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Les discovery tools en bibliothèque andre.dazy@couperin mercredi 13 juin 2012

Les discovery tools en bibliothèque andre.dazy@couperin.org mercredi 13 juin 2012. A quoi ça sert ?. Les DT sont conçus pour fournir un seul point d'accès et indifféremment du support, du mode et du lieu de stockage, à toutes les ressources que proposent les bibliothèques .

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Les discovery tools en bibliothèque andre.dazy@couperin mercredi 13 juin 2012

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Presentation Transcript


  1. Les discovery tools en bibliothèque andre.dazy@couperin.org mercredi 13 juin 2012

  2. A quoi ça sert ? • Les DT sont conçus pour fournir un seul point d'accès et indifféremment du support, du mode et du lieu de stockage, à toutes les ressources que proposent les bibliothèques

  3. Ce que les usagers attendent • L’interrogation des contenus avec une seule barre de type “Google” est ce qu’ils attendent

  4. Les fournisseurs • Ebsco Discovery Tool • Summon • Primo • Worldcat local

  5. Fonctionnement • Les limites des moteurs de recherche fédérée explique le développement des DT (temps de réponse lent car chaque base de connaissance est consultée) • Sur le plan technique, le modèle change : on passe d’une logique de requête simultanée sur plusieurs bases (« multi-silos ») à une logique d’interrogation des métadonnées collectées dans un index centralisé (« silo unique »). • La performance des systèmes s’en trouve améliorée : diminution des temps de réponses, amélioration des taux de précision, simplification des interfaces

  6. Fonctionnement • L’outil de découverte est un index général centralisé composé de données provenant d’éditeurs, d’agrégateurs de contenus et de sources locales (catalogues, dépôts institutionnels, collections numérisées, etc.). Le but est de permettre aux usagers de découvrir les collections complètes d’une bibliothèque sans distinction de leur localisation, leur provenance ou leur format donc, • mais aussi la possibilité d’élargir la recherche en-dehors des collections locales, par exemple en cherchant des répertoires gigantesques disponibles en libre accès • Les fournisseurs d’outils de découverte ont conclu des ententes permettant de récolter et d’indexer les contenus (articles de périodiques, monographies, enregistrements sonores, articles de journaux, etc.) de plusieurs éditeurs et agrégateurs afin d’inclure ces contenus dans l’index centralisé.

  7. Fonctionnement • Les négociations se poursuivent afin de faire inclure, à différents niveaux, des données d’éditeurs et agrégateurs additionnels alimentant continuellement l’index centralisé de leur outil. • L’outil de découverte parfait devrait englober et dépasser les collections et abonnements de la bibliothèque, permettant ainsi une « vraie » découverte d’information. Le contrôle d’accès au texte intégral s’effectue au moment de l’authentification de l’usager. Par ailleurs, si la bibliothèque ne détient pas les droits d’accès à un document demandé, l’usager devrait idéalement être dirigé vers le service de PEB.

  8. Fonctions attendues • Les caractéristiques essentielles aux outils de découvertes sont les suivantes : • Flexibles : se superposent à n’importe quel SIGB; • Un point d’accès pour l’ensemble des collections d’une bibliothèque; • La recherche est effectuée dans un index général centralisé, l’information locale y est intégrée; • Rapidité d’exécution des recherches; • Pertinence des résultats accrue; • Navigation par facettes (restrictions, limites); • Notices étoffées; • Intégration des fonctions de Web 2.0; • Découverte d’information en-dehors des collections de la bibliothèque (accessible par le PEB ou en accès libre)

  9. Limites • Obligation de recherche fédérée parfois (dans ce cas le temps de réponse est celui de la réponse la plus lente) • Tous les fournisseurs d’information ne sont pas représentés : A l’heure actuelle, les éditeurs juridiques en particulier et les éditeurs francophones en général, ne souhaitent pas que leurs ressources soient indexées dans les bases de connaissances des DT. • De plus certaines bases spécialisées comme Pubmed possèdent elles-mêmes des outils de recherche puissants qu’un DT ne peut remplacer. Pour continuer à exploiter efficacement ce type de bases, il faut donc les consulter avec leur propre interface de recherche. • Les formations à l’utilisation des bases de données restent indispensables • la médiation documentaire assurée par les personnels des bibliothèques et centres de documentation aussi

  10. Limites • Par ailleurs, l’intégration d’un DT avec un SIGB peut se révéler problématique. • Le travail autour de l’outil avant et pendant sa mise en oeuvre est difficilement quantifiable (tâches de conversions, interface, etc.), et est gourmand en ressources humaines. • La mise en route et la maintenance de l’outil après installation nécessitent au moins 1 ETP, voire plus.

  11. Les DT libres • Open source – gratuits – une communauté améliore le produit • – facettes • – Plugin architecture personnalisée qui permet des adaptations locales • – recherche pertinente : les algorythmes de recherche peuvent être programmés localement • – recherche full-text • – recherche géospatiale • – recherche dans différents index • Type Blacklight • Ex. Hull university - Royaume-Uni • Ou Vufind • Fonctionnent pour l’instant avec des BDD publiques • Nécessitent un développeur • Problème : ils ne sont pas adossés à un index (problèmes des métadonnées)

  12. Enjeux et futur • C’est la métadonnée qui a de la valeur • - L’essor actuel des outils de découverte illustre les processus de redistribution des pouvoirs à l’œuvre dans la chaîne de la valeur, et la montée en puissance des intermédiaires. • De plus en plus, qui détient les métadonnées (la représentation du document et non le document lui-même) détient l’accès à l’information. • Les éditeurs et les bibliothèques, qui détiennent une partie de ces métadonnées, doivent désormais compter sur des intermédiaires capables d’enrichir et de normaliser les métadonnées, que ce soit à des fins de recherche documentaire stricto sensu ou d’extraction de nouvelles connaissances –avec le web sémantique justement (en particulier d’enrichissement sémantique) • - ABES SIGB mutualisé, signalement des ressources électronique au niveau national, • projet de hub de métadonnées, • substituer au SUDOC une base globale, partagée par des établissements dans toute l’Europe voire au delà

  13. Des questions ? • Merci de votre attention • andre.dazy@couperin.org

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