1 / 66

Avril 2014

Sondage 2014 auprès des finissants en génie - Rapport national Réalisé par Ipsos Reid pour Ingénieurs Canada. Avril 2014. Table des matières. Objectifs de recherche 3 Méthodologie 4 Points saillants 6 Résumé 8 Plans d’avenir 12

Download Presentation

Avril 2014

An Image/Link below is provided (as is) to download presentation Download Policy: Content on the Website is provided to you AS IS for your information and personal use and may not be sold / licensed / shared on other websites without getting consent from its author. Content is provided to you AS IS for your information and personal use only. Download presentation by click this link. While downloading, if for some reason you are not able to download a presentation, the publisher may have deleted the file from their server. During download, if you can't get a presentation, the file might be deleted by the publisher.

E N D

Presentation Transcript


  1. Sondage 2014 auprès des finissants en génie- Rapport nationalRéalisé par Ipsos Reid pour Ingénieurs Canada Avril 2014

  2. Table des matières Objectifs de recherche 3 Méthodologie 4 Points saillants 6 Résumé 8 Plans d’avenir 12 Intention de faire une demande de permis 21 Connaissance du permis d’exercice 32 Connaissance des ordres provinciaux 38 Connaissance de la Loi sur les ingénieurs 41 Outil d’orientation de carrière 44 Données démographiques 49 Analyse supplémentaire : Impact sur l’intention de faire carrière en génie et de faire une demande de permis Participation à un atelier ou un séminaire 54 Connaissance de la Loi sur les ingénieurs 57 Connaissance du permis d’ingénieur et des rôles 60 Connaissance des responsabilités des organisations 63

  3. Objectifs de recherche Cette recherche a pour objectif principal de comprendre les raisons qui motivent les diplômés* des programmes de génie des universités canadiennes agréés par le Bureau d’agrément à faire une demande de permis ou non.   Pour atteindre cet objectif, la recherche tente d’obtenir les renseignements suivants : • les plans de carrière ou de formation des finissants en génie; • le pourcentage de finissants qui a l’intention de faire carrière en génie et le pourcentage qui a l’intention de faire une demande de permis; • le niveau de connaissance des finissants en génie quant à la Loi sur les ingénieurs de leur province ou territoire. *Dans le présent rapport, l’emploi du masculin pour désigner des personnes n’a d’autres fins que celle d’alléger le texte.

  4. Méthodologie Le sondage a été réalisé en ligne auprès de finissants en génie entre le 27 janvier et le 14 mars 2014. On a demandé à toutes les facultés de génie des universités qui offrent des programmes agréés par le Bureau d’agrément de participer à l’étude et d’envoyer le sondage en ligne à tous les finissants inscrits à leurs programmes de génie. Le lien donnant accès au sondage en ligne a été envoyé à chacune des universités et celles-ci ont été invitées à envoyer ce lien à tous les étudiants admissibles le 27 janvier 2014. Le sondage a été offert en français et en anglais. Au total, 39 universités ont participé à la recherche et 2 046étudiants ont répondu au sondage. La marge d’erreur pour l’ensemble des données (n=2 046) de cette étude est de ± 2,2 %, 19 fois sur 20.

  5. Méthodologie (suite) Le tableau ci-dessous indique le nombre de répondants au sondage dans chaque province participante. Les chiffres correspondent au nombre de finissants inscrits à un programme de génie dans chaque province.

  6. Points saillants Par rapport à 2013, le nombre de finissants en génie qui ont l’intention de faire carrière en génie a diminué, tout comme ceux qui ont l’intention de faire une demande de permis d’exercice. Bien que les intentions générales quant à ces mesures demeurent fortes, il convient d’en signaler la diminution qu’il faudra surveiller de près. • La vaste majorité des étudiants continuent d’indiquer qu’ils ont probablement ou absolument l’intention de faire carrière en génie (93 % par rapport à 95  % en 2013). Il y a cependant moins d’étudiants qui en ont absolument l’intention (61 % par rapport à 65  % en 2013). • Parmi ceux qui ne prévoient probablement pas faire carrière en génie, le nombre de ceux qui indiquent avoir des attentes différentes par rapport au génie a augmenté (38 % par rapport à 27 %). • Les trois quarts (75 %) des finissants ont l’intention d’entrer sur le marché du travail immédiatement après avoir obtenu leur baccalauréat en génie, ce qui représente une baisse par rapport à l’an dernier (78 %). • Parmi les deux finissants sur dix qui prévoient poursuivre des études, nous observons une baisse de ceux qui prévoient faire une MBA (5 % par rapport à 9 %) et de ceux qui prévoient poursuivre des études de cycle supérieur, particulièrement au Québec (17 % par rapport à 27 %). • Parmi tous les finissants, huit sur dix indiquent qu’ils feront absolument ou probablement une demande de permis d’exercice (79 % par rapport à 82 % en 2013), mais la proportion de ceux qui le feront absolument a diminué par rapport à 2013 (49 % par rapport à 55 %) tandis que la proportion de ceux qui le feront probablement a légèrement augmenté (30 % par rapport à 28 %). • La proportion de finissants qui indiquent avoir commencé leurs études en ayant absolument l’intention de faire carrière en génie a diminué (57 % par rapport à 62 %), tandis la proportion d’étudiants qui indiquent avoir probablement l’intention de le faire a augmenté (36 % par rapport à 30 %).

  7. Points saillants (suite) Au fil des ans, on observe toutefois une progression en ce qui concerne le niveau de connaissance qu’ont les étudiants de la profession d’ingénieur. Comparativement à 2013, ils possèdent un niveau de connaissance plus élevé de certains aspects de la profession. Par exemple : Les étudiants sont plus susceptibles de connaître la Loi sur les ingénieurs de leur province qu’en 2013 (85 % par rapport à 83 %) en raison d’une augmentation de ceux qui indiquent connaître assez bien la Loi (34 % par rapport à 30 % en 2013). Près de huit sur dix sont plus susceptibles de savoir qu’un permis n’est pas nécessaire pour réaliser des travaux d’ingénierie sous la supervision d’un ingénieur titulaire de permis (77 % par rapport à 73 % en 2013). En ce qui concerne les responsabilités des organisations, les étudiants sont plus susceptibles, comparativement à 2013, de savoir que le Bureau d’agrément est l’organisation qui agrée les programmes universitaires de formation en génie (74 % par rapport à 70 %) et de croire que c’est leur ordre provincial ou territorial qui délivre les permis aux entreprises qui offrent des services d’ingénierie (53 % par rapport à 50 %).

  8. Résumé Intentions futures : Poursuivre des études ou trouver un emploi • Les trois quarts (75 %) des finissants indiquent avoir l’intention de trouver un emploi après avoir obtenu leur baccalauréat en génie, tandis que près de deux sur dix (17 %) projettent de poursuivre leurs études. • Parmi ceux qui ont l’intention de poursuivre leurs études, la vaste majorité indique vouloir obtenir un diplôme de cycle supérieur en génie (74 %), tandis qu’environ un sur dix prévoit obtenir un autre diplôme professionnel (10 %), obtenir un diplôme dans une autre discipline (8 %) ou faire une MBA (5 %). • Parmi les étudiants qui envisagent de poursuivre leurs études, la moitié a l’intention d’étudier en Ontario (47 %), environ deux sur dix prévoient aller au Québec (17 %) et un sur dix pense partir à l’étranger (11 %). Intentions futures : Faire carrière en génie • Plus de neuf étudiants sur dix (93 %) prévoient faire carrière en génie. Parmi eux, six sur dix le feront absolument (61 %), tandis que trois sur dix le feront probablement (31 %). Moins d’un étudiant sur dix ne fera probablement pas(6 %) ou absolument pas(1 %) carrière en génie. • La principale raison de ne pas vouloir faire carrière dans le domaine du génie continue d’être que les étudiants avaient des attentes différentes par rapport à la pratique du génie (38 %). Les autres raisons le plus souvent mentionnées sont de meilleures possibilités d’emploi dans une autre discipline (17 %), qu’ils n’ont jamais eu l’intention de faire carrière en génie (12 %) et une meilleure rémunération dans une autre discipline (10 %). • Neuf étudiants sur dix (93 %), soit la vaste majorité d’entre eux, indiquent qu’au début de leurs études ils projetaient d’exercer le génie. Près de six étudiants sur dix ont commencé leurs études avec l’intention absolue de faire carrière en génie (57 %), tandis que près de quatre sur dix prévoyaient probablement exercer le génie (36 %).

  9. Résumé (suite) Intentions futures : Faire carrière en génie (suite) • Plus de neuf étudiants sur dix (95 %) qui prévoient faire carrière en génie après avoir obtenu leur diplôme indiquent qu’ils en avaient absolument (59 %) ou probablement (35 %) l’intention quand ils ont commencé leurs études. • Parmi ceux qui ne projetaient pas de faire carrière dans le domaine du génie, sept sur dix (69 %) indiquent qu’ils avaient absolument (21 %) ou probablement (48 %) l’intention de faire carrière en génie quand ils ont commencé leurs études, tandis que le tiers dit ne jamais en avoir eu l’intention (32 %). Intentions futures : Faire une demande de permis d’exercice • La moitié des étudiants (49 %) indiquent avoir absolument l’intention de faire une demande de permis d’exercice, tandis que trois sur dix (30 %) disent en avoir probablement l’intention. Environ un étudiant sur dix n’a probablement pas ou absolument pas l’intention de faire une demande de permis (13 %) ou est incertain (9 %). • Par ailleurs, parmi les étudiants qui prévoient faire carrière en génie, la moitié (52 %) indique vouloir absolument faire une demande de permis et 30 % le feront probablement. • Parmi ceux qui n’ont pas l’intention de faire leur demande de permis immédiatement, quatre sur dix indiquent avoir probablement ou absolument l’intention d’en faire la demande un jour (42 %), tandis que la moitié n’envisage pas de le faire (50 %). • Les raisons de ne jamais vouloir faire de demande de permis le plus souvent mentionnées sont que cela n’est pas nécessaire pour leurs plans de carrières (41 %) ou un manque d’intérêt pour une carrière en génie (27 %). Viennent ensuite l’intention de suivre un autre cheminement de carrière (16 %) ou le désir de travailler à l’étranger (13 %). • Lorsqu’ils apprennent qu’un permis est nécessaire pour exercer le génie, trois étudiants sur dix (28 %) qui n’avaient pas l’intention de faire une demande de permis changent d’idée et indiquent qu’ils feront probablement ou absolument une demande de permis.

  10. Résumé (suite) Intentions futures : Faire une demande de permis d’exercice (suite) • Parmi les étudiants qui prévoient faire une demande de permis d’exercice, la majorité prévoit le faire dans les douze mois (60 %) qui suivent l’obtention de leur diplôme et quatre sur dix d’entre eux envisage de le faire dans les six mois (43 %). Deux sur dix prévoient attendre un an (21 %) ou sont incertains (19 %). • Parmi les étudiants qui prévoient attendre au moins un an avant de faire une demande de permis ou qui sont incertains, la vaste majorité (87 %) mentionne le désir d’acquérir d’abord l’expérience requise. • Lorsqu’ils apprennent qu’en déposant une demande de permis dans les six mois qui suivent l’obtention de leur diplôme, ils peuvent être exemptés des frais de cotisation comme ingénieur stagiaire ou junior pour la première année, neuf étudiants sur dix (89 %) qui au départ avaient l’intention d’attendre plus de six mois après l’obtention de leur diplôme pour faire une demande de permis indiquent maintenant qu’ils feront très probablement (58 %) ou assez probablement (31 %) une demande dans les six mois. Connaissance de la profession d’ingénieur • Plus de huit étudiants sur dix (85 %) savent que le génie est réglementé par des lois et des règlements. Environ un étudiant sur dix est incertain (8 %) ou pense que la profession n’est pas réglementée (7 %). • Les niveaux de connaissance qu’ont les étudiants de la Loi sur les ingénieurs de leur province sont divers. Un tiers des étudiants dit la connaître assez bien (34 %), la moitié indique la connaître un peu (48 %), tandis qu’un faible pourcentage la connaît très bien (3 %). Environ un étudiant sur dix dit avoir entendu parler de la Loi, mais ne rien savoir à son sujet (13 %) et seulement 2 % n’en ont jamais entendu parler. • La vaste majorité des étudiants savent qu’un permis est nécessaire pour réaliser des travaux d’ingénierie de façon autonome (85 %), tandis que près des trois quarts savent qu’il est nécessaire pour pouvoir utiliser le titre « ingénieur » (74 %) ou qu’il n’est pas nécessaire pour réaliser des travaux d’ingénierie sous la supervision d’un ingénieur titulaire de permis (77 %).

  11. Résumé (suite) Connaissance de la profession d’ingénieur (suite) • Neuf étudiants sur dix savent que c’est leur ordre provincial qui délivre les permis d’exercice (90 %) et qui réglemente l’exercice du génie (82 %). Par ailleurs, sept étudiants sur dix savent que le Bureau d’agrément est l’organisation qui agrée les programmes universitaires de génie (74 %). • Les étudiants sont plus hésitants en ce qui concerne l’organisation qui délivre les permis aux entreprises qui offrent des services d’ingénierie. Un peu plus de la moitié croit que c’est l’ordre provincial (53 %), tandis que trois sur dix pensent que c’est le Bureau d’agrément (30 %) et le quart ne le sait pas (24 %). Utilité d’un outil d’orientation de carrière • Près de neuf étudiants sur dix (86 %), soit la vaste majorité d’entre eux, pensent qu’il aurait été très utile (47 %) ou assez utile (38 %), au secondaire ou au CÉGEP, d’avoir un outil pour les aider à savoir s’ils avaient le profil pour faire des études en génie. • La même proportion d’étudiants (86 %) pense qu’un outil d’orientation de carrière serait utile. La moitié d’entre eux indiquent qu’il serait très utile (45 %) et ils sont légèrement moins à penser qu’il serait assez utile (41 %). • La plupart des étudiants pensent qu’un outil d’orientation de carrière serait plus utile en 3e année (44 %), environ le quart estime qu’il serait plus utile en 2e année (24 %) ou en 4e année (23 %) et seulement un sur dix indique la 1re année (10 %). • Seulement 4 % des étudiants indiquent connaître le programme Cap sur la carrière d’Ingénieurs Canada.

  12. Plans d’avenir

  13. Plans après l’obtention du diplôme • Les trois quarts des étudiants, soit la vaste majorité d’entre eux, ont l’intention d’entrer sur le marché du travail après avoir obtenu leur diplôme, ce qui représente une proportion moins élevée qu’en 2013, tandis qu’environ deux étudiants sur dix envisagent de poursuivre leurs études. • Parmi ceux qui prévoient poursuivre leurs études, les trois quarts des étudiants prévoient poursuivre des études supérieures en génie, tandis qu’environ un sur dix envisage de poursuivre des études dans une autre discipline, des études supérieures dans une autre discipline ou des études de MBA. Comparativement à 2013, les étudiants sont moins susceptibles d’avoir l’intention de poursuivre des études de MBA après l’obtention de leur diplôme. Intentions d’études Plans actuels après l’obtention du diplôme Q12. Lequel des énoncés suivants reflète le mieux vos projets immédiats? Base : Tous les répondants, 2013 (n=2501); 2014 (n=2046) Q13. Lequel des énoncés suivants décrit le mieux les études que vous désirez poursuivre? Base : Les participants qui ont répondu « Poursuivre mes études » à la Q12, 2013 (n=398); 2014 (n=355)

  14. Lieu des études supérieures projetées • Parmi les étudiants qui projettent de poursuivre leurs études, près de la moitié a l’intention d’étudier en Ontario, environ deux sur dix envisagent d’aller au Québec et un sur dix pense étudier à l’étranger. • Comparativement à 2013, les étudiants sont moins nombreux à avoir l’intention d’étudier au Québec. Lieu des études projetées Q13B. Où projetez-vous poursuivre ces études? Base : Poursuivre mes études après l’obtention de mon diplôme – 2013 (n=398); 2014 (n=355)

  15. Intention de faire carrière en génie • Plus de neuf étudiants sur dix ont l’intention de faire carrière dans le domaine du génie après leurs études. • Comparativement à 2013, la proportion d’étudiants qui feront absolument carrière dans le domaine du génie a diminué. Prévoyez-vous faire carrière dans le domaine du génie? Oui(2 cotes supérieures) 2014 : 93 % (n=1900) 2013 : 95 %(n=2366) Non(2 cotes inférieures) 2014 : 7 % (n=146) 2013 : 5 %(n=135) Q14. Une fois que vous aurez terminé toutes vos études, prévoyez-vous faire carrière dans le domaine du génie? Base : Tous les répondants, 2013 (n=2501); 2014 (n=2046)

  16. Raisons de ne pas faire carrière en génie • La principale raison expliquant le choix de ne pas faire carrière en génie continue d’être que leurs attentes étaient différentes par rapport à la pratique du génie, et cette raison est invoquée beaucoup plus souvent qu’en 2013. Parmi les autres raisons mentionnées, on trouve de meilleures possibilités d’emploi dans une autre discipline, le fait que les étudiants n’ont jamais eu l’intention de faire carrière en génie et une meilleure rémunération dans une autre discipline. Raisons de ne pas faire carrière en génie Q16. Quelle est la principale raison expliquant votre choix de ne pas faire carrière en génie? Base : Les participants qui ont répondu « Non (absolument pas / probablement pas) » à la Q14, 2013 n=135; 2014 (n=146)

  17. Carrière envisagée dans un autre domaine que le génie Carrière envisagée dans un autre domaine que le génie(ne prévoit pas faire carrière en génie) Q17. Quel genre de carrière envisagez-vous de mener? Base : Les participants qui ont répondu « Non (absolument pas / probablement pas) » à la Q14,2013 (n=135); 2014 (n=146) Comme les répondants pouvaient donner plusieurs réponses, il est possible que le total dépasse 100 %. Parmi les étudiants qui n’ont pas l’intention de faire carrière dans le domaine du génie, les principaux choix de carrière sont la médecine, la recherche, les technologies de l’information et la gestion/planification.

  18. Plans de carrière au début des études Est-ce que vous projetiez d’exercer le génie lorsque vous avez commencé vos études? Oui(2 cotes supérieures) 2014 : 93 %(n=1894) 2013 : 92 %(n=2297) Non(2 cotes inférieures) 2014 : 7 %(n=152) 2013 : 8 %(n=204) Q18. Est-ce que vous projetiez d'exercer le génie lorsque vous avez commencé vos études? Base : Tous les répondants, 2013 (n=2501); 2014 (n=2046) Plus de neuf étudiants sur dix indiquent qu’au début de leurs études leur objectif était d’exercer le génie. Parmi ce groupe, six étudiants sur dix indiquent qu’ils avaient absolument l’intention d’exercer le génie et près de quatre sur dix en avaient probablement l’intention. Comparativement à 2013, les étudiants sont moins nombreux à indiquer avoir eu absolument l’intention de faire carrière en génie et ils sont plus nombreux à en avoir eu probablement l’intention.

  19. Intentions de carrière actuelles et antérieures (parmi les étudiants qui ont l’intention de faire carrière dans le domaine du génie) Oui(2 cotes supérieures) 2014 : 95 %(n=1794) 2013 : 93 %(n=2209) Non(2 cotes inférieures) 2014 : 6 %(n=106) 2013 : 7 %(n=157) Q18. Est-ce que vous projetiez d'exercer le génie lorsque vous avez commencé vos études? Base : Les étudiants qui envisagent de faire carrière en génie, 2013 (n=2366); 2014 (n=1900) Plus de neuf étudiants sur dix qui envisagent de faire carrière en génie indiquent qu’ils avaient absolument ou probablement l’intention de le faire au début de leurs études. Comparativement à 2013, les étudiants sont moins nombreux à indiquer qu’ils avaient absolument l’intention de faire carrière en génie quand ils ont commencé leurs études, tandis qu’ils sont plus nombreux à indiquer qu’ils en avaient probablement l’intention.

  20. Intentions de carrière actuelles et antérieures (parmi les étudiants qui n’ont pas l’intention de faire carrière en génie) Oui(2 cotes supérieures) Non(2 cotes inférieures) 2014 : 69 %(n=100) 2013 : 65 %(n=88) 2014 : 32 %(n=42) 2013 : 35 %(n=47) Q18. Est-ce que vous projetiez d'exercer le génie lorsque vous avez commencé vos études? Base : Les étudiants qui n’ont pas l’intention de faire carrière dans le domaine du génie, 2013 (n=135); 2014 (n=146) Parmi ceux qui n’ont pas l’intention de faire carrière dans le domaine du génie, sept étudiants sur dix indiquent qu’ils avaient absolument ou probablement l’intention de faire carrière en génie quand ils ont commencé leurs études, tandis qu’un tiers n’en avait pas l’intention.

  21. Intention quant à la demande de permis d’exercice

  22. Intention de faire une demande de permis Allez-vous faire une demande de permis d’exercice? Oui(2 cotes supérieures) 2014 : 79 %(n=1617) 2013 : 82 %(n=2061) Non(2 cotes inférieures) 2014 : 13 %(n=256) 2013 : 11 %(n=268) Q21. Allez-vous faire une demande de permis d’exercice (ing.)? Base : Tous les répondants, 2013 (n=2501); 2014 (n=2046) Huit étudiants sur dix, soit la vaste majorité d’entre eux, ont l’intention de faire une demande de permis d’exercice. Parmi ce groupe, près de la moitié en a absolument l’intention, ce qui représente une proportion moins élevée qu’en 2013, tandis que trois étudiants sur dix feront probablement une demande de permis. Environ un étudiant sur dix n’a pas l’intention de faire de demande de permis ou ne le sait pas.

  23. Intention de faire une demande de permis – Faire carrière en génie Allez-vous faire une demande de permis d’exercice? Oui(2 cotes supérieures) Non(2 cotes inférieures) Q21. Allez-vous faire une demande de permis d’exercice (ing.)? Base : Les répondants qui envisagent de faire carrière dans le domaine du génie, 2013 (n=2366); 2014 (n=1900) Parmi les étudiants qui ont l’intention de faire carrière en génie, plus de la moitié d’entre eux indiquent qu’ils feront absolument une demande de permis, ce qui représente une proportion moins élevée qu’en 2013, et trois sur dix le feront probablement. Moins d’un étudiant sur dix n’en fera absolument pas ou probablement pas la demande ou ne le sait pas.

  24. Intention de faire un jour une demande de permis d’exercice • Parmi ceux qui n’envisagent pas de faire une demande de permis, la moitié des étudiants indiquent qu’ils n’ont pas l’intention de faire de demande un jour, tandis que quatre sur dix pensent en faire absolument ou probablement la demande un jour et un sur dix ne le sait pas. • Comparativement à 2013, les étudiants qui ne feront probablement pas de demande de permis un jour ont tendance à être plus nombreux. Envisagez-vous un jour de faire une demande de permis d’exercice? Non(2 cotes inférieures) Oui(2 cotes supérieures) 2014 : 50 %(n=128) 2013 : 44 %(n=118) 2014 : 42 %(n=108) 2013 : 46 %(n=122) Q22. Envisagez-vous un jour de faire une demande de permis d’exercice (ing.)?Base : Les participants qui ont répondu « Non » à la Q21, 2013 (n=268); 2014 (n=256)

  25. Raisons de ne pas faire une demande de permis Pourquoi n’envisagez-vous pas de faire une demande de permis d’exercice? Q23. Pourquoi n’envisagez-vous pas de faire une demande de permis d’exercice (ing.)? Base : Les répondants qui envisagent de ne jamais faire de demande de permis d’exercice, 2013 (n=118); 2014 (n=128) Parmi les étudiants qui n’ont pas l’intention de faire une demande de permis d’exercice, les raisons mentionnées le plus souvent pour expliquer ce choix sont le fait que le permis n’est pas nécessaire pour leurs plans de carrière et le manque d’intérêt pour une carrière en génie. Parmi les autres raisons mentionnées, on trouve l’intention de poursuivre un autre cheminement de carrière et le désir de travailler à l’étranger. Comparativement à 2013, les étudiants sont plus nombreux à indiquer qu’un permis d’exercice n’est pas nécessaire pour leurs plans de carrière et ils sont moins nombreux à indiquer qu’ils ont l’intention de faire carrière en informatique ou qu’un permis ne serait pas avantageux pour leur carrière.

  26. Intérêt après avoir appris qu’il faut un permis (ing.) pour pouvoir exercer le génie • Une fois qu’on leur a dit qu’il fallait détenir un permis pour pouvoir exercer le génie, trois étudiants sur dix indiquent qu’ils feront absolument ou probablement une demande de permis, quatre sur dix ne le feront absolument pas ou probablement pas et un tiers ne le sait pas. • Comparativement à 2013, les étudiants sont moins nombreux à envisager de faire probablement une demande de permis. Étant donné qu’il faut un permis d’exercice pour pouvoir exercer le génie, prévoyez-vous faire une demande de permis d’exercice (ing.)? Non(2 cotes inférieures) Oui(2 cotes supérieures) 2014 : 39 %(n=126) 2013 : 38 %(n=121) 2014 : 28 %(n=90) 2013 : 33 %(n=106) Q24. Étant donné qu’il faut détenir un permis d’exercice pour pouvoir se déclarer légalement ingénieur ou exercer comme ingénieur, prévoyez-vous faire une demande de permis d’exercice (ing.)? Base : Les répondants qui ne prévoient pas faire de demande de permis ou qui sont incertains, 2013 (n=318); 2014 (n=321)

  27. Délais quant à la demande de permis • Six étudiants sur dix, soit la majorité d’entre eux, qui ont l’intention de faire une demande de permis prévoient le faire dans les six mois qui suivent l’obtention de leur diplôme, tandis que deux sur dix prévoient le faire dans les douze mois et plus d’un sur dix pense attendre au moins un an ou ne le sait pas. Quand prévoyez-vous faire une demande de permis d’exercice? Dans les douze mois(2 cotes supérieures) 2014 : 60 %(n=1090) 2013 : 61 %(n=1391) Q27. Quand prévoyez-vous faire une demande de permis d’exercice?Base : Les répondants qui prévoient faire une demande de permis d’exercice, 2013 (n=2288); 2014 (n=1815)

  28. Raisons de l’attente avant de faire une demande de permis • Parmi ceux qui prévoient attendre au moins un an avant de faire une demande de permis d’exercice, pratiquement tous les étudiants indiquent comme raison le désir d’acquérir l’expérience de travail nécessaire. Pourquoi désirez-vous attendre plus d’un an avant de faire votre demande de permis d’exercice? Les réponses totalisant moins de 2 % ne sont pas représentées. Q28. Pourquoi désirez-vous attendre plus d’un an avant de faire votre demande de permis d’exercice? Base : Les répondants qui prévoient attendre au moins un an avant de faire une demande de permis d’exercice ou qui sont incertains, 2013 (n=897); 2014 (n=725)

  29. Impact de l’exemption des frais de cotisation à titre d’ingénieur stagiaire sur la probabilité de faire une demande de permis dans les six mois • Lorsqu’ils apprennent qu’en déposant une demande de permis dans les six mois qui suivent l’obtention de leur diplôme, ils peuvent être exemptés des frais de participation au programme d’ingénieur stagiaire pour la première année, neuf étudiants sur dix qui prévoyaient au départ faire une demande de permis plus de six mois après l’obtention de leur diplôme disent maintenant qu’il est très probable ou assez probable qu’ils fassent une demande dans les six mois. Feriez-vous une demande de permis dans les six mois si vous pouviez être exempté des frais de cotisation à titre d’ingénieur stagiaire pour la première année? Probable(2 cotes supérieures) 2014 : 89 %(n=935) 2013 : 90(n=1166) x Improbable(2 cotes inférieures) 2014 : 7 %(n=72) 2013 : 6 %(n=76) x Q29. Si vous saviez qu’en déposant une demande de permis dans les six mois qui suivent l’obtention de votre diplôme, vous pourriez être exempté des frais d’ouverture de dossier et de la cotisation pour la première année à titre d’ingénieur stagiaire, dans quelle mesure serait-il probable que vous fassiez une demande de permis dans ce délai de six mois? Base : Les répondants qui ne savent pas ou qui prévoient faire une demande de permis plus de six mois après l’obtention de leur diplôme, 2013 (n=1290); 2014 (n=1044)

  30. Pays envisagé pour la demande de permis • Pratiquement tous les étudiants qui ont l’intention de faire un jour une demande de permis d’exercice prévoient le faire au Canada. Deux étudiants sur dix envisagent de faire une demande aux États-Unis, tandis qu’un plus petit nombre envisage de le faire à l’étranger. Dans quel pays ou quelle région prévoyez-vous faire une demande de permis d’exercice? 2014 : 16 %(n=242) 2013 : 16 %(n=288) À l’étranger Comme les répondants pouvaient donner plusieurs réponses, il est possible que le total dépasse 100 %. Q25. Dans quel pays ou quelle région prévoyez-vous faire une demande de permis d’exercice? Base : Les répondants qui prévoient faire une demande de permis d’exercice, 2013 (n=2288); 2014 (n=1815)

  31. Province envisagée pour la demande de permis • Près de la moitié des étudiants qui ont l’intention faire une demande de permis d’exercice prévoit le faire en Ontario, le tiers envisage de faire une demande en Alberta, trois sur dix en Colombie-Britannique et deux sur dix au Québec. Q26. Dans quelles provinces ou quels territoires prévoyez-vous faire demande de permis d’exercice? Base : Les répondants qui prévoient faire une demande de permis au Canada, 2013 (n=2260); 2014 (n=1797)

  32. Connaissance du permis d’exercice

  33. Réglementation du génie • Plus de huit étudiants sur dix, soit la vaste majorité d’entre eux, savent que le génie est réglementé par des lois et des règlements, tandis qu’un étudiant sur dix est incertain ou croit que la profession n’est pas réglementée. La pratique professionnelle du génie est-elle encadrée par des lois et des règlements? Q5. D’après vous, est-ce que la pratique professionnelle du génie est encadrée par des lois et des règlements? Base : Tous les répondants, 2013 (n=2501); 2014 (n=2046)

  34. Nécessité du permis au sein de la profession Est-il nécessaire de détenir un permis pour pouvoir : Q8. D’après vous, est-il nécessaire de détenir un permis d’ingénieur pour pouvoir, au... Base : Tous les répondants, 2013 (n=2501); 2014 (n=2046) Plus de huit étudiants sur dix, soit la vaste majorité d’entre eux, savent qu’un permis est nécessaire pour réaliser des travaux d’ingénierie de façon autonome (85 %). Près des trois quarts savent qu’un permis est nécessaire pour utiliser le titre « ingénieur » ou qu’il n’est pas nécessaire pour réaliser des travaux d’ingénierie sous la direction d’un ingénieur titulaire de permis. Comparativement à 2013, les étudiants sont plus nombreux à savoir qu’un permis d’exercice n’est pas nécessaire pour réaliser des travaux d’ingénierie sous la direction d’un ingénieur titulaire de permis.

  35. Connaissance du permis d’ingénieur et des rôles • Neuf finissants sur dix ont au moins un niveau de connaissance moyen des rôles pour lesquels il est nécessaire de détenir un permis pour pouvoir exécuter légalement des fonctions ou des actes au sein de la profession et la moitié a répondu correctement aux trois questions, ce qui représente, sur le plan statistique, une augmentation importante par rapport à 2013. Un étudiant sur dix a un niveau de connaissance limité ou n’a aucune connaissance sur le sujet. Niveau de connaissance des fonctions ou des actes nécessitant un permis *Définition des niveaux de connaissanceÉlevé : Tous exacts (3) à la Q8Moyen : 2 exacts à la Q8Limité : 1 exact à la Q8Nul : Tous inexacts (0) à la Q8 Élevé/Moyen(2 cotes supérieures) 2014 : 90 %(n=1842) 2013 : 89 %(n=2226) Limité/Nul(2 cotes inférieures) 2014 : 10 %(n=204) 2013 : 11 %(n=275) x Q8. D’après vous, est-il nécessaire de détenir un permis d’ingénieur pour pouvoir, au... Base : Tous les répondants, 2013 n=(2501); 2014 (n=2046)

  36. Quelles organisations sont responsables des activités ou procédures suivantes? Responsabilités des organisations Comme les répondants pouvaient donner plusieurs réponses, il est possible que le total dépasse 100 %. Q9. Veuillez choisir l’organisation ou les organisations qui sont responsables des différentes activités ou procédures énumérées ci-dessous. Base : Tous les répondants, 2013 (n=2501); 2014 (n=2046) Neuf étudiants sur dix, soit la vaste majorité d’entre eux, savent que leur ordre provincial ou territorial est l’organisation responsable de délivrer les permis d’exercice et huit étudiants sur dix savent qu’il réglemente également l’exercice du génie. Les trois quarts des étudiants savent que le Bureau d’agrément est l’organisation qui agrée les programmes universitaires de formation en génie, ce qui représente une proportion plus élevée qu’en 2013, tandis que les étudiants sont plus hésitants en ce qui concerne l’organisation qui délivre les permis aux entreprises qui offrent des services d’ingénierie. Un peu plus de la moitié croit que c’est l’ordre provincial, ce qui représente une proportion plus élevée qu’en 2013, tandis que trois sur dix pensent que c’est le Bureau d’agrément et un quart ne le sait pas.

  37. Connaissance des responsabilités des organisations • Neuf étudiants sur dix ont au moins un niveau de connaissance moyen en ce qui concerne les responsabilités des organisations en matière d’activités ou de procédures liées à la profession. Parmi ce groupe, près de quatre étudiants sur dix ont un niveau de connaissance élevé des responsabilités des organisations, ce qui représente une proportion plus élevée qu’en 2013. Un étudiant sur dix à un niveau de connaissance limité ou n’a aucune connaissance sur le sujet. Niveau de connaissance des responsabilités des organisations au sein de la profession d’ingénieur Définition des niveaux de connaissance Élevé : Tous exacts à laQ9 (4)Moyen : 2 ou 3 exacts à laQ9Limité : 1 exact à la Q9Nul : Tous inexacts (0) à la Q9 Élevé/Moyen(2 cotes supérieures) 2014 : 91 %(n=1064) 2013 : 89 % (n=2243)x Limité/Nul(2 cotes inférieures) 2014 : 9 %(n=182) 2013 : 11 % (n=261) x Q9. Veuillez choisir l’organisation ou les organisations qui sont responsables des différentes activités ou procédures énumérées ci-dessous. Base : Tous les répondants, 2013 (n=2501); 2014 (n=2046)

  38. Connaissance des ordres provinciaux

  39. Participation à un atelier ou un séminaire d’un ordre provincial ou territorial • Plus de quatre étudiants sur dix indiquent avoir assisté à un atelier ou un séminaire donné par un ordre d’ingénieurs provincial ou territorial, ce qui représente une proportion plus élevée qu’en 2013. Avez-vous déjà participé à un atelier ou un séminaire donné par un ordre provincial? Q11. Avez-vous déjà assisté à un atelier, un séminaire ou un exposé donné par un représentant d’un ordre provincial ou territorial? Base : Tous les répondants, 2013 (n=2501); 2014 (n=2046)

  40. Connaissance du programme de membre étudiant de l’ordre provincial/territorial • Les deux tiers des étudiants, soit la majorité d’entre eux, sont au courant du programme de membre étudiant offert par les ordres provinciaux ou territoriaux. Parmi eux, trois étudiants sur dix en sont actuellement membres, deux sur dix aimeraient en faire partie et un sur dix en a entendu parler, mais ne souhaite pas en faire partie. Connaissance(3 cotes supérieures) 64 %(n=1289) 66 %(n=1667) Q32. Lequel des énoncés suivants décrit le mieux dans quelle mesure vous connaissez le programme de membre étudiant offert par certains des organismes provinciaux/territoriaux de réglementation du génie? Base : Tous les répondants, 2013 (n=2501); 2014 (n=2046)

  41. Loi sur les ingénieurs

  42. Loi sur les ingénieurs • Près de neuf étudiants sur dix, soit la vaste majorité d’entre eux, indiquent connaître la Loi sur les ingénieurs de leur province ou de leur territoire. Un tiers des étudiants indiquent connaître assez bien la Loi, ce qui représente une proportion plus élevée qu’en 2013, la moitié dit la connaître un peu et ils ne sont qu’un petit nombre à indiquer la connaître très bien. Environ un étudiant sur dix en a entendu parler, mais ne connaît rien à son sujet et seulement 2 % des étudiants n’en ont jamais entendu parler. Dans quelle mesure connaissez-vous la Loi sur les ingénieurs? Connaissance(3 cotes supérieures) 2014 : 85 % (n=1739) 2013 : 83 %(n=2065) x Q6. La pratique du génie est réglementée par la Loi sur les ingénieurs du [province/territoire]. Lequel des énoncés suivants décrit le mieux dans quelle mesure vous connaissez cette loi? Base : Tous les répondants, 2013 (n=2501); 2014 (n=2046)

  43. Loi sur les ingénieurs • La plupart des étudiants continuent d’indiquer qu’ils ont entendu parler de la Loi sur les ingénieurs de leur province ou de leur territoire dans un cours sur le droit et l’éthique à l’université ou par un professeur ou un autre membre du personnel de l’université. Comment avez-vous entendu parler de la Loi sur les ingénieurs pour la première fois? Par un professeur ou dans un cours à l’université 2014 : 73 %(n=1264) 2013 : 73 %(n=1495) Les réponses totalisant moins de 5 % ne sont pas représentées . Q7. Comment avez-vous entendu parler de la Loi sur les ingénieurs du [province] pour la première fois? Base : Les répondants qui connaissent la Loi, 2013 (n=2065); 2014 (n=1739)

  44. Outil d’orientation de carrière

  45. Utilité d’un outil d’orientation de carrière au secondaire ou au CÉGEP • Neuf étudiants sur dix, soit la vaste majorité d’entre eux, pensent qu’il aurait été utile, au secondaire ou au CÉGEP, d’avoir un outil pour les aider à savoir s’ils avaient le profil pour faire des études en génie. Utile (2 cotes supérieures) 86 % (n=1750) Inutile (2 cotes inférieures) 14 % (n=296) (n=42) (n=965) (n=785) (n=211) (n=85) Q33E. Est-ce qu’il aurait été utile, au secondaire ou au CÉGEP, d’avoir un outil pour vous aider à savoir si vous aviez le profil pour faire des études en génie et mener avec succès une carrière dans ce domaine? Base : 2014 n=2046

  46. Utilité d’un outil d’orientation de carrière à l’université • Près de neuf étudiants sur dix pensent qu’un outil d’orientation de carrière aurait été utile. Pratiquement la moitié d’entre eux pensent qu’un tel outil aurait été très utile. Utile (2 cotes supérieures) 86 % (n=1739) Inutile (2 cotes inférieures) 15 % (n=307) (n=910) (n=829) (n=241) (n=66) Q17a. Est-ce qu’un outil pour vous aider à décider vers quel genre de carrière vous diriger (par exemple, le génie-conseil, l’ingénierie technique, l’ingénierie commerciale, la gestion de projets, le milieu universitaire, etc.) vous serait utile? Base : Tous les répondants, 2014 (n=2046)

  47. Outil d’orientation de carrière – 2014 • La plupart des étudiants, soit quatre sur dix, pensent que c’est en 3e année qu’un outil d’orientation de carrière aurait été le plus utile. Ils sont environ un quart à estimer qu’un tel outil aurait été plus utile en 2e année ou en 4e année, et seulement un sur dix indique la 1re année. (n=199) (n=488) (n=894) (n=465) Q17b. Selon vous, à quelle étape de votre formation en génie ce genre d’outil d’orientation de carrière serait le plus utile? Base : Tous les répondants, 2014 (n=2046)

  48. Connaissance du programme Cap sur la carrière • Seulement 4 % des étudiants disent connaître le programme Cap sur la carrière d’Ingénieurs Canada. (n=76) (n=1970) Q17c. Savez-vous qu’Ingénieurs Canada a mis au point un nouveau programme intitulé Cap sur la carrière qui comprend un outil capable d’évaluer vos chances de succès dans le domaine du génie? Base : Tous les répondants, 2014 (n=2046)

  49. Données démographiques

  50. Expérience de travail acquise avant l’obtention du diplôme • Près de six étudiants sur dix indiquent avoir acquis de l’expérience de travail avant l’obtention de leur diplôme, tandis que deux sur dix n’ont aucune expérience ou sont incertains quant à l’admissibilité de l’expérience acquise. (n=113) (n=39) (n=43) Q33 Avez-vous acquis de l’expérience de travail en génie avant l’obtention de votre diplôme? Base : Les répondants qui ont fait une demande de permis ou qui sont incertains, (n=195)

More Related