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COLLABORATION ENTRE PARTENAIRES POUR LA MISE EN ŒUVRE DES SONU

COLLABORATION ENTRE PARTENAIRES POUR LA MISE EN ŒUVRE DES SONU. Dr Ado Aissa BOUWAYE Directrice Santé de la Reproduction. POINTS ABORDES. HISTORIQUE SITUATION ACTUELLE PARTENAIRIAT FORCES / POINTS A AMELIORER RESULTATS ATTENDUS CONCLUSION. HISTORIQUE.

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COLLABORATION ENTRE PARTENAIRES POUR LA MISE EN ŒUVRE DES SONU

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Presentation Transcript


  1. COLLABORATION ENTRE PARTENAIRES POUR LA MISE EN ŒUVRE DES SONU Dr Ado Aissa BOUWAYE Directrice Santé de la Reproduction

  2. POINTS ABORDES • HISTORIQUE • SITUATION ACTUELLE • PARTENAIRIAT • FORCES / POINTS A AMELIORER • RESULTATS ATTENDUS • CONCLUSION

  3. HISTORIQUE Depuis la déclaration d’Alma Ata en 1978 , Il a été clairement démontré que les objectifs en matière de santé ne pourraient se réaliser sans une pleine participation de l’ensemble des acteurs.

  4. Historique (Suite): • ’’La Collaboration Intersectorielle’’, ’’la multi-sectorialité’’, ’’le partenariat’’ désignent une même réalité: la nécessité impérieuse d’impliquer tous les secteurs dans l’atteinte des objectifs fixés. • Le secteur de la santé ne peut et ne doit faire cavalier seul.

  5. Historique (Suite): Au Niger de l’indépendance à nos jours, la mise en oeuvre des différentes politiques sanitaires n’a pas permis d’améliorer les indicateurs de santé. La question que nous devons nous poser est: Quelles sont les causes profondes de cette contre performance ?

  6. SITUATION ACTUELLE • Politique Nationale de Population • CIPD • CONCEPT DE SR • Définition au Niger des 9 composantes et des 4 volets • CIPD+10 • Stratégie de Réduction de la Pauvreté • VISION 2010 • FEUILLE DE ROUTE • OMD

  7. LES PARTENAIRES Au Niger nous avons: La Coopérationmultilatérale: Banque Mondiale, Union Européenne, UNFPA, OMS, PNUD, UNICEF, FAO, Banque Islamique de Développement, OPEP…

  8. LES PARTENAIRES (Suite) • La coopération Bilatérale : Etats-Unis, France, Belgique, l’Allemagne, Pays Bas, la Chine Populaire, etc…

  9. LES PARTENAIRES (Suite) Les ONG Internationales : • Plan International, AFRICARE, CARE, MSF, Hellen Keller International; FCI, URC… • En plus des intervenants extérieurs on note l’appui de la Société et de certains secteurs dont leurs activités sont capitales au secteur de la santé: Agric., Élevage, Hydraulique, Communication, Urbanisation, Promotion de la femme, l’Habitat, l’environnement etc …..

  10. Comprendre les bases de la Collaboration-Intersectorielle. Comment canaliser tous les efforts en vue de créer une synergie entre les différents secteurs? • Il devient urgent de chercher les voies et moyens pour assurer une meilleure coordination et collaboration de tous les acteurs. • La coordination vise la création d’une synergie visant l’amélioration de la qualité de ces soins.

  11. Au niveau central, le dernier atelier national sur la revitalisation du secteur de la santé tenu en Novembre 1996 a attiré l’attention des autorités du MSP/LCE sur l’importance de la coordination des partenaires. • Au niveau régional, le même constat a été fait. Le district, niveau opérationnel, est le cadre idéal pour une meilleure coordination.

  12. Au niveau communautaire, cette coordination faciliterait et renforcerait l’offre des soins de santé accessibles.

  13. Le Gouvernement, MSP/LCE doit amener les Partenaires à comprendre que la qualité et la pérennité de leurs actions sont interdépendantes.

  14. Chaque responsable à quelque niveau que ce soit dispose de la liste complète des partenaires et de leurs domaines d’intervention.

  15. Les Domaines de Partenariat • Assistance Technique • Echanges d’informations et d’expériences • Formation • Appui financier • Appui matériel : Equipement

  16. Au niveau national: La Coordination permet de : • Faire la situation des besoins et procéder à une allocation optimale des ressources, • Définir les Orientations Stratégiques des Interventions • Parler le même langage et éviter d’aller en ordre dispersé.

  17. 2. Au niveau régional: • Il s’agit de toucher les réalités du terrain car ce niveau constitue le premier contact en matière de décentralisation. • Les intérêts commencent à être pratiquement les mêmes et les interventions peuvent être harmonisées facilement.

  18. 3. Au niveau du district sanitaire: La collaboration sectorielle ne deviendra une réalité qu’au niveau district. • Le district est une entité où l’approche communautaire joue un rôle essentiel; • La distinction entre les secteurs n’est pas accentuée.

  19. Les populations adhérent facilement parce que les résultats sont palpables et visible sur le terrain; • La distance entre le centre de décision et le niveau de l’application est significative; • Le contrôle s’exerce plus facilement.

  20. Problématique en rapport avec l’intervention des PTFs • Difficultés de financement des activités de routine dès qu’un projet ou un programme se retire; • Identification et formulation des interventions selon leur champ d’actions, leurs mandants, etc…en concertation avec l’Etat mais, pas dans un cadre précis de coordination et de concertation avec les autres PTFs; • Interventions dans une logique verticale; • Difficulté parfois pour le pays de refuser tel ou tel projet ou programme.

  21. Quelles sont les forces de la Collaboration Intersectorielle ? • La collaboration intersectorielle est une nécessité absolue suite aux résultats peu encourageants obtenus après trois décennies de mobilisation de fonds et d’efforts. • Le seul secteur de la santé ne pourra jamais régler les problèmes de santé de nos populations. Les autres secteurs doivent être impliqués pour garantir la réussite totale

  22. Quelles sont les forces de la Collaboration Intersectorielle ? • Les secteurs ont tous le même objectif à atteindre; • Il existe un dialogue permanent entre les différents secteurs; • Un partage de coûts entre les différents secteurs; • Existence d’une seule structure de coordination;

  23. Quelles sont les forces de la Collaboration Intersectorielle ? • Elaboration du PDS / PN SR • Chef de file dans le domaine de la PF • Consensus Vision 2010( Pour la 1ère fois) • Feuille de route • Disponibilité des PTFs à financer la SR • Rationalisation des différentes interventions;

  24. Quelles sont les forces de la Collaboration Intersectorielle ? • Élaboration d’un seul document d’évaluation; • Feedback constant; • Réunions périodiques; • Respect des normes et procédures

  25. Quels sont les points à améliorer dans la Collaboration Intersectorielle ? • La mise en œuvre de la CI est souvent contrecarrée par d’importants obstacles qui sont: • D’ordre institutionnel, financier.

  26. Quels sont les points à améliorer dans la Collaboration Intersectorielle ? • Ordre institutionnel: • Les structures de l’état ont une caractéristique commune: • La verticalité et la rigidité. • Les responsables ont du mal à faire abstraction de leur propres structures. Chacun veut faire cavalier seul. • Les services se livrent souvent à une guerre de tranchée.

  27. Quels sont les points à améliorer dans la Collaboration Intersectorielle ? • Ordre financier et managérial: • La collaboration-intersectorielle exige une utilisation rationnelle des ressources, financières et humaines. • Les responsables doivent être imbibés de la culture managériale requise. • La formation de ces dirigeants doit être à la hauteur des exigences de cette situation.

  28. Quels sont les points à améliorer dans la Collaboration Intersectorielle ? On note aussi: • Le non respect des normes • La faiblesse dans la coordination au niveau national et surtout des interventions sur le terrain • Non prise en compte des PTFs dans le mécanisme de SUIVI/EVALUATION

  29. Points à améliorer (suite) • La plupart des PTFs (bilatéraux, multilatéraux et les ONGs) interviennent el fonction de leurs plans d’action et dans des zones définies du pays; • Leurs plans d’actions ne sont toujours pas intégrés dans ceux des services; • Interventions multiples et variées des PTFs sans suivre la même logique; • Chaque partenaire a ses priorités ; • Chaque partenaire a ses procédures.

  30. Résultats du Partenariat • Meilleure coordination des interventions des différents partenaires; • Utilisation rationnelle des ressources matérielles, financières et humaines; • Impact des actions concertées sur l’amélioration de la santé des populations en général et de la reproduction en particulier; • Atteinte des objectifs du PDS/ PNSR et du programme en particulier.

  31. CONCLUSION • La collaboration intersectorielle, la multi-sectorialité, le partenariat évoque une approche globale des problèmes de santé. La mise en œuvre des différentes politiques sanitaires n’enregistrera les résultats souhaités qu’avec la pleine participation des autres secteurs. • Il devient illusoire de penser résoudre les problèmes du secteur santé qu’en s’intéressant uniquement au secteur.

  32. CONCLUSION • La collaboration intersectorielle peut être définie comme une action dans laquelle le secteur de la santé et tous les autres secteurs connexes sont coordonnés en vue de créer la synergie nécessaire pour la réalisation d’un objectif commun.

  33. Je vous remercie de votre aimable attention

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