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Portrait de Médecin. Médecin de famille. Médecin qui s'occupe depuis un certain temps de plusieurs membres d 'une même famille. Que faut-il faire pour devenir Médecin. Passer son Bac plutôt ES ou S Entrer en Faculté de Médecine ( Rouen, Caen, Paris). Les études médicales : 1 er Cycle.
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Médecin de famille Médecinquis'occupedepuisuncertaintempsdeplusieursmembresd'une mêmefamille
Que faut-il faire pour devenir Médecin • Passer son Bac plutôt ES ou S • Entrer en Faculté de Médecine ( Rouen, Caen, Paris)
Les études médicales : 1er Cycle 1ère année (PCEM 1) : Physique, chimie, biophysique, biochimie, sciences sociales NUMERUS CLAUSUS 2ème année (PCEM 2) : Anatomie, Physiologie, Anatomo-pathologie
Les études médicales : 2ème Cycle • 3ème année (DCEM 1) : Stagiaire • 4ème année (DCEM 2): Externe dans les hôpitaux • 5ème année (DCEM 3) : Externe dans les hôpitaux • 6ème année (DCEM 4) : Externe dans les hôpitaux + EPREUVES NATIONALES CLASSANTES
Les études médicales : 3ème Cycle • 1ère année d’Internat • 2ème année d’internat • 3ème année d’internat Soutenance de thèse = Titre de DOCTEUR EN MEDECINE
Marteau à réflexes, diapason, thermomètre, otoscope, pèse bébé, toise, mètre ruban
En quoi consiste mon travail Médecine préventive (ex vaccinations) Médecine curative : soigner les maladies interrogatoire examen clinique diagnostic traitement
Problèmes actuels de la médecine • études très longues, féminisation des études • de plus en plus de « paperasses » • démographie médicale • mauvaise répartitions des médecins
Le nombre de médecins n’a jamais été aussi important en France. Il a plus que doublé en 20 ans pour atteindre 203 000 médecins sur le territoire. Mais leur répartition sur le territoire n’est pas homogène. De plus, en 2025, ce nombre devrait chuter de 10% en raison des départs à la retraite. La densité médicale atteindrai alors son niveau de 1980 avec 283 médecins pour 100 000 habitants.
Les points saillants apparus cette année sont : - l’accélération des disparités régionales, de la région PACA, pour la première fois plus attractive que l’Ile de France, à la Picardie dont la densité médicale est égale à la moyenne des années 1970. l’accentuation des spécialités en crise - la féminisation de la profession : pour la première fois 54% des médecins en activité sont des femmes- l’attractivité croissante de l’exercice salarié au détriment de l’exercice libéral exclusif (66% contre 10% des nouveaux inscrits).
Il est également à noter que le nombre des médecins en activité a augmenté en France métropolitaine de 1,2% et le nombre de médecins retraités de 3,4%, ce qui confirme que les « sorties » sont supérieures aux « entrées ». Par ailleurs le CNOM a encore une fois complété son observation de terrain par une étude spécifique sur les médecins remplaçants, qui constitue la première analyse détaillée de cette population. L’analyse met en lumière que leur nombre est en augmentation exponentielle ces deux dernières années, avec parmi eux 72% de médecins généralistes et une majorité de femmes.