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“Le voyage du moine franciscain Jean de Plan Carpin ”. Scuola Secondaria di primo grado “Mazzini” – Magione (Perugia) Classi 3 C- 2 D – 3 E Anno scolastico 2012-13. Le moine franciscain est né au Plan Carpin, au jour Magione, vers 1182. Jean de Plan Carpin. La peur des Mongols.
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“Le voyage du moine franciscainJean de Plan Carpin” Scuola Secondaria di primo grado “Mazzini” – Magione (Perugia) Classi 3 C- 2 D – 3 E Anno scolastico 2012-13
Le moine franciscain est né au Plan Carpin, au jour Magione, vers 1182... Jean de Plan Carpin
La peur des Mongols En 1222 en Europe on avait peur d’un peuple barbare, qui de l’ Asie Centrale s’était montré aux frontières d’Europe.
Les barbares du visage jaune étaient conduits par un grand conquérant, Genghis Khan. Les Mongols avaient pillé, dévasté, brulé des villes et des villages et massacré leurs habitants. Genghis Khan
Le nouveau Khan Ögodei, après la mort de Gengis Khan Les Mongols de Ögodei, fils de Gengis Khan,s’emparèrent de Moscou en 1238, puis de Kiev, en 1240. Ils envahirent la Pologne et la Hongrie, menacèrent Vienne, occupèrent Zagreb, non loin de l’ Adriatique.
La nouvelle de la mort d’Ögodei en 1241 provoque le retrait des chefs Mongols. Tout l’Occident avait tremblé. Tout l’Occident avait tremblé
La mission diplomatique Avant le concile de Lyon du 1245, le Pape Innocent IV décide d’entrer en contact avec le nouveau Khan des Tartares.
Le franciscain Jean de Plan Carpin, âgé de 60 ans environ, est choisi et est envoyé en mission comme légat du pape Innocent IV à la cour du Grand Khan Mongol, en Tartarie. Le grand choix
Pourquoi Jean de Plan Carpin? Jean, chargé des missions en Saxe et en Rhénanie, ensuite séjourna en Pologne et en Hongrie. Fort de ses expériences, il partira pour Karakorum en qualité d’ambassadeur extraordinaire du pape Innocent IV.
Cinquantième parallèle Le 16 avril 1245 Jean de Plan Carpin quitte Lyon, en compagnie du moine Étienne de Bohême. Les Tartares s’étaient campés aux frontières de l’Hongrie et de la Russie méridionale. Jean suit un chemin, qui coupe l’Europe de l’ouest à l’est le long du cinquantième parallèle.
Jean de Plan Carpin traverse l’Allemagne, la Bohême. Á Breslau le moine Benoît de Pologne se joint à la mission pour servir d’interprète. À Cracovie Jean, avec l’argent reçu à Lyon pour les frais de déplacement, achète des fourrures de castor destinées au Khan. Les fourrures
L’hiver rigoureux Le voyage depuis Cracovie se présente très difficile: l’hiver est rigoureux et précoce, le froid persistant. Les moines voyagent dans une charrette couverte avec des domestiques du duc de Cracovie, qui les aide. Les chevaux enfoncent dans la neige jusqu’au ventre.
Kiev et les chevaux tartares A Kiev ils changent les chevaux avec ceux tartares, qui, grâce aux sabots robustes, cherchent l’ herbe sous la neige. Le 4 février 1246 la petite caravane quitte Kiev et ensuite arrive à Kanew, où le moine Étienne de Bohême, étant malade, laisse la mission.
Batu, le petit-fils de Genghis Khan Le voyage du Dnieper au Volga dure quarante jours. Le moine Jean parle de la mer aux bords glacés. Le 4 avril 1246 ils arrivent au camp de Batu, le petit-fils de Genghis Khan, à Sarai sur le Volga inférieur.
La purification Les moines donnent à Batu quarante peaux de castor et quatre-vingt peaux de blaireau, mais ils doivent passer à travers deux feux pour être purifiés.
Le millet bouilli et la neige fondue Les moines se bandent le thorax, les jambes, le cou, l’abdomen, les bras, fatigués du chevaucher. Ils mangent du millet bouilli et boivent de la neige fondue sur le feu.
Le desert de sable et de sel Les moines traversent le fleuve Ural et chevauchent avec les Tartares sur les steppes de la Mer Caspienne. Le paysage devient toujours plus désolé: un désert de sable et de sel. Il y a de petits lacs salés aux eaux desquels les chevaux et les hommes ne peuvent pas se désaltérer.
Karakorum Le 22 juillet 1246 les moines Jean et Benoît de Pologne arrivent à la capitale de l’empire mongol, Karakorum.
Sira Orda La tente du Khan est immense et peut contenir à peu près 2000 personnes. Le camp est plein d’étrangers et de mongols. Il y a des chinois, des musulmans, des turcs, des arabes, des russes et des arméniens.
La fête du couronnement Les moines sont accueillis dans une tente près du pavillon de la mère de Guyuk, le nouveau Khan. Batu avait fait parvenir à la cour de Guyuk la traduction des lettres pontificales, mais les moines doivent attendre.
Orda d’oro Guyuk reçoit le couronnement solennel dans la tente que les Mongols appellent “Orda d’oro”. La fête commence avec de la bière très forte et de la viande cuite sans sel.
Guyuk empereur Guyuk est assis au milieu de la tente avec son vêtement d’or resplendissant. Les moines aussi sont appelés devant l’empereur et leurs noms sont prononcés à voix haute et doivent fléchir le genou gauche à terre pour quatre fois.
Le 11 novembre 1246 Depuis quatre mois d’attente, les moines viennent en présence de l’empereur. Le dialogue se déroule avec deux intermédiaires de l’empereur. Guyuk parle avec son procureur, qui à son tour parle aux interprètes, qui rapportent aux frères les mots de l’empereur.
Les lettres du Pape Jean donne au Khan les lettres du Pape, dans lesquelles celui-ci demande aux Mongols de ne plus attaquer l’Occident et propose à Guyuk de se convertir au Christianisme, mais celui-ci refuse.
La réponse de Guyuk Dans sa réponse à la lettre du pape, Guyuk demande la soumission des souverains chrétiens et les invite à venir rendre hommage au pouvoir mongols.
Le départ Deux jours après les deux moines quittent Karakorum et commencent le voyage de retour. Ils arrivent à Lyon l’année suivante, au mois de novembre 1247.
Les Mongols ne se présentent pas aux frontières d’Europe L’alliance avec les Mongols, l’invitation à la conversion et à la renonciation aux conquêtes semblent manquées, mais probablement les deux voyageurs avaient frappé le grand Khan plus qu’on pouvait imaginer. En effet les Mongols ne se présentent pas aux frontières d’Europe.
Jean de Plan Carpin a écrit l’ ”Historia Mongalorum”, qui est un témoignage anthropologique précieux sur les Mongols. L’ “Historia Mongalorum”
Alfieri Aniello Alunni Daniele Apetino Bianca Battistini Marika Bottini Filippo Coppola Luana Daci Anxhela Fiorenzoni Matteo Focaia Veronica Gargagli Alice Latterini Lorenzo Lucantoni Alessandro Nichita Stefania Orecchini Nicola Pagliai Camilla Patucca Fabio Perugini Martina Poggioni Giulia Ricci Giorgia Ruci Ermal Ruci Ramadan Tamburi Marco Vagnetti Tommaso Vignaroli Patrik Gli alunni della 3C
L’ “Historia Mongalorum” Frère Jean a écrit le journal de son extraordinaire voyage dont le titre est « Historia Mongalorum » c’est-à-dire l’histoire des Mongols, qui peut être considérée un véritable traité moderne d’ethnographie et de géographie de l’Asie Centrale.
Les Tartares… Les Tartares ont les yeux petits et allongés, les mâchoires proéminentes. Les hommes se rasent les cheveux à côté du front et au milieu ils ont les cheveux longs, quelques-uns d’eux en font deux queues liées derrière les oreilles. Les pieds sont petits… Les vêtements sont faits avec un raffiné tissu originaire de la ville de Bucara.
Les vêtements Les vêtements sont faits avec un raffiné tissu originaire de la ville de Bucara.
Les habitations Leurs habitations sont rondes… Sur leurs toits elles ont une fenêtre ronde à travers laquelle entre de la lumière et sort de la fumée.
Ils élevaient… Ils élevaient beaucoup d’animaux comme par exemple des bœufs, des chèvres, des brebis, des chevaux et d’autres bêtes.
Cherubini Michela Di Nardo Giacomo Spaccapelo Arianna Zampetti Alessandro Gli alunni della 2 D
Missione giovani nell’Impero di Gengis Khan Classe III e
Chi l’avrebbe mai detto che il nostro illustre concittadino, Fra Giovanni da Pian di Carpine, a distanza di secoli sarebbe riuscito a raccogliere ancora i frutti di quel lungo, pericoloso e faticoso viaggio presso la corte del Khan dei Tartari? Il titolo dell’articolo, Missione giovani nell’Impero di Gengis Khan, la dice lunga. A Ulaanbataar, capitale della Mongolia, è stata creata una scuola cattolica per offrire ai ragazzi del luogo una formazione prevalentemente tecnica per un futuro lavorativo. Pensate che all’inizio della loro missione, questi religiosi abitavano sotto la Ger, la caratteristica tenda-casa mongola (come si può vedere nella foto). Senza perdersi d’animo sono però riusciti ad essere accettati sempre più dalla popolazione locale (la religione prevalente è il Buddismo tibetano), tanto da avere oggi 325 allievi nella loro scuola, lo stesso numero dei nostri alunni a Magione. Infine questa presenza ha consentito a molti orfani e figli di pastori (in Mongolia si pratica principalmente la pastorizia) di trovare un luogo accogliente dove poter iniziare un cammino di riscatto, e tutto ciò in nome di un messaggio di amicizia e pace tra i popoli.