430 likes | 545 Views
USAGE DES TEMPS PASSÉS. Comment donner du rythme à la narration ?. Amadou Hampâté Bâ Amkoullel l’enfant peul mémoires (1) Actes Sud, 1991. Né vers 1900 à Bandiagara (Mali), il est mort le 15 mai 1991 à Abidjan.
E N D
USAGE DES TEMPS PASSÉS Comment donner du rythme à la narration ?
Amadou Hampâté BâAmkoullel l’enfant peulmémoires (1)Actes Sud, 1991 Né vers 1900 à Bandiagara (Mali), il est mort le 15 mai 1991 à Abidjan. Au conseil exécutif de l’Unesco où il siégeait, comme à travers ses différents ouvrages consacrés à la tradition et aux civilisations africaines, il s’est rendu célèbre par son combat inlassable au service des cultures orales et du dialogue entre les hommes.
LES DIFFÉRENTS TEMPS PASSÉS • L’imparfait • le passé composé • le passé simple • le plus-que-parfait • le passé antérieur
L’IMPARFAIT • Un temps qui décrit une situation, un contexte, un décor, au passé • Un temps imparfaitement passé • qui décrit une action d’unedurée indéfinie • qui exprime la répétition d’une action au passé • qui exprime la continuation d’une action par rapport à d’autres actions finies
LA FORMATION DE L’IMPARFAITVerbe Être : racine du verbe + terminaison de l’imparfait Être J’ét Tu ét Il ét Elle ét Nous ét Vous ét Ils ét Elles ét ais ais ait ait ions iez aient aient
Nous finiss Je finiss Tu finiss Il finiss Elle finiss Nous finiss Vous finiss Ils finiss Elles finiss ais ais ait ait ions iez aient aient LA FORMATION DE L’IMPARFAITÀ partir de la congugaison de “nous” au présent : Finir (présent) Je finis Tu finis Il finit Elle finit Nous finissons Vous finissez Ils finissent Elles finissent (Imparfait)
LA FORMATION DE L’IMPARFAITVerbes du Premier et du troisième Groupes (en “er” et “re”) Nous jouons Nous vendons Je jou Tu jou Il jou Elle jou Nous jou Vous jou Ils jou Elles jou Je vend Tu vend Il vend Elle vend Nous vend Vous vend Ils vend Elles vend ais ais ait ait ions iez aient aient ais ais ait ait ions iez aient aient
LA FORMATION DE L’IMPARFAITAvoir et Aller Nous avons Nous allons J’av Tu av Il av Elle av Nous av Vous av Ils av Elles av J’all Tu all Il all Elle all Nous all Vous all Ils all Elles all ais ais ait ait ions iez aient aient ais ais ait ait ions iez aient aient
LA FORMATION DE L’IMPARFAITVerbes dont la dernière syllabe commence par “r” Di re Fai re Croi re Je fai Tu fai Il fai Elle fai Nous fai Vous fai Ils fai Elles fai Je di Tu di Il di Elle di Nous di Vous di Ils di Elles di s s s s s s s s ais ais ait ait ions iez aient aient s s s s s s s s ais ais ait ait ions iez aient aient Je cro Tu cro Il cro Elle cro Nous cro Vous cro Ils cro Elles cro y y y y y y y y ais ais ait ait ions iez aient aient
USAGE DE L’IMPARFAIT Faire une description, peindre un décor, mettre en scène... au passé Après le dîner, mes camarades et moi nous rendions parfois à la grande place de Kérétel où les jeunes gens et les jeunes filles se réunissaient le soir pour bavarder, chanter ou danser au clair de lune... Si un jeune homme était en verve poétique, il venait chanter ses improvisations. On les retenait de mémoire et, si elles étaient belles, dès le lendemain, elle se répandaient à travers toute la ville. C’était là un aspect de cette grande école orale traditionnelle où l’éducation populaire se dispensait au fil des jours.
USAGE DE L’IMPARFAITExprimer la répétion d’une action au passé : À vous maintenant... Le plus souvent, je (rester) après le dîner chez mon père Tidjani pour assister aux veillées. Pour les enfants, ces veillées (être) une véritable école vivante, car un maître conteur africain ne (se limiter) pas à narrer des contes, il (être) également capable d’enseigner sur de nombreuses autres matières, surtout lorsqu’il (s’agir) de traditionalistes confirmés comme Koullel, son maître Modibo Koumba ou Danfo Siné de Bougouni. De tels hommes (pouvoir) aborder presque tous les champs de la connaissance d’alors.
USAGE DE L’IMPARFAITExprimer la répétion d’une action au passé : À vous maintenant... Le plus souvent, je restais après le dîner chez mon père Tidjani pour assister aux veillées. Pour les enfants, ces veillées (être) une véritable école vivante, car un maître conteur africain ne (se limiter) pas à narrer des contes, il (être) également capable d’enseigner sur de nombreuses autres matières, surtout lorsqu’il (s’agir) de traditionalistes confirmés comme Koullel, son maître Modibo Koumba ou Danfo Siné de Bougouni. De tels hommes (pouvoir) aborder presque tous les champs de la connaissance d’alors.
USAGE DE L’IMPARFAITExprimer la répétion d’une action au passé : À vous maintenant... Le plus souvent, je restais après le dîner chez mon père Tidjani pour assister aux veillées. Pour les enfants, ces veillées étaient une véritable école vivante, car un maître conteur africain ne (se limiter) pas à narrer des contes, il (être) également capable d’enseigner sur de nombreuses autres matières, surtout lorsqu’il (s’agir) de traditionalistes confirmés comme Koullel, son maître Modibo Koumba ou Danfo Siné de Bougouni. De tels hommes (pouvoir) aborder presque tous les champs de la connaissance d’alors.
USAGE DE L’IMPARFAITExprimer la répétion d’une action au passé : À vous maintenant... Le plus souvent, je restais après le dîner chez mon père Tidjani pour assister aux veillées. Pour les enfants, ces veillées étaient une véritable école vivante, car un maître conteur africain ne se limitait pas à narrer des contes, il (être) également capable d’enseigner sur de nombreuses autres matières, surtout lorsqu’il (s’agir) de traditionalistes confirmés comme Koullel, son maître Modibo Koumba ou Danfo Siné de Bougouni. De tels hommes (pouvoir) aborder presque tous les champs de la connaissance d’alors.
USAGE DE L’IMPARFAITÀ vous maintenant... Le plus souvent, je restais après le dîner chez mon père Tidjani pour assister aux veillées. Pour les enfants, ces veillées étaient une véritable école vivante, car un maître conteur africain ne se limitait pas à narrer des contes, il était également capable d’enseigner sur de nombreuses autres matières, surtout lorsqu’il (s’agir) de traditionalistes confirmés comme Koullel, son maître Modibo Koumba ou Danfo Siné de Bougouni. De tels hommes (pouvoir) aborder presque tous les champs de la connaissance d’alors.
USAGE DE L’IMPARFAITÀ vous maintenant... Le plus souvent, je restais après le dîner chez mon père Tidjani pour assister aux veillées. Pour les enfants, ces veillées étaient une véritable école vivante, car un maître conteur africain ne se limitait pas à narrer des contes, il était également capable d’enseigner sur de nombreuses autres matières, surtout lorsqu’il s’agissait de traditionalistes confirmés comme Koullel, son maître Modibo Koumba ou Danfo Siné de Bougouni. De tels hommes (pouvoir) aborder presque tous les champs de la connaissance d’alors.
USAGE DE L’IMPARFAITÀ vous maintenant... Le plus souvent, je restais après le dîner chez mon père Tidjani pour assister aux veillées. Pour les enfants, ces veillées étaient une véritable école vivante, car un maître conteur africain ne se limitait pas à narrer des contes, il était également capable d’enseigner sur de nombreuses autres matières, surtout lorsqu’il s’agissait de traditionalistes confirmés comme Koullel, son maître Modibo Koumba ou Danfo Siné de Bougouni. De tels hommes pouvaient aborder presque tous les champs de la connaissance d’alors.
PASSÉ COMPOSÉ & PASSÉ SIMPLE • Ce sont des temps parfaitement passés • Ils expriment des actions d’une durée limitée • On les utilise pour raconter une histoire au passé • Ils contrastent avec l’imparfait • Le passé composé est le temps de l’oral • Le passé simple est un temps littéraire
FORMATION DU PASSÉ COMPOSÉ • Il se compose de deux parties : • Le verbe lui-même est transformé en participe passé • On conjugue un verbe auxiliaire
Jouer Finir Vendre Être Avoir Aller Faire Pouvoir Mettre joué fini vendu été eu allé fait pu mis Le participe passé: Un verbe transformé en adjectif
J’ai Tu as Il a Elle a Nous avons Vous avez Ils ont Elles ont eu joué fini vendu mis pu fait dit Le verbe avoir est l’auxiliaire normal (avoir) (jouer) (finir) (vendre) (mettre) (pouvoir) (faire) (dire)
Je suis Tu es Il est Elle est Nous sommes Vous êtes Ils sont Elles sont (aller) (sortir) (partir) (naître) (arriver) (rentrés (mourir) (venir) Le verbe être est l’auxilaire quand le participe passé décrit le sujet du verbe allé sorti parti née arrivés rentrés morts venues
USAGE DU PASSÉ COMPOSÉ Le temps de la narration orale « Depuis un long moment nous discutons en vue de comprendre pourquoi les Français nos maîtres, et les Allemands que nous ne connaissons pas, sont entrés en guerre. Pour les uns, c’est une question de femmes, pour les autres, c’est une question de champs. » .... « La vérité est tout autre. Nous constituons, pour les « peaux allumées » un bien matériel très important : aux uns, ils ont enseigné leur langue, aux autres leur façon de cultiver, à d’autres encore le métier de la guerre et ainsi de suite. Pourquoi tout cela ? »
USAGE DU PASSÉ COMPOSÉ Le temps de l’oral « Pourquoi les toubabs (venir) nous envahir, pourquoi (nous capturer) et (domestiquer) ? Uniquement pour se servir de nous en cas de besoin, ... Pour les aider à travailler ou à combattre leurs ennemis. Cela n’a rien d’étonnant. Nous aussi, jadis, (faire) des captifs par la guerre avant de le devenir nous-mêmes. » « Et pourquoi les toubabs d’Europe (se déclarer) la guerre ? Mes frères, je vais vous le dire : les Français (entrer) en guerre pour nous conserver... et les Allemands pour nous avoir. »
USAGE DU PASSÉ COMPOSÉ Le temps de l’oral « Pourquoi les toubabs sont-ils venus nous envahir, pourquoi (nous capturer) et (domestiquer) ? Uniquement pour se servir de nous en cas de besoin, ... Pour les aider à travailler ou à combattre leurs ennemis. Cela n’a rien d’étonnant. Nous aussi, jadis, (faire) des captifs par la guerre avant de le devenir nous-mêmes. » « Et pourquoi les toubabs d’Europe (se déclarer) la guerre ? Mes frères, je vais vous le dire : les Français (entrer) en guerre pour nous conserver... et les Allemands pour nous avoir. »
USAGE DU PASSÉ COMPOSÉ Le temps de l’oral « Pourquoi les toubabs sont-ils venus nous envahir, pourquoi nous ont-ils capturés et (domestiquer) ? Uniquement pour se servir de nous en cas de besoin, ... Pour les aider à travailler ou à combattre leurs ennemis. Cela n’a rien d’étonnant. Nous aussi, jadis, (faire) des captifs par la guerre avant de le devenir nous-mêmes. » « Et pourquoi les toubabs d’Europe (se déclarer) la guerre ? Mes frères, je vais vous le dire : les Français (entrer) en guerre pour nous conserver... et les Allemands pour nous avoir. »
USAGE DU PASSÉ COMPOSÉ Le temps de l’oral « Pourquoi les toubabs sont-ils venus nous envahir, pourquoi nous ont-ils capturés et domestiqués ? Uniquement pour se servir de nous en cas de besoin, ... Pour les aider à travailler ou à combattre leurs ennemis. Cela n’a rien d’étonnant. Nous aussi, jadis, (faire) des captifs par la guerre avant de le devenir nous-mêmes. » « Et pourquoi les toubabs d’Europe (se déclarer) la guerre ? Mes frères, je vais vous le dire : les Français (entrer) en guerre pour nous conserver... et les Allemands pour nous avoir. »
USAGE DU PASSÉ COMPOSÉ Le temps de l’oral « Pourquoi les toubabs sont-ils venus nous envahir, pourquoi nous ont-ils capturés et domestiqués ? Uniquement pour se servir de nous en cas de besoin, ... Pour les aider à travailler ou à combattre leurs ennemis. Cela n’a rien d’étonnant. Nous aussi, jadis, avons fait des captifs par la guerre avant de le devenir nous-mêmes. » « Et pourquoi les toubabs d’Europe (se déclarer) la guerre ? Mes frères, je vais vous le dire : les Français (entrer) en guerre pour nous conserver... et les Allemands pour nous avoir. »
USAGE DU PASSÉ COMPOSÉ Le temps de l’oral « Pourquoi les toubabs sont-ils venus nous envahir, pourquoi nous ont-ils capturés et domestiqués ? Uniquement pour se servir de nous en cas de besoin, ... Pour les aider à travailler ou à combattre leurs ennemis. Cela n’a rien d’étonnant. Nous aussi, jadis, avons fait des captifs par la guerre avant de le devenir nous-mêmes. » « Et pourquoi les toubabs d’Europe se sont-ils déclarés la guerre ? Mes frères, je vais vous le dire : les Français (entrer) en guerre pour nous conserver... et les Allemands pour nous avoir. »
USAGE DU PASSÉ COMPOSÉ Le temps de l’oral « Pourquoi les toubabs sont-ils venus nous envahir, pourquoi nous ont-ils capturés et domestiqués ? Uniquement pour se servir de nous en cas de besoin, ... Pour les aider à travailler ou à combattre leurs ennemis. Cela n’a rien d’étonnant. Nous aussi, jadis, avons fait des captifs par la guerre avant de le devenir nous-mêmes. » « Et pourquoi les toubabs d’Europe se sont-ils déclarés la guerre ? Mes frères, je vais vous le dire : les Français sont entrés en guerre pour nous conserver... et les Allemands pour nous avoir. »
FORMATION DU PASSÉ SIMPLE • Un temps simple • Une conjugaison irrégulière • Radical + terminaisons
Je donn Tu donn Il donn Elle donn Nous donn Vous donn Ils donn Elles donn 1. - donner FORMATION DU PASSÉ SIMPLETrois formes possibles 2. - finir 3. - être ai as a a âmes âtes èrent èrent Je fin Tu fin Il fin Elle fin Nous fin Vous fin Ils fin Elles fin is is it it îmes îtes irent irent Je f Tu f Il f Elle f Nous f Vous f Ils f Elles f us us ut ut ûmes ûtes urent urent
J’ all Tu all Il all Elle all Nous all Vous all Ils all Elles all aller FORMATION DU PASSÉ SIMPLETrois formes possibles faire pouvoir ai as a a âmes âtes èrent èrent Je f Tu f Il f Elle f Nous f Vous f Ils f Elles f is is it it îmes îtes irent irent Je p Tu p Il p Elle p Nous p Vous p Ils p Elles p us us ut ut ûmes ûtes urent urent
Je pens Tu pens Il pens Elle pens Nous pens Vous pens Ils pens Elles pens penser FORMATION DU PASSÉ SIMPLETrois formes possibles devoir dire Je d Tu d Il d Elle d Nous d Vous d Ils d Elles d us us ut ut ûmes ûtes urent urent Je d Tu d Il d Elle d Nous d Vous d Ils d Elles d is is it it îmes îtes irent irent ai as a a âmes âtes èrent èrent
USAGE DU PASSÉ SIMPLE Le temps de la narration littéraire Kadidja apprit la mort de son grand frère Bokari Pâté. Elle décida de rejoindre immédiatemnt Bandiagara. Elle fit son entrée à Bandiagara comme une riche marchande revenant de voyage. Elle distribua beaucoup de tissus et de bibelots aux parents, aux amis, aux notables de la ville... Après avoir rendu ses devoirs à la mémoire de son frère, elle liquida sa succession. Kadidja vendit une cinquantaine de boeufs pour faire face aux frais du voyage de retour.
USAGE DU PASSÉ SIMPLE Alternance imparfait -passé simple Kadidja (passer) environ deux mois à Bandiagara au milieu des siens. Pendant ce temps, une jeunne fille peule (être) donnée par ses parents en mariage à Tierno Kounta. Ma mère (accepter) de l’emmener avec elle à Bougouni. Tout le monde lui (conseiller) de renoncer à son voyage en raison de son état de grossesse avancée. Rien n’y (faire) ! « Mon mari a besoin de moi, (répondre)-elle. Ma place est à Bougouni, après de mon époux. »
USAGE DU PASSÉ SIMPLE Alternance imparfait -passé simple Kadidja passa environ deux mois à Bandiagara au milieu des siens. Pendant ce temps, une jeunne fille peule (être) donnée par ses parents en mariage à Tierno Kounta. Ma mère (accepter) de l’emmener avec elle à Bougouni. Tout le monde lui (conseiller) de renoncer à son voyage en raison de son état de grossesse avancée. Rien n’y (faire) ! « Mon mari a besoin de moi, (répondre)-elle. Ma place est à Bougouni, après de mon époux. »
USAGE DU PASSÉ SIMPLE Alternance imparfait -passé simple Kadidja passa environ deux mois à Bandiagara au milieu des siens. Pendant ce temps, une jeunne fille peule fut donnée par ses parents en mariage à Tierno Kounta. Ma mère (accepter) de l’emmener avec elle à Bougouni. Tout le monde lui (conseiller) de renoncer à son voyage en raison de son état de grossesse avancée. Rien n’y (faire) ! « Mon mari a besoin de moi, (répondre)-elle. Ma place est à Bougouni, après de mon époux. »
USAGE DU PASSÉ SIMPLE Alternance imparfait -passé simple Kadidja passa environ deux mois à Bandiagara au milieu des siens. Pendant ce temps, une jeunne fille peule fut donnée par ses parents en mariage à Tierno Kounta. Ma mère accepta de l’emmener avec elle à Bougouni. Tout le monde lui (conseiller) de renoncer à son voyage en raison de son état de grossesse avancée. Rien n’y (faire) ! « Mon mari a besoin de moi, (répondre)-elle. Ma place est à Bougouni, après de mon époux. »
USAGE DU PASSÉ SIMPLE Alternance imparfait -passé simple Kadidja passa environ deux mois à Bandiagara au milieu des siens. Pendant ce temps, une jeunne fille peule fut donnée par ses parents en mariage à Tierno Kounta. Ma mère accepta de l’emmener avec elle à Bougouni. Tout le monde lui conseillait de renoncer à son voyage en raison de son état de grossesse avancée. Rien n’y (faire) ! « Mon mari a besoin de moi, (répondre)-elle. Ma place est à Bougouni, après de mon époux. »
USAGE DU PASSÉ SIMPLE Alternance imparfait -passé simple Kadidja passa environ deux mois à Bandiagara au milieu des siens. Pendant ce temps, une jeunne fille peule fut donnée par ses parents en mariage à Tierno Kounta. Ma mère accepta de l’emmener avec elle à Bougouni. Tout le monde lui conseillait de renoncer à sons voyage en raison de son état de grossesse avancée. Rien n’y fit ! « Mon mari a besoin de moi, (répondre)-elle. Ma place est à Bougouni, après de mon époux. »
USAGE DU PASSÉ SIMPLE Alternance imparfait -passé simple Kadidja passa environ deux mois à Bandiagara au milieu des siens. Pendant ce temps, une jeunne fille peule fut donnée par ses parents en mariage à Tierno Kounta. Ma mère accepta de l’emmener avec elle à Bougouni. Tout le monde lui conseillait de renoncer à sons voyage en raison de son état de grossesse avancée. Rien n’y fit ! « Mon mari a besoin de moi, répondait-elle. Ma place est à Bougouni, après de mon époux. »
L’alternance des temps passés Donne du rythme à la narration.