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La Ruralité, entre démocratie et démocratisation culturelle

La Ruralité, entre démocratie et démocratisation culturelle. Centre culturel de Rossignol-Tintigny Cuestas 2009 - 2014. Population Etalle : 5685 habitants Meix-dvt-Virton : 2725 habitants Tintigny : 3970 habitants Total : 12.380 habitants.

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La Ruralité, entre démocratie et démocratisation culturelle

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Presentation Transcript


  1. La Ruralité,entre démocratie et démocratisation culturelle Centre culturel de Rossignol-Tintigny Cuestas 2009 - 2014

  2. Population Etalle : 5685 habitants Meix-dvt-Virton : 2725 habitants Tintigny : 3970 habitants Total : 12.380 habitants Cuestas : trois communes au cœur de la Gaume

  3. Sentiment d’appartenance ou d’identité gaumaise « forte » • Ligne de faîte entre la « banlieue » de Luxembourg et une ruralité « en friche » • Pas un « désert » culturel : nombreuses associations et événements diversifiés tout au long de l’année • « Pauvreté » en matière d’infrastructures culturelles Quelques « impressions »

  4. Itinérance culturelle : • Favoriser l’intégration sociale des diverses catégories de la population par la rencontre d’approches culturelles différentes, sur un mode participatif • Renforcer le sentiment d’appartenance à une communauté villageoise, par la multiplication d’activités culturelles à l’échelon local • Révéler la diversité culturelle du territoire, en référence à la mixité de la population rurale qui l’habite, et ancrer durablement les pratiques et la participation culturelles • Favoriser l’accessibilité des activités culturelles pour l’ensemble de la population par des pratiques de décentralisation → autonomisation et pérennisation des activités et pratiques culturelles → soutien des associations en moyens financiers, humains, administratifs et techniques Premier PDS : 2004-2008

  5. Une centaine d’activités menées sur les trois communes : concerts, conférences, théâtre, expositions, parutions, … • Succès populaire • Première pierre d’un réseau « associations - acteurs culturels -Centre culturel » • L’expertise du Centre culturel reconnue • Une catastrophe au niveau de la trésorerie… Premier bilan

  6. Poursuivre le principe de l’itinérance culturelle • Créer, animer et promouvoir un réseau des acteurs culturels • Quelques manifestations stratégiques (ressources naturelles, solidarités nouvelles) • Mise en scène des autres fiches « Cuestas » • Budget : 161.000 euros Deuxième PDS : 2009-2014

  7. Participation de la population aux activités : plus de 30.000 personnes • 75 activités décentralisées • 77 acteurs locaux impliqués • 40 activités créées en commun par et avec les acteurs locaux • 17 créations culturelles par les acteurs locaux • Situation financière saine et au final : une avance de la Fédération Wallonie-Bruxelles Second bilan – Au-delà de toute espérance

  8. Théâtre au château à Gérouville • Art en Gaume • Noël au théâtre • Ciné-club de Gérouville • Salon du jeu durable • JP, 16 ans, fusillé • Stages divers (théâtre, saxophone,…) • Ateliers divers (vannerie, cuisine sauvage,…) • Créations artistiques • Spectacles scolaires sur l’ensemble du territoire • Convention avec la commune de Meix/Virton Quelques exemples

  9. Les essais de diffusion culturelle (hors « vedettes ») sans partenariat local ont été plus que mitigées au niveau du succès populaire • La culture coûte plus cher ici (infrastructures, technique, frais de déplacement, logement, etc.) • Le Centre culturel n’apparaît plus comme un extra-terrestre enfermé dans ses murs et la population se l’approprie davantage • La délocalisation n’est pas toujours la panacée, d’autant plus qu’il y a une forte demande des acteurs locaux pour avoir accès aux installations du Centre culturel • Il est difficile d’autonomiser et de pérenniser totalement certaines activités (risques financiers,…) • Le travail d’éducation permanente fonctionne, mais en contrepoint des activités de diffusion: difficile de faire émerger le travail sur les enjeux du territoire en tant que tel • Expérience intéressante pour la mise en place d’une concertation des Centres culturels de Gaume, mais contraignante par rapport à la mise en place de celle-ci • Le public « jeune » et « adulescent » reste le plus difficile à toucher, et pas uniquement à cause des soucis de mobilité L’union fait la force (une vieille devise…) Quelques « enseignements »

  10. Un « mix » entre la programmation d’acteurs culturels locaux et extérieurs • Un « mix » entre les activités intra et extra muros au Centre culturel • Un « mix » entre la programmation « pure et dure » du Centre culturel et celle élaborée par et avec les acteurs locaux Une affaire de « mix »

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