Les programmes des baccalaur ats professionnels

1. Les programmes des baccalaur�ats professionnels Partie I : Objectifs Partie II : Modalit�s Partie III : les nouveaux programmes de Maths-Sciences 1

2. PARTIE I LA RENOVATION DE LA VOIE PROFESSIONNELLE S�INSCRIT DANS DES OBJECTIFS GENERAUX DE L�INSTITUTION SCOLAIRE 2

3. Cons�quences pour les �l�ves de LP BAISSE DES SORTIES SANS QUALIFICATION ENRICHIR L�OFFRE NIVEAU IV ASSURER L�EGALE DIGNITE DE LA VOIE PROFESSIONNELLE AMELIORER LA LISIBILITE DU BACCALAUREAT PROFESSIONNEL OFFRIR UN CURSUS CONTINU 3 OBJECTIF 1 : R�duire fortement et rapidement le nombre de jeunes quittant le syst�me scolaire sans qualification OBJECTIF 2 : Pour augmenter le nombre de bacheliers professionnels. OBJECTIF 3 : Par l�unification de la dur�e du parcours scolaire au lyc�e ( PROFESSIONNELLE GENERALE ET TECHNOLOGIQUE). OBJECTIF 4 : Pour les �l�ves et pour les chefs d�entreprises qui les recrutent. OBJECTIF 5 : jusqu�au baccalaur�at dans le m�me �tablissement et lutter ainsi contre le d�crochage scolaire OBJECTIF 1 : R�duire fortement et rapidement le nombre de jeunes quittant le syst�me scolaire sans qualification OBJECTIF 2 : Pour augmenter le nombre de bacheliers professionnels. OBJECTIF 3 : Par l�unification de la dur�e du parcours scolaire au lyc�e ( PROFESSIONNELLE GENERALE ET TECHNOLOGIQUE). OBJECTIF 4 : Pour les �l�ves et pour les chefs d�entreprises qui les recrutent. OBJECTIF 5 : jusqu�au baccalaur�at dans le m�me �tablissement et lutter ainsi contre le d�crochage scolaire

4. Les voies d�orientation 4 4 BEP sont encore provisoirement maintenus carri�res sanitaires et sociales conduite et services dans le transport routier m�tiers de la restauration et de l�h�tellerie optique lunetterie 4 BEP sont encore provisoirement maintenus carri�res sanitaires et sociales conduite et services dans le transport routier m�tiers de la restauration et de l�h�tellerie optique lunetterie

5. En 3�me, vers la voie professionnelle sous statut scolairele choix des sp�cialit�s Pour la 2nde professionnelle choisir : � UN CHAMP PROFESSIONNEL en pr�cisant la (ou les) sp�cialit�(s) de baccalaur�at envisag�es � UNE SPECIALITE pour les 2ndes non rattach�es � un champ professionnel Pour la 1�re ann�e des 4 BEP maintenus, choisir la SPECIALITE Pour la 1�re ann�e de CAP, choisir une SPECIALITE 5 Ces choix, au besoin multiples et hi�rarchis�s, seront port�s sur les dossiers d�orientation et report�s dans AFFELNET7 CSS Conduite et services dans les transports routiers M�tiers de la restauration et de l�hotellerie Optique lunetterie Ces choix, au besoin multiples et hi�rarchis�s, seront port�s sur les dossiers d�orientation et report�s dans AFFELNET7 CSS Conduite et services dans les transports routiers M�tiers de la restauration et de l�hotellerie Optique lunetterie

6. Apr�s la 3�me, vers la voie professionnelle, le choix possible de l�apprentissage Les �l�ves pr�f�rant l�apprentissage choisiront soit : � un contrat de 2 ans vers un CAP ou l�un des 4 BEP maintenus, � un contrat de 3 ans vers le baccalaur�at professionnel. 6 Pour le baccalaur�at professionnel : la dur�e de formation en CFA est port�e � 1850 heures. Un arr�t� interminist�riel pris en application du code du travail formalisera la norme de trois ans pour le contrat de baccalaur�at professionnelPour le baccalaur�at professionnel : la dur�e de formation en CFA est port�e � 1850 heures. Un arr�t� interminist�riel pris en application du code du travail formalisera la norme de trois ans pour le contrat de baccalaur�at professionnel

7. PARTIE II MODALITES MATHEMATIQUES SCIENCES PHYSIQUES ET CHIMIQUES 7

8. CHAMPS D�APPLICATION GRILLE SCIENCES PHYSIQUES Programmes de Math�matiques -Sciences-Physiques et Chimiques 8 CETTE DIAPOSITIVE POUR MONTRER QU�IL Y A DEUX GRILLES TRES DISTINCTES COMME IL Y AVAIT AVANT INDUSTRIEL ET TERTIAIRECETTE DIAPOSITIVE POUR MONTRER QU�IL Y A DEUX GRILLES TRES DISTINCTES COMME IL Y AVAIT AVANT INDUSTRIEL ET TERTIAIRE

9. LES HORAIRES EN MATHS-SCIENCES 9 GROUPE 1 349 (�+4h ) +152 (�-2h)+ 210 (�2 h 30 ) GROUPE 2 181 (�+2h ) +152 (�-2h)+ 210 (�2 h 30 ) LA DIFFERENCE AVEC LES ANCIENNES GRILES C�EST QUE L�HORAIRE EST SUR LE CYCLE : CE QUI SIGNIFIE QUE LA REPARTION EST DU RESSORT DE L�ETABLISSEMENT LES HEURES LIEES A LA SPECIALITE SONT A REPARTIR ENTRE LE FRANCAIS ET/OU LES MATHS ET/OU LA LANGUE VIVANTE ET/OU LES SCIENCES ET/OU LES ARTS APPLIQUES DES EXEMPLES SONT DONNES POUR LA REPARTITION DES 152 H LIEES A LA SPECIALITE = 0,5 H POUR LES MATHS PAR EXEMPLEGROUPE 1 349 (�+4h ) +152 (�-2h)+ 210 (�2 h 30 ) GROUPE 2 181 (�+2h ) +152 (�-2h)+ 210 (�2 h 30 ) LA DIFFERENCE AVEC LES ANCIENNES GRILES C�EST QUE L�HORAIRE EST SUR LE CYCLE : CE QUI SIGNIFIE QUE LA REPARTION EST DU RESSORT DE L�ETABLISSEMENT LES HEURES LIEES A LA SPECIALITE SONT A REPARTIR ENTRE LE FRANCAIS ET/OU LES MATHS ET/OU LA LANGUE VIVANTE ET/OU LES SCIENCES ET/OU LES ARTS APPLIQUES DES EXEMPLES SONT DONNES POUR LA REPARTITION DES 152 H LIEES A LA SPECIALITE = 0,5 H POUR LES MATHS PAR EXEMPLE

10. Les activit�s en groupes � effectif r�duit VOLUME COMPLEMENTAIRE Heures-Professeur Hebdomadaires 10 Au total des heures d'enseignement s'ajoute un volume compl�mentaire d'heures-professeur de 11heures 30 minutes hebdomadaires en moyenne pour les activit�s en groupes � effectif r�duit et les activit�s de projet, Ce volume compl�mentaire d'heures-professeur est calcul� conform�ment aux dispositions de l'annexe 4 et r�parti par l'�tablissement. Ce volume compl�mentaire d'heures-professeur est corrig� pour les sp�cialit�s dont les �quipements utilis�s ou les contraintes d'espace et de s�curit� en enseignement professionnel impliquent des groupes de taille adapt�e. Les activit�s de projet s'inscrivent dans le cadre du projet d'�tablissement et peuvent prendre diff�rentes formes, en particulier: - projet pluridisciplinaire � caract�re professionnel; - projet sp�cifique en enseignement g�n�ral, en enseignement professionnel, en enseignement artistique et culturel; - activit�s disciplinaires et pluridisciplinaires autour de la p�riode de formation en milieu professionnel. Les projets sont organis�s sur une partie du cycle ou de l'ann�e. 1 - Sp�cialit�s de l'�tablissement rattach�es � la grille horaire n� 1: � Pour les divisions dont l'effectif est sup�rieur � 15 �l�ves, le volume compl�mentaire d'heures-professeur est �gal au nombre total des �l�ves de ces divisions, divis� par 20 et multipli� par 11,5. � Pour les divisions dont l'effectif est inf�rieur ou �gal � 15 �l�ves, le volume compl�mentaire d'heures-professeur est �gal au nombre total des �l�ves de ces divisions, divis� par 20 et multipli� par 5,75. � Une division isol�e dont l'effectif est inf�rieur ou �gal � 15 ne donne droit � aucun volume compl�mentaire d'heures-professeur. � 2 - Sp�cialit�s rattach�es � la grille horaire n� 2: � Pour les divisions dont l'effectif est sup�rieur � 18 �l�ves, le volume compl�mentaire d'heures-professeur est �gal au nombre total des �l�ves de ces divisions, divis� par 24 et multipli� par 11,5. � Pour les divisions dont l'effectif est inf�rieur ou �gal � 18 �l�ves, le volume compl�mentaire d'heures-professeur est �gal au nombre total des �l�ves de ces divisions, divis� par 24 et multipli� par 5,75. � Une division isol�e dont l'effectif est inf�rieur ou �gal � 18 ne donne droit � aucun volume compl�mentaire d'heures-professeur. Les volumes compl�mentaires d'heures-professeur ainsi calcul�s sont globalis�s puis r�partis par l'�tablissement. Attention � relativiser et m�me � dire que cet horaire apporte un mieux : il y avait beaucoup de divisions � faible effectif , le probl�me se pose pour les classe compl�te � fort effectif ( avant les heures de d�doublement n��taient pas pr�sentes dans tous les LP : n�gociations�) avec le nouveau texte ( les heures sont pr�vues au plus juste de la situation mais surtout elles existent sans n�gociation�) � Au total des heures d'enseignement s'ajoute un volume compl�mentaire d'heures-professeur de 11heures 30 minutes hebdomadaires en moyenne pour les activit�s en groupes � effectif r�duit et les activit�s de projet, Ce volume compl�mentaire d'heures-professeur est calcul� conform�ment aux dispositions de l'annexe 4 et r�parti par l'�tablissement. Ce volume compl�mentaire d'heures-professeur est corrig� pour les sp�cialit�s dont les �quipements utilis�s ou les contraintes d'espace et de s�curit� en enseignement professionnel impliquent des groupes de taille adapt�e. Les activit�s de projet s'inscrivent dans le cadre du projet d'�tablissement et peuvent prendre diff�rentes formes, en particulier: - projet pluridisciplinaire � caract�re professionnel; - projet sp�cifique en enseignement g�n�ral, en enseignement professionnel, en enseignement artistique et culturel; - activit�s disciplinaires et pluridisciplinaires autour de la p�riode de formation en milieu professionnel. Les projets sont organis�s sur une partie du cycle ou de l'ann�e. 1 - Sp�cialit�s de l'�tablissement rattach�es � la grille horaire n� 1: � Pour les divisions dont l'effectif est sup�rieur � 15 �l�ves, le volume compl�mentaire d'heures-professeur est �gal au nombre total des �l�ves de ces divisions, divis� par 20 et multipli� par 11,5. � Pour les divisions dont l'effectif est inf�rieur ou �gal � 15 �l�ves, le volume compl�mentaire d'heures-professeur est �gal au nombre total des �l�ves de ces divisions, divis� par 20 et multipli� par 5,75. � Une division isol�e dont l'effectif est inf�rieur ou �gal � 15 ne donne droit � aucun volume compl�mentaire d'heures-professeur. � 2 - Sp�cialit�s rattach�es � la grille horaire n� 2: � Pour les divisions dont l'effectif est sup�rieur � 18 �l�ves, le volume compl�mentaire d'heures-professeur est �gal au nombre total des �l�ves de ces divisions, divis� par 24 et multipli� par 11,5. � Pour les divisions dont l'effectif est inf�rieur ou �gal � 18 �l�ves, le volume compl�mentaire d'heures-professeur est �gal au nombre total des �l�ves de ces divisions, divis� par 24 et multipli� par 5,75. � Une division isol�e dont l'effectif est inf�rieur ou �gal � 18 ne donne droit � aucun volume compl�mentaire d'heures-professeur. Les volumes compl�mentaires d'heures-professeur ainsi calcul�s sont globalis�s puis r�partis par l'�tablissement. Attention � relativiser et m�me � dire que cet horaire apporte un mieux : il y avait beaucoup de divisions � faible effectif , le probl�me se pose pour les classe compl�te � fort effectif ( avant les heures de d�doublement n��taient pas pr�sentes dans tous les LP : n�gociations�) avec le nouveau texte ( les heures sont pr�vues au plus juste de la situation mais surtout elles existent sans n�gociation�) �

11. Les p�riodes de formation en milieu professionnel 22 semaines de PMFP pour toutes les sp�cialit�s 11 incluant celles n�cessaires � la validation du dipl�me de niveau V lorsqu'il est pr�par� dans le cadre du cycle en trois ans, sont pr�vues sur les trois ann�es du cycle. La r�partition annuelle de ces p�riodes rel�ve de l'autonomie des �tablissements. Cependant, la dur�e globale de la P.F.M.P. ne peut �tre partag�e en plus de six p�riodes et la dur�e de chaque p�riode ne peut �tre inf�rieure � trois semaines. incluant celles n�cessaires � la validation du dipl�me de niveau V lorsqu'il est pr�par� dans le cadre du cycle en trois ans, sont pr�vues sur les trois ann�es du cycle. La r�partition annuelle de ces p�riodes rel�ve de l'autonomie des �tablissements. Cependant, la dur�e globale de la P.F.M.P. ne peut �tre partag�e en plus de six p�riodes et la dur�e de chaque p�riode ne peut �tre inf�rieure � trois semaines.

12. L�EPREUVE DE CONTROLE 12 LA DUREE DE L�EPREUVE EST DE 20 MINUTESLA DUREE DE L�EPREUVE EST DE 20 MINUTES

13. La certification interm�diaire 13 LA DUREE DE L�EPREUVE EST DE 20 MINUTESLA DUREE DE L�EPREUVE EST DE 20 MINUTES

14. PARTIE III LES NOUVEAUX PROGRAMMES DES BACCALAUREATS PROFESSIONNELS EN MATHEMATIQUES SCIENCES PHYSIQUES ET CHIMIQUES 14

15. LES ORIENTATIONS FORTES 15

16. CONTINUITE AVEC LES PROGRAMMES DE COLLEGE 16 La colonne ��capacit頻 liste ce que l��l�ve doit savoir faire, sous forme de verbes d�action, de mani�re � en faciliter l��valuation. La colonne ��connaissances�� liste les savoirs li�s � la mis en �uvre de ces capacit�s. La colonne ��commentaires�� limite les contours de la connaissance ou capacit�s.La colonne ��capacit頻 liste ce que l��l�ve doit savoir faire, sous forme de verbes d�action, de mani�re � en faciliter l��valuation. La colonne ��connaissances�� liste les savoirs li�s � la mis en �uvre de ces capacit�s. La colonne ��commentaires�� limite les contours de la connaissance ou capacit�s.

17. La d�marche p�dagogique dans le pr�ambule en 10 points Prendre en compte la bivalence Privil�gier une d�marche d�investigation S�appuyer sur l�exp�rimentation Identifier les acquisitions vis�es: connaissances, automatismes et capacit�s � r�soudre des probl�mes Prendre appui sur des situations li�es aux champs professionnels Proposer des activit�s de synth�se Construire une progression adapt�e Int�grer les TIC dans les apprentissages Mettre l��l�ve au travail, individuellement ou en groupe Diversifier les modes d��valuation 17 Clic 1: Prendre en compte la bivalence Ce n�est pas la juxtaposition de deux disciplines. Il est important que le m�me enseignant les prenne en charge toutes les deux afin d�assurer la coh�rence de la formation des �l�ves en math�matiques et en sciences. L�enseignant doit construire sa progression autour de th�mes f�d�rateurs qui allient les th�matiques en maths et les th�mes en sciences physiques et chimiques. Clic 2: Privil�gier une d�marche d�investigation Elle s�appuie sur des situations probl�mes motivantes et proches de la r�alit�. Elle se compose de diff�rentes �tapes�: d�finir l�objet d��tude�; rechercher, extraire et organiser l�information utile�; inventorier les param�tres et formuler des hypoth�ses (sciences), des conjectures (math�matiques)�; proposer et r�aliser un protocole permettant de valider ces hypoth�ses ou conjectures ou de les infirmer�; choisir un mode de saisie et d�exploitation des donn�es recueillies�; �laborer et utiliser un mod�le th�orique�; - �noncer une propri�t� et en estimer les limites. Clic 3: S�appuyer sur l�exp�rimentation Le travail exp�rimental en math�matiques s�appuie sur des calculs num�riques, sur des repr�sentations ou des figures. Il permet d��mettre des conjectures en utilisant les TIC. Clic : Identifier les acquisitions vis�es : connaissances, automatismes et capacit�s � r�soudre des probl�mes L�activit� math�matique est fond�e sur la r�solution de probl�mes. Celle-ci engage la mobilisation de connaissances et d�automatismes en calcul comme dans les autres domaines math�matiques. Clic : Prendre appui sur des situations li�es aux champs professionnels Les comp�tences scientifiques doivent �tre construites � partir de probl�mes issus du domaine professionnel ou de la vie courante. Clic 1: Prendre en compte la bivalence Ce n�est pas la juxtaposition de deux disciplines. Il est important que le m�me enseignant les prenne en charge toutes les deux afin d�assurer la coh�rence de la formation des �l�ves en math�matiques et en sciences. L�enseignant doit construire sa progression autour de th�mes f�d�rateurs qui allient les th�matiques en maths et les th�mes en sciences physiques et chimiques. Clic 2: Privil�gier une d�marche d�investigation Elle s�appuie sur des situations probl�mes motivantes et proches de la r�alit�. Elle se compose de diff�rentes �tapes�: d�finir l�objet d��tude�; rechercher, extraire et organiser l�information utile�; inventorier les param�tres et formuler des hypoth�ses (sciences), des conjectures (math�matiques)�; proposer et r�aliser un protocole permettant de valider ces hypoth�ses ou conjectures ou de les infirmer�; choisir un mode de saisie et d�exploitation des donn�es recueillies�; �laborer et utiliser un mod�le th�orique�; - �noncer une propri�t� et en estimer les limites. Clic 3: S�appuyer sur l�exp�rimentation Le travail exp�rimental en math�matiques s�appuie sur des calculs num�riques, sur des repr�sentations ou des figures. Il permet d��mettre des conjectures en utilisant les TIC. Clic : Identifier les acquisitions vis�es : connaissances, automatismes et capacit�s � r�soudre des probl�mes L�activit� math�matique est fond�e sur la r�solution de probl�mes. Celle-ci engage la mobilisation de connaissances et d�automatismes en calcul comme dans les autres domaines math�matiques. Clic : Prendre appui sur des situations li�es aux champs professionnels Les comp�tences scientifiques doivent �tre construites � partir de probl�mes issus du domaine professionnel ou de la vie courante.

18. En Math�matiques 5 grands sujets d�clin�s en th�matiques au choix 18

19. En Sciences Physiques 4 THEMES d�clin�s en modules obligatoires 19 D�clinaison des th�mes en modules sous forme de questions PAR EXEMPLE : DANS LE THEME TRANSPORT EN SECONDE IL Y AURA LE MODULE : T1 Comment peut-on d�crire le mouvement d�un v�hicule ? D�clinaison des th�mes en modules sous forme de questions PAR EXEMPLE : DANS LE THEME TRANSPORT EN SECONDE IL Y AURA LE MODULE : T1 Comment peut-on d�crire le mouvement d�un v�hicule ?

20. MATHEMATIQUES 20 Statistique et probabilit�s Ce domaine constitue un enjeu essentiel de formation du citoyen. Il s�agit de fournir des outils pour comprendre le monde, d�cider et agir dans la vie quotidienne. La plupart d�entre eux ont d�j� �t� introduits au coll�ge. Les objectifs principaux de ce domaine sont�: exploiter des donn�es�; apprendre � identifier, classer, hi�rarchiser l�information�; interpr�ter un r�sultat statistique�; g�rer des situations simples relevant des probabilit�s. Les logiciels informatiques sont des outils indispensables dans ce domaine. Alg�bre � Analyse Ce domaine vise essentiellement la r�solution de probl�mes de la vie courante et professionnelle. Les situations choisies doivent permettre d�approcher les grands d�bats de soci�t�, autour du d�veloppement durable par exemple, et de traiter des probl�matiques parfaitement identifi�es. Les objectifs principaux de ce domaine sont�: traduire des probl�mes concrets en langage math�matique et les r�soudre�; construire et exploiter des repr�sentations graphiques. L�utilisation des calculatrices et de l�outil informatique pour all�ger les difficult�s li�es aux calculs alg�briques, pour r�soudre des �quations, des in�quations ou syst�mes d��quations et pour construire ou interpr�ter des courbes est une obligation de formation. A la suite du coll�ge, le lyc�e professionnel doit, en particulier, permettre aux �l�ves d�entretenir et de d�velopper leurs comp�tences en calcul mental. G�om�trie Ce domaine consiste � reprendre les principales notions abord�es au coll�ge. Les objectifs principaux de ce domaine sont�: d�velopper la vision de l�espace�; utiliser des solides pour retrouver en situation les notions de g�om�trie plane. Les logiciels de g�om�trie dynamique sont utilis�s pour conjecturer des propri�t�s ou augmenter la lisibilit� des figures �tudi�es. Leur utilisation constitue une obligation de formation. Statistique et probabilit�s Ce domaine constitue un enjeu essentiel de formation du citoyen. Il s�agit de fournir des outils pour comprendre le monde, d�cider et agir dans la vie quotidienne. La plupart d�entre eux ont d�j� �t� introduits au coll�ge. Les objectifs principaux de ce domaine sont�: exploiter des donn�es�; apprendre � identifier, classer, hi�rarchiser l�information�; interpr�ter un r�sultat statistique�; g�rer des situations simples relevant des probabilit�s. Les logiciels informatiques sont des outils indispensables dans ce domaine. Alg�bre � Analyse Ce domaine vise essentiellement la r�solution de probl�mes de la vie courante et professionnelle. Les situations choisies doivent permettre d�approcher les grands d�bats de soci�t�, autour du d�veloppement durable par exemple, et de traiter des probl�matiques parfaitement identifi�es. Les objectifs principaux de ce domaine sont�: traduire des probl�mes concrets en langage math�matique et les r�soudre�; construire et exploiter des repr�sentations graphiques. L�utilisation des calculatrices et de l�outil informatique pour all�ger les difficult�s li�es aux calculs alg�briques, pour r�soudre des �quations, des in�quations ou syst�mes d��quations et pour construire ou interpr�ter des courbes est une obligation de formation. A la suite du coll�ge, le lyc�e professionnel doit, en particulier, permettre aux �l�ves d�entretenir et de d�velopper leurs comp�tences en calcul mental. G�om�trie Ce domaine consiste � reprendre les principales notions abord�es au coll�ge. Les objectifs principaux de ce domaine sont�: d�velopper la vision de l�espace�; utiliser des solides pour retrouver en situation les notions de g�om�trie plane. Les logiciels de g�om�trie dynamique sont utilis�s pour conjecturer des propri�t�s ou augmenter la lisibilit� des figures �tudi�es. Leur utilisation constitue une obligation de formation.

21. Classe de 2nde professionnelle Statistique � une variable Fluctuations d�une fr�quence selon les �chantillons, probabilit�s Information chiffr�e, proportionnalit�* R�solution d�un probl�me du 1er degr� Notion de fonction Utilisation de fonctions de r�f�rence De la g�om�trie dans l�espace � la g�om�trie plane G�om�trie et nombres * A traiter tout au long de la formation, ne constitue pas un module en soi 21 Remarques ON VOIT BIEN LA CONTINUITE DU COLLEGE Forte pr�sence des statistiques et des probabilit�s Le module 4 ne doit plus se faire en tant que tel Le point de vue de la g�om�trie est int�ressant (en seconde puis en Terminale Pas de vecteurs en secondeRemarques ON VOIT BIEN LA CONTINUITE DU COLLEGE Forte pr�sence des statistiques et des probabilit�s Le module 4 ne doit plus se faire en tant que tel Le point de vue de la g�om�trie est int�ressant (en seconde puis en Terminale Pas de vecteurs en seconde

22. Classe de 1�re et Terminale Prof �tabli suivant la classification des baccalaur�ats professionnels en 3 groupes A, B et C Compos� d�un tronc commun (TC) et d�une partie sp�cifique (SPE) 22 19 champs professionnels 55 sp�cialit�s Possibilit� de suivre une autre sp�cialit� dans le m�me champ professionnel � l�issu de la seconde.19 champs professionnels 55 sp�cialit�s Possibilit� de suivre une autre sp�cialit� dans le m�me champ professionnel � l�issu de la seconde.

23. Classe de 1�re professionnelle 23

24. Classe de Tale professionnelle 24

25. Programme compl�mentaire en Terminale EN FONCTION DES BESOINS DES DISCIPLINES DE L�ENSEIGNEMENT PROFESSIONNEL DU PROJET PERSONNEL DE POURSUITE D�ETUDES 25 Le d�cret du 26 ao�t 2005 pr�cise que tout �l�ve ayant obtenu le baccalaur�at professionnel avec une mention Bien ou Tr�s Bien est de droit admis dans une section de STS. Pour assurer la r�ussite des �l�ves en Lyc�e professionnel dans l�enseignement sup�rieur, il est fondamental qu�ils b�n�ficient de dispositifs particuliers de formation, en amont et en aval du baccalaur�at professionnel: En amont: programme compl�mentaire permettant d�asseoir leurs connaissances, d�augmenter leur ma�trise des TIC et de leur donner les �l�ments de r�flexion et d�analyse n�cessaires � une poursuite d��tude. En aval: rencontres inter-cycles organis�es entre professeurs intervenant et terminale professionnelle et professeurs intervenant dans les STS. (tenir compte des particularit�s et des acquis r�els des �l�ves de bac pro pour la construction des enseignements et accompagnement sp�cifique pendant le 1er trimestres pour �viter les abandons pr�coces �ventuels) LES NOTIONS D�INTEGRATION - NOMBRES COMPLEXES � PRODUITS SCALAIRES NE SONT FAITES QUE DANS CE PROGRAMME COMPLEMENTAIRE Le d�cret du 26 ao�t 2005 pr�cise que tout �l�ve ayant obtenu le baccalaur�at professionnel avec une mention Bien ou Tr�s Bien est de droit admis dans une section de STS. Pour assurer la r�ussite des �l�ves en Lyc�e professionnel dans l�enseignement sup�rieur, il est fondamental qu�ils b�n�ficient de dispositifs particuliers de formation, en amont et en aval du baccalaur�at professionnel: En amont: programme compl�mentaire permettant d�asseoir leurs connaissances, d�augmenter leur ma�trise des TIC et de leur donner les �l�ments de r�flexion et d�analyse n�cessaires � une poursuite d��tude. En aval: rencontres inter-cycles organis�es entre professeurs intervenant et terminale professionnelle et professeurs intervenant dans les STS. (tenir compte des particularit�s et des acquis r�els des �l�ves de bac pro pour la construction des enseignements et accompagnement sp�cifique pendant le 1er trimestres pour �viter les abandons pr�coces �ventuels) LES NOTIONS D�INTEGRATION - NOMBRES COMPLEXES � PRODUITS SCALAIRES NE SONT FAITES QUE DANS CE PROGRAMME COMPLEMENTAIRE

26. Programme compl�mentaire Modules: Groupement A et B produit scalaire nombres complexes calcul int�gral Groupement C primitives fonctions logarithme n�p�rien et exponentielle de base e 26

27. Sciences Physiques et Chimiques Tronc commun en classe de seconde Tronc commun et unit�s sp�cifiques en classes de premi�re et de terminale 27

28. Programme de sciencesen classe de seconde 28

29. Programme de sciences en classes de premi�re et terminale :tronc commun 29

30. Programme de sciences en classes de premi�re et terminale : MODULES SPECIFIQUES 30

31. COMMENT COMMENCER ? 31 LIRE LE PREAMBULE : ANALYSER DANS SA PRATIQUE CE QU�ON FAIT D�J� S�IMPREGNER DES SUJETS ET THEMATIQUES : C�EST UNE AUTRE FACON DE VOIR LE PROGRAMME POUR LUI DONNER UN SENS VOIR LES PRODUCTIONS DU GROUPE ACADEMIQUE : POUR NOTAMMENT LA PROGRESSION A TRAVERS LES THEMES FEDERATEURS FAIRE LES ACTIVITES DU DOCUMENT RESSOURCES LIRE LE PREAMBULE : ANALYSER DANS SA PRATIQUE CE QU�ON FAIT D�J� S�IMPREGNER DES SUJETS ET THEMATIQUES : C�EST UNE AUTRE FACON DE VOIR LE PROGRAMME POUR LUI DONNER UN SENS VOIR LES PRODUCTIONS DU GROUPE ACADEMIQUE : POUR NOTAMMENT LA PROGRESSION A TRAVERS LES THEMES FEDERATEURS FAIRE LES ACTIVITES DU DOCUMENT RESSOURCES

32. ANNEXES 32

33. Les 19 champs professionnels Production et conception m�caniques �lectrotechnique et syst�mes �lectroniques Conduite et pilotage de syst�mes industriels Maintenance industrielle Maintenance des v�hicules et des mat�riels �tudes et topographie du b�timent et des travaux publics �quipements techniques �nergie Gros oeuvre du b�timent et travaux publics Finition et ouvrages du b�timent Conduite de proc�d�s industriels et transformations M�tiers de la mode, du v�tement et du cuir M�tiers du bois et de l'ameublement Industries graphiques Logistique et transport M�tiers de la relation aux clients et aux usagers M�tiers des services administratifs H�tellerie-restauration Secteurs sanitaire, social, m�dico-social M�tiers de la mer 33 IL Y A 41+ 3 (SECTEUR MARITIME) SPECIALITES DE BAC PRO REGROUPEES DANS LES 19 CHAMPS SUR LES 60 + 3 (SECTEUR MARITIME) SPECIALITES DIFFERENTES sans les options (50 GRILLE 1 ET 10 GRILLE 2 + 3 SECTEUR MARITIME)IL Y A 41+ 3 (SECTEUR MARITIME) SPECIALITES DE BAC PRO REGROUPEES DANS LES 19 CHAMPS SUR LES 60 + 3 (SECTEUR MARITIME) SPECIALITES DIFFERENTES sans les options (50 GRILLE 1 ET 10 GRILLE 2 + 3 SECTEUR MARITIME)

34. Grille n� 1 - sciences physiques A�ronautique Am�nagement et finitions du b�timent Artisanat et m�tiers d'art - option: arts de la pierre - option: communication graphique - option: �b�niste - option: horlogerie - option: tapissier d'ameublement - option: v�tements et accessoire de mode - option: verrerie scientifique et technique - option: m�tiers de l'enseigne et de la signal�tique - option: marchandisage visuel �Bio-industries de transformation �Carrosserie, option Construction ��lectrotechnique, �nergie, �quipements communicants Environnement nucl�aire Esth�tique cosm�tique parfumerie �tude et d�finition de produits industriels �Hygi�ne et environnement �Industrie de proc�d�s Industrie des p�tes, papiers, cartons Interventions sur le patrimoine b�ti �Maintenance des �quipements industriels Maintenance de v�hicules automobiles - option: voitures particuli�res - option: v�hicules industriels - option: motocycles Maintenance des mat�riels, - option A: agricoles, - option B: travaux publics et manutention, - option C: parcs et jardins Maintenance nautique Maintenance des syst�mes m�caniques automatis�s, option C: syst�mes ferroviaires M�tiers de la mode et industries connexes - productique M�tiers du pressing et de la blanchisserie Micro-informatique et r�seau : installation et maintenance Microtechniques Mise en �uvre des mat�riaux - option mat�riaux c�ramiques - option mat�riaux m�talliques moul�s option industries textiles Ouvrage du b�timent: aluminium, verre et mat�riaux de synth�se Ouvrage du b�timent: m�tallerie �Photographie Production graphique Production imprim�e Pilotage de syst�mes de production automatis�e Plasturgie Productique m�canique, option d�colletage �R�alisation d'ouvrages chaudronn�s et de structures m�talliques R�paration des carrosseries �Syst�mes �lectroniques num�riques �Technicien a�rostructure Technicien constructeur bois Technicien de fabrication bois et mat�riaux associ�s Technicien de scierie Technicien du froid et du conditionnement de l'air Technicien du b�timent: organisation et r�alisation du gros-�uvre Technicien d'�tudes du b�timent, option A: �tudes et �conomie; option B: assistant en architecture Technicien g�om�tre topographe Technicien menuisier agenceur Technicien outilleur Technicien modeleur Technicien d'usinage Technicien en installation des syst�mes �nerg�tique et climatiques Technicien de maintenance des syst�mes �nerg�tique et climatiques Traitements de surfaces Travaux publics 34 50 sp�cialit�s diff�rentes (certaines ont des options) EN TOUT CELA FAIT 65 BAC PROS DIFFERENTS HORS SECTEUR MARITIME (3 SPECIALITES EN PLUS)50 sp�cialit�s diff�rentes (certaines ont des options) EN TOUT CELA FAIT 65 BAC PROS DIFFERENTS HORS SECTEUR MARITIME (3 SPECIALITES EN PLUS)

35. Grille n� 2: langue vivante 2 Commerce Comptabilit� Exploitation des transports Logistique M�tiers de l'alimentation* Secr�tariat S�curit� pr�vention Services de proximit� et vie locale Services (accueil, assistance, conseil) Vente (prospection - n�gociation - suivi de client�le) 35 10 sp�cialit�s diff�rentes10 sp�cialit�s diff�rentes

36. A : D�veloppement durable Prot�ger la plan�te G�rer les ressources naturelles Transporter des personnes ou des marchandises Comprendre les enjeux de l��volution d�mographique 36

37. D : Vie sociale et loisirs Construire et am�nager une maison Jouer avec le hasard Comprendre l�information Croire un sondage Pr�parer un d�placement 37

38. 38

39. 39

40. 40