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Innovation et science : la perspective canadienne. Présentation à : Tétrapartite 2007 Marc Fortin Ph.D. Sous-ministre adjoint. En 2005, AAC a entrepris des consultations nationales en science.
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Innovation et science :la perspective canadienne Présentation à : Tétrapartite 2007 Marc Fortin Ph.D. Sous-ministre adjoint
En 2005, AAC a entrepris des consultations nationales en science • Les consultations en science d’octobre-novembre 2005 auprès d’intervenants ont porté sur les orientations scientifiques, les priorités de recherche et le rôle que joue le gouvernement pour répondre aux besoins en évolution du secteur • 11 consultations régionales – 300 représentants d’associations de producteurs, de groupes de transformateurs et d’administrations provinciales et municipales • Le premier symposium sur la science et l’innovation en agriculture – 120 cadres supérieurs d’associations de producteurs, de groupes de transformateurs et d’autres organisations du secteur agricole de même que des représentants des provinces, d’universités et d’autres ministères fédéraux • Consultations bilatérales – une série d’environ 40 séances avec des intervenants clés en plus de consultations en ligne auxquelles tous les Canadiens ont pu participer au moyen du site Web sur les consultations en science d’AAC Le résultat : Stratégie de science et d’innovation d’AAC - mai 2006
La Stratégie de science et d’innovation d’AAC établit sept objectifs à l’égard des impacts à court terme Objectif 1 - Concentrer notre investissement en science et innovation sur les priorités nationales Objectif 2 - Excellence en science et en gestion des activités scientifiques Objectif 3 - Nouer des partenariats pour l’impact Objectif 4 - Étendre la capacité nationale intégrée en science et innovation à l’économie biologique Objectif 5 - Accélérer l’adoption et la commercialisation des connaissances scientifiques Objectif 6 - Améliorer un leadership et une gérance étayés par de meilleurs mécanismes de consultation et de collaboration Objectif 7 - Améliorer la prise de décision grâce aux conseils scientifiques
Objectif 1 ― Concentrer nos investissements en science et en innovation sur nos priorités nationales AAC a établi sept priorités nationales • Amélioration de la santé et du mieux-être humains grâce à l’alimentation, à la nutrition et à des produits novateurs • Amélioration de la qualité des aliments et de la sécurité du système alimentaire • Amélioration de la sécurité et de la protection de l’approvisionnement alimentaire • Amélioration des avantages économiques pour tous les intervenants • Amélioration de la performance environnementale du système agricole canadien • Amélioration de la compréhension des bioressources canadiennes • Création de nouvelles possibilités pour l’agriculture à partir des bioressources
Objectif 2 ― Excellence en science et en gestion des activités scientifiques Quatre grandes initiatives ont été lancées l’an dernier : • Examens par des pairs des activités de recherche à AAC • En juin 2006, AAC a lancé un processus d’examen externe par des pairs visant à : • assurer le meilleur investissement possible des fonds publics; • assurer l’excellence scientifique au moyen de la confrontation d’idées; • fournir des connaissances scientifiques de calibre international dans le secteur agricole et agroalimentaire. • Pour la première fois de son histoire, la Direction générale de la recherche d’AAC soumet désormais toutes ses activités de recherche à un examen externe par des pairs avant d’attribuer des fonds à des projets de recherche. • Mise en oeuvre d’un système de responsabilisation de la gestion plus direct. • Les responsabilités de gestion des directeurs scientifiques et des directeurs généraux sont davantage axées sur la réalisation des priorités du Ministère • Recrutement de nouveaux chercheurs • Renouvellement de notre équipement de recherche
Objectif 3 ― Nouer des partenariats pour l’impact Centre de recherche de Saskatoon 200 employés d’AAC sur le campus de l’Université de la Saskatchewan • AAC a adopté et adapté différents • modèles • Co-installations • Personnel intégré dans les universités • Instituts conjoints (bâtiment, équipement et personnel conjoints) • Avec d’autres ministères • AAC intensifie les initiatives • internationales de collaboration et de • partenariat en science et innovation • afin : • de créer des débouchés; • d’étendre l’influence internationale du Canada et d’améliorer nos relations commerciales.
Objectif 4 ― Étendre la capacité nationale intégrée en science et innovation à l’économie biologique • AAC a annoncé le Programme d’innovation pour les bioproduits agricoles (PIBA). • Le PIBA est un programme de 145 millions de dollars destiné à financer des réseaux de recherche et à favoriser la création de grappes pour contribuer au progrès d’une bioéconomie canadienne viable et rentable. • Il s’agit de la première injection importante de nouveaux fonds de recherche depuis plusieurs années. • Comme la Stratégie de science et d’innovation l’indique, ces nouveaux travaux de recherche mettront davantage l’accent sur les partenariats qui permettront de mettre sur pied les meilleures équipes de recherche au Canada. • Des demandes de financement pour près de un milliard de dollars ont été présentées.
Objectif 5 ― Accélérer l’adoption et la commercialisation des connaissances scientifiques • Le Programme de partage des frais pour l’investissement (PPFI) subit une cure de rajeunissement pour améliorer son efficacité et sa souplesse et simplifier son exécution. Le rajeunissement et la réorientation du PPFI visent à : • renforcer les capacités d’innovation dans l’ensemble de la chaîne de valeur; • mettre en oeuvre une nouvelle formule de financement pour satisfaire à un plus grand éventail des besoins du secteur; • établir des relations à long terme entre AAC et le secteur; • simplifier les accords qui seront mis en œuvre; • recevoir des demandes tout au long de l’année. • Le PPFI a été couronné de succès. Pour la période de 1994 à 2002, • le PPFI a financé 3 000 projets auxquels 1 400 groupes du secteur ont participé • le PPFI a multiplié les 235 millions de dollars d’investissement direct d’AAC par des investissements financiers et non financiers de contrepartie (50:50) du secteur • on a évalué à au moins 2,2 milliards de dollars les avantages économiques nets des projets de recherche financés par le PPFI
Objectif 6 ― Améliorer la coordination de l’innovation • AAC s’emploie à mettre en place un nouveau mécanisme de coopération, de coordination et de communication avec les provinces et les universités et avec d’autres fournisseurs de science et de recherche. • Ce nouveau mécanisme, le Conseil national de coordination et d’innovation, veillera à : • élaborer une vision commune et déterminer les domaines prioritaires pour stimuler la croissance dans le secteur, en offrant aux différents intervenants un point de centralisation de leurs compétences en science et en innovation; • aider à maximiser les ressources scientifiques et à améliorer leur coordination et leur gestion en vue de créer un système national intégré de recherche et de science en agriculture; • encourager les fournisseurs de travaux scientifiques et de recherche à participer à la création de partenariats; • mobiliser des investisseurs des secteurs public et privé pour les convaincre de participer à la création et à la promotion de nouveaux débouchés dans le secteur agricole.
Objectif 7 – Améliorer la prise de décision grâce aux conseils scientifiques • Au cours de l’année à venir, nous concentrerons nos efforts sur des initiatives de communication clés • Une stratégie de communication externe en sciences est en voie d’élaboration. Elle créera un cadre stratégique global pour gérer, intégrer et coordonner le vaste éventail d’activités afin d’assurer des communications ouvertes et transparentes avec les Canadiens et le monde. • Le site Web Interne pour la recherche d’AAC (La voie des sciences) est en cours de réorganisation pour faire en sorte que les publics extérieurs ont facilement accès à des renseignements fiables, opportuns et dignes de confiance sur la science d’AAC.
Le Cadre stratégique pour l’agriculture établit des objectif dans trois grands domaines • Nouvelle répartition des ressources publiques en science • Répartir et accroître les investissements en vue d’appuyer la science et l’innovation dans les domaines prioritaires ainsi que dans les travaux portant sur la biomasse, les bioproduits et les bioprocédés • Augmenter le niveau des investissements destinés à l’innovation dans le domaine des produits agricoles et des bioproduits • Coordination tout au long de la chaîne de valeur • Multiplier et resserrer les liens entre le secteur agricole et agroalimentaire et la communauté de la science et de l’innovation, tant au Canada qu’à l’échelle internationale • Améliorer le transfert de la technologie, la coordination, la communication et la collaboration entre tous les spécialistes dans l’ensemble de la chaîne de valeur • Création d’un climat propice à l’innovation • Accélérer la mise au point et l’adoption d’innovations dans le secteur agricole et agroalimentaire tout en maintenant un système de réglementation efficace, transparent et à fondement scientifique • Voir à ce que le Canada dispose des ressources humaines et de l’infrastructure nécessaires à la science et à l’innovation • Instaurer un climat propice à l’investissement, au transfert de la technologie et à la commercialisation • Faire meilleur usage de la propriété intellectuelle issue des travaux de recherche bénéficiant d’un financement public
Même si les investissements ont été modestes, la nouvelle répartition des ressources publiques en science a eu certains succès • Nouvelle répartition des ressources publiques en science – résultats obtenus et leçons à retenir • Elle a encouragé les partenaires du milieu universitaire et du secteur à s’aligner sur les priorités nationales par des partenariats et des projets multidisciplinaires; et elle a aidé en obtenant des investissements de contrepartie, mais l’initiative a été confrontée à de nombreux obstacles pour établir de véritables partenariats. • Les nouveaux investissements et programmes ont créé un ensemble hétérogène de programmes non coordonnés et ils ont augmenté le fardeau administratif. • En l’absence d’investissements nouveaux et soutenus, il peut être difficile de réaliser de nouvelles priorités.
Les programmes de S et I ont mis l’accent essentiellement sur la coordination de la chaîne de valeur • Coordination dans l’ensemble de la chaîne de valeur – résultats obtenus et leçons à retenir • Trente-trois projets de développement de la chaîne de valeur ont recensé et développé des débouchés commerciaux (p .ex. soya, lin, légumineuses, lait, pommes de terre, fibres…) • Le leadership et la planification stratégiques sont essentiels pour réunir tous les intervenants de la chaîne de valeur afin d’exploiter les nouveaux débouchés commerciaux • Il faut renforcer la capacité de courtage afin d’améliorer la mise en rapport d’entrepreneurs avec des services de pré-commercialisation • Le développement et la coordination de la chaîne de valeur sont faibles dans les nouveaux domaines commerciaux, comme les bioproduits • L’accent résolument national du CSA complique la tâche de tirer parti de débouchés dans des marchés de proximité au plan régional, là où la plus grande partie de l’innovation se fait • On reconnaît de plus en plus la nécessité d’un mécanisme de prévision et de planification stratégiques plus global réunissant les gouvernements, le milieu universitaire et le secteur pour repérer les débouchés
Un effort soutenu est nécessaire pour créer un climat propice à l’innovation • Création d’un climat propice à l’innovation – résultats obtenus et leçons à retenir • Quelques mesures ont été prises dans des domaines clés, comme la réglementation et la propriété intellectuelle, mais il reste beaucoup à faire • Il faut se pencher systématiquement sur tous les éléments du climat propice à l’innovation, notamment le personnel hautement qualifié, la disponibilité d’investissements, la réglementation, la propriété intellectuelle, les obstacles au commerce et l’accès au savoir international • Pour attirer des investissements, le Canada a besoin d’un système réglementaire transparent, opportun et homogène fondé sur des données scientifiques, un système capable de prendre en compte des produits innovateurs et nouveaux • En même temps, il faut se pencher sur les enjeux stratégiques socioéconomiques entourant le développement et l’application des nouvelles technologies
Les consultations ont confirmé que l’innovation est la pierre angulaire de la compétitivité et de la prospérité, mais qu’elle ne suffit pas à elle seule • La réglementation doit pouvoir prendre en compte les produits innovateurs et nouveaux de façon opportune et transparente • Il y a un goulot d’étranglement à la pré-commercialisation, du laboratoire à l’entrée sur le marché • La création d’une culture d’innovation est un processus dynamique qui ne devrait pas être géré de cinq ans en cinq ans. Le processus nécessité un engagement systématique et stable dans le temps • Les programmes actuels du CSA fonctionnent en vase clos et manquent d’intégration • Le long processus d’approbation des programmes nuit à l’innovation • Le secteur devrait se présenter comme un fournisseur de solutions
Appui à l’innovation CONTINUUM DE L’INNOVATION PHASE DE DÉCOUVERTE PHASE DE PRÉ-ADOPTION/PRÉ-COMMERCIALISATION PHASE DE COMMERCIALISATION Développement du marché Recherche fondamentale Recherche appliquée Développement de prototypes Démonstration à grande échelle Développement d’un produit prêt pour le marché Entrée sur le marché • Une approche systémique est nécessaire pour stimuler l’innovation et accélérer l’adoption et la transformation du savoir en produits prêts pour le marché • Des modifications au contexte de réglementation et de la propriété intellectuelle s’imposent • Un ensemble hétérogène de programmes le long du continuum, dans les différents ministères et chez les différents intervenants, augmente le fardeau administratif et nuit à l’efficacité • Il y a un goulot d’étranglement à la pré-commercialisation, du laboratoire à l’entrée sur le marché • Nous devons mettre davantage l’accent sur l’amélioration du climat commercial • Nous devons commencer à mettre en oeuvre un mécanisme de coordination national complet en matière de prévision et d’innovation • Nous devons envisager différents modèles de prestation
Des choses à ne plus faire…. • Cesser d’être à la remorque des événements, d’attendre que le secteur propose des idées de projets • nous perdons une occasion d’exercer un leadership qui engendrerait un changement réel. • Cesser d’essayer d’améliorer le secteur dans son ensemble et nous concentrer plutôt sur les chefs de file en matière d’entreprenariat • nous diversifions nos efforts au prix de la diversification du secteur. • Cesser de mettre en oeuvre des programmes axés sur des éléments particuliers du continuum de l’innovation • nous alourdissons le fardeau administratif et la complexité aux dépens du service aux clients et de l’impact que nous pouvons avoir.
Depuis l’époque de l’élaboration du CSA, le contexte de la politique fédérale a changé… • Avantage Canada • L’accent est mis sur la compétitivité et la croissance économique du secteur qui passent par l’innovation et l’amélioration de la productivité. On attache une grande importance aux collaborations scientifiques entre le milieu universitaire et le milieu des affaires. La notion que nous atteindrons l’excellence au moyen d’une confrontation d’idées est présentée comme un thème clé. • Budget 2007 • S’inscrit dans la foulée d’Avantage Canada. L’investissement public dans les universités par l’intermédiaire des conseils subventionnaires n’augmente que légèrement. Les conseils subventionnaires sont essentiellement le mécanisme au moyen duquel nous viserons l’excellence par la confrontation d’idées. L’innovation facilitée par un accent sur l’entreprenariat, le développement et la gestion du savoir et l’augmentation du nombre de PHQ est un volet clé. • Projet d’infrastructure des laboratoires fédéraux • Le Conseil du Trésor dirige un examen multiministériel de l’infrastructure des laboratoires fédéraux. Il est évident qu’un réinvestissement considérable s’impose et ce projet tente de déterminer les capacités actuelles des laboratoires fédéraux dans le contexte des priorités du gouvernement en science. • La Stratégie de science et d’innovation du gouvernement fédéral mettra l’accent sur : • la promotion de l’excellence de calibre mondial; • les priorités; • la facilitation de partenariats.
Pour la prochaine politique agricole et agroalimentaire, une orientation stratégique intégrée est proposée, avec quatre thèmes clés Système d’agro-innovation Compétitivité • Capacité prévisionnelle et coordination : déterminer les défis et possibilités qui pointent à l’horizon, en fait de compétitivité à long terme du secteur, et mobiliser sa capacité à s”attaquer aux enjeux clés • Infrastructure habilitante : pour établir les bases qui permettront d’accélérer le flot des nouvelles idées jusqu’au marché • Environnement propice à l’entreprise : pour promouvoir un climat qui favorise l’innovation • Capacité d’innover du secteur : favoriser la planification stratégique, le leadership en entreprenariat et les connaissances nécessaires pour réussir Obstacles au commerce Progrès en S et T Environnement propice à l’entreprise Innovation R et D Preuve du concept Développement de produits Développement de marché Commercialisation Infrastructure habilitante Capacité d’innover du secteur Capacité prévisionnelle et coordination Sophistication du consommateur Réceptivité du marché • Programmes intégrésqui mettent l’accent sur la coordination le long du continuum de l’innovation
Ces quatre thèmes s’harmonisent pour recenser les possibilités du secteur, pour tirer parti de ces possibilités… • Capacité prévisionnelle et coordination – pour recenser les possibilités • Établir un Conseil national de coordination de l’innovation doté d’un mécanisme prévisionnel et de tribunes connexes pour se pencher sur des enjeux prioritaires • Infrastructure habilitante – pour exploiter les possibilités • Créer des centres d’excellence pour maximiser les investissements publics-privés collectifs à l’égard des priorités sectorielles nationales et régionales, et mobiliser la capacité de s’attaquer à ces priorités • Des centres de partenariat en technologie et innovation conjugueraient les forces nationales et régionales et multiplieraient les investissements fédéraux-provinciaux grâce aux investissements de partenaires universitaires et privés. Des centres de partenariat en technologie et innovation se concentreraient sur la mise au point et la démonstration d’applications pouvant être facilement transférées aux parties concernées. • L’aide fédérale catalyserait la création de grappes et de réseaux de recherche dans des domaines différents, mais complémentaires, des activités agricoles traditionnelles. • Renforcer la capacité de recenser et d’utiliser l’information sur la science, la technologie et les marchés provenant des quatre coins du monde • L’analyse de l’environnement technologique pour repérer les possibilités commerciales et scientifiques sur la scène internationale serait liée aux prévisions des tendances scientifiques et sociales. Il faut renforcer la capacité d’analyse de l’environnement en matière d’innovation, évaluer la valeur potentielle pour le Canada et élaborer des stratégies par pays qui renforceront notre capacité à exploiter des connaissances et des débouchés commerciaux. • Renforcer les services de pré-commercialisation et la capacité de courtage connexe dans le secteur pour faciliter la commercialisation de produits • Créer une fonction de liaison entre les spécialistes de l’innovation d’AAC et l’industrie pour faciliter l’établissement de rapports • Un réseau national de centres de partenariats en technologie et innovation exploiterait les découvertes dans un domaine pour créer des produits et des services dans des domaines très variés, au-delà du domaine dans lequel l’auteur de la découverte originale est compétent.
… pour accélérer les investissements nécessaires et enfin, pour permettre au secteur d’agir pour saisir ces possibilités • Environnement propice à l’entreprise – pour accélérer l’investissement dans les débouchés • Favoriser un système de réglementation transparent, opportun et à la fine pointe de la science • Des grappes de recherche catalysées par l’aide fédérale jetteraient les fondements de processus de réglementation fondés sur la science. • Des centres de partenariat en technologie et innovation auraient le mandat d’aider les PME à satisfaire aux exigences réglementaires. • Assurer une approche globalement compétitive en matière de gestion de la propriété intellectuelle • Explorer les nouveaux modèles de gestion des portefeuilles de propriété intellectuelle pour maximiser les résultats compétitifs. • Mettre au point un cadre stratégique pour développer la bio-économie • Capacité d’innover du secteur – pour saisir les possibilités • Renforcer la capacité des dirigeants de défendre de nouvelles idées et de mettre au point des stratégies dans l’ensemble de la chaîne de valeur pour saisir les débouchés commerciaux • Faire en sorte que le secteur dispose des bonnes compétences pour appuyer l’innovation et lui permettre de rivaliser dans l’économie du savoir • Mettre sur pied une tribune indépendante pour favoriser des dialogues avec les Canadiens sur les technologies nouvelles • Présenter le secteur comme un « secteur de possibilités » pour attirer les nouveaux diplômés, les entrepreneurs chevronnés et les investisseurs afin d’exploiter les possibilités dans le secteur
Modèles de prestation différents Prévisions et tribunes Partenariat d’AAC, des provinces, du secteur et du milieu universitaire Réseaux de recherche Plates-formes d’innovation et de technologie inc. Recherche à AAC Courtage – Planification Agro-innovation - Adoption Tables rondes de la chaîne de valeur Portefeuille de PI Démonstration Marchés et commerce Liaison avec l’industrie Commercialisation Prospection internationale de la S et I