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Migrations. Synthèse de littérature. Les théories des migrations. Migrations dans le monde. Des pays sources, qui sont Soit des pays pauvres très proches des pays riches, mais le plus souvent des pays intermédiaires. Conséquences sur un pays destination.
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Migrations Synthèse de littérature
Migrations dans le monde Des pays sources, qui sont Soit des pays pauvres très proches des pays riches, mais le plus souvent des pays intermédiaires
Conséquences sur un pays destination • Le papier de Serge Feld analyse le cas d’un pays destination, le Luxembourg. Souligne l’impact positif sur la structure de la population active • L’article de Mouhoud et Oudinet analyse les mouvements migratoires intra-européens. Ils sont déterminés par des facteurs structurels, plus encore que par des facteurs économiques. La mobilité des européens est faible.
Un flux interne d’Est Dimension structurelle qui se traduit pour les migrants internationaux de destinations privilégiées comme le Royaume-Uni, Espagne et Italie
Migrations internationales vers l’Europe Des pays à proximité : Turquie, Ukraine, pays issus de l’ex-Yougoslavie Autres pays : Chine et Maroc sont les deux principaux d’origine des migrants internationaux vers l’Union Européenne
Le Liban comme pays origine • Le rapport de l’Organisation Internationale du travail sur le Liban de MarwanAbiSamra souligne l’absence de politique domestique de ces émigrations. Pourtant le cadre théorique ne prescrit une politique active des migrations que pour ce cas de figure. • Il y a des effets d’éviction par les envois des migrants au pays d’origine, cela contribue à déprimer le taux domestique d’activité.
Le rationnement • Le papier d’Hanson s’interroge sur le problème du rationnement : des politiques inutilement restrictives sont le plus souvent mises en place. Il plaide pour des politiques soulignant les gains obtenus par une meilleure réglementation. • Il s’agit d’une interrogation d’économie politique : groupe de pressions, relation avec un électorat sont des déterminants de ces politiques. • Par ces études d’économie politique, il a été un effet intergénérationnel : un chômage massif induit à la génération suivante, chez les enfants de chômeur du vote xénophobe et néo-nazi.