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Etat des lieux, atouts et débouchés. L’enseignement du russe en France. L’état des lieux. Historique. Naissance à la fin du XIX e Essor après la 2 e guerre mondiale (création de l’agrégation en 1947, du CAPES en 1955)
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Etat des lieux, atouts et débouchés L’enseignement du russe en France
Historique • Naissance à la fin du XIXe • Essor après la 2e guerre mondiale (création de l’agrégation en 1947, du CAPES en 1955) • Apogée dans les années 70 (50 postes par an aux concours de l’enseignement) • Baisse des effectifs au début des années 80 • Petite amélioration dans les années 90 (30 000 élèves début 90) • Chute vertigineuse dans les années 2000 (2008 : un peu plus de 14 000 élèves) • Dernièrement: stabilisation, mais poursuite de la politique de suppression de postes
Situation dans le secondaire (public + privé)
Situation dans le secondaire En 2008-2009 : • public + privé = 100 collèges, 259 lycées • 264 professeurs • essentiellement dans les filières générales • 5 sections européennes (Bordeaux, Limoges, Paris (2), Versailles) • 2 sections internationales (Strasbourg, Nice)
Situation à Grenoble Dans l’académie, le russe est enseigné: à Grenoble et Meylan (+ SMH) mais aussi: à Valence, Chambéry, Annecy, Annemasse, Thonon et Passy
Situation à Grenoble • Chute de la LV1, sauf si LV1 bi-langue (Buclos) • Situation parfois difficile de la LV2 (oscillations des effectifs au L Champollion, fermeture aux Buclos) • Mais solidité de la LV2 au C Champollion et au L du Grésivaudan • Succès de la LV3 à Champollion • Globalement conforme à la tendance générale en France (forte baisse LV1 et LV2, développement LV3)
Les raisons • Chute des effectifs dans le secondaire • Effets néfastes de la Dotation Horaire Globale • Suprématie de l’anglais • Image négative de la Russie véhiculée par les médias • Pas de volonté politique de préserver la diversité de choix • Le sur-encadrement et la sur-qualification des enseignants de russe • Lassitude et vieillissement du corps enseignant?
Diversification de la demande • Auto-apprentissage • Cours particuliers • CNED • Le supérieur cherche à diversifier son offre et à s’adapter à de nouveaux publics ; grande demande en LANSAD
Dans les études • C’est une langue formatrice… mais pas forcément difficile ! • Travail en petits groupes • Avec des enseignants très qualifiés et dynamiques (voyages, activités…) • Un atout pour les filières sélectionnantes et les concours • La diversité culturelle
Pour un projet professionnel • Se démarquer par rapport à d’autres candidats • Une réputation de langue difficile • Une langue internationale… • … et recherchée par les entreprises… • … ainsi qu’une langue de science
Les secteurs d’activité • L’enseignement • La traduction et l’interprétariat • Les métiers de la culture • Le tourisme • Le commerce • La logistique • La gestion • Le droit • Les ONG • La documentation • La communication • La fonction publique
Poursuite d’études à Grenoble • En spécialiste : LLCE (langues, littératures et cultures étrangères), LEA (langues étrangères appliquées), DEGL (licence couplée droit/langues ou éco-gestion/langues) • En non-spécialiste : le LANSAD (Stendhal), cours proposés dans certains établissements.