90 likes | 173 Views
Les Réseaux en immigration francophone (RIF) – Le point de vue de la recherche . Caroline Andrew Centre en gouvernance Université d’Ottawa candrew@uottawa.ca. La gouvernance collaboratrice et une participation é quitable pour les francophones . Deux objectifs
E N D
Les Réseaux en immigration francophone (RIF) – Le point de vue de la recherche Caroline Andrew Centre en gouvernance Université d’Ottawa candrew@uottawa.ca
La gouvernance collaboratrice et une participation équitable pour les francophones • Deux objectifs • Explorer différentes dimensions de la gouvernance collaboratrice • Voir comment les différentes dimensions positionnent une participation équitable pour les francophones
Ansell et Gash • C. Ansell and A. Gash (2007) « Collaborative Governance in Theory and Practice » Journal of Public Administration Research and Theory : 18 :543-571. • 4 éléments pour évaluer la gouvernance collaboratrice; • les conditions initiales, • le design institutionnel, • le processus collaboratif, • le style de leadership
Emerson, Nabatchi et Balogh • K. Emerson , T. Nabatchi, S. Balogh (2011) “An integrative Framework for Collaborative Governance” Journal of Public Administration Research and Theory, 22, pp1-29. • 4 facteurs pour expliquer la genèse d’une collaboration; • le leadership, • les incitatives significatrices, • l’interdépendance, • l’incertitude
Huxham • C.Huxham (2003) « Theorizing Collaboration Practice » Public management Review :5-3,401-423. • 5 élémentsdans la pratique de la collaboration ; • l’absence des objectifscommuns, • les multiples rapports de pouvoir, • construire la confiance, • l’ambiguité du membership, • l’importance du leadership
Kania et Kramer • JohnKania & Mark Kramer (2011) “Collective Impact” • 5 conditions du succès; • une compréhension commune du problème, • un système partagé de mesure, • des activités qui renforcent la solidarité, • des communications constantes, • une organisation « backbone »
Pistes à explorer pour établir une participation équitable francophone En lien avec l’une des questions que Jean Viel posera dans quelques minutes « Est-ce que les RIF sont à l’intersection des intérêts FPT et municipaux en immigration francophone ? » Et je vais prendre l’un des facteurs de chaque article et tenter de répondre à la question en prenant comme critère une participation équitable francophone par rapport à l’immigration francophone mais aussi par rapport à l’immigration tout court.
Mon choix des facteurs • Ansell et Gash – le design institutionnel les municipalités n’ont pas été spécifiées dans le design des RIF (différent des PLI) – ils ont établi des liens mais est-ce que un mandat municipal aurait donné une participation francophone plus équitable? • Emerson et al – les incitatives significatrices deux incitatives – l’inquiétudes des CFSM par rapport aux tendances démographiques et l’argent du fédéral –est-ce que le rapport entre les inquiétudes des CFSM et l’argent du fédéral a favorisé une participation francophone équitable? • Huxham – l’ambiguité de membership • Il faut accepter l’ambiguité – soigner constamment la collaboration et célébrer les petits succès – est-ce que la visibilité des célébrations des RIF augmente une participation francophone équitable (ex: Prix de la Réussite –RIF Centre sud ouest de l’Ontario et le centre français de Hamilton)? • Kania et Kramer – des communications constantes • Il faut assurer des communications constantes- comment faire cela quand tout le monde est très occupé? Est-ce que un système de communications horizontales et verticales efficace (RIF-RIF, RIF-FCFA, FCFA-CIC,CIC-RIF) peut augmenter une participation francophone équitable ?
J’espère avoir démontré qu’il y a rien de plus pratique qu’une bonne théorie – merci Questions ?? Commentaires ??