gratuite sur iPad afin de créer des monstres articulés que l’on peut façonner à partir de modèles pré-enregistrés avant de les imprimer sur notre imprimante 3D personnelle. Des évolutions sont donc à attendre sur ce segment là au niveau de la législation. Une source précieuse de données pour les fabricants La personnalisation de masse n’en est qu’à son balbutiement et pourtant, on lui prédit déjà un bel avenir. De par cette nouvelle manière de consommer, un fabricant obtiendra de précieuses données qui lui permettront d’en apprendre plus sur ses consommateurs en vue de créer de nouveaux jouets répondant mieux à leurs attentes. Par ailleurs, Hasbro a précisé que ses fichiers 3D seraient partageables sur internet, une manière pour l’éditeur des jeux Cluedo et Puissance 4, de faire participer l’acheteur à la communication autour de ces produits. N’hésitez pas à nous suivre sur Twitter, Google+ ou Facebook pour être tenu au courant des actualités de l’impression 3d.
Retour à ma liste d’articles 04-JUIN-2014 1/4 Le premier Pokémon Center d'Europe ouvre ses portes à Paris INTERVIEW - Ces chaînes de magasins dédiés à l'univers du célèbre jeu vidéo font fureur au Japon. Mais pour cette première incursion en Europe, la Pokémon Company a opté pour une boutique éphémère, comme l'explique au Figaro le producteur de la série, Junichi Masuda. C'est un petit évènement pour tous les fans de Pikachu. Un «Pokémon Center», boutique dédiée à la vente de produits dérivés de la célèbre série de jeux vidéo, ouvre pour la première fois ses portes sur le continent européen. Le concept, lancé dès 1998 à Tokyo, n'est jamais réellement sorti du Japon, qui accueille actuellement huit boutiques à travers l'archipel. Le seul Pokémon Center occidental, ouvert en 2001 à New York, a été transformé en 2005 en boutique dédiée aux jeux de l'univers Nintendo. La ville de Paris a été choisie pour accueillir ce magasin d'une centaine de mètres carrés répartis sur deux étages, dans le très touristique quartier des Halles. Mais pour se procurer des peluches des «monstres de poche» Marisson ou Feunnec, il faudra se dépêcher: la boutique, inaugurée ce mercredi, fermera ses portes dès le 21 juin. Pourquoi avoir opté pour un magasin éphémère? Le Figaro est allé poser la question à Junichi Masuda, producteur et directeur des jeux Pokémon.
Retour à ma liste d’articles 04-JUIN-2014 2/4 LE FIGARO.- Pourquoi avoir décidé d'ouvrir un Pokémon Center en Europe, et pourquoi avoir attendu si longtemps pour le faire? JUNICHI MASUDA - À chaque nouvelle génération de jeux Pokémon, nous décidons d'un thème. Pour Pokémon X&Y, sorti en octobre 2013, il s'agissait de la beauté. Je voulais que l'on retrouve l'élégance de la France dans la région que l'on explore, Kalos, qui s'inspire fortement de votre pays. Pokémon X&Y est aussi le premier jeu de la saga à bénéficier d'une sortie mondiale. Je voulais pousser cette ouverture à l'international encore plus loin en ouvrant un Pokémon Center en Europe, et donc logiquement en France. Cela nous a pris environ un an de travail. Pourquoi avoir attendu si longtemps? Vous avez raison, nous aurions pu le faire avant et je n'ai pas vraiment d'excuses pour expliquer ce retard. L'attrait du public français pour la culture populaire japonaise a-t-elle renforcé votre décision de choisir Paris plutôt que Londres pour l'ouverture de cette première boutique européenne? Nous étions conscients dès le début de la conception des jeux Pokémon X&Y que les Français sont très réceptifs à la culture japonaise. Pour ce qui est de la boutique européenne, puisqu'il s'agit d'une première, nous voulions qu'elle soit vue par un maximum de gens. Paris étant la capitale la plus visitée du continent, le choix nous paraissait évident! Et puis à titre personnel, j'adore Paris, alors ça me donnait une bonne raison de revenir (rires). Le magasin n'ouvre que durant deux semaines. Est-ce un test pour une implantation définitive des Pokémon Center en Europe? À titre personnel, j'aimerais ouvrir un Pokémon Center permanent en Europe, en France ou ailleurs sur le continent. Dans le cas présent, il s'agit de «faire l'évènement» avec un magasin éphémère. Mais je veux vraiment que les Pokémon Center ne soient pas de bêtes boutiques. Ce sont des endroits où on va échanger, où des gens qui ne se connaissent pas vont jouer ensemble. Mon but, c'est de créer des espaces de rencontres.
Retour à ma liste d’articles 04-JUIN-2014 3/4 A-t-il fallu adapter le concept des Pokémon Center à l'Europe? Oui. Les Pokémon Center japonais sont uniquement dédiés à la vente de produits dérivés. Ici, j'ai voulu tenter quelque chose de différent. Je ne veux pas que les gens viennent uniquement acheter des peluches, je veux qu'ils plongent dans l'univers Pokémon. Nous avons organisé le magasin comme une galerie. Nous exposons des illustrations utilisées pour les jeux de chaque génération, dont des concept arts qui n'étaient jamais sortis de nos studios. Il y a également une galerie d'illustrations inédites qui ont été dessinés spécialement par nos équipes. Il y a enfin un coin où le créateur de la plupart des Pokémons, Ken Sugimori, apprend aux enfants, via une vidéo interactive, à dessiner Pikachu. Les peluches Pikachu mises en vente au Pokémon Center Paris. Crédit: Figaro.fr Entre la sortie mondiale de Pokémon X&Y et l'ouverture de ce magasin, les fans européens de Pokémon sont choyés cette année. Le Vieux Continent est-il un nouvel enjeu pour la Pokémon Company? [filiale de Nintendo chargé de gérer toute la licence Pokémon, ndlr] En tant que Japonais, je sais parfaitement ce que le public de mon pays attend d'un jeu vidéo. Mais désormais, lorsque je produis un jeu, je me demande comment les Européens vont le percevoir. Nombre de mes amis dans le secteur ont le même type de réflexion. C'est le genre de questions que l'on ne se posait pas avant. Cela prouve que l'Europe est devenu important pour notre industrie. La série Pokémon fête ses 18 ans cette année. Comment expliquer une telle longévité? Nous pourrions rendre le jeu de plus en plus difficile afin de satisfaire les fans les plus anciens. Mais nous avons toujours voulu créer un jeu facile à appréhender pour qu'un maximum de personnes puissent en profiter. Les règles de Pokémon n'ont presque pas changé au fil des années et les nouveaux venus peuvent s'initier très rapidement. La clé du succès, je pense, est de ne laisser personne au bord de la route. C'est comme le tennis ou le football: si quelque chose est amusant, il n'y a pas besoin de changer les règles. J'applique le même principe.
Retour à ma liste d’articles 04-JUIN-2014 4/4 Nous avons vu le Pokémon Center Paris Contrairement aux boutiques japonaises, véritables supermarchés du produit dérivé, le Pokémon Center parisien ne contient qu'une sélection limitée d'objets. Les peluches sont évidemment en vedette, avec l'indispensable Pikachu, mais aussi plusieurs créatures issues du dernier opus, Pokémon X&Y. Les mythiques Bulbizarre, Psykokwak, Ronflex ou Rondoudou, issus du tout premier jeu sur Gameboy, sont par contre absents. La boutique vend également de nombreuses cartes à collectionner, des tshirts, des Pokéballs et des mangas inspirés de l'univers Pokémon. Les trousses, cartables ou même casserole et moule à gâteau Pikachu n'ont pas fait le voyage jusqu'en France. Les normes françaises n'étant pas les mêmes que les normes japonaises, la Pokémon Company n'a pas pu importer plusieurs produits courants dans les Pokémon Centers de l'archipel. Les fans pourront se consoler avec l'exposition Pokémon en sous-sol, le téléchargement gratuit d'un Pokémon inédit s'ils viennent munis de leur Nintendo 3DS, et la possibilité de prendre des photos avec Pikachu, présent de une à trois fois par jour pour des sessions de 20 minutes (planning complet). Pokémon Center Paris, 11-15 rue des Halles - angle 9 rue des Déchargeurs, Paris Ouvert tous les jours de 10h30 à 19h30 du 4 au 21 juin
Retour à ma liste d’articles 25-JUIN-2014 1/2 Quand Nintendo mise sur les jouets Le constructeur japonais lance ses propres figurines connectées pour concurrencer les "Skylanders" avec l'idée de croquer une part du gâteau des "jouets vidéo". Nintendo lance un nouveau concept : les Amiibo. Des figurines d'environ 8 cm de haut représentant différents héros tirés des univers du Japonais. Il suffit de toucher avec l'une d'elles la manette de la Wii U ou un futur accessoire branché sur la 3DS pour que le personnage apparaisse dans le jeu. 14 figurines (dont Mario, Pikachu, Link et Donkey) seront d'abord lancées pour accompagner la sortie du jeu "Super Smash Bros". Elles permettront de faire apparaître un nouveau combattant sur le ring. Les Amiibo augmenteront peu à peu leur compatibilité, notamment avec "Mario Kart 8", et les futurs "Captain Toad", "Yoshi's Woolly World" et "Mario Party 10", sans que Nintendo explique l'usage dans ces titres. On peut imaginer plein de choses", lance mystérieux Stéphane Bole, directeur général de Nintendo France. "Mais il faut bien comprendre que le bénéfice ne se limitera pas à un seul jeu." En effet, les figurines sont équipées de leur propre système de mémoire afin d'enregistrer toute "l'expérience" accumulée lors d'une partie, ainsi que ses habitudes. Est-ce que cette connaissance servira d'un jeu à l'autre ? Le Japonais ne le dit pas. Nintendo investit donc le secteur en forte croissance des "jouets vidéo", créé en 2011 avec le premier "Skylanders" d'Activision. L'an dernier, Disney a également dégaîné ses propres personnages en plastique avec "Infinity". Normal que le gâteau intéresse le Japonais. Depuis le début de l'année, la vente de figurines (hors jeux) a rapporté 14 millions d'euros à Activision et Disney, rien qu'en France, selon les chiffres du Syndicat des éditeurs de logiciels de loisirs (Sell). Au niveau mondial, en trois ans, la franchise "Skylanders" a déjà vendu plus de 175 millions de jouets et généré plus de 2 milliards de dollars de chiffre d'affaires.
Retour à ma liste d’articles 25-JUIN-2014 2/2 Lire aussi : "La bataille des jouets vidéo" Les jouets vidéo se présentent comme une formidable option pour vendre, en plus du jeu, des accessoires, surtout que de nouvelles figurines vendues séparément sont lancées à intervalle régulier. Nintendo ne souhaite pas donner le prix de ses Amiibo. Un personnage "Skylanders" ou "Disney Infinity" coûte entre 9,99 et 14,99 euros. Il était naturel pour Nintendo de venir sur ce segment des figurines, compte tenu de notre portefeuille de pesonnages", explique Stéphane Bole. "Mais le concept sera différent de ce qui existe déjà, puisque il n'y aura pas besoin de la figurine pour jouer, ça restera optionnel." Effectivement, "Skylanders" ou "Infinity" demande au joueur de poser sa figurine sur un plateau pour pouvoir jouer avec le personnage (et pas de figurine, pas de héros). Chez Nintendo, l'Amiibo servira plus de bonus. Interrogé sur le filon copié des concurrents, le directeur de Nintendo France confirme "une réflexion sur les tendances", mais confie avoir "vu le concept de figurines dans les cartons de Nintendo avant la sortie de 'Skylanders'." Vers des jouets "Lapins crétins" ? Par ailleurs, Stéphane Bole insiste sur la "vraie légitimité de Nintendo". Et pour cause : "Skylanders" et "Disney Infinity" se vendent particulièrement bien sur les consoles de... Nintendo. "Nous ne sommes pas sur une logique de substitution, mais sur des concepts de jeux différents, avec un bénéfice différent", poursuit-il. L'étiquette de fabricant de jouets ne semble pas gêner le constructeur japonais. Mais il ne sera pas seul dans cette course à la figurine connectée. Tandis que Disney continue de décliner l'univers d'"Infinity" avec de nouvelles figurines tirées de ses films, Activision revient en fin d'année avec "Skylanders Trap Team". Si nos concurrents arrivent après la bataille avec un simple copié-collé de notre concept, nous continuons d'innover", clame Michael Sportouch, directeur des jeux "Skylanders". "Nous voulons surprendre les enfants avec des nouveaux jouets et un nouveau gameplay."
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Retour à ma liste d’articles 27-JUIN-2014 1/2 Le marché du jouet dopé par un «effet Coupe du monde» Un taxi décoré de jouets aux couleurs de la Coupe du Monde, à l'aéroport de Rio de Janeiro, le 4 juin 2014 (Photo Yasuyoshi Chiba. AFP) Le marché du jouet a progressé de 4,7% en valeur sur les cinq premiers mois de 2014, grâce au beau temps et à un effet «Coupe du monde», selon une étude de NPD diffusée vendredi. Selon ce cabinet d’études de marché, la perspective du Mondial et les premiers bons résultats de l’équipe de France continuent d’alimenter ce dynamisme, avec une augmentation des ventes de 12% sur les trois premières semaines de juin. «Le marché du jouet est particulièrement sensible aux événements forts et à l’actualité du secteur du divertissement», relève Frédérique Tutt, experte du secteur. Le Mondial a ainsi encouragé l’engouement pour les cartes à collectionner, type Panini, dont le chiffre d’affaires progresse de 6,3 millions d’euros par rapport à l’an dernier, mais aussi la version 2014 du bracelet brésilien, «Cra Z Loom» et «Rainbow Loom», ou les jeux et jouets sous licence «Coupe du Monde». Les kits servant à fabriquer les petits bracelets multicolores, ainsi que deux packs de cartes Panini à l’effigie du Mondial trustent les quatre premières marches du podium des jouets les plus vendus entre le 9 et le 15 juin, selon NPD. «Presque un tiers des volumes de jouets vendus provient actuellement des produits à moins de 5 euros. (...) C’est la première fois depuis le phénomène Beyblade (manga et dessin animé japonais, ndlr) en 2011 que l’on observe le même engouement» pour ces petits produits à collectionner, remarque Mme Tutt. «C’est une excellente nouvelle pour le secteur qui commençait à souffrir d’un comportement d’achat un peu trop raisonnable, puisque limité aux achats pour les grandes occasions», analyse-t-elle. La catégorie du plein air se porte également «très bien», dopée par le beau temps du printemps, qui contraste avec une première partie de 2013 désastreuse de ce point de vue.
Retour à ma liste d’articles 27-JUIN-2014 2/2 Dans ce contexte, les achats de balançoires, seaux, cabanes et autres jeux de raquettes progressent de 13% depuis janvier, avec même un +111% pour les piscines gonflables (-33% l’an dernier à la même époque). Les kits d’activité artistiques type création de bijoux, pâte à modeler, cahiers de coloriage(+44%), les jeux de construction (+23%) et l’électronique junior (+30%) contribuent également à cette bonne santé retrouvée du secteur, qui avait stagné l’an dernier (+0,7%). AFP
Retour à ma liste d’articles 27-JUIN-2014 1/2 • Le marché du jouet dopé par un "effet Coupe du monde" • Un taxi décoré de jouets aux couleurs de la Coupe du Monde, à l'aéroport de Rio de Janeiro, le 4 juin 2014 ( AFP/Archives / Yasuyoshi Chiba) • Le marché du jouet a progressé de 4,7% en valeur sur les cinq premiers mois de 2014, grâce au beau temps et à un effet "Coupe du monde", selon une étude de NPD diffusée vendredi. • Selon ce cabinet d'études de marché, la perspective du Mondial et les premiers bons résultats de l'équipe de France continuent d'alimenter ce dynamisme, avec une augmentation des ventes de 12% sur les trois premières semaines de juin. • "Le marché du jouet est particulièrement sensible aux événements forts et à l'actualité du secteur du divertissement", relève Frédérique Tutt, experte du secteur. • Le Mondial a ainsi encouragé l'engouement pour les cartes à collectionner, type Panini, dont le chiffre d'affaires progresse de 6,3 millions d'euros par rapport à l'an dernier, mais aussi la version 2014 du bracelet brésilien, "Cra Z Loom" et "Rainbow Loom", ou les jeux et jouets sous licence "Coupe du Monde". • Les kits servant à fabriquer les petits bracelets multicolores, ainsi que deux packs de cartes Panini à l'effigie du Mondial trustent les quatre premières marches du podium des jouets les plus vendus entre le 9 et le 15 juin, selon NPD. • "Presque un tiers des volumes de jouets vendus provient actuellement des produits à moins de 5 euros. (...) C'est la première fois depuis le phénomène Beyblade (manga et dessin animé japonais, ndlr) en 2011 que l'on observe le même engouement" pour ces petits produits à collectionner, remarque Mme Tutt. • "C'est une excellente nouvelle pour le secteur qui commençait à souffrir d'un comportement d'achat un peu trop raisonnable, puisque limité aux achats pour les grandes occasions", analyse-t-elle. • La catégorie du plein air se porte également "très bien", dopée par le beau temps du printemps, qui contraste avec une première partie de 2013 désastreuse de ce point de vue.
Retour à ma liste d’articles 27-JUIN-2014 2/2 • Dans ce contexte, les achats de balançoires, seaux, cabanes et autres jeux de raquettes progressent de 13% depuis janvier, avec même un +111% pour les piscines gonflables (-33% l'an dernier à la même époque). • Les kits d'activité artistiques type création de bijoux, pâte à modeler, cahiers de coloriage(+44%), les jeux de construction (+23%) et l'électronique junior (+30%) contribuent également à cette bonne santé retrouvée du secteur, qui avait stagné l'an dernier (+0,7%).
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Retour à la liste d’articles 13-MAI-2014 Orchestra-Premaman: acquiert Home market. Orchestra-Premaman a fait l'acquisition de Home Market, moyennant la prise en charge du plan de restructuration engagé par les cédants en complément du prix payé pour le rachat de la participation.Cette acquisition permet au groupe de disposer d'un réseau composé d'une quarantaine de magasins succursales, soit la création de 20 points de vente après fermeture des doublons, tous situés au Belux (55.000 m² environ, soit 30.000 m² de création de surface à 85% en puériculture).Home Market emploie actuellement environ 230 personnes dont près de 180 personnes dans le réseau de magasins. Elle traverse des difficultés depuis plusieurs années et a accumulé plus de 10 millions d'euros de pertes au cours des trois derniers exercices.L'actionnaire majoritaire (Yeled Invest SA), qui avait annoncé, le 2 avril 2014, son intention de lancer une OPA simplifiée suivie d'un retrait obligatoire sur les actions Orchestra-Premaman qu'il ne détenait pas, est conduit à examiner l'incidence de cette opération sur la valorisation des titres qu'il se proposait d'acquérir.
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Retour à la liste d’articles 11-Juin-2014 1/2 • JouéClub veut doubler le nombre de ses drives • Selon Alain Bourgeois-Muller, président de JouéClub, chaque drive apporte environ 5% de chiffre d'affaires supplémentaires au magasin auquel il est adossé. • JouéClub continue sur sa lancée ! Après une hausse de 3,65% de son chiffre d'affaires en 2013, le groupement a annoncé une nouvelle augmentation de 3% de ses ventes, à périmètre comparable, pour les quatre premiers mois de cette année. L'enseigne vise une douzaine d'ouvertures de magasins d'ici à fin 2014 et multiplier par deux le nombre de ses drives, 40 unités à ce jour. • Après un millésime 2013 positif avec un chiffre d'affaires de 573 millions d'euros (+3,65%), JouéClub a enregistré une nouvelle croissance de 3% de son chiffre d'affaires pour les quatre premiers mois de l'année 2014, à périmètre comparable. Forte de cette hausse, la coopérative a annoncé de nouveaux projets d'ici la fin de l'année. • DOUZE NOUVEAUX MAGASINS POUR NOËL ET DEUX FOIS PLUS DE DRIVES • Ainsi, après avoir ouvert quatre nouveaux points de vente depuis janvier 2014, l'enseigne compte inaugurer une douzaine de points de vente d'ici la fin de l'année. Mais ce n'est pas tout : le groupement veut également mettre l'accent sur ses "drives piétons", lancés fin 2011 et permettant aux clients de commander leurs jouets en ligne et de les retirer en magasin. "Nous nous sommes aperçus que c'est un service qui correspond aux nouvelles habitudes de notre clientèle et booste nos ventes. En deux ans, nous en avons ouvert 40, tous adossés à des magasins, chacun apportant un supplément de chiffre d'affaires de l'ordre de 5% de celui dégagé par un point de vente", explique Alain Bourgeois-Muller, président directeur général de JouéClub.
Retour à la liste d’articles 11-JUIN-2014 2/2 TROIS NOUVELLES MARQUES PROPRES Du côté de l'offre également, l'enseigne veut afficher son dynamisme. Après avoir lancé en 2013 ses trois premières marques propres (T'Mimi, L'Atelier du Bois et Com'les vrais), JouéClub a dévoilé au printemps de nouvelles gammes : CAP Sport, CAP Loisirs et CAP Nature dédiés aux loisirs de plein air, Créa&cie regroupant les loisirs créatifs ainsi que Cerise et Capucine ciblant les fillettes. Quatre nouvelles gammes sont prévues pour la prochaine rentrée de septembre. Si le Père Noël n'arrive pas à faire son choix, il pourra toujours se rabattre sur l'une des toutes nouvelles cartes cadeaux de l'enseigne. Pouvant être créditées de 15 à 250 euros, elles se déclinent en trois thématiques (anniversaire, fille et garçon) et sont utilisables dans tous les magasins du réseau. par VÉRONIQUE YVERNAULT
Retour à la liste d’articles 12-JUIN-2014 1/3 Lego Store, conçu avec des yeux d’enfant Fin février, le fabricant danois a ouvert son « flagship » européen à Disneyland Paris. L’occasion de revenir sur le concept des magasins Lego, à la fois vitrines pour la marque mais aussi espaces de jeu pour les enfants et véritables cavernes d’Ali Baba pour les fans. Attention au serpent en entrant dans le magasin ! Pour son « flagship » européen, récemment ouvert au sein du parc Disneyland Paris, Lego n’a pas lésiné sur la mise en scène : outre des statues géantes à l’effigie des héros de Disney, la marque danoise s’est amusée à construire, brique après brique, un serpent courant le long des murs ! Une décoration monumentale apte à laisser pantois petits et grands… « Tout a été conçu avec les yeux d’un enfant », résume Ivan Larrea-Vivero, responsable des magasins Lego pour la France et la Belgique. Inutile, par exemple, pour les bambins, de se hisser sur la pointe des pieds pour voir les vitrines : les jouets sont exposés dans une frise murale installée à un mètre de hauteur, pile au niveau de leurs yeux. Les adultes se baisseront ! « L’objectif de cette scénographie est également de plonger les parents dans l’univers des enfants. Nous avons imaginé des espaces de démonstration disposés en rond où les visiteurs peuvent s’asseoir et jouer avec l’aide d’un vendeur. Résultat, les clients passent en moyenne trente minutes dans le magasin, contre sept dans une boutique de jouets classique », poursuit Ivan Larrea-Vivero.
Retour à la liste d’articles 12-JUIN-2014 2/3 Lieu de vente, de jeu et de démonstration Il est vrai qu’il y a matière à s’amuser : initiation aux briques Duplo pour les plus jeunes, stand offrant de réaliser sa propre minifigurine Lego (7,99 € les trois figurines), borne interactive permettant, en scannant une boîte Lego, de voir en 3D le résultat une fois la construction achevée… et, surtout, le désormais célèbre mur Pick a Brick. Révélé dans le magasin Lego inauguré dans le centre commercial francilien So Ouest fin 2012, ce mur présente des briques en vrac dans lequel les clients piochent pour composer leur propre assortiment payable non pas au poids mais au « pot » avec deux formats disponibles (9,99 € et 17,99 €). Un concept de magasin hybride, à mi-chemin entre le lieu de vente et l’espace de jeu et de démonstration… Véritable cas d’école de « retailtainment », le dernier-né des magasins Lego a su s’adapter à sa situation géographique particulière : « Les clients visitent Disneyland, ils sont en vacances et là pour faire plaisir à leurs enfants. À nous ensuite de parvenir à attirer et à fidéliser les habitants des alentours en plus des visiteurs du parc », explique Ivan Larrea-Vivero. Un pari tout à fait réalisable pour Lego, qui n’en est pas à son coup d’essai. « C’est le troisième magasin que nous ouvrons au sein d’un parc Disney : nos marques possèdent des valeurs similaires, ont toutes deux un positionnement premium et une cible de clientèle transgénérationnelle », détaille Ward Van Duffel, vice-président et directeur général de l’activité « direct to consumer Europe » de Lego. La marque danoise, qui totalise 111 points de vente à travers le monde, réalise un peu moins de 10% de son chiffre d’affaires – de 3,4 Mrds € au total– grâce à ses magasins physiques. « Le but premier de nos magasins est de travailler notre notoriété et notre image de marque en nouant un contact avec nos fans, et de proposer des expériences autour de Lego », rappelle Ward Van Duffel. Ce travail se joue également sur internet où Lego a lancé en avril la plate-forme www.legocreativite.fr, destinée aux enfants comme aux parents, aux mères en particulier : contenus éducatifs, fiches d’activités pour s’amuser avec ses bambins, conseils d’experts, témoignages de parents, mais aussi jeux-concours,lancements de produit, campagnes de communication ou opérations calendaires…
Retour à la liste d’articles 12-JUIN-2014 3/3 La plate-forme, aussi accessible depuis une tablette ou un smartphone, se veut un véritable portail ouvrant sur l’ensemble de l’univers Lego en ligne, comme la chaîne Youtube ou la page Facebook de la marque. De quoi accompagner la croissance fulgurante du fabricant danois, troisième acteur du marché du jouet français et deuxième mondial. Un univers en pleine construction Après une hausse de 10% de son chiffre d’affaires en 2013, surfant sur le succès de sa ligne pour les filles Lego Friends, mais aussi de sa gamme Chima, Lego a posé au printemps de nouvelles briques à son développement avec la sortie au cinéma de son premier long-métrage. « Le film a créé un effet de halo sur l’ensemble de nos produits et nous lançons plusieurs nouveautés prometteuses comme Lego Junior, une gamme conçue pour les 4-7 ans, visant à faire le lien entre les briques Duplo destinées aux plus jeunes et les Lego classiques », précise Stéphane Knapp, directeur du marketing de Lego France. Autant d’actualités qui devraient mettre entre parenthè¬ses l’essor du réseau physique de Lego. « Le magasin de Disneyland Paris sera le seul inauguré en 2014 », confie Ward Van Duffel. On comprend : depuis l’ouverture de son premier Lego Store français, à So Ouest, fin 2012, la marque danoise a inauguré 26 nouveaux points de vente dans le monde, dont trois en France. Un dynamisme commercial à faire pâlir nombre de distributeurs… Les tendances • À l’heure où le concept de « retailtainment » reprend des galons, Lego joue à fond la carte des services et du divertissement. • L’agencement du magasin privilégie les enfants avec des vitrines à hauteur de leurs yeux. Les adultes s’adapteront ! • Installé dans le Village du parc Disneyland Paris, le magasin cible une clientèle de passage, mais aussi des clients plus fidèles.
Retour à la liste d’articles 12-JUIN-2014 1/2 Amazon se met aux petits soins des jeunes parents EXCLUSIF - Le géant de la vente en ligne lance ce jeudi en France son programme «Amazon Famille»… Jusqu’à 20 % de remise sur des couches sur abonnement, de nouvelles offres promotionnelles exclusives tous les mois dans une boutique «Bébé et puériculture» entièrement rénovée ou encore une livraison garantie en 24h sur l’intégralité du site. Amazon a sorti l’artillerie lourde pour lancer en France ce jeudi son programme «Famille», une déclinaison de son offre «Premium» destinée aux jeunes parents et proposée à 49 euros par an. Super-généralistes et super-spécialistes Après des lancements réussis aux Etats-Unis en 2009, puis en Grande-Bretagne et en Allemagne (sous la dénomination «Amazon Mom»), le géant de l’e-commerce s’attaque au marché français de la puériculture en ligne avec une stratégie bien rodée. «Nos innovations partent toujours des besoins de nos clients dans un souci de praticité, de simplicité et de prix les plus justes. Or devenir parent change la vie, cela demande beaucoup du temps et de dépenses. Il était donc stratégique pour nous de répondre à ces attentes qui n’étaient pas entièrement satisfaites et de combler les manques dans l’offre du marché aujourd’hui», résume Sébastien Szczepaniak, directeur des catégories Santé, Beauté, Hygiène et Puériculture d’Amazon.fr. Avec 150.000 références revendiquées dans sa boutique «Bébé et puériculture» Amazon.fr assure offrir «30 fois plus de références que dans les plus gros magasins physiques»: «Nous sommes à la fois super-généralistes et super-spécialistes: nous sommes capables de proposer toutes les grandes marques mais aussi des petits fournisseurs, des couches aux sièges-autos en passant par les petits pots ou les livres et les jouets», souligne Sébastien Szczepaniak.