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STRASBOURG I. Les Ponts Couverts (deux des quatre tours 1200-1250) A l’origine les tours en brique étaient reliées par des ponts en bois recouverts d’un toit qui enjambaient les quatre chenaux de la Bruche. . Maison à Colombages - Rue Mercière
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Les Ponts Couverts (deux des quatre tours 1200-1250) A l’origine les tours en brique étaient reliées par des ponts en bois recouverts d’un toit qui enjambaient les quatre chenaux de la Bruche.
Maison à Colombages - Rue Mercière A droite la Cathédrale de Strasbourg dont la flèche (haute de 142m), achevée en 1439 restera l’édifice le plus haut de la chrétienté jusqu’en 1874.
Maisons à colombages et à galeries extérieures. Place du Marché-aux-Cochons-de-Lait
Enseigne à l’effigie du bonnet phrygien En 1793 les révolutionnaires avaient exigé qu’on démolisse la flèche de la cathédrale qui par sa hauteur exceptionnelle blessait profondément le sentiment de l’égalité.Un strasbourgeois trouva un subterfuge : il insista sur l’intérêt qu’il y avait à se servir de cet immense pylône pour manifester jusqu’au delà du Rhin que, de ce côté-ci, on était dans le pays de la liberté. Il y hissa un énorme bonnet phrygien en tôle peinte.
Colombages sculptés de la maison Kammerzell (1589) Pélican au pied de la Charité à la jupe largement fendue
Maison ensoleillée de la rue du Maroquin Le jardinet gothique, au premier plan – ou « paradis » – du musée de l’Œuvre-Notre-Dame a été aménagé selon les règles d’Albert le Grand avec des carrés d’herbes potagères, médicinales et d’agrément.
La rosace de la Cathédrale de Strasbourg vue de l’intérieur
La rosace de la Cathédrale de Strasbourg vue de l’extérieur.
L’Église triomphante La Synagogue vaincue A gauche, l’Église victorieuse et couronnée, tenant dans ses mains le calice et la bannière que surmonte la croix, considère avec assurance la Synagogue. A droite la Synagogue vaincue tient une lance brisée, détourne sa tête aux yeux bandés, expression de son refus de reconnaître dans le Christ le Messie attendu. Elle paraît laisser tomber les tables de la Loi, symbole de l’Ancien Testament dépassé. Portail Sud de la cathédrale vers 1230 - Original : Musée de l’Oeuvre Notre-Dame
Archivolte historiée de la cathédrale de Strasbourg, portail central
Le haut du Gable de la cathédrale de Strasbourg, portail central
Escalier à vis de l’Oeuvre Notre-Dame Travail de Hans Thoman Uhlberger entre 1570 et 1574. Ce remarquable escalier en vis est contemporain de l’aile Renaissance de l’Oeuvre Notre-Dame. Témoignage de la virtuosité de l’architecte Hans-Thoman Uhlberger, il se caractérise en particulier par son noyau évidé et ses deux rampes intérieures animées d’un mouvement hélicoïdal.
La Maison de Cagliostro (Statue de la Vierge au Lys) Ici séjourna Cagliostro, aventurier italien et personnage mystérieux qui s’est rendu fameux au XVIIIe siècle. Voir l’Affaire du collier de la Reine
Maison des Tanneurs à la Petite France Avec leurs hautes toitures pourvues de greniers béants, les maisons des tanneurs se reconnaissent aisément. Ces derniers se livraient ici au « travail de la rivière », consistant à nettoyer très méticuleusement leurs peaux pour qu’elles puissent absorber le tanin et atteindre la souplesse nécessaire aux autres opérations de tannage. Ensuite, ils les faisaient sécher dans ces greniers dont les toitures échancrées laissaient passer l’air. La Maison des Tanneurs siège autrefois de cette corporation, fait partie d’une des plus spectaculaires.
Aula du Palais Universitaire de StrasbourgConstruit entre 1879 et 1884 par les allemands La première session du Conseil de l’Europe se tient du 10 août au 8 septembre 1949 et réunit 101 délégués de douze états dans l’Aula du Palais Universitaire.
« Ganseliesel »Bronze de A. Schultz Parc de l’Orangerie. (Elisabeth accompagnée d’une oie) L’histoire de l’Orangerie commence à la Révolution lorsque l’orangerie du château de Bouxwiller comprenant 138 arbres est offerte à l’État et à la Ville de Strasbourg. Celle-ci décide de lui construire un abri (1804). Peu après le préfet enregistre le vœu de la population d voir l’établissement nommé « Orangerie Joséphine ou de l’Impératrice».
Fleur (Nymphaea Daubenyana) dans le bassin de la serre du jardin botanique
Victoria amazonica Sowerby dans la serre du jardin botanique
L’entrée de l’École des Arts Décoratifs de Strasbourg Construite en 1892. Le décor céramique de la façade réalisé par les élèves de l’école
Bas-relief - La gare de Strasbourg La gare inaugure l’ère des grands édifices allemands d’après 1870. La longue façade vaguement renaissance s’anime d’un avant-corps central orné des armoiries de la ville, du Reich, de l’Alsace et de la Lorraine et de grands bas-reliefs allégoriques. A l’intérieur du hall, statues du Commerce et de l’Agriculture. Côté quai une marquise métallique néo-gothique abrite les voies.
L’Homme de fer En 1740 un arquebusier tient boutique à l’enseigne de l’Homme de Fer (Zum Eisernen Mann) et décore la maison de la figure grandeur nature d’une sergent de patrouille municipale de le fin du XVIe .
Le Parlement européen à Strasbourg Le 14 décembre 1999, le président de la République Jacques Chirac inaugure le nouveau siège du Parlement européen, un des plus gros chantiers européens de la décennie 1990. Dés le 19 juillet 1999, les 629 nouveaux députés élus en juin prennent possession des locaux. Le bâtiment est un ensemble immobilier de 220 000 mètres carrés. Il présente une forme de delta et s’adapte à la courbure de l’Ill. A l’arrière une tour cylindrique de 60 mètres de haut reste intérieurement creuse.
La Cour Européenne des Droits de l’Homme La Cour européenne des Droits de l’Homme (CEDH, Cour de Strasbourg) a été créée en 1959 et siège à Strasbourg. Elle a été rendue permanente le 1er novembre 1998.
Le Pont Churchill sera dynamité le 20 Août .... « Si je prend l’exemple du pont Churchill, aujourd’hui, une majorité de gens me diront que ce pont était une ineptie, et l’autre partie me répondra qu’il s’agissait d’une oeuvre d’art. Cette affirmation évolue en fonction des modes et de l’évolution des mentalités. A sa construction (1960) on lui vouait un côté pratique (passage des voitures et des bateaux). En 2006, il était devenu un obstacle, une barrière pour les piétons et les cyclistes, au paradis des voitures. L’utilisation croissante des transports en commun, et le besoin en espace vert, ont favorisé sa destruction. »
Le Soixantième anniversaire de la libération de Strasbourg Photo du Général de Gaulle et du Maréchal Leclerc place Kléber à Strasbourg sur le monument de l’Aubette Le 23 Novembre 1944 la deuxième division blindée du général Leclerc entre dans Strasbourg après avoir parcouru plus de 100 km en 6 jours. La ville est libérée. Leclerc s’adresse alors aux Alsaciens en ces termes: « La flèche de votre cathédrale est demeurée notre obsession. Nous avions juré d’y arborer de nouveau les couleurs nationales. C’est chose faite. »
L’École Nationale d’Administration L’ÉNA définitivement fixé à Strasbourg dans sa totalité depuis peu s’est installée dans les locaux de l’ancienne prison d’État sainte Marguerite. Victor Hugo n’écrivait-il pas: « Construire une école, c’est fermer une prison. »
Le Musée d’Art Moderne et Contemporain de Strasbourg Le 6 novembre 1998 est inauguré le Musée d’art moderne et contemporain de Strasbourg, réalisé par Adrien Fainsiber dans un quartier totalement réaménagé. La construction devient une des réalisations majeures de la municipalité socialiste.C’est un monumental bâtiment de verre et de granit rose. Il comporte une nef lumineuse de 140 mètres de longueur surmontée d’un toit en verre, de larges baies et se termine par une terrasse de 1200 m2.
Opéra du Rhin Le 30 mai 1800, la vieille salle du Broglie est la proie des flammes. Dés 1804 on dresse des plans d’une nouvelle salle dont l’emplacement est définitivement choisi à l’extrémité de la place, contre l’Ill. Les auteurs des plans, l’ingénieur Robin et l’architecte Villot ne voient la fin des travaux qu’en 1821. Le théâtre de Strasbourg connaît des heures de gloire jusqu’à sa nouvelle destruction en 1870. Les allemands restaurent le monument sans toucher aux extérieurs.Le théâtre est un monument de style néo-classique avec une façade ornée d’un péristyle à colonnes ioniques d’ordre colossal; sur l’entablement se dressent six Muses.
Vue depuis le Barrage Vauban (Terrasse panoramique) Au premier plan deux des quatre tours qui étaient reliées par des ponts-galeries (Ponts Couverts). Ces ponts étaient protégés chacun par un toit de tuile, étaient fermés vers l’extérieur par une paroi en bois percée d’archères et vers l’intérieur ils étaient aménagés en galerie ouverte. En 1784, de simples passerelles en bois remplacent le système, rebâties à leur tour en pierre entre 1860 et 1870. Du XVIe siècle datent les ouvrages à éperon, muni d’ouvertures pour l’artillerie qui précèdent chaque tour.Le barrage Vauban ou grande écluse est construit par Tarade sur les plans de Vauban entre 1686 et 1700 pour doubler et fortifier de façon moderne le réseau défensif des Ponts-Couverts.