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La pollution atmosphérique et Le diagnostic des systèmes antipollution des véhicules légers

La pollution atmosphérique et Le diagnostic des systèmes antipollution des véhicules légers. Claude McDonnell Association québécoise de lutte contre la pollution atmosphérique Pierre Beaudoin CAA Québec Rhéal Dudemaine Comité paritaire de l ’ automobile de Montréal Septembre 2012.

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La pollution atmosphérique et Le diagnostic des systèmes antipollution des véhicules légers

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  1. La pollution atmosphériqueet Le diagnostic des systèmes antipollution des véhiculeslégers Claude McDonnell Association québécoise de lutte contre la pollution atmosphérique Pierre Beaudoin CAA Québec Rhéal Dudemaine Comité paritaire de l’automobile de Montréal Septembre 2012

  2. À propos de l’AQLPA • Fondée en 1982. • Mission : Contribuer à la protection de l'air et de l'atmosphère, à la fois pour la santé des humains et des écosystèmes, par le biais de la sensibilisation, de l’éducation et d’actions cohérentes.

  3. Anthropocène • Époque géologique dans laquelle l’homme est devenu la principale force géophysique de la planète, capable de modifier son environnement. • Constat scientifique: Homo sapiens est en train de rompre des équilibres fondamentaux au point de menacer sa propre survie.

  4. Anthropocène Action de l’homme / Fin 18e siècle, machine à vapeur • Biosphère - Menace d’extinction un grand nombre d’organismes vivants qui peuplent la terre. • Lithosphère - Érosion des sols, creuse des mines et épuise les ressources naturelles. • Hydrosphère - Acidification et contamination des eaux, fonte des glaciers et augmentation du niveau des océans. • Atmosphère - Émissions de gaz à effet de serre et de contaminants, réduction de la couche d’ozone.

  5. L’atmosphère

  6. L’atmosphère

  7. L’atmosphère Composition chimique de l’air Diazote (N2) 78,10 % Dioxygène (O2) 20,90 % Argon (Ar) 0,90 % Dioxyde de carbone (CO2) 0,038 % Autres gaz, dits rares 0,07% Total 100 % • De 1751 à 2007, le taux de CO2 dans l’air est passé de 280 à 383 ppm. • La teneur en CO2 n’a jamais été aussi forte depuis 2,1 millions d’années. Lamont-Doherty Earth Observatory

  8. Ozone (O3) OZONE STRATOSPHÉRIQUE – COUCHE D’OZONE • Entre 20 et 50 km d’altitude. • Quelques ppm à quelques dizaines de ppm, si concentré : 3 mm d’épaisseur. • Filtre 97 % des rayons ultraviolets (UV). Nécessaire à la vie. • Années 1970, trou en Antarctique, maintenant ailleurs, en Arctique. • CFC, chlorofluorocarbures, chlore de l’atmosphère X par 5 en 20 ans. • Long mélange, puis 15 ans pour monter dans l’atmosphère. • 1987, protocole de Montréal. • Ratification universelle, 196 pays, en 2009. Première mondiale. • État normal de 1980 prévue pour 2060… • Le Canada abandonne la surveillance en Arctique… Le succès du protocole de Montréal montre que la communauté internationale est capable de résoudre des problèmes environnementaux…

  9. Ozone (O3) OZONE TROPOSPHÉRIQUE – POLLUANT • D’origine anthropique : généré par les activités humaines. • Mécanisme complexe. • Sous l’effet du rayonnement solaire (UV). • Formé à partir de polluants « précurseurs » combinés à l’oxygène. • Oxydes d’azote (NOx). (Système RGE, pot catalytique). • Composés organiques volatiles, HC imbrûlés. (Combustion, EVAP, RGE, pot catalytique). • L’ozone a des impacts très importants (oxydant énergique). • Santé (poumons, reins, cerveau), forêts, agriculture, corrosion… OZONE + PARTICULES FINES = SMOG • De plus en plus fréquent au Québec, été comme hiver.

  10. Les trois voies des contaminants CONTAMINANTS +Oxygène +UV OZONE TROPOSPHÉRIQUE +Particules fines SMOG

  11. Pluies acides APRÈS UNE EMBELLIE –RETOUR DES PLUIES ACIDES • Principales sources : SO2 et NOx. • SO2 contrôlés, mais pas suffisamment. • NOx non contrôlés. • Principale source des NOx : combustion des énergies fossiles, transports. • Les NOx: • Acidifient les pluies. • Se transforment en nitrates (fertilisants), algues bleues, modifient la biochimie, acidification accrue. • De récentes études démontrent que le réchauffement climatique contribue à l’acidification… • Plusieurs propriétaires d’érablières ont dû recommencer le chaulage.

  12. La pollution atmosphérique

  13. Effets sur la santé • 6 000 décès prématurés par année dans huit villes canadiennes, dont plus de 1 500 à Montréal. • Des excès d’hospitalisation et l'aggravation des symptômes chez les personnes souffrant de maladies cardiovasculaires et respiratoires. • Diminution de la croissance pulmonaire chez les enfants. • Études, la pollution affecte le cerveau. Directeur de la santé publique de Montréal 

  14. Impacts sur l’environnement • L’ozone troposphérique endommage la végétation, y compris les cultures, les fleurs, les arbustes et les forêts en interférant avec la capacité des plantes de produire et d’emmagasiner de la nourriture. • Deviennent alors plus vulnérables aux maladies, aux organismes nuisibles et aux perturbations environnementales. • Les oxydes d'azote (NOx) et le dioxyde de soufre (SO2) peuvent former des P2,5. • Contribuent aux pluies acides. Les pluies acides nuisent aux sols et aux plans d'eau, et elles perturbent la végétation et les animaux. Environnement Canada

  15. Incidences économiques • Réduisent la présence au travail et la participation de la main-d'œuvre en général. • La hausse des coûts de la santé, les journées de travail perdues et la perte de productivité des travailleurs. • Des niveaux d'ozone accrus ralentissent par ailleurs la croissance des arbres, des plantes et des cultures, entraînant des pertes économiques pour les industries forestière et agricole. • Coûtent aux agriculteurs canadiens des millions de dollars en pertes de production chaque année. • = des milliards de dollars par année. • (Endommage les caoutchoucs) Environnement Canada

  16. Réchauffement climatique • La température moyenne au pays en 2011 a été de 1,5 degrés Celsius supérieure à la normale. • 2010 = 3 degrés Celsius supérieure à la normale. • 2010 est l’année la plus chaude jamais enregistrée depuis le début des relevés nationaux en 1948. • Tout le pays a connu des températures supérieures à la normale en 2010, notamment le Nunavut et le Nord-du-Québec, où la température a dépassé la normale d’au moins 4 degrés Celsius. Environnement Canada

  17. Réchauffement climatique

  18. Réchauffement climatique Environnement Canada

  19. Réchauffement climatique

  20. Gaz à effet de serre / CO2 Mesure du taux de dioxyde de carbone atmosphérique à Alert, Canada Environnement Canada

  21. Gaz à effet de serre / Véhicules Émissions totales de gaz à effet de serre résultant de l'utilisation de véhicules privés Statistique Canada, Division des comptes et de la statistique de l'environnement, 2009, totalisation spéciale.

  22. Effet de serre / Transport Ministère du Développement durable, Environnement et Parcs

  23. Réduire les GES/ Transport des personnes • Transports collectifs • Transports actifs • Covoiturage • Bonus-Malus • Arrêt de l’étalement urbain • Véhicules hybrides et électriques • Écoconduite • Inspections et entretien des véhicules

  24. Réduire le CO2 / Véhicules • Pression des pneus • Équilibrage, alignement, résistance • Charges indues • Aérodynamisme • Entretien - rendement moteur • Climatiseur • Chauffe-moteur

  25. Québec / Sources de contaminants Inventaire des émissions des principaux contaminants atmosphériques au Québec 2011 / MDDEP

  26. Moteurs à combustionPrincipaux contaminants • NOx Oxydes d’azote • CO Monoxyde de carbone • HC Hydrocarbures imbrûlés • COV Composés organiques volatiles • P2,5 Particules fines • N2O Protoxyde d’azote

  27. Parc automobile québécois Véhicules de promenade et camions légers de tous âges en 2010 4 308 814 Âge moyen des véhicules : 7,1 ans SAAQ : Dossier statistique / Bilan 2010

  28. Parc automobile québécois Véhicules de 6 ans ou plus en 2010 SAAQ : Dossier statistique / Bilan 2010

  29. Parc automobile québécois Cliniques d’inspection 2010 • AEE (BEIE), MDDEP, AQLPA • 593 véhicules inspectés • 6 ateliers / Montréal, Québec • Véhicules de 6 ans et plus (2010) • 50 % des véhicules, 2000 à 2004; près de 50 %, 1995 à 1999 • « Données issues d’une analyse préliminaire qui ne donnent qu’un aperçu partiel de l’état du parc de véhicules légers au Québec. » Bureau de l’efficacité et de l’innovation énergétiques, Écomobile, Entretien

  30. Parc automobile québécois Cliniques d’inspection 2010 • 26 % des véhicules étaient en mauvais état et 3 % en très mauvais état. • 17 % des véhicules présentaient des problèmes liés à l’alignement des roues. • 25 % des véhicules circulaient avec un voyant «check engine » allumé. Bureau de l’efficacité et de l’innovation énergétiques, Écomobile, Entretien

  31. Parc automobile québécois Cliniques d’inspection 2010 Senergis : rapport cliniques d’inspection 2010

  32. Parc automobile québécois Diagnostic OBDII en 2010 • ¼ des véhicules âgés de 6 à 25 ans polluent au moins 50 % plus qu’ils le devraient. • Environ 500 000 véhicules (âgés de 6 à 25) polluent au moins 50 % plus qu’ils le devraient.* * Selon l’évaluation de l’AQLPA basé sur: EPA 40 CFR Part 86, FRL-6196-4

  33. Parc automobile québécois Le diagnostic et l’entretien des véhicules Une responsabilité partagée • Propriétaires des véhicules • Programme d’inspection obligatoire • Ateliers de réparation

  34. Parc automobile québécois Inspections 2010 Sur 593 véhicules inspectés, 143 véhicules affichaient un ou des codes. MDDEP, Extraction de données, base de données issues des cliniques d’inspection 2010

  35. Inspections 2010 / OBDII Sous-groupes de codes de défaillance MDDEP, Extraction de données, base de données issues des cliniques d’inspection 2010

  36. Norme OBDII • Implantation progressive depuis 1994. • Projet de loi no48 : 1998 et plus récent (8 ans et plus, revente…). • Cette norme exige, entre autres, que tous les systèmes chargés de maintenir les émissions polluantes dans les normes prescrites soient sous surveillance. • Stipule que le témoin d’anomalie (CHECK ENGINE) doit s’allumer si le gestionnaire de surveillance rapporte une ou des conditions faisant en sorte que les émissions polluantes excèdent un certain pourcentage (généralement 1,5 X la norme, année modèle. EPA 40 CFR Part 86, FRL-6196-4).

  37. Norme OBDII • Garder en mémoire qu’un véhicule peut sembler fonctionner normalement tout en émettant un niveau de pollution plus élevé, sans pour autant faire immédiatement allumer le témoin d’anomalie. • Cette condition peut provenir d’éléments ou composants défectueux (problème d’usure, tolérance hors norme, etc.). • Nous verrons comment on peut prévenir le propriétaire d’un problème à venir.

  38. Codes de défaillance 440 à 455 • Les plus fréquents. • En relation avec le système de récupération des vapeurs d’essence (Système Evap). • Permet de récupérer, d’emmagasiner et de retourner les vapeurs d’essence à l’intérieur du moteur où elles seront utilisées pour alimenter le moteur. • Codes enregistrés lorsqu’une défaillance du circuit électrique ou de l’étanchéité du système est détectée. • Les rejets d’hydrocarbure (HC) dans l’atmosphère contribuent à augmenter le niveau de pollution. Ils sont eux-mêmes des contaminants et participent aussi à la création du SMOG, ce qui est de plus en plus fréquent chez nous. • Véhicules qui polluent 24 heures sur 24.

  39. Codes de défaillance 440 à 455 • Malgré la simplicité de fonctionnement de ce système, c’est souvent la bête noire des techniciens. • Ça doit être le bouchon du réservoir qui est mal serré… • Possible… • Mais si ce n’est pas le cas, il faut poursuivre le diagnostic. • On ne peut plus se contenter de laisser aller le véhicule avec un tel problème. • C’est votre rôle de bien informer le client sur ce qui arrive vraiment quand ces codes ne sont pas traités.

  40. Codes de défaillance série 100 • Indiquent soit un mauvais fonctionnement du circuit de chauffage des sondes à oxygène (O2), soit une défaillance de ces sondes. • Dans les deux cas, les résultats peuvent être semblables. • Une diminution de rendement du moteur, ce qui veut dire une augmentation dela consommation et, par conséquent, plus de rejets polluants dans l’atmosphère. • En réalité, les sondes peuvent être vérifiées avant même qu’un code de défaillance ne soit enregistré.

  41. Codes de défaillance série 100 • Quand votre client vient vous voir avec un problème de consommation d’essence plus élevé, ne vous contentez pas d’en rejeter la faute sur une baisse de la température. • Il se peut que le problème soit réel et relié à des sondes O2 paresseuses. • Le mode de diagnostic 06 peut s’avérer utile pour déterminer si les sondes et leurs circuits travaillent dans la limite de leurs paramètres.

  42. Codes de défaillance série 300 • Associés à un problème de rendement des cylindres. • Malheureusement, trop souvent associés à un problème d’allumage. • La désignation Misfire, telle que décrite en anglais, est la cause de cette confusion. • Un code de cette nature nous indique qu’un ou des cylindres ne fonctionnent pas de façon efficace. • Ne jamais oublier qu’un problème relié à un élément mécanique, ou au système d’injection d’essence, va aussi contribuer à générer ce code. • Peut causer, dépendant de la gravité du problème, une dégradation duconvertisseur catalytique, voire même sa destruction.

  43. Codes de défaillance série 400 à 434 • Englobe le ou les convertisseurs catalytiques, ainsi que le système RGE. • L’efficacité du convertisseur est vérifiée par le PCM à des moments bien précis. Si ce dernier ne rencontre pas les paramètres minimums, c’est alors qu’un code est généré. • Le système RGE a pour fonction de contribuer à abaisser la température de la chambre à combustion, et ce afin de diminuer la production d’un autre polluant nommé NOX. • Ce contaminant, qui est en soit très toxique, est aussi l’un des plus importants précurseur du SMOG. • Les réparations de ces systèmes devront être faites avec le plus grand soin. • Une compréhension du fonctionnement de ces éléments sera donc essentielle pour en faire un bon diagnostic.

  44. Le diagnostic • Quand il s’agit de poser un diagnostic efficace et précis face à des codes de défaillance, la meilleure méthode est d’utiliser les chartes de diagnostic du manufacturier. • L’importance de se munir de ces sources d’informations papier ou électronique prend tout son sens. • L’entente CASIS (norme canadienne visant les renseignements sur l'entretien des véhicules automobiles) qui est en vigueur depuis 2010 et que l’on appelle souvent le droit à la réparationpermet maintenant de consulter et d’utiliser les informations des manufacturiers. • La plupart des manufacturiers exigent un abonnement payant (jour/semaine/mois/année) pour y accéder.

  45. Le diagnostic • Il ne faut pas négliger l’accès à différentes sources d’information de l’après-marché (IATN, IDENTIFIX, OBD3 SOLUTIONS, etc.). • Une connaissance approfondie des différents systèmes et des composantes qui assurent le bon fonctionnement du moteur est plus que nécessaire. • La compréhension de l’interaction entres ces systèmes est aussi une nécessité. • Il faut être en mesure d’utiliser correctement les appareils de diagnostic, ainsi que d’interpréter les paramètres et les résultats que ces derniers nous permettent de visualiser. • N’oubliez pas que chaque véhicule qui arrive à votre atelier avec un témoin d’anomalie allumé se doit d’être vérifié.

  46. Équipement et outillage • Quand on s’attaque au créneau du diagnostic, on doit considérer l’achat d’équipements et d’outils performants permettant d’accroître le potentiel de réussite. • Analyseur contrôleur (scanner) • Transpondeur • Oscilloscope • Multimètre • Analyseur de gaz d’échappement • Autres

  47. Équipement et outillage • Certains de ces outils de diagnostic demandent à être apprivoisés, ce qui veut dire qu’il y a du temps à consacrer à cet apprentissage. • Le coût exorbitant de certains appareils, ainsi que de leurs mises à jour, peuvent freiner l’ardeur de certains ateliers quand on leur propose de faire du diagnostic. • À ce sujet, beaucoup d’appareils GÉNÉRIQUES ne remplissent pas toujours la mission. • Dans les faits, plusieurs appareils seront probablement nécessaires pour accomplir le travail surtout si on touche à plusieurs manufacturiers. • Je vous invite à considérer d’autres options quand vient le temps de faire les achats à ce niveau.

  48. Équipement et outillage • De nouvelles solutions sont proposées, incluant des logiciels que vous pouvez installer sur un portable, une tablette ou un téléphone intelligent. • Il ne reste qu’à acheter les interfaces nécessaires (connecteurs) pour faire le branchement. • Plusieurs appareils dédiés MANUFACTURIERS sont aussi disponibles à travers les réseaux de concessionnaires, et via différents sites Web, et ce à des coûtsfort intéressants. • Il faut bien étudier son marché et trouver les appareils nécessaires pour y répondre. • N’oubliez pas que peu importe l’appareil que vous posséderez, vous devrez bien le comprendre et consacrer du temps pour le maîtriser.

  49. Équipement et outillage • On peut faire du diagnostic et en tirer un revenu intéressant si on applique certaines règles. • L’approche au diagnostic comporte plusieurs éléments : posséder les équipements nécessaires; les informations techniques; bien former les techniciens, et ce de façon constante, devient une nécessité. • Vous devez charger le juste prix, ce genre de travail demande à ce que le client soit tenu informé tout au long du processus pour lui éviter des surprises. • Rappelez-vous qu’un diagnostic et une solution ne sont jamais trop chers si le véhicule fonctionne bien après coup, et que l’inverse est aussi vrai…

  50. L’approche au diagnostic Éléments essentiels • Qualification et formation • Sources d’information technique • Soutien au diagnostic

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