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Chercheurs d’eau 2004, U.L.B. Institut de la Sainte Famille d’Helmet . Comment agir ensemble pour le développement durable ?. Découverte du Moeraske : dernier marais vivant de Bruxelles.
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Chercheurs d’eau 2004, U.L.B. Institut de la Sainte Famille d’Helmet Comment agir ensemble pour le développement durable ?
Découverte du Moeraske : dernier marais vivant de Bruxelles Notre première étape a été celle du repérage de la zone semi-naturelle du Moeraske pour organiser notre recherche, et déjà, souder notre amitié.
Nous observons une zone de ruissellement à l’étang de la Perche. Le caractère eutrophe de l’eau est marqué par un développement de lentilles d’eau à la surface du plan d’eau.
C’est ici au cœur des marais du Moeraske que l’équipe décide de localiser sa station d’échantillonnage n° 2.
Il est nécessaire que les étangs du marais soient gérés pour leur conservation.
Madame Elvira Puttevils, coordinatrice de l’opération « Chercheurs d’eau », nous accueille le 18 février 2004 au mini-congrès à L’U.LB.
C’est chouette de découvrir l’université avec ses amis particulièrement au mini-congrès, et de participer ainsi à différentes conférences.
Réginald Lorrain, responsable du laboratoire de Glaciologie de l’ULB nous fait découvrir l’aventure des glaces polaires, une forme d’eau qui a de la mémoire.
Luc Michiels, responsable de la Maison de l’eau et de la vie, nous explique les enjeux de l’eau.
Quelle joie de faire connaissance avec ses formidables parrains, le Dr. Guy Houvenaghel de ULB, et le Dr Robert Iserentant de l’UCL.
C’est réconfortant de découvrir la solidarité de ses collègues dans l’enthousiasme des projets.
Notre capitaine nous souhaite bonne chance pour notre recherche scientifique.
Deuxième station de prélèvement des eaux du Kerkebeek. Première découverte, il n’y a plus d’eau résiduaire qui passe dans la partie voûtée de la rivière.
Monsieur Houvenaghel a inventé un système bien commode pour prélever des échantillons d’eau.
Deuxième surprise de nos recherches, on découvre des gammares sous les pierres du lit de la rivière.
Il est bon de recouper les mesures de pH à l’aide de différents tests.
L’aspect qualitatif de notre échantillon nous paraît satifaisant à la deuxième station.
Notre parrain dans ses œuvres à la troisième station de prélèvement de nos échantillons.
C’est un beau travail d’équipe la recherche scientifique !
Le site de prélèvement de nos échantillons d’eau du Moeraske, à la troisième station.
Pour une équipe de chercheurs, c’est une belle équipe de chercheurs d’eau !
Il ne faut rien oublier, nous avons tous un rôle, une responsabilité dans notre recherche.
Alors, n’est-ce pas que la campagne d’échantillonnage a été bonne !
Monsieur Iserentant nous aide à préparer nos échantillons de diatomées.
Au laboratoire, il faut trier les échantillons d’eau, et s’organiser pour les analyser.
Le traitement à l’acide nitrique des diatomées doit être soigné.
La recherche scientifique, c’est aussi se consulter, s’organiser pour agir ensemble.
Il en faut de la précision, et du soin pour réaliser les préparations microscopiques des diatomées !
Quand on se propose de doser les nitrates dans l’ eau, il est nécessaire de faire des solutions étalons pour l’analyse colorimétrique.
Le dosage des orthophosphates demande égalementun étalonnage du colorimètre.
Le choix d’une bonne longueur d’onde, et une bonne vue seront cependant nécessaire pour découvrir la réponse.
Quand on travaille en équipe, la recherche est plus agréable.
La recherche passionne. Le temps s’écoule, et on ne compte plus les heures.
Les plus jeunes aident les ainés à réaliser le traitement mathématique des résultats de l’analyse de l’eau.
Il faut aussi apprendre à présenter les résultats d’analyse, et à réaliser des graphiques, ses conclusions.
D’aventure en aventure, on parvient à enthousiasmer les plus jeunes de 1° rénové de notre école.
Nous avons eu le plaisir d’une visite guidée passionnante du Moeraske par son conservateur, Monsieur Christian Rombaux.
Le Moeraske est un site, et une réserve naturelle d’une grande biodiversité.
Notre étude scientifique nous permet de dire, qu’actuellement, le Kerkebeek est en voie de récupération, mais cette petite rivière reste cependant à surveiller.
Notre professeur de sciences, Monsieur Guy Halart, et Monsieur Christian Rombeaux, conservateur du Moeraske seraient-ils déjà en train de faire d’autres projets de recherche pour l’année prochaine ?
Alors ! A votre avis, en route pour de nouvelles découvertes scientifiques ensemble !