180 likes | 298 Views
Ouverture progressive des marchés des capitaux et augmentation des investissements. Evaluation du rôle des banques à la contribution et à l’efficacité du financement de l’investissement dans les pays d’Afrique du Nord. Les pays concernés : une situation contrastée.
E N D
Ouverture progressive des marchés des capitaux et augmentation des investissements Evaluation du rôle des banques à la contribution et à l’efficacité du financement de l’investissement dans les pays d’Afrique du Nord
Le financement de l’investissement 3 sources principales : • Le marché local • Les transferts des Migrants • Les Investissements Directs Etrangers (IDE)
I - Le marché local II - Les transferts des Migrants III - Les Investissements Directs Etrangers (IDE) IV - L’exemple de FRANSABANK SAL
I - Le marché local : pratiquement limité aux banques Conséquence : peu d’alternatives aux financements bancaires
Les banques locales : forte présence de l’Etat et grande concentration
Le développement du marché financier local passe par • une volonté politique forte de créer un cadre opérationnel approprié (réglementation, supervision, etc.) • la poursuite des privatisations des banques • l’amélioration de la bancarisation du marché • l’accueil des expertises extérieures
II - Les transferts des Migrants • au moins € 10 MM par an entre l’Europe et les • 5 pays de la zone • 41% des Migrants envoient de l’argent dans • leur pays d’origine • 15% des transferts destinés à l’habitat • seulement 10% des transferts destinés aux • équipements collectifs et aux investissements
Le rôle des banques • développerdes services de proximité dans le • pays de résidence et dans le pays d’origine • faciliter les opérations de transfert, en abaisser • le coût et en améliorer la sécurité • développer des synergies bancaires entre les • banques du Nord et les banques du Sud • encourager l’investissement par des • mécanismes d’épargne salariale spécifiques • imaginer une offre de produits novateurs
Un cas concret d’application • Signature le 30 janvier 2009 d’un accord de coopération entre dix banques euro-méditerranéennes, la BEI et l’AFD, avec vingt projets concrets mis en œuvre : • visant à favoriser les transferts financiers • ayant trait aux produits bancaires, d’assurance et immobiliers • favorisant le financement des PME • portant sur le financement d’infrastructure et de grands • projets
Les participants : Al Amana (Maroc) Attijariwafa Bank (Maroc) Bank of Alexandria (Egypte) BIAT (Tunisie) Banque Tuniso Koweitienne (Tunisie) Confédération des Caisses d’épargne espagnoles Crédit Immobilier et Hôtelier (Maroc) Groupe Fransabank (Liban) Groupe Caisse d’Epargne (France) Intesa Sanpaolo (Italie) Agence Française de Développement Banque Européenne d’Investissement
III - Les Investissements Directs Etrangers : • un facteur clé du développement • se développent d’autant plus que le marché financier local est organisé, opérationnel et stable • rôle primordial des banques aux deux bouts de la chaine
Les flux I.D.E. : disparité et diminution • Baisse de 60% entre 2007 et 2008 (hors Lafarge) contre baisse mondiale de 22% • Nouvelle baisse attendue en 2009 (1) dont 6 431pour Lafarge/Orascom
Cumul des flux I.D.E. sur la période 2003-2008 : provenance et destination (en MM €)
IV - L’exemple de Fransabank SAL • son origine remonte à 1921 • fait partie du peloton de tête des banques au • Liban • zone naturelle d’intervention : le bassin • méditerranéen • stratégie d’expansion : contribuer au • développement de marchés émergents situés • dans sa sphère d’influence
Le Groupe Fransabank aujourd’hui Chiffres 2008 • total bilan : 8,45 MM USD • fonds propres : 755,97 M USD • un réseau de plus de 100 agences au Liban • un réseau international en développement : • France (depuis 1984 et en partenariat avec le Groupe Caisse • d’Epargne depuis 2007) • Soudan (2006) • Algérie (2006) • Libye (bureau représentation. 2008) • Biélorussie (2008) • Syrie (2009)