450 likes | 555 Views
Kyste anévrysmal. Kyste anévrysmal. Dystrophie osseuse pseudo-tumorale toujours bénigne et habituellement solitaire. Kyste anévrysmal. Dystrophie osseuse pseudo-tumorale toujours bénigne et habituellement solitaire Distension cavitaire uni ou pluriloculaire remplie de sang. Kyste anévrysmal.
E N D
Kyste anévrysmal • Dystrophie osseuse pseudo-tumorale toujours bénigne et habituellement solitaire
Kyste anévrysmal • Dystrophie osseuse pseudo-tumorale toujours bénigne et habituellement solitaire • Distension cavitaire uni ou pluriloculaire remplie de sang
Kyste anévrysmal • Dystrophie osseuse pseudo-tumorale toujours bénigne et habituellement solitaire • Distension cavitaire uni ou pluriloculaire remplie de sang • Rareté : moins de 4% des tumeurs osseuses bénignes. • Adolescence: 75% avant 20 ans • Prédominance féminine
Kyste anévrysmal • KA primitif : 2/3 des cas • KA secondaire : développé sur une lésion préexistante • dysplasie fibreuse • fibrome chondromyxoÏde • chondroblastome • tumeur à cellules géantes • osteoblastome • parfois d’une simple fracture Le KA serait la conséquence de modifications hémodynamiques de type fistule artério-veineuse
Kyste anévrysmal • Os longs (60%) Développement initial dans la métaphyse (80%) puis extension vers la diaphyse La localisation épiphysaire est rare (10%)
Kyste anévrysmal • Os longs (60%) Développement initial dans la métaphyse (80%) puis extension vers la diaphyse La localisation épiphysaire est rare (10%)
Kyste anévrysmal • Os longs (60%) • Os courts (25%) Vertèbres (lombaires surtout) d’abord arc postérieur, puis pédicule pois corps vertébral. Rarement atteinte exclusive du corps vertébral
Kyste anévrysmal • Os longs (60%) • Os courts (25%)
Kyste anévrysmal • Os longs (60%) • Os courts (25%) • Os plats (15%) Bassin (2/3) ischion, branche ilio pubienne, aile iliaque
Anatomie pathologique • Lésion centrale, parfois périphérique à développement sous périosté : Dimension : 2 à 25 cm
Anatomie pathologique • Lésion centrale, parfois périphérique à développement sous périosté : Dimension : 2 à 25 cm • Multiples cavités hématiques de quelques mm ou de 1 à 2 cm de diamètre contenant du sang non coagulé. Aspect en éponge. Les lacunes sont séparés par des cloisons conjonctives porteuses d’ostéoclastes et d’une ostéogénèse réactionnelle
Anatomie pathologique • Au niveau des os plats l’expansion dans les parties molles peut être prédominante Logettes au niveau de l’ilion
Anatomie pathologique • l’expansion dans les parties molles peut être prédominante
Clinique • Douleurs permanentes ou discontinues
Clinique • Douleurs permanentes ou discontinues • Fractures rares
Clinique • Douleurs permanentes ou discontinues • Fractures rares • Au rachis : scoliose, raideur masse paravertébrale compression nerveuse
KYSTE ANÉVRYSMAL • Biologie négative
RadiologieLacune ovalaire plus ou moins réticulée soufflant la corticale
KYSTE ANÉVRYSMAL RadiologieLacune ovalaire plus ou moins réticulée soufflant la corticale
KYSTE ANÉVRYSMAL RadiologieLacune ovalaire plus ou moins réticulée soufflant la corticaleRefoulement des parties molles par une mince coquille d’œuf
KYSTE ANÉVRYSMAL Bilan d’extension locale • Le scanner précise les limites montre des niveaux liquides parfois • La scintigraphie est positive • L’artériographie montre les pédicules artériels et permet une embolisation
Kyste anévrysmal Kyste osseux Diagnostic différentiel
Kyste anévrysmal Fibrome non ossifiant Diagnostic différentiel
Kyste anévrysmal Dysplasie fibreuse Diagnostic différentiel
Kyste anévrysmal Chondroblastome Diagnostic différentiel
Kyste anévrysmal Fibrome chondromyxoïde Diagnostic différentiel
Kyste anévrysmal Ostéoblastome Diagnostic différentiel
Kyste anévrysmal Tumeur à cellules géantes Diagnostic différentiel
Diagnostic différentiel • Le kyste anévrysmal secondaire peut se développer sur une lésion préexistante • Dysplasie fibreuse • Fibrome chondromyxoÏde • Chondroblastome • Tumeur à cellules géantes • Ostéoblastome • Seule l’imagerie initiale peut alors permettre de faire rétrospectivement le diagnostic
Diagnostic différentiel • Le kyste anévrysmal peut ressembler histologiquement au sarcome télangiectasique
TRAITEMENT du KYSTE ANÉVRYSMAL • La biopsie est indispensable pour faire le diagnostic • La simple surveillance basée sur la rare régression spontanée de KA ne se justifie pas • Curetage + comblement au niveau des os longs et des vertèbres
TRAITEMENT du KYSTE ANÉVRYSMAL • La biopsie est indispensable pour faire le diagnostic • La simple surveillance basée sur la rare régression spontanée de KA ne se justifie pas • Curetage + comblement au niveau des os longs et des vertèbres
TRAITEMENT du KYSTE ANÉVRYSMAL • La biopsie est indispensable pour faire le diagnostic • La simple surveillance basée sur la rare régression spontanée de KA ne se justifie pas • Curetage + comblement au niveau des os longs et des vertèbres, avec ostéosynthèse en cas de fragilité
TRAITEMENT du KYSTE ANÉVRYSMAL • La biopsie est indispensable pour faire le diagnostic • La simple surveillance basée sur la rare régression spontanée de KA ne se justifie pas • Curetage + comblement au niveau des os longs et des vertèbres avec ostéosynthèse en cas de fragilité • Résection pour les os accessoires (côtes, péroné épineuses etc..)
TRAITEMENT du KYSTE ANÉVRYSMAL • La biopsie est indispensable pour faire le diagnostic • La simple surveillance basée sur la rare régression spontanée de KA ne se justifie pas • Curetage + comblement au niveau des os longs et des vertèbres avec ostéosynthèse en cas de fragilité • Résection pour les os accessoires (côtes, péroné épineuses etc..) • Résection et reconstruction pour les cas où le simple curetage est insuffisant
TRAITEMENT du KYSTE ANÉVRYSMAL • La biopsie est indispensable pour faire le diagnostic • La simple surveillance basée sur la rare régression spontanée de KA ne se justifie pas • Curetage + comblement au niveau des os longs et des vertèbres avec ostéosynthèse en cas de fragilité • Résection pour les os accessoires (côtes, péroné épineuses etc..) • Résection et reconstruction pour les cas où le simple curetage est insuffisant • La radiothérapie n’est utilisée que dans les curetages insuffisants (cancers radio induits)
TRAITEMENT du KYSTE ANÉVRYSMAL • La biopsie est indispensable pour faire le diagnostic • La simple surveillance basée sur la rare régression spontanée de KA ne se justifie pas • Curetage + comblement au niveau des os longs et des vertèbres avec ostéosynthèse en cas de fragilité • Résection pour les os accessoires (côtes, péroné épineuses etc..) • Résection et reconstruction pour les cas où le simple curetage est insuffisant • La radiothérapie n’est utilisée que dans les curetages insuffisants (cancers radio induits) • L’embolisation permet de préparer la chirurgie dans les localisations difficiles à opérer
KYSTE ANÉVRYSMAL Évolution • Les récidives sont fréquentes (30% à 5 ans) surtout lorsque l’exérèse a été incomplète • Les localisations rachidiennes sont les plus redoutées