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L´h istoire de s droits de l ´ h omme et du citoyen. République Tchécoslovaque, avant et apr ès. Martina Vargová 3.A Michal Orviský 3.A Gymnázium Juraja Fándlyho Šaľa Slovenská Republika . Le drapeau de la Première République T chécoslovaque (1918-1938).
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L´histoire des droits de l´homme et du citoyen République Tchécoslovaque, avant et après Martina Vargová 3.A Michal Orviský 3.A Gymnázium Juraja Fándlyho Šaľa Slovenská Republika
Le drapeau de la Première République Tchécoslovaque (1918-1938)
Le compromis austro-hongrois de 1867 a permit à la Hongrie de pratiquer une politique de magyarisation forcée en Slovaquie entre 1868 et 1918. En 1907, le hongrois est devenu la seule langue dans l'enseignement primaire. En réaction, les intellectuels slovaques ont tissé des liens culturels plus étroits avec les Tchèques, eux-mêmes sous la domination des Autrichiens.
La chute de l'Empire austro-hongrois et la naissance de la Tchécoslovaquie ontcréé des conditions favorables pour la reconnaissance et la réalisation des droits de l'homme et des libertés dans notre pays commun. Le concept d'une entité tchéco-slovaque a pris corps progressivement et, après la défaite austro-hongroise au cours de la Première Guerre mondiale, la Slovaquie, la Ruthénie, la Bohême et la Moravie se sont unie en un seul État, la Tchécoslovaquie. Traité de Saint-Germain-en-Laye (le10 septembre 1919) signé entre l'Autriche et les Alliés. Il règle le sort de l'Autriche à l'issue de la Première Guerre mondiale.
Constitution du 29 février 1920 après une constitution provisoire – un acte solennel d’accession à la Société des Nations. Une constitution très progressiste en Europe/ dans le monde Forme du gouvernement et organisation de l’Etat : le principe de la souveraineté du peuple Pouvoir législatif : Assemblée nationale Pouvoir exécutif : le Président de la République et les ministres Pouvoir judiciaire : indépendance de la magistrature Droits, des libertés et devoirs civiques Protection des minorités nationales
Suffrage des femmes : (art. 8-15) déclare n’établir aucune distinction entre les sexes, ni pour l’électorat, ni pour l’éligibilité. Comme beaucoup de constitutions jeunes à l’époque, la Charte tchécoslovaque proclame d’abord l’égalité de tous les citoyens. Non reconnaissance des privilèges de sexe, de naissance ou de profession. Tous habitants de la République jouissent d’une pleine et absolue protection de la vie et de la liberté, sans aucune différence d’origine, de nationalité, de langue, de race ou de religion.
La Constitution affirme et garantit successivement la liberté individuelle et l’inviolabilité du domicile, le secret de la correspondance, le droit à la propriété, les droits à la réunion, d’association et de pétition, la liberté de la presse et celle de l’enseignement, la liberté de la conscience et le droit, pour chacun, d’exprimer son opinion librement.
Les citoyens tchécoslovaques on le droit de se déplacer sur tout le territoire de la République et d’y acquérir des bien. Ils ont le droit d’émigrer à l’étranger, sauf restriction par les lois, ils ont pleine et entière liberté – et tous les habitants avec eux – de pratiquer leur confession publiquement ou non et ils ne peuvent être contraints, ni directement, ni indirectement à prendre part à des actes religieux, à moins qu’ils ne soient encore sous l’autorité paternelle ou celle d’un tuteur. Le mariage, la famille et la maternité sont placés sous la protection spéciale des lois.
Charteconstitutionnellea assuré la protection des minorités ethniques, religieuses et des minorités raciales. Du point de vue linguistique, seuls le tchèque et le slovaque sont langues officielles. Les autres minorités peuvent utiliser leurs langues dans les rapports avec les administrations dans les districts où elles représentent plus de 20 % de la population. LaPetite Entente – alliance résultant des accords bilatéraux signés en 1920 et 1921 entre laTchécoslovaquie, la Yougoslavie et la Roumanie dans le dessein de maintenir le statut territorial était établi par les traités de Saint-Germain (1919) et de Trianon (1920)
Les années 30 Malgré ses défauts, la Tchécoslovaquie a réussi à subsister même à la fin des années 20 et au début des années 30, quand on a été entourer des dictatures fascistes. Après la signature des accords de Munich (30/09/1938, René CASSIN refusa les accords de Munich et il a démissionné de la représentation française à la SDN ) et après la maîtrise de l'Europe par Hitler, il ya des dénis de droits humains au nom d'une race supérieureou de la nation.
En mars 1939, Hitler a proposé aux représentants de la Slovaquie (Jozef Tiso) de déclarer l'indépendance du pays en faisant scission de la République tchécoslovaque. Deux choix se sontoffert alors à eux pour le futur du pays : soit rester un État unique dans le cadre de la Tchécoslovaquie tout en étant sous la menace d'une guerre avec l'Allemagne et la Hongrie, ou bien déclarer l'indépendance du pays au prix d'une occupation de la Bohême et de la Moravie par les troupes d'Hitler. Les dirigeants du Parti populaire slovaque d'AndrejHlinkaontchoisila deuxième solution et c'est ainsi que la Slovaquie a subit un sort différent de la Bohême-Moravie qui a perdu sa souveraineté et estdevenue un protectorat.
Après la création de la République slovaque/ l'Etat slovaque le 14 Mars 1939, nombreuses lois et règlements sont publiés d’ après lesquels les Juifs sont privés de leurs droits fondamentaux: ils n‘étaient pas autorisés à effectuer leurs professions qualifiées, ils ne pouvaient pas être les cadres dirigeants dans l'entreprise et travailler dans la fonction publique. La persécution et l'extermination de la population juiveestune partie la plus tragique de cette période. La période 1945-1948 est désignée sous le nom de troisième République tchécoslovaque.
Les décrets Benes publiés entre 1940 et 1945 sont ratifiés par l’Assemblée nationale provisoire - sort des Allemands des Sudètes et des Hongrois de Slovaquie. La Déclaration universelle des droits de l'homme présentée à l'Assemblée générale des Nations unies réunie à Paris, au Palais de Chaillot, est adoptée le 10 décembre 1948. Quarante-huit pays ont voté la Déclaration. Huit pays ont choisi l'abstention: Biélorussie, Tchécoslovaquie, Pologne, Arabie saoudite, Ukraine, Union sud-africaine, Union soviétique et Yougoslavie (deux pays n'étaient pas présents lors du vote)
Février 1948 Période du monopole du pouvoir du Parti communiste et de l'application des méthodes du stalinisme. Déclaration des droits de l'homme et des libertés ont perdu leur force et caractère persuasif. Le pouvoir politique a usurpé la domination sur les gens, privés de leurs droits de l'homme et libertés fondamentaux. L'existence de partis d'opposition aux régimes était inconcevable ; l'idéologie, prétendue scientifique, se voulait incontestable et ne tolérait aucune alternative. Il était en particulier obligatoire de voter pour le candidat communiste de son " choix ", sous peine d'encourir des poursuites étendues.
Par conséquent, les efforts endéfense des droits de l'homme et des libertés contre le régime totalitaire communiste ont visé dans les années cinquante. En signedeprotestation - plusieursorganisationsontinformé les citoyensetlesétrangers de la situation en Tchécoslovaquie, ils ont aidé à quitter le pays natal les gens de ce pays. (ex. Légion blanche – Bielalégia)
1968 – Printemps tchécoslovaque Pendant l'année 1968, le Secrétaire du Parti Communiste tchécoslovaque Alexander DUBČEK et les communistes tchécoslovaques entreprennent l'instauration d'un socialisme à visage humain, qu'ils nomment " Printemps de Prague ". Les dirigeants tchécoslovaques refusant de mettre un terme à leurs réformes comme l'intime l'URSS, les troupes du pacte de Varsovie envahissent la Tchécoslovaquie le 21 août 1968 et détachent quatre-vingt mille soldats en permanence dans le pays.
Cettenormalisation violente, unanimement condamnée par la communauté internationale, a fortement dégradé l'image de l'Union soviétique. Les nouveaux communistes au pouvoir à partir de 1968, ultra-orthodoxes, étaient impopulaires mais ils usaient de moyens coercitifs pour maintenir un calme relatif. La vie en Tchécoslovaquie se caractérisait alors par une apathie générale.
En signe de protestation La société des droits de l'homme, un grand nombre de protestations, les grèves d'étudiants, l'auto-immolation d'étudianten philosophie Jan Palachsur la place VENCESLAS à Prague, du lycéen Jan Zajic, la formation du Mouvement des jeunes révolutionnaire, la naissance de la Charte 77, du Comité pour la protection des injustement poursuivis, Comité Helsinki tchécoslovaque etc. ont eu le rôle très important à cet effort. Les pétitions ont joué aussi un grand rôle endéfense des droits de l'homme et des libertés – les pétitions des groupes - Quelques phrases, l'Initiativedes travailleurs culturels et l'énorme pétition catholique pour protéger les libertés religieuses, signée par plus de 600 000 citoyens tchécoslovaques.
Les pétitions ont joué aussi un grand rôle endéfense des droits de l'homme et des libertés – les pétitions des groupes - Quelques phrases, l'Initiativedes travailleurs culturels et l'énorme pétition catholique pour protéger les libertés religieuses, signée par plus de 600 000 citoyens tchécoslovaques.
Toutes ces initiatives civiques ont souligné des graves violations des droits de l'homme et des libertés - le droit à la liberté et de s’exprimer, le droit à l'éducation, la liberté de religion, le droit de rechercher, de recevoir et de diffuser l'information, le droit de réunion pacifique, le droit de constituer des organisations sans limitation, le droit de grève, etc . Il a été enfreint la loid’ immixtions arbitraires dans la vie privée, en famille, en domicile ou en correspondance, le droit de pétition, liberté de circulation et de séjour, et d'autres.
Droits de l'homme ont été considérés par idéologie officielle comme une loi que l’Etat socialiste offre aux particuliers. Questions de respect des droits de l'homme se sont unis les forces d'opposition des anciens pays socialistes dans la lutte contre les régimes totalitaires.
1989 Le 17 novembre 1989 en Tchécoslovaquie a débuté la Révolutiondevelours. Les représentantsdel’oppositionétaitleForumpublic (OF) ducôtétchèque et au Public contre la violence (VPN - représentants: Ján Budaj, Vladimír Ondruš, Fedor Gál, Milan Kňažko) du côté slovaque. Le 25 novembre 1989 – Le VPN etlecomitédecoordination des étudiantsslovaquespublié la Déclarationcommunedeprogramme.
Vladimír Ondruš Fedor Gál Milan Kňažko Ján Budaj
Ellecontenait 12 pointsdanslesquelsilétaitdemandé : la réorganisationduConseilnationalslovaque (parlement), la libertédela presse, la libertéd’entreprendre, derassemblement, d’union, dedéplacement, deconscienceet des autresdroitsetlibertésciviques, la suppressiondurôledirigeantduParticommunistetchécoslovaquedanslaConstitution, désidéologiserl’enseignementet la culture,l’établissementdel’étatdedroit, la séparationdel’Egliseetdel’Etat, lemouvementsyndical libre, des organisationsestudiantinesindépendantes, l’émancipation en droitdetoutes les formesdepropriété, unefédérationdémocratiqueconséquenteet des droitsdeminoritéssurleprinciped’égalité, ledroit à l’environnementsain, l’égalité des chancespourtouslorsduchoixdetrajectoiresde vie.
28 novembre 1989 Lereprésentantdu VPN Ján Čarnogurskýparticipaauxentretiensentrel’OF, le VPN et les délégationsdu gouvernement tchécoslovaqueetduComitécentraldu Front national de la Tchécoslovaquie. L’OF avec Václav Havel à satêteetle VPN demandaient la démissiondu gouvernement tchécoslovaque, la suppression des articles de Constitutionsur la position de monopole duParticommunistetchécoslovaque, des garanties des droitset des libertésciviques, la libération des prisonnierspolitiques, l’abdicationduprésidentGustáv Husák.
Václav Havel Gustáv Husák
29 novembre 1989 L’Assembléefédéralevota la modificationdelaConstitution : supprimal’articledeconstitutionnuméro 4 surlerôledirigeantduParticommunistetchécoslovaquedans la sociétéetsurla base des changementsdansd’autresarticlesdeconstitutionfutsupprimée la positionde monopole duPartidansle Front nationalet la positionde monopole dumarxisme-léninismedansl’enseignementetdansl’éducation. Unavancementconséquentdans la révolutiondémocratiquefutobtenu. L’Assembléefédéraleétablitunecommissionparlementaireafindesuperviserl’examen des événementsdu 17 novembre 1989 en présence des étudiants participant.
Après la révolution de velours Au printemps 1990, l'État tchéco-slovaque est rebaptisé République fédérale tchèque et slovaque. Les questions nationales travaillent la nouvelle entité et aboutissent à la dissolution de la Tchécoslovaquie le 31 décembre 1992. 1er janvier 1993 - Les pays indépendants
Sites Web utiles: • http://sk.wikipedia.org • Fr.wikipedia.org • http://ludskeprava.euroiuris.sk/index.php?link=gen_lud_prav • http://referaty.aktuality.sk/vyvin-ludskych-a-obcianskych-prav/referat-8491 • http://www.lonelyplanet.fr/destinations/europe/slovaquie/culture-et-histoire/histoire#vY5out6pz6lthoSI.99 • http://www.larousse.fr/encyclopedie/divers/Saint-Germain-en-Laye/142347 • Gabriela Ziakova – 17 novembre 1989 – Révolution de velorus en Tchécoslovaquie • www.atlas-historique.net • http://mjp.univ-perp.fr/constit/tch1920.htm • http://www.nouvelle-europe.eu/node/298