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Les connecteurs logiques. Cette description d’une préparation d’un jour de marché est assez picturale et fait, sous certains aspects, penser à un tableau impressionniste.
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Les connecteurs logiques • Cette description d’une préparation d’un jour de marché est assez picturale et fait, sous certains aspects, penser à un tableau impressionniste. Tout d’abord, nous y constatons tout un réseau de couleurs telles que dans les groupes nominaux « velours gros vert », « toile bleue », « nez rose », et plus loin, « verts délicats », « le corail rose » ou encore « l’ivoire mat ». Certains mots connotent simplement des couleurs, comme le mot « verdure » qui connote le vert. En tout cas, l’ensemble constitue bien « des éclairs de couleurs intenses » dans cette préparation du marché. Cette dernière formule nous permet ausside repérer un autre champ lexical qui contribue à faire de cette scène de marché un tableau, c’est le champ lexical de la lumière. En effet, nous pouvons relever aussila présence d’ « un grand diable de bec de gaz », ainsi que des « lanternes » qui ont pour fonction d’éclairer comme le signale le participe présent « éclairant » », et de créer une « clarté brusque et tournante ». Cette attention à la lumière est un autre point commun avec l’art pictural. Enfin, nous pouvons presque affirmer que certains traits de la description font penser aux traits de la peinture impressionniste, par la présence du mouvement et d’effets de flou. Voyons dans un premier temps le mouvement, qui était déjà présent par la « clarté brusque et tournante ». Toute cette scène est animée par les mouvements des commerçants et des camions, ce que les verbes d’action rendent particulièrment bien. Nous pouvons ainsiobserver les voitures qui « arrivaient toujours », le fait que l’ « on déchargeait », la paysanne qui « lançait » les choux, les choux qui « se remettaient à voler, à passer », « les maraîchers [qui] ménageaient un étroit sentier ». Ces verbes d’action mettent la scène en mouvement, ce qui fait penser aux mouvements que l’on dit voir dans les tableaux impressionnistes. Dans un second temps, nous pouvons observer les effets de flou, de nuances, qui viennent troubler la vue du personnage ici. En effet, la scène s’étend « au-delà des regards », dans des « profondeurs grises », ce qui fait que « l’ombre cach[e] » parfois le paysage, et le trouble. Ainsi, Zola doit utiliser une négation restrictive dans « on ne voyait encore […] que » pour montrer que tout n’est pas nettement visible. Le fait de ne pas tout voir nettement, d’être limité par le point de vue, évoque aussi certains tableaux impressionnistes.
Formulation de l’idée directrice des paragraphes • Cette description d’une préparation d’un jour de marché est assez picturale et fait, sous certains aspects, penser à un tableau impressionniste. Tout d’abord, nous y constatons tout un réseau de couleurstelles que dans les groupes nominaux « velours gros vert », « toile bleue », « nez rose », et plus loin, « verts délicats », « le corail rose » ou encore « l’ivoire mat ». Certains mots connotent simplement des couleurs, comme le mot « verdure » qui connote le vert. En tout cas, l’ensemble constitue bien « des éclairs de couleurs intenses » dans cette préparation du marché. Cette dernière formule nous permet aussi de repérer un autre champ lexical qui contribue à faire de cette scène de marché un tableau, c’est le champ lexical de la lumière. En effet, nous pouvons relever aussi la présence d’ « un grand diable de bec de gaz », ainsi que des « lanternes » qui ont pour fonction d’éclairer comme le signale le participe présent « éclairant » », et de créer une « clarté brusque et tournante ». Cette attention à la lumière est un autre point commun avec l’art pictural. Enfin, nous pouvons presque affirmer que certains traits de la description font penser aux traits de la peinture impressionniste, par la présence du mouvement et d’effets de flou. Voyons dans un premier temps le mouvement, qui était déjà présent par la « clarté brusque et tournante ». Toute cette scène est animée par les mouvements des commerçants et des camions, ce que les verbes d’action rendent particulièrment bien. Nous pouvons ainsi observer les voitures qui « arrivaient toujours », le fait que l’ « on déchargeait », la paysanne qui « lançait » les choux, les choux qui « se remettaient à voler, à passer », « les maraîchers [qui] ménageaient un étroit sentier ». Ces verbes d’action mettent la scène en mouvement, ce qui fait penser aux mouvements que l’on dit voir dans les tableaux impressionnistes. Dans un second temps, nous pouvons observer les effets de flou, de nuances, qui viennent troubler la vue du personnage ici.En effet, la scène s’étend « au-delà des regards », dans des « profondeurs grises », ce qui fait que « l’ombre cach[e] » parfois le paysage, et le trouble. Ainsi, Zola doit utiliser une négation restrictive dans « on ne voyait encore […] que » pour montrer que tout n’est pas nettement visible. Le fait de ne pas tout voir nettement, d’être limité par le point de vue, évoque aussi certains tableaux impressionnistes.
Formulation de la conclusion des paragraphes • Cette description d’une préparation d’un jour de marché est assez picturale et fait, sous certains aspects, penser à un tableau impressionniste. Tout d’abord, nous y constatons tout un réseau de couleurstelles que dans les groupes nominaux « velours gros vert », « toile bleue », « nez rose », et plus loin, « verts délicats », « le corail rose » ou encore « l’ivoire mat ». Certains mots connotent simplement des couleurs, comme le mot « verdure » qui connote le vert. En tout cas,l’ensemble constitue bien « des éclairs de couleurs intenses » dans cette préparation du marché. Cette dernière formule nous permet aussi de repérer un autre champ lexical qui contribue à faire de cette scène de marché un tableau, c’est le champ lexical de la lumière. En effet, nous pouvons relever aussi la présence d’ « un grand diable de bec de gaz », ainsi que des « lanternes » qui ont pour fonction d’éclairer comme le signale le participe présent « éclairant » », et de créer une « clarté brusque et tournante ». Cette attention à la lumière est un autre point commun avec l’art pictural. Enfin, nous pouvons presque affirmer que certains traits de la description font penser aux traits de la peinture impressionniste, par la présence du mouvement et d’effets de flou. Voyons dans un premier temps le mouvement, qui était déjà présent par la « clarté brusque et tournante ». Toute cette scène est animée par les mouvements des commerçants et des camions, ce que les verbes d’action rendent particulièrement bien. Nous pouvons ainsi observer les voitures qui « arrivaient toujours », le fait que l’ « on déchargeait », la paysanne qui « lançait » les choux, les choux qui « se remettaient à voler, à passer », « les maraîchers [qui] ménageaient un étroit sentier ». Ces verbes d’action mettent la scène en mouvement, ce qui fait penser aux mouvements que l’on dit voir dans les tableaux impressionnistes. Dans un second temps, nous pouvons observer les effets de flou, de nuances, qui viennent troubler la vue du personnage ici.En effet, la scène s’étend « au-delà des regards », dans des « profondeurs grises », ce qui fait que « l’ombre cach[e] » parfois le paysage, et le trouble. Ainsi, Zola doit utiliser une négation restrictive dans « on ne voyait encore […] que » pour montrer que tout n’est pas nettement visible. Le fait de ne pas tout voir nettement, d’être limité par le point de vue, évoque aussi certains tableaux impressionnistes.
Formules pour introduire une citation • Cette description d’une préparation d’un jour de marché est assez picturale et fait, sous certains aspects, penser à un tableau impressionniste. Tout d’abord, nous y constatons tout un réseau de couleurstelles que dans les groupes nominaux« velours gros vert », « toile bleue », « nez rose », et plus loin, « verts délicats », « le corail rose » ou encore « l’ivoire mat ». Certains mots connotent simplement des couleurs, comme le mot « verdure » qui connote le vert. En tout cas,l’ensemble constitue bien « des éclairs de couleurs intenses » dans cette préparation du marché. Cette dernière formule nous permet aussi de repérer un autre champ lexical qui contribue à faire de cette scène de marché un tableau, c’est le champ lexical de la lumière. En effet, nous pouvons relever aussi la présence d’ « un grand diable de bec de gaz », ainsi que des « lanternes » qui ont pour fonction d’éclairer comme le signale le participe présent « éclairant » », et de créer une « clarté brusque et tournante ». Cette attention à la lumière est un autre point commun avec l’art pictural. Enfin, nous pouvons presque affirmer que certains traits de la description font penser aux traits de la peinture impressionniste, par la présence du mouvement et d’effets de flou. Voyons dans un premier temps le mouvement, qui était déjà présent par la « clarté brusque et tournante ». Toute cette scène est animée par les mouvements des commerçants et des camions, ce que les verbes d’action rendent particulièrement bien. Nous pouvons ainsi observer les voitures qui « arrivaient toujours », le fait que l’ « on déchargeait », la paysanne qui « lançait » les choux, les choux qui « se remettaient à voler, à passer », « les maraîchers [qui] ménageaient un étroit sentier ». Ces verbes d’action mettent la scène en mouvement, ce qui fait penser aux mouvements que l’on dit voir dans les tableaux impressionnistes. Dans un second temps, nous pouvons observer les effets de flou, de nuances, qui viennent troubler la vue du personnage ici.En effet, la scène s’étend « au-delà des regards », dans des « profondeurs grises », ce qui fait que « l’ombre cach[e] » parfois le paysage, et le trouble. Ainsi, Zola doit utiliser une négation restrictive dans « on ne voyait encore […] que » pour montrer que tout n’est pas nettement visible. Le fait de ne pas tout voir nettement, d’être limité par le point de vue, évoque aussi certains tableaux impressionnistes.
Formules pour analyser l’effet d’une citation • Cette description d’une préparation d’un jour de marché est assez picturale et fait, sous certains aspects, penser à un tableau impressionniste. Tout d’abord, nous y constatons tout un réseau de couleurstelles que dans les groupes nominaux « velours gros vert », « toile bleue », « nez rose », et plus loin, « verts délicats », « le corail rose » ou encore « l’ivoire mat ». Certains mots connotent simplement des couleurs, comme le mot « verdure » qui connote le vert. En tout cas, l’ensemble constitue bien « des éclairs de couleurs intenses » dans cette préparation du marché. Cette dernière formule nous permet aussi de repérer un autre champ lexical qui contribue à faire de cette scène de marché un tableau, c’est le champ lexical de la lumière. En effet, nous pouvons relever aussi la présence d’ « un grand diable de bec de gaz », ainsi que des « lanternes » qui ont pour fonction d’éclairer comme le signale le participe présent « éclairant » », et de créer une « clarté brusque et tournante ». Cette attention à la lumière est un autre point commun avec l’art pictural. Enfin, nous pouvons presque affirmer que certains traits de la description font penser aux traits de la peinture impressionniste, par la présence du mouvement et d’effets de flou. Voyons dans un premier temps le mouvement, qui était déjà présent par la « clarté brusque et tournante ». Toute cette scène est animée par les mouvements des commerçants et des camions, ce que les verbes d’action rendent particulièrement bien. Nous pouvons ainsi observer les voitures qui « arrivaient toujours », le fait que l’ « on déchargeait », la paysanne qui « lançait » les choux, les choux qui « se remettaient à voler, à passer », « les maraîchers [qui] ménageaient un étroit sentier ». Ces verbes d’action mettent la scène en mouvement, ce qui fait penser aux mouvements que l’on dit voir dans les tableaux impressionnistes. Dans un second temps, nous pouvons observer les effets de flou, de nuances, qui viennent troubler la vue du personnage ici.En effet, la scène s’étend « au-delà des regards », dans des « profondeurs grises », ce qui fait que « l’ombre cach[e] » parfois le paysage, et le trouble. Ainsi, Zola doit utiliser une négation restrictive dans « on ne voyait encore […] que » pour montrer que tout n’est pas nettement visible. Le fait de ne pas tout voir nettement, d’être limité par le point de vue, évoque aussi certains tableaux impressionnistes.
NOM DES PROCEDES D’ECRITURE • Cette description d’une préparation d’un jour de marché est assez picturale et fait, sous certains aspects, penser à un tableau impressionniste. Tout d’abord, nous y constatons tout un réseau de couleurstelles que dans les groupes nominaux « velours gros vert », « toile bleue », « nez rose », et plus loin, « verts délicats », « le corail rose » ou encore « l’ivoire mat ». Certains mots connotent simplement des couleurs, comme le mot « verdure » qui connote le vert. En tout cas, l’ensemble constitue bien « des éclairs de couleurs intenses » dans cette préparation du marché. Cette dernière formule nous permet aussi de repérer un autre champ lexicalqui contribue à faire de cette scène de marché un tableau, c’est le champ lexical de la lumière. En effet, nous pouvons relever aussi la présence d’« un grand diable de bec de gaz », ainsi que des « lanternes » qui ont pour fonction d’éclairer comme le signale le participe présent « éclairant » », et de créer une « clarté brusque et tournante ». Cette attention à la lumière est un autre point commun avec l’art pictural. Enfin, nous pouvons presque affirmer que certains traits de la description font penser aux traits de la peinture impressionniste, par la présence du mouvement et d’effets de flou. Voyons dans un premier temps le mouvement, qui était déjà présent par la « clarté brusque et tournante ». Toute cette scène est animée par les mouvements des commerçants et des camions, ce que les verbes d’action rendent particulièrement bien. Nous pouvons ainsi observer les voitures qui « arrivaient toujours », le fait que l’ « on déchargeait », la paysanne qui « lançait » les choux, les choux qui « se remettaient à voler, à passer », « les maraîchers [qui] ménageaient un étroit sentier ». Ces verbes d’action mettent la scène en mouvement, ce qui fait penser aux mouvements que l’on dit voir dans les tableaux impressionnistes. Dans un second temps, nous pouvons observer les effets de flou, de nuances, qui viennent troubler la vue du personnage ici. En effet, la scène s’étend « au-delà des regards », dans des « profondeurs grises », ce qui fait que « l’ombre cach[e] » parfois le paysage, et le trouble. Ainsi, Zola doit utiliser une négation restrictive dans « on ne voyait encore […] que » pour montrer que tout n’est pas nettement visible. Le fait de ne pas tout voir nettement, d’être limité par le point de vue, évoque aussi certains tableaux impressionnistes.