1 / 44

Kyste anévrysmal

Kyste anévrysmal. Kyste anévrysmal. Dystrophie osseuse pseudo-tumorale toujours bénigne et habituellement solitaire. Kyste anévrysmal. Dystrophie osseuse pseudo-tumorale toujours bénigne et habituellement solitaire Distension cavitaire uni ou pluriloculaire remplie de sang. Kyste anévrysmal.

janine
Download Presentation

Kyste anévrysmal

An Image/Link below is provided (as is) to download presentation Download Policy: Content on the Website is provided to you AS IS for your information and personal use and may not be sold / licensed / shared on other websites without getting consent from its author. Content is provided to you AS IS for your information and personal use only. Download presentation by click this link. While downloading, if for some reason you are not able to download a presentation, the publisher may have deleted the file from their server. During download, if you can't get a presentation, the file might be deleted by the publisher.

E N D

Presentation Transcript


  1. Kyste anévrysmal

  2. Kyste anévrysmal • Dystrophie osseuse pseudo-tumorale toujours bénigne et habituellement solitaire

  3. Kyste anévrysmal • Dystrophie osseuse pseudo-tumorale toujours bénigne et habituellement solitaire • Distension cavitaire uni ou pluriloculaire remplie de sang

  4. Kyste anévrysmal • Dystrophie osseuse pseudo-tumorale toujours bénigne et habituellement solitaire • Distension cavitaire uni ou pluriloculaire remplie de sang • Rareté : moins de 4% des tumeurs osseuses bénignes. • Adolescence: 75% avant 20 ans • Prédominance féminine

  5. Kyste anévrysmal • KA primitif : 2/3 des cas • KA secondaire : développé sur une lésion préexistante • dysplasie fibreuse • fibrome chondromyxoÏde • chondroblastome • tumeur à cellules géantes • osteoblastome • parfois d’une simple fracture Le KA serait la conséquence de modifications hémodynamiques de type fistule artério-veineuse

  6. Kyste anévrysmal • Os longs (60%) Développement initial dans la métaphyse (80%) puis extension vers la diaphyse La localisation épiphysaire est rare (10%)

  7. Kyste anévrysmal • Os longs (60%) Développement initial dans la métaphyse (80%) puis extension vers la diaphyse La localisation épiphysaire est rare (10%)

  8. Kyste anévrysmal • Os longs (60%) • Os courts (25%) Vertèbres (lombaires surtout) d’abord arc postérieur, puis pédicule pois corps vertébral. Rarement atteinte exclusive du corps vertébral

  9. Kyste anévrysmal • Os longs (60%) • Os courts (25%)

  10. Kyste anévrysmal • Os longs (60%) • Os courts (25%) • Os plats (15%) Bassin (2/3) ischion, branche ilio pubienne, aile iliaque

  11. Kyste anévrysmal

  12. Anatomie pathologique • Lésion centrale, parfois périphérique à développement sous périosté : Dimension : 2 à 25 cm

  13. Anatomie pathologique • Lésion centrale, parfois périphérique à développement sous périosté : Dimension : 2 à 25 cm • Multiples cavités hématiques de quelques mm ou de 1 à 2 cm de diamètre contenant du sang non coagulé. Aspect en éponge. Les lacunes sont séparés par des cloisons conjonctives porteuses d’ostéoclastes et d’une ostéogénèse réactionnelle

  14. Anatomie pathologique • Au niveau des os plats l’expansion dans les parties molles peut être prédominante Logettes au niveau de l’ilion

  15. Anatomie pathologique • l’expansion dans les parties molles peut être prédominante

  16. Anatomie pathologique

  17. Clinique • Douleurs permanentes ou discontinues

  18. Clinique • Douleurs permanentes ou discontinues • Fractures rares

  19. Clinique • Douleurs permanentes ou discontinues • Fractures rares • Au rachis : scoliose, raideur masse paravertébrale compression nerveuse

  20. KYSTE ANÉVRYSMAL • Biologie négative

  21. RadiologieLacune ovalaire plus ou moins réticulée soufflant la corticale

  22. KYSTE ANÉVRYSMAL RadiologieLacune ovalaire plus ou moins réticulée soufflant la corticale

  23. KYSTE ANÉVRYSMAL RadiologieLacune ovalaire plus ou moins réticulée soufflant la corticaleRefoulement des parties molles par une mince coquille d’œuf

  24. KYSTE ANÉVRYSMAL Bilan d’extension locale • Le scanner précise les limites montre des niveaux liquides parfois • La scintigraphie est positive • L’artériographie montre les pédicules artériels et permet une embolisation

  25. Kyste anévrysmal Kyste osseux Diagnostic différentiel

  26. Kyste anévrysmal Fibrome non ossifiant Diagnostic différentiel

  27. Kyste anévrysmal Dysplasie fibreuse Diagnostic différentiel

  28. Kyste anévrysmal Chondroblastome Diagnostic différentiel

  29. Kyste anévrysmal Fibrome chondromyxoïde Diagnostic différentiel

  30. Kyste anévrysmal Ostéoblastome Diagnostic différentiel

  31. Kyste anévrysmal Tumeur à cellules géantes Diagnostic différentiel

  32. Diagnostic différentiel • Le kyste anévrysmal secondaire peut se développer sur une lésion préexistante • Dysplasie fibreuse • Fibrome chondromyxoÏde • Chondroblastome • Tumeur à cellules géantes • Ostéoblastome • Seule l’imagerie initiale peut alors permettre de faire rétrospectivement le diagnostic

  33. Diagnostic différentiel • Le kyste anévrysmal peut ressembler histologiquement au sarcome télangiectasique

  34. TRAITEMENT du KYSTE ANÉVRYSMAL • La biopsie est indispensable pour faire le diagnostic • La simple surveillance basée sur la rare régression spontanée de KA ne se justifie pas • Curetage + comblement au niveau des os longs et des vertèbres

  35. TRAITEMENT du KYSTE ANÉVRYSMAL • La biopsie est indispensable pour faire le diagnostic • La simple surveillance basée sur la rare régression spontanée de KA ne se justifie pas • Curetage + comblement au niveau des os longs et des vertèbres

  36. TRAITEMENT du KYSTE ANÉVRYSMAL • La biopsie est indispensable pour faire le diagnostic • La simple surveillance basée sur la rare régression spontanée de KA ne se justifie pas • Curetage + comblement au niveau des os longs et des vertèbres, avec ostéosynthèse en cas de fragilité

  37. F - 16 ans, curetage + clou verrouillé

  38. TRAITEMENT du KYSTE ANÉVRYSMAL • La biopsie est indispensable pour faire le diagnostic • La simple surveillance basée sur la rare régression spontanée de KA ne se justifie pas • Curetage + comblement au niveau des os longs et des vertèbres avec ostéosynthèse en cas de fragilité • Résection pour les os accessoires (côtes, péroné épineuses etc..)

  39. TRAITEMENT du KYSTE ANÉVRYSMAL • La biopsie est indispensable pour faire le diagnostic • La simple surveillance basée sur la rare régression spontanée de KA ne se justifie pas • Curetage + comblement au niveau des os longs et des vertèbres avec ostéosynthèse en cas de fragilité • Résection pour les os accessoires (côtes, péroné épineuses etc..) • Résection et reconstruction pour les cas où le simple curetage est insuffisant

  40. TRAITEMENT du KYSTE ANÉVRYSMAL • La biopsie est indispensable pour faire le diagnostic • La simple surveillance basée sur la rare régression spontanée de KA ne se justifie pas • Curetage + comblement au niveau des os longs et des vertèbres avec ostéosynthèse en cas de fragilité • Résection pour les os accessoires (côtes, péroné épineuses etc..) • Résection et reconstruction pour les cas où le simple curetage est insuffisant • La radiothérapie n’est utilisée que dans les curetages insuffisants (cancers radio induits)

  41. TRAITEMENT du KYSTE ANÉVRYSMAL • La biopsie est indispensable pour faire le diagnostic • La simple surveillance basée sur la rare régression spontanée de KA ne se justifie pas • Curetage + comblement au niveau des os longs et des vertèbres avec ostéosynthèse en cas de fragilité • Résection pour les os accessoires (côtes, péroné épineuses etc..) • Résection et reconstruction pour les cas où le simple curetage est insuffisant • La radiothérapie n’est utilisée que dans les curetages insuffisants (cancers radio induits) • L’embolisation permet de préparer la chirurgie dans les localisations difficiles à opérer

  42. KYSTE ANÉVRYSMAL Évolution • Les récidives sont fréquentes (30% à 5 ans) surtout lorsque l’exérèse a été incomplète • Les localisations rachidiennes sont les plus redoutées

More Related