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Secrétariat Général. SITUATION DES PRINCIPALES ACTIVITES DE L’UPDEA. Présenté par l’UPDEA. BANQUE DE DONNEES DU SECTEUR ELECTRIQUE AFRICAIN FONDS AFRICAIN POUR LE DEVELOPPEMENT DE L’ELECTRIFICATION RURALE (FADER) COMMISSION ELECTROTECHNIQUE AFRICAIN DE NORMALISATION (AFSEC)
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Secrétariat Général SITUATION DES PRINCIPALES ACTIVITES DE L’UPDEA Présenté par l’UPDEA
BANQUE DE DONNEES DU SECTEUR ELECTRIQUE AFRICAIN FONDS AFRICAIN POUR LE DEVELOPPEMENT DE L’ELECTRIFICATION RURALE (FADER) COMMISSION ELECTROTECHNIQUE AFRICAIN DE NORMALISATION (AFSEC) PROGRAMME PILOTED’ELECTRIFICATIONTRANSFRONTALIERE FORMATION ETUDE DU BILAN DES REFORMES ENTREPRISES DANS LE SECTEUR DE L’ELECTRICITE EN AFRIQUE SOMMAIRE 4ème Réunion du Comité Scientifique [Ouagadougou, 12 -14 marsl 2008]
Secrétariat Général IBANQUE DE DONNEES DU SECTEUR ELECTRIQUE AFRICAIN
Secrétariat Général I.1 QU’EST-CE UPDEA-INFOS SYSTEM? • C’est un système d’informations énergétiques destiné aux différents acteurs intéressés au secteur électrique africain: • Sociétés d’électricité • Pools énergétiques sous-régionaux • Communautés économiques régionales • Institutions et organismes publics africains • Partenaires au développement • Investisseurs • Chercheurs • Etc… • UPDEA INFOS-SYSTEM est prévu pour être un module du Système d’informations énergétiques Africain. 4ème Réunion du Comité Scientifique [Ouagadougou, 12 -14 marsl 2008]
Secrétariat Général SYSTEME AFRICAIN D’INFORMATION ENERGETIQUE Banque de Données ELECTRICITE Banque de Données PETROLE + GAZ Banque de Données BOIS Banque de Données UPDEA OAB …… APPA SCHEMA GENERAL DU SYSTEME AFRICAIN D’INFORMATION ENERGETIQUE
I.2 QUELS EN SONT LES PRINCIPAUX OBJECTIFS? • Benchmarking:S’échanger, en temps réel, entre sociétés d’électricité, les données techniques, commerciales et socio-économiques permettant d’améliorer les performances des uns et des autres dans les différents domaines d’activités (production, transport, distribution, commercialisation, finances, ressources humaines) • Renforcement de la coopération et de l’intégration dans le secteur électrique de l’Afrique: s’échanger, en temps réel, entre tous les opérateurs électriques (sociétés d’électricité et pools énergétiques) des données permettant de renforcer les échanges d’énergie aux meilleures conditions techniques et économiques. • Constituer un outil d’aide à la décision: mettre à la disposition des différents acteurs intéressés au secteur électrique africain une information complète, fiable et régulièrement actualisée, sur les systèmes électriques des différents pays du continent africain. 4ème Réunion du Comité Scientifique [Ouagadougou, 12 -14 marsl 2008]
1.3 QUELS TYPES DE DONNEES INTERESSENT UPDEA-INFO SYSTEM? I DONNEES GENERALES II DONNEES TECHNIQUES III DONNEES COMMERCIALES IV DONNEES SOCIO-ECONOMIQUES V DONNEES SUR LE MATERIEL ELECTRIQUE VI DONNEES SUR LES PROJETS CATEGORIES DE DONNEES GEREES PAR LES SOCIETES D’ELECTRICITE
I.4 COMMENT EST STRUCTUREE LA BANQUE DE DONNEES ? ONE EEHC ONE (MAROC) VRA NEPA AES-SONEL SNEL NEC KPLC ENE ESKOM COMELEC+ EEHC (UMA+ EGYPTE) WAPP (CEDEAO) PEAC (CEEAC) EAPP (COMESA) SAPP (SADC) DONNEES BRUTES DONNEES VALIDEES DONNEES BRUTES (*) (*) liste non exhaustive
I.5 SITUATION DE LA MISE EN ŒUVRE DU PROJET 4ème Réunion du Comité Scientifique [Ouagadougou, 12 -14 marsl 2008]
I.5 SITUATION DE LA MISE EN ŒUVRE DU PROJET suite La banque de donnée est disponible sur internet depuis janvier 2008. L’accès est soumis à la détention d’un nom d’utilisateur et d’un mot de passe fournis par l’UPDEA. 4ème Réunion du Comité Scientifique [Ouagadougou, 12 -14 marsl 2008]
Secrétariat Général IIFONDS AFRICAIN POUR LE DEVELOPPEMENT DE L’ELECTRIFICATION RURALE (FADER)
Secrétariat Général II.1 CONSTAT • Les organismes de financement ne se pressent pas pour financer les projets d’électrification rurale aux motifs que ceux-ci ne sont pas rentables. • Les Etats africains à qui incombent en définitive la responsabilité de financer l’électrification rurale n’ont pas suffisamment de moyens à y affecter compte tenu de multiples priorités auxquelles ils doivent faire face (santé, éducation, infrastructures routières) • Les banques de développement qui financent des projets en Afrique obéissent à des mécanismes et procédures qui paraissent lourds et longs au regard de l’urgence des besoins à satisfaire en Afrique. 4ème Réunion du Comité Scientifique [Ouagadougou, 12 -14 marsl 2008]
Secrétariat Général II.1 CONSTAT (suite) • Ces institutions disposent généralement d’un personnel relativement réduit au regard du nombre de dossiers à traiter, d’où des délais très longs dans la mise en œuvre des projets, ce qui constitue un frein au développement de l’Afrique. Ce constat a amené l’UPDEA à proposer la mise en place d’un Fonds spécifiquement dédié à l’électrification rurale. 4ème Réunion du Comité Scientifique [Ouagadougou, 12 -14 marsl 2008]
Secrétariat Général II.2 VISION Un Fonds spécifique doit être mis en place pour développer l’électrification rurale en Afrique. Ce Fonds vise à atténuer les inégalités sociales et à réduire la pauvreté à travers l’augmentation du taux d’accès des populations rurales africaines à l’électricité qui devrait atteindre au moins 50% à l’horizon 2025. 4ème Réunion du Comité Scientifique [Ouagadougou, 12 -14 marsl 2008]
Secrétariat Général II.3 MISSION DU FONDS Mobiliser des ressources tant internes qu’externes à l’Afrique en vue de : • promouvoir l ‘accès à l’énergie électrique des populations vivant en milieu rural • contribuer au développement des activités créatrices de richesses et consommatrices d’électricité en milieu rural Le Fonds se veut un outil flexible et pro-actif, spécialisé dans la promotion et le financement de programmes d’électrification rurale à travers le continent. 4ème Réunion du Comité Scientifique [Ouagadougou, 12 -14 marsl 2008]
Secrétariat Général II.4 SPECIFICITES DU FADER Le FADER n’est pas et ne sera pas un fonds de plus car en effet : • Il ne se limite pas à la seule électrification des milieux rural et périurbain défavorisé mais vise également la création de richesses dans ces milieux afin d’assurer sa durabilité • Il a pour priorité entre autres, la réduction de dépenses et de délais de préparation de projets en impliquant les structures régionales et nationales existantes qui s’occupent déjà des projets de développement en milieu rural, • Il concerne les seuils d’intervention qui ne sont généralement pas couverts par le système de financement classique : il financera par conséquent les projets trop petits pour les institutions financières existantes et trop grand pour la macro finance. • Il veut impliquer les bénéficiaires des projets aux différentes phases desdits projets (préparation, exécution et gestion). Il se définit donc comme une solution pour les communautés de base à leurs problèmes essentiels de base. 4ème Réunion du Comité Scientifique [Ouagadougou, 12 -14 marsl 2008]
II.5 SITUATION DE LA MISE EN ŒUVRE DU PROJET Secrétariat Général 4ème Réunion du Comité Scientifique [Ouagadougou, 12 -14 marsl 2008]
Secrétariat Général IIICOMMISSION ELECTROTECHNIQUE AFRICAIN DE NORMALISATION (AFSEC)
Secrétariat Général III.1 OBJECTIFS • Disposer de normes et standards adaptés aux réalités africaines. • Réduire les coûts des projets d’électrification, ce qui permettra d’augmenter le taux d’accès à l’électricité des populations africaines. • Faciliter les échanges sur le continent africain en supprimant les différents obstacles techniques, ouvrant ainsi de nouveaux marchés et favorisant l’intégration économique et la croissance économique. • Créer les conditions garantissant l'interactivité des systèmes électriques complexes. • offrir à l’industrie et aux utilisateurs un cadre de concertation permettant d’obtenir des économies d’échelle 4ème Réunion du Comité Scientifique [Ouagadougou, 12 -14 marsl 2008]
Secrétariat Général III.2 SITUATION DE LA MISE EN ŒUVRE DU PROJET • Lancement du projet lors du 15ème congrès de l’UPDEA tenu du 6 au 10 juin 2005 à Accra. • Secrétariat intérimaire mis en place: ESKOM (RSA). • Ateliers organisés avec des Comités Electrotechniques de Normalisation (plusieurs pays n’en disposent pas). • Textes de base (protocole d’accord, statuts…) préparés par un groupe de travail ad hoc mis en place. • Réunion du groupe de travail à Addis Abeba (16 – 18 avril 2007) pour la préparation des documents constitutifs. • Inauguration officielle de l’AFSEC à Accra (Ghana) les 27 – 28 février 2008. 4ème Réunion du Comité Scientifique [Ouagadougou, 12 -14 marsl 2008]
Secrétariat Général IVPROGRAMME PILOTED’ELECTRIFICATIONTRANSFRONTALIERE
Secrétariat Général IV.1 CONTEXTE • L’Afrique est un continent doté d’importantes ressources • énergétiques mais malgré cela elle reste le continent le moins électrifié. • En Afrique sub-saharienne, on enregistre des taux d’accès à l’électricité très faibles: 3 à 35% • Une des causes principales de cette situation est le manque de coopération active entre les pays et entre les opérateurs du secteur électrique. • En effet pendant des décennies, chaque pays africain cherchait à résoudre seul ses problèmes d’électricité même si la meilleure solution pouvait venir du pays voisin (indépendance énergétique). 4ème Réunion du Comité Scientifique [Ouagadougou, 12 -14 marsl 2008]
Secrétariat Général IV.1 CONTEXTE (suite) • Cette situation a causé et continue de causer beaucoup de préjudices à nos populations particulièrement celles habitant loin des grands réseaux électriques, notamment le long des frontières. • Un constat amère peut s’observer : plusieurs localités africaines frontalières sont non électrifiées alors que juste quelques kilomètres voire quelques centaines de mètres de là, dans le pays voisin l’électricité est présente. 4ème Réunion du Comité Scientifique [Ouagadougou, 12 -14 marsl 2008]
Secrétariat Général IV.2 OBJECTIFS DU PROGRAMME PILOTE D’ELECTRIFICATION TRANSFRONTALIERE 2.1 Objectifs généraux • Accroître le taux d’électrification sur le continent; • Renforcer la coopération entre sociétés africaines d’électricité; • Favoriser l’intégration régionale dans le secteur de l’électricité; • Renforcer les liens entre les peuples. 2.2 Objectifs spécifiques du Programme • Améliorer les conditions de vie socio-économiques des populations bénéficiaires; • Freiner l’exode rural en apportant un mieux être social aux populations concernées; 4ème Réunion du Comité Scientifique [Ouagadougou, 12 -14 marsl 2008]
Secrétariat Général IV.2 OBJECTIFS DU PROGRAMME PILOTE D’ELECTRIFICATION TRANSFRONTALIERE (suite) • Lutter contre la pauvreté en créant des emplois notamment par l’implantation des petites unités agro-industrielles; • Réduire le coût de production de l’électricité pour ceux des villages alimentés par des groupes diesel • Participer à la préservation de l’environnement et au développement durable. 4ème Réunion du Comité Scientifique [Ouagadougou, 12 -14 marsl 2008]
Secrétariat Général IV.3 SITUATION DE LA MISE EN ŒUVRE DU PROJET • Un programme pilote a été identifié. • Quelques comités techniques mixtes ont été mis en place. • Dans certaines sous-régions, il y a eu un début de réalisation du programme. • Problèmes à résoudre: Etudes des projets et financement. • Inauguration de l’électrification du village transfrontalier (Dilidili) du Lesotho par l’Afrique du Sud en octobre 2007. 4ème Réunion du Comité Scientifique [Ouagadougou, 12 -14 marsl 2008]
Secrétariat Général VFORMATION
Secrétariat Général V.1 CONSTAT • La formation du personnel est essentielle pour toute entreprise dont celles d’électricité. • Cependant beaucoup de sociétés d’électricité en Afrique ne consacrent pas suffisamment de ressources à ce domaine. Le budget y afférent ne dépasse pas 0,1% dans certains cas. • Il y a des sociétés qui ont un programme de formation, d’autres n’en ont pas alors que celui-ci est essentiel aussi bien pour les dirigeants de l’entreprise que les agents. • Plusieurs sociétés membres de l’UPDEA disposent des centres de formation qui peuvent bénéficier à tous. 4ème Réunion du Comité Scientifique [Ouagadougou, 12 -14 marsl 2008]
Secrétariat Général V.2 ACTIONS MENEES PAR L’UPDEA • L’UPDEA a organisé dans le passé plusieurs colloques, séminaires, ateliers en collaboration avec des partenaires extérieurs (Eurelectric, CIRED, BAD, IEPFL, Banque Mondiale, etc.…) • Cette approche bien qu’ayant donné des bons résultats ne permettait pas de couvrir tous les domaines d’activités de nos entreprises et ne se réalisaient pas de façon systématique. • Le contenu des séminaires et ateliers étaient plus orienté vers la formation des agents plutôt que des Dirigeants. • D’où le Secrétariat Général de l’UPDEA a défini une nouvelle approche. 4ème Réunion du Comité Scientifique [Ouagadougou, 12 -14 marsl 2008]
Secrétariat Général V.3 NOUVELLE APPROCHE • La formation doit d’abord concerner les dirigeants de l’entreprise, car un dirigeant bien formé c’est la prémisse d’une bonne gouvernance. D’où l’atelier sur la bonne gouvernance tenue à l’intention des PDG/DG tenu à Addis Abeba en juin 2006. • La formation doit aussi être systématique et couvrir tous les domaines d’activités. D’où un programme annuel en cours d’élaboration comportant des modules de formation pour chaque domaine et se tenant systématiquement chaque année à la même période. • Pour la réalisation de ce programme, les infrastructures existantes dans les centres de formation des sociétés membres seront utilisées, chacun suivant son domaine d’excellence. • Le financement du programme est sollicité aux partenaires au développement pour la 1ère phase (3 ans). 4ème Réunion du Comité Scientifique [Ouagadougou, 12 -14 marsl 2008]
Secrétariat Général VIETUDE DU BILAN DES REFORMES ENTREPRISES DANS LE SECTEUR DE L’ELECTRICITE EN AFRIQUE
VI.1 OBJECTIF PRINCIPAL DE L’ETUDE Essentiellement sous la poussée des institutions financières internationales, des réformes ont été entreprises à a partir des années 1990 dans le secteur de l’électricité en Afrique. Ces réformes n’ont pas produit partout les mêmes résultats. C’est ce qui a amené l’UPDEA a entreprendre une étude-bilan afin de mettre à la disposition des acteurs africains du secteur de l’électricité et des partenaires au développement, un outil d’orientation devant permettre à l’Afrique de réussir le pari de l’électrification. En rappel, le taux moyen d’électrification en Afrique au sud du Sahara est de l’ordre de 35% avec des minima de l’ordre de 3% en zone rurale dans certains pays. 4ème Réunion du Comité Scientifique [Ouagadougou, 12 -14 marsl 2008]
VI.2 SITUATION DE L’ETUDE • Au cours de l’année 2007, l’UPDEA a obtenu un financement de l’Union Européenne à travers l’Agence BizClim pour cette étude. • L’étude a été confiée au Cabinet d’Etudes IDC. • IDC a commencé ses prestations en septembre 2007. • 19 pays à travers les 5 régions de l’Afrique où ont eu lieu des réformes ont été visités par IDC entre décembre 2007 et janvier 2008. 4ème Réunion du Comité Scientifique [Ouagadougou, 12 -14 marsl 2008]
VI.3 SITUATION DE L’ETUDE suite • Le rapport provisoire doit être déposé le 15 mars 2008. • Un atelier de restitution est prévu les 27 et 28 mars 2008 à Bruxelles en Belgique. • Tous les Ministres en charge de l’Energie en Afrique, les Ministres en charge des réformes, les Agences de régulations, les IPP, les Powers Pools ainsi que les Directeurs Généraux des sociétés d’électricité africaines ont été invités à participer à cet atelier 4ème Réunion du Comité Scientifique [Ouagadougou, 12 -14 marsl 2008]
NOUS VOUS REMERCIONS 4ème Réunion du Comité Scientifique [Ouagadougou, 12 -14 marsl 2008] Secrétariat Général